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Channel: Kabylie News
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Vidéo. Un Marocain de l'Etat Islamique (daech) raconte le kidnapping de sa femme

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Alors que ce marocain de Daech partait pour « faire la guerre», le groupuscule a fait disparaître sa femme sans qu’il ne soit au courant.

Un Marocain qui avait rejoint en compagnie de sa femme les rangs de Daech, raconte la disparition de sa femme alors qu’il s’entraînait dans les camps de l’organisation terroriste. Actuellement prisonnier des unités de protection du peuple kurde, il livre son témoignage à la chaîne émiratie Alaan TV.

« Après un mois et demi d’entraînement, j’ai demandé à revoir ma femme. Les responsables m’ont dit d’aller combattre en Iraq, mais j’avais insisté pour la voir avant », explique-t-il. Mais quand il dirige vers les lieux où se regroupaient toutes les épouses des combattants de Daech, il ne retrouve pas son épouse.

«J’ai demandé à la personne responsable où se trouvait ma femme. Il m’a répondu qu’elle est partie avec Abou Mouad Al Turki et m’a dit que c’était moi qui lui avais donné la permission», affirme-t-il. Furieux, le djihadiste a demandé la permission à son supérieur d’aller chercher sa femme. « Je me suis dirigé au début à Homs puis à Rif Errika et à Tabaka ». C’est dans cette ville que le djihadiste retrouve son épouse, en compagnie d’un jeune homme.

Il affirme qu’il n’est pas la première « victime » du genre. « Beaucoup d’hommes ont connu le même sort que moi. J’ai même entendu dire qu’une femme avait été violée puis immolée par des membres de Daech », confie-t-il. Le djihadiste, qui se dit repenti, demande à être libéré pour retrouver sa femme et fuir Daech, selon Alaan TV.



Avec TelQuel

Vidéo. Une piscine interdite «aux femmes de plus de 12 ans» ... et aux chiens

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C’est la consigne de trop qui indigne la toile marocaine. L’interdiction de trop qui fait craindre le pire. La scène se passe non loin de Mohammedia, ce dimanche 13 septembre. Un père de famille conduit ses fillettes à la piscine. En cet été finissant, il entend faire profiter ses filles des derniers rayons de soleil de la saison alors que les établissements scolaires ont ouvert leurs portes.

Direction «La noria», un club réputé pour ses espaces réservés au fitness, au tennis, à la natation pour petits et grands. Le lieu est ultramoderne. «La noria» est située dans la commune de Sidi Moussa Mejdoub, sur la route nationale 1 Casablanca-Rabat au Maroc.

A l’entrée de la piscine, un panneau retient pourtant l’attention du père de famille. C’est le règlement intérieur de la piscine affiché sous forme de vignettes et d’infographies bleues et rouges pour décliner ce qui est appelé par les propriétaires de cet espace « les consignes générales » pour pouvoir accéder ou pas à la piscine.

En rouge et sous forme de médaillon barré, une longue liste d’interdictions est égrenée. Interdiction de fumer, de plonger, de pousser, de courir et d’utiliser des objets gonflables… Rien de bien anormal jusque-là. Sauf que les interdictions ne s’arrêtent pas là.
La pancarte des consignes générales à respecter dans ce centre de loisirs précise en grosses lettres rouges que la baignade est interdite aux « femmes de plus de 12 ans ». Autrement dit, les filles pas encore pubères ou à peine n’ont pas le droit de se baigner au même titre que les citoyennes de ce pays qui auraient eu la mauvaise idée de faire trempette à Mohammedia, dans ce centre de loisirs.

Lire Plus sur la source ICI

Le fils d’un milliardaire algérien grand ami d’Israël humilié à l’aéroport de Tel-Aviv

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Selon le site d’informations israélien Maariv rapporté par un journal électronique algérien, le fils d’un milliardaire “franco-algérien” ami d’Israël a été humilié à l’aéroport de Tel-Aviv. Maariv n’a pas voulu révéler l’identité de ce milliardaire algérien pour ne pas nuire à sa réputation.

Selon le même média israélien, le fils de ce milliardaire franco-algérien est parti en Israël pour fêter ses 18 ans en compagnie de sa petite amie française. Informées de son arrivée par les services de sécurité, les autorités ont laissé entrer le jeune homme sur le territoire israélien sans encombre, mais c’est à son départ que les choses se sont compliquées.



Les informations n’ayant apparemment pas été transmises à son départ, le jeune homme a été interrogé par une agente de sécurité qui lui a demandé s’il était musulman. Bien qu’il se trouvait en compagnie de sa petite amie de confession juive et d’autres camarades israélites, le jeune homme a dû subir, selon son témoignage, une série de questions « humiliantes » et a été retenu deux heures. Si le fils du milliardaire algérien a pu embarquer à temps dans l’avion, ses bagages sont arrivés endommagés et partiellement pillés en France avec trois jours de retard.



L’ambassadrice d’Israël en France Aliza Bin-Noun et son adjoint Marc Attali ont présenté leurs excuses au père du jeune homme et l’ont prié de ne pas interrompre ses actions à l’égard du rapprochement entre les communautés juive et musulmane françaises, rapporte enfin une agence de presse israélienne.

Voir l'article de Maariv en hébreu Ici

Le fils d’un milliardaire algérien ami d’Israël humilié à l’aéroport de Tel-Aviv
Avec Hashtag-Algérie 

Un enfant de 5 ans kidnappé

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La police et la gendarmerie recherchent activement le petit Anès Berdjem, âgé de cinq 5 ans, porté disparu depuis plus de 48 heures, rapporte ce jeudi l’agence officielle APS.

L’enfant qui réside dans la commune de Chelghoum-Laïd se trouvait mardi dernier chez ses grands-parents, à Mila, et jouait aux alentours de 11 heures devant la demeure familiale à la cité El Kouf. Depuis, il n’a plus donné signe de vie, a précisé son grand-père, Mohamed Bouhbila.


Dès l’alerte donnée, les services de police et de la gendarmerie nationale ont entamé les recherches, aidés de proches et de voisins du petit garçon.

Le wali de Mila, Abderrahmane Madani Fouatih, s’était rendu dans la matinée chez la famille de l’enfant, à la cité Al Kouf, pour exprimer toute sa sympathie et réaffirmer la mobilisation des services de sécurité pour retrouver Anès. La disparition d’Anès Berdjem, largement répercutée sur les réseaux sociaux a suscité une vive émotion.

Avec TSA


Vidéo. La police empêche la marche de Ali Belhadj et Madani Mezrag participe à un rassemblement à Alger

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À Kouba, Ali Belhadj a tenté d’organiser une marche après la prière du vendredi, a-t-on appris de sources policières, mais un important dispositif sécuritaire a été mis en place pour l’empêcher de quitter la mosquée.


Par ailleurs, Madani Mezrag a participé, ce vendredi 18 septembre, à un rassemblement de soutien à la Palestine dans la cour du bâtiment abritant le siège de l’Association des oulémas musulmans algériens, à Alger, a-t-on constaté sur place.

Ali Benflis, Bouguerra Soltani et d’autres cadres de partis islamistes ont également pris part à cette manifestation avec l’ambassadeur de la Palestine en Algérie.





قوات الامنالآن الشرطة تحاصر مسجد الوفاء بالعهد القبة وتمنع مسيرة سلمية نصرة لإخواننا في المسجد الاقصى و تشوش علي الشيخ علي بن حاج بصافرات سيارات الشرطة كي لا يسمع كلامه
Posted by Dzair video on vendredi 18 septembre 2015

Le corps d'un nouveau né abandonné découvert

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Un groupe de gamin jouant proximité de la gare du train de la ville d'El Eulma à une vingtaine de Km à l'est du chef lieu de la ville de Sétif, ont découvert le corps d'un bébé répartie sur deux sacs de plastic noirs. Une fois alertés les services de la protection civils se sont dépêchés sur les lieux et ont récupérés le cadavre, qui, après les analyses nécessaires était confirmé comme étant un nouveau né tandis que les services de sécurité ont ouvert une enquête pour déterminer les parents du bébé.



Le bilan des Hadjis algériens morts à la Mecque s'alourdit

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Le nombre de cas de pèlerins décédés aux lieux saints depuis l’arrivée des premiers vols s’est élevé, vendredi, à quatre dont un suite à la chute d’une grue au niveau de la grande mosquée de la Mecque, survenue vendredi dernier. Alors que les trois autres hadjis souffraient de maladie chronique.

Le bilan a été établi par la délégation algérienne à l’occasion de la visite du ministre des affaires religieuses et des Waqfs, Mohamed Aissa aux lieux saints.

Le bilan des Hadjis algériens morts à la Mecque s'alourdit
Avec Algérie1

Vidéo. Le réfugié syrien frappé par une journaliste hongroise accueilli avec ses fils par le Real Madrid

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INTERNATIONAL-Une nouvelle vie qui commence. Osama Abdul Mohsen, réfugié syrien victime du croche-pied d'une journaliste hongroise qui a suscité l'indignation dans le monde, est arrivé mercredi 16 septembre à Madrid. Il va obtenir l'asile et reconstruire sa vie à Getafe, commune de la région de Madrid, où il travaillera comme entraîneur de football, profession qu'il exerçait en 1re division syrienne.

Celui qui enseignera dans une école d’entraîneurs de football de Getafe sera rejoint bientôt par sa femme, encore en Turquie avec deux autres enfants. Zaïd, sept ans, et Mohammad, 18 ans, sont déjà avec lui. Jeudi 17 septembre, ils ont été reçus par le président du Real Madrid Florentino Pérez en personne, comme vous pouvez le voir dans la vidéo en haut de cet article.

Ils ont pu visiter les locaux du prestigieux club madrilène et y découvrir les nombreux trophées (dix Ligues des champions, notamment) engrangés par le Real. Le plus jeune fils d'Osama Abdul Mohsen était vêtu d'un maillot floqué au nom de Cristiano Ronaldo et paraissait aux anges. Encore mieux, Zaid a pu rencontrer "CR7" et plusieurs joueurs du Real:


Selon El Mundo, Osama a quitté son pays en septembre 2014, puis la Turquie, au début du mois, avec son plus jeune fils Zaid, pour chercher meilleure fortune ailleurs. Jeudi matin, le ministre de l'Intérieur Jorge Fernandez Diaz, s'est de son côté engagé à faciliter son installation. "Le principe humanitaire prévaut sur toute autre considération" dans ce cas, a affirmé le ministre, tout en tenant à souligner qu'il s'agissait "d'une situation extraordinaire".

"Cette initiative ne peut pas se généraliser", a-t-il prévenu, rappelant au passage la position de l'Espagne, qui exige une solution globale, impliquant une intervention en Syrie, le renvoi dans leurs pays des migrants se déplaçant pour de raisons économiques et un plan d'aide à l'Afrique.

L'Espagne s'est engagée à accepter plus de 17.000 réfugiés sur les centaines de milliers arrivés depuis janvier en Europe fuyant la Syrie et d'autres pays en guerre. La maire socialiste de Getafe, Sara Hernandez, a annoncé que sa cité allait rejoindre le réseau de villes-refuge créé par Barcelone."Ce genre d'affaires médiatiques, doit aussi attirer l'attention sur ce qui se passe dans nos villes", a-t-elle dit en évoquant la sienne.

"Nous souffrons de retards liés aux démarches bureaucratiques pour l'obtention du statut de réfugié". "C'est pourquoi j'attire l'attention du gouvernement pour qu'il facilite les choses". Le petit Zaid devrait être scolarisé rapidement, dès que son père aura le carnet "rouge" de demandeur d'asile, a-t-elle promis.



Avec AFP

Vidéo. Mark Zuckerberg publie la première vidéo Live sur Facebook

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Le fondateur de Facebook a publié aujourd’hui, mardi 15 septembre 2015, la première vidéo Live, sur sa page officielle, depuis le siège de Facebook.

Une heure après sa publication, la vidéo a été visionnée plus de 4.7 millions de fois. Faisant le tour de son entreprise, Mark Zuckerberg a montré son bureau et ceux des fonctionnaires, aménagés en open space, insistant sur le fait qu’il n’y a pas de bureaux personnels à Facebook.

First live video at Facebook HQ
Posted by Mark Zuckerberg on lundi 14 septembre 2015

Le Wali de Bejaia remet le chef de daïra et le maire d’Ouzellaguen à leurs places

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Invité à déjeuner dans une auberge privée située au bord de la RN26, à Ighzer Amokrane, au terme de sa visite officielle effectuée lundi dans la daïra d’Ifri-Ouzellaguen, le wali de Béjaïa n’a pas du tout apprécié le geste du chef de daïra et du P/APC d’Ouzellaguen. Il a décliné l’invitation en lançant : “Je ne suis pas venu ici pour faire une zerda. Je n’aime pas ça.” Il a aussitôt quitté les lieux en direction du chef-lieu de wilaya, visiblement irrité, rapporte le quotidien francophone Liberté.

Le Wali de Bejaia remet le chef de daïra et le maire d’Ouzellaguen à leurs places

Vidéo. Ali Haddad s'exprime sur le limogeage du général Toufik

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« Nous soutenons l’institution militaire, sans aucune retenue. Si elle a besoin de nous, nous sommes là pour lui fabriquer des produits, des tenues, des chaussures, mais on n’a rien à dire sur le professionnalisme de l’armée », c'est en ces termes qu'a commenté M. Haddad le limogeage du général Toufik, qui effectue depuis mercredi 16 septembre une tournée de quatre jours dans la région est du pays.

« L’institution militaire, ce n’est pas des personnes. Elle n’est pas basée sur une personne ou deux ou cinq. Tous les Algériens doivent être au service de l’institution militaire » a rétorqué le chef des patrons algériens.



15 milliards de dollars partis en fumée à cause d'un document

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15 milliards de dollars en six ans ! Tel serait, selon une "source sure" dans le secteur des finances citée par El Khabar et rapporté par le huffington post Algérie, le cout exorbitant de l'instauration en 2009 du recours obligatoire au crédit documentaire ou Crédoc pour toutes les opérations de commerce extérieur.

Introduite dans la désormais fameuse LFC 2009 (loi de finances complémentaire) par Ahmed Ouyahia, alors chef du gouvernement, la mesure étaient censée permettre de faire baisser la facture des importations qui inquiétait déjà les pouvoirs publics.


La mesure avait suscité de vives controverses mais les importateurs se sont vite adaptés au Crédoc et les banques, surtout étrangères, ont saisi l'aubaine pour se spécialiser dans le commerce extérieur.

Une aubaine pour les banques privées


Abdelmalek Sellal avait fini, sans oser aller vers la remise en cause du Crédoc, par constater que la mesure avait "permis de renforcer les banques privées qui financent plus de la moitié du commerce extérieur" tout en impactant le pouvoir d’achat des citoyens "du fait du renchérissement des prix"à l’importation.


On ne pouvait mieux résumer les véritables effets du Credoc. Il a fallu attendre 2013 pour voir la Banque d'Algérie s'intéresser à la "niche" du Crédoc en cadrant sévèrement les rémunérations prélevées par les banques pour les opérations de commerce extérieur.

Selon certaines sources, les banques prélevaient dans les 500 euros de commission pour un crédit documentaire de 50.000 euros. La Banque d'Algérie avait estimé que les commissions de change prélevées étaient excessives. Elles se situaient entre 1 et 2% alors que la commission de la Banque d’Algérie est pratiquement insignifiante à 0,1%.
Le règlement de la Banque d'Algérie publié en 2013 a littéralement mis fin à "l'aubaine" du Credoc en plafonnant les tarifs des commissions prélevées pour le crédit documentaire, la remise documentaire ou tout autre transfert.

2,5 milliards de dollars par an !


Une mesure de "bon sens" qui corrigeait l'effet le plus coûteux de l'imposition du Credoc mais qui n'est venue qu'en 2013. Si le chiffre avancé par la source d’El Khabar se confirme cela signifie que le Credoc aura coûté à l’Algérie 2,5 milliards de dollars par an !

Une facture salée pour un dispositif censé freiner les exportations mais qui ont continué à augmenter après son entrée en vigueur.



Le gouvernement a institué récemment des licences d'importations sur une vingtaine de produit avec l’'objectif proclamé est de réduire la facture des importations.

L’efficacité de la mesure est contestée. Les députés du FFS qui ont voté contre la mesure ont dénoncé un dispositif source de corruption et d’accumulation pour "l’oligarchie financière"

15 milliards de dollars partis en fumée à cause d'un document


Avec El Khabar et le Huffington post

Vidéo. Amar Ghoul commente le limogeage du général Toufik

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Pour Amar Ghoul, le général Toufik « est un moudjahid qui a occupé de hautes fonctions et accompli sa mission ». En effet, Amar Ghoul a réagi ce samedi 19 septembre au limogeage du général Toufik. Le chef du parti TAJ et ministre du Tourisme a appelé à ne pas faire dans le « sensationnel et le tapage ».

Amar Ghoul a également commenté la situation économique. « Nous ne sommes pas encore arrivés à la catastrophe », a-t-il dit. « Notre situation est inquiétante mais n’est pas très difficile », a-t-il affirmé. « Il y a une exagération dans la description de notre situation économique par ceux qui voient tout en noir », a-t-il ajouté. Selon lui, « des pays développés ont un déficit plus important que celui de l’Algerie » avant de préconiser « de cesser d’agiter la peur car des solutions existent ».

Intervenant en ouverture à la réunion du Bureau politique de son parti, Ghoul a indiqué : « même si les changements et les mesures opérés, en ce qui concerne tant les hommes que les institutions et les structures, sont très forts et très importants et ont un important poids, il demeure qu’il s’agit d’un processus ordinaire et normal dans l’édification d’institutions plus efficaces, plus fortes, plus modernes. Des institutions qui ambitionnent de dépasser les conjonctures du passé pour bâtir une nouvelle ère ».



Avec Ennahar et TSA

Vidéo. Yasmina Khadra dans la peau de Kadhafi

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Pour la rentrée littéraire, l'écrivain met en scène les dernières heures du dictateur libyen tué le 20 octobre 2011. La Dernière Nuit du raïs ne sortira que le 24 août, mais la presse étrangère en parle déjà.

Un roman de Yasmina Khadra est toujours un événement, mais le prochain le sera encore plus. L'écrivain met en scène Kadhafi et les ultimes heures qu'il a vécues. Son titre? La Dernière Nuit du raïs, à paraître le 24 août aux éditions Julliard. La presse étrangère en fait déjà état avant même sa sortie. Présent lors de certaines manifestations littéraires dans le monde (l'auteur est traduit dans 36 pays), Yasmina Khadra a donné quelques pistes sur ce prochain roman et a expliqué pourquoi il s'est intéressé à un tel personnage.

Invité au Salon du livre de Bilbao, l'auteur de L'Attentat a confié: «Les plus grands écrivains se seraient intéressés à Kadhafi. Tolstoï aurait aimé, Homère ou Shakespeare aussi.» Il a ajouté, avec le sourire en coin qu'on lui connaît: «Rabelais aurait écrit une trilogie Pantagruel, Gargantua et Kadhafi!» Il est vrai que l'histoire de Mouammar Kadhafi est une véritable tragédie. «C'est un personnage extraordinaire», a souligné Yasmina Khadra, expert dans l'art de débusquer des sujets explosifs.

En France, la critique a déjà reçu l'ouvrage, mais il est d'usage d'attendre la sortie du livre en librairie. Tout juste peut-on confier que son éditeur parle d'«une plongée vertigineuse dans la tête d'un tyran sanguinaire et mégalomane». Yasmina Khadra se met littéralement dans la peau de Kadhafi: il raconte son histoire à la première personne du singulier. Son récit débute à Syrte, dans la nuit du 19 au 20 octobre, là même où le chef de l'État libyen a trouvé la mort.

Ensuite, le roman se déroule par flash-back. «Il a poussé la mégalomanie jusqu'à chercher à incarner toute une nation, persuadé que, par son statut de souverain absolu, il régnait sans partage sur les êtres et les choses. Le monde entier connaît ses méfaits, mais que sait-on vraiment de sa personne? La Dernière Nuit du raïs nous éclaire sur la face cachée d'un homme né sous le signe d'une injustice, qui voulut sauver son peuple, mais ne fit que se substituer à lui. Sans projet de société probant, le tyran privilégia la répression la plus brutale, conjuguant purges sanglantes et démagogie claironnante», explique le prière d'insérer.

Yasmina Khadra est l'auteur de la célèbre trilogie contenant Les Hirondelles de Kaboul, L'Attentat (prix des Libraires) et Les Sirènes de Bagdad, vendue à des centaines de milliers d'exemplaires. Ses titres Ce que le jour doit à la nuit (meilleur livre de l'année 2008 pour le magazine Lire et prix France Télévisions) et L'Attentat ont été adaptés au cinéma.



Avec TV5 et Le FIGARO

Vidéo. Ali Haddad plaide pour la hausse des prix de l’électricité et des carburants

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Ali Haddad, la patron du Forum des chefs d’entreprises (FCE) ne rate pas une occasion pour réaffirmer son opposition aux subventions de l’Etat. Hier encore, à l’occasion de l’installation de délégués du FCE à Annaba et El Tarf, celui-ci a défendu la hausse des prix de électricité et des carburants, contenue dans la Loi de finance 2016 actuellement en préparation a rapporté Algérie Focus.

Par ailleur, avant quelques mois le Forum des chefs d’entreprises (FCE) a invité le gouvernement à revoir sa politique sociale en matière de subvention des couches défavorisées (Voir vidéoci-dessous). Le document que le président de l’organisation patronale, Ali Haddad, a remis le document au chef du gouvernement Abdelmalek Sellal - lors de la rencontre qui les a réunis à Alger le 27 septembre - décortique la politique des subventions menées par l’Algérie depuis des années.




Vidéo. Un «Harrag» algérien filme et transmit ses aventures sur Youtube

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La harga continue. A Sidi Salem, Ras El-Hamra, Oued Boukrat, à Cap Rosa, les barques clandestines pleines à craquer de jeunes harraga prennent, presque au quotidien, le large vers les côtes italiennes. 

Ci-dessous une vidéo d'un jeune migrant clandestin qui raconte ses aventures sur Youtube qui serait selon des médias algériens aux frontières bulgares. Le jeune se dit poursuit par la police et demande aux gens de lui souhaiter une bonne chance.

Le phénomène prend de l'ampleur 


Rien que durant le premier semestre (de janvier à début juillet), plus de 300 candidats à l’émigration clandestine ont été arrêtés et ramenés sur la terre ferme avant d’être présentés à la justice. Sans compter le nombre des harraga qui ont réussi la traversée.


Cette recrudescence des tentatives d’émigration est sans précédent, et le phénomène tend à se multiplier. Il n’est pas à écarter que pendant la période estivale, il y aura de véritables boat people qui prendront d’assaut les côtes sud de l’Europe, principalement la péninsule italienne.


Ce sont surtout les jeunes qui prennent la mer sans se soucier des risques ; on s’embarque et on espère rejoindre la Sardaigne en quelques heures, mais la plupart du temps l’aventure tourne au drame. On récidive pourtant et on est encore plus déterminé qu’avant, parce qu’on aura acquis « l’expérience » nécessaire pour réussir.



« Notre eldorado est là-bas, de l’autre côté… »



« On ne devient pas harrag du jour au lendemain, nous confie Hamdi, un jeune universitaire de 28 ans rencontré à la cité Seybouse ; c’est un long cheminement de plusieurs années de chômage et de misères.


Des dossiers déposés dans presque toutes les administrations et entreprises, on se déplace chaque jour à la recherche d’un travail, on rentre bredouille pour revenir à la charge le lendemain avec beaucoup d’espoir. Cela dure un certain temps, puis on se rend compte de la réalité ; c’est le désenchantement et on s’aperçoit qu’on a perdu son temps à attendre quelque chose qui ne viendra jamais.


L’idée de tenter l’aventure pour aller de l’autre côté de la Méditerranée vous vient tout naturellement ; les embarcations sont là, les passeurs, on les connaît et il ne reste plus qu’à réunir la somme pour les payer (…) Rien ne retient les jeunes chômeurs ; ici au pays, pas de travail, aucun débouché, aucun espoir de réussir sa vie, rien… C’est notre pays, nous y avons nos familles, nos ancêtres y sont enterrés, mais nous ne sommes plus chez nous et nous ne pouvons plus rester à regarder notre jeunesse passer. »


Désignant le large, il nous lance avec une pointe de défi : « Notre eldorado est là-bas, de l’autre côté, c’est l’avenir, on peut tout réussir dans ces pays ; si on reste ici on sera fini à 30 ans. » A quelques mètres de là, d’autres jeunes attablés dans un café discutent ; ils parlent de leurs copains passés en Italie, il y a quelques jours « Azzou est déjà installé en Sicile, il a téléphoné à ses parents et a dit qu’il se portait bien. Il travaille comme manœuvre dans un chantier avec un entrepreneur », dit l’un d’entre eux.


« Le groupe de Zargou, qui a pris la mer l’autre jour à minuit, a été arrêté au large de Ras El Hamra, reprend un autre, le groupe a été présenté au juge puis relâché, mais Zargou est en train de se préparer à retenter le coup et il dit que cette fois-ci sera la bonne. » « On ne le voit plus depuis une semaine, poursuit un autre, peut-être qu’il est déjà parti. »


Dans les milieux jeunes de cette petite localité, on ne parle que de harga, d’embarcations, de moteurs Suzuki, d’outils de navigation, de passeurs, de préparation, de garde-côtes, de la Sardaigne, de l’Italie et de la réussite de certains de l’autre côté. On évoque rarement les disparus en mer ou ceux arrêtés par les garde-côtes italiens et « parqués » dans des centres de transit avant d’être remis aux autorités algériennes.


On dirait que l’espoir de réussite est entretenu à dessein pour pousser les jeunes à braver la mer et à affronter tous les dangers ; il faut dire qu’une petite industrie de la harga a vu le jour à Annaba. Des ateliers clandestins de fabrication de ces barques de la mort ont proliféré ces derniers temps dans les petites localités côtières.


On construit et on équipe une embarcation sur commande, ensuite c’est au tour des passeurs de prendre le relais ; ils ont leurs propres contacts pour faire circuler l’information sur un départ imminent ; les candidats à l’émigration clandestine se manifestent. Des rendez-vous sont pris pour le paiement qui oscille entre 60 000 et 120 000 DA, et l’heure de l’embarquement est fixée.
Le téléphone portable a facilité les contacts, un simple SMS envoyé et l’information parvient à tous ceux intéressés.




Avec LJI

Vidéo. La fabuleuse histoire de Ousama Abdul Mohsen

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La semaine dernière, la vidéo de la journaliste qui faisait un croche-patte à un réfugié syrien et à son fils faisait le tour du web. Aujourd'hui, cet homme a été accueilli en Espagne, par le directeur du Centre national de formation des entraineurs de Getafe.


Mardi 8 septembre, la journaliste hongroise Petra Lazso faisait un croche-patte à un réfugié avec son fils et donnait un coup de pied à une petite fille. Filmée par un journaliste allemand, elle sera renvoyée de la chaine de télé (d'extrême-droite) pour laquelle elle travaillait. La vidéo a fait le tour du monde des médias et a indigné toute la planète. Mais finalement, l'histoire se finira bien, puisque le réfugié aura rejoint le Centre national de formation d'entraineurs de football, de Getafe, en Espagne.

Lorsque le directeur du Centre national de formation d'entraineurs de football de Getafe, près de Madrid, Miguel Angel Galan, a appris par la presse le métier du syrien Osama Abdul Mohsen, il lui a tendu la main. "Nous sommes un centre national d'entraîneurs de football, donc nous avons eu l'idée d'aider un camarade entraîneur," explique-t-il à une radio espagnole. "Comme il y avait la barrière de la langue, en l'occurrence l'arabe, Mohamed Larouzi, un de nos élèves, s'est proposé pour aider à la traduction et pour aller en Allemagne le chercher." Car en effet, avant que la situation ne tourne an chaos en Syrie, Osama Abdul Mohsen avait entraîné le club Al-Fotuwa de Deir-ez-Zor, en première division nationale.

Arrivé en Espagne, l'homme n'a pas masqué sa joie. "Je vous aime tous, j'adore l'Espagne, merci l'Espagne. Tout ce que je veux c'est entrainer.", a-t-il déclaré très ému devant les journalistes. Le directeur du centre a également précisé qu'il souhaitait accueillir toute sa famille et qu'il l'aiderait à obtenir l'asile politique. "Le plus important, qui est le logement, l'alimentation, les vêtements, un travail d'entraîneur que nous allons lui donner, ils vont l'avoir".


Bejaia : Un fort hommage à Abdelkader Rahmani, le père fondateur de l’académie berbère

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Ayant goûté à l’amertume de l’exil et de la solitude, Abdelkader Rahmani , décédé la semaine dernière à l’âge de 92 ans des suites d’une longue maladie dans le département d’Indre-et-Loire, au centre de la France est ressuscité par les siens hier à travers une marche commémorative dans la ville d’Aokas.

Rahmani a laissé derrière lui une œuvre riche, consacrée essentiellement à la langue et à la culture berbère. Mais pas seulement, puisqu’il a également beaucoup écrit sur l’histoire de l’Algérie. L’affaire des officiers algériens et Les Berbères est en autre l’un de ses œuvres phare. Né à Aokas, à Béjaïa, en 1923, le fils de Slimane Rahmani, père fondateur de l’Académie berbère en France et fondateur aussi de la première chaire d’arabe et de berbère à la faculté d’Alger, a vécu ses dernières années reclus dans sa maison de province avec un sérieux handicap physique qui l’empêchait de se mouvoir. Il a été enterré lundi dernier en présence de sa famille et de quelques amis qui lui sont restés fidèles. Homme de principes, de droiture, doté d’une morale irréprochable, Abdelkader Rahmani a été parmi les premiers à s’opposer à Boumediène et à son système militaire basé sur la force et sur l’arabisation. En France, il relancera le projet de l’académie berbère et œuvrera pour une Algérie plurielle et reconnaissante des siens. Il est parti sans que la condamnation à mort soit levée. A présent, il dort du sommeil du juste quelque part dans la ville de Poitiers, loin de sa Kabylie natale. A signaler que feu Rahmani a été enterré avec la musique de l’association ACBK, conformément au souhait de sa famille. Le président de cette association lui rendait visite chaque année pour à la fois s’enquérir de sa santé, mais aussi pour faire parler l’un des derniers défenseurs de la culture berbère.


El Goual

Vidéo. les islamistes du front al-Nosra exécutent 45 soldats syriens

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Cette semaine, les militants du front al-Nosra ont tué au moins 45 soldats syriens sur une base aérienne au nord-ouest du pays. Une première pour cette organisation terroriste qui n’avait, jusqu’à présent, jamais procédé à des exécutions collectives.

Les exécutions massives, souvent pratiquées par Daesh, semblent avoir fait des émules au sein des militants du Front al-Nosra, ce groupe armé djihadiste affilié à Al-Qaïda. L’Observatoire britannique des droits de l’Homme en Syrie a déclaré qu’au moins 45 soldats syriens capturés par ces terroristes le 9 septembre sur la base aérienne de Abu Zuhour avaient été exécutés le 18 septembre. Au total, 72 soldats sont morts lors de ces 10 derniers jours.

Les représentants du Front al-Nosra ont même publié des photos montrant des taches de sang sur la piste d’envol où les victimes ont passé leurs derniers instants, un moyen pour les terroristes de prouver leur présence sur un endroit stratégique pour les autorités et l’armée syriennes.



Les terroristes de ce groupe lié à Al-Qaïda sont en outre déjà parvenus à prendre le contrôle de l’aéroport d’Idlib, ce qui signifie que deux provinces syriennes sur les 14 que compte le pays, sont entièrement passées sous le contrôle des terroristes, qu’il s’agisse de Daesh ou du Front al-Nosra.

En savoir plus : Al-Qaïda déclare ouvertement la guerre à Daesh, une aubaine pour les stratèges américains

Selon les informations officielles, les rebelles (opposants au régime de Damas mais qui ne sont pas terroristes) ont essayé de reprendre l’aéroport et la base militaire mais la météo a joué contre eux. Une tempête de sable les a contraint à interrompre leur offensive.

En plus des photos qui montrent des scènes d’exécution des soldats gouvernementaux, les extrémistes ont diffusé des images des pillages auxquels ils se sont livrés dans les villages situés à proximité de la base militaire.



Avec Daily Mail et RT France

Vidéo. Selon Sellal, le pouvoir n'est pas responsable de la crise économique

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Intervenant, aujourd’hui, à l’ouverture de la rencontre des experts du Conseil national économique et social (CNES), le Premier ministre a commencé par mettre en avant les grosses pertes occasionnées par l’effondrement du baril du pétrole sur le marché mondial. Conséquence directe de la baisse du prix de l’or noir : «Les économies de l’Algérie vont reculer de 35 milliards de dollars fin 2015». «La baisse brutale des cours des hydrocarbures, qui risque de durer, impacte les ressources de notre pays. Il s’agit de 33 à 35 milliards de dollars en moins sur l’ensemble de l’année 2015», a-t-il déclaré. La conséquence de cette baisse, c’est la contraction des ressources du Fonds de régulation des recettes (FRR) et l’accroissement de la dette publique interne qui frôle déjà les 30 milliards de dollars.



Le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, n’a pas caché son inquiétude quant aux sombres perspectives pour l’économie nationale. A demi-mot, certes, mais il reconnaît qu’il y a crise. Il appelle à une « véritable révolution » dans les mentalités pour faire face à la crise économique en Algérie. « La question n’est pas d’ordre économique ou financier. La question qui est très importante est celle du changement des mentalités », lance le Premier ministre dans une allocution prononcée ce dimanche 20 septembre à l’ouverture de la rencontre organisée par le Conseil national économique et social (Cnes) sous le thème du « Défi de la résilience à l’exigence de l’émergence de l’économie algérienne ».

« Il faut travailler plus et il faut que notre regard sur le travail change. Il y a une différence entre partir travailler et partir au travail », dit Abdelmalek Sellal qui estime que les dispositions et les idées n’auront aucun effet si elles ne sont pas adoptées par toutes les composantes de la société. « Il faut comprendre que le bon citoyen ne gaspille pas l’eau, ne gaspille pas le pain, ne gaspille pas l’énergie. On lutte contre le gaspillage et la renonciation », ajoute le Premier ministre.

Abdelmalek Sellal sait que rien ne peut se construire sans confiance. « Il faut refuser le pessimisme ! », lâche-t-il avant d’appeler les administrations et les banques à changer leur manière de travailler. « Les banques doivent comprendre que leur rôle est de chercher son client. Le fonctionnaire doit comprendre aussi qu’il est au service du citoyen et n’est pas son tuteur », lance le Premier ministre qui appelle aussi à changer le regard de la société sur la fortune : « Le travail et le gain ne sont pas un défaut ».



Avec agences 
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