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Plages de Béjaia : Le racket c'est fini, annonce le Wali

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Le Wali de Béjaîa est décidé à réussir la saison estivale à la wilaya de Bgayet via plusieurs mesures dans l'objectif d'offrir les meilleurs conditions d'accueil pour les hôtes de la Kabylie maritime.

Plages de Béjaia : Le racket c'est fini, annonce le Wali


Dans sa sortie inaugurant à sa façon la saison estivale à Aokas, M. Ould Salah Zitouni a rappelé aux élus présents à la plage de Tala Khaled, que la gratuité des plages doit être respectée «selon les instructions du ministère de l'intérieur», en précisant que chaque plage aura son administrateur désigné du personnel de la commune.

Plusieurs autres mesures ont été décidée par le premier responsable de la wilaya dont le transport des victimes de noyades par voix maritime et l'instruction donnée aux gérants des hôtels pour garantir des espaces pour les produits locaux ainsi que le déploiement d'équipements pour protéger l'environnement.

VIDEO. Lani Rabeh annonce son imminent retour avec un album

Séisme de 3,5 degrés à Bordj Bou Arreridj (CRAAG)

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Une secousse tellurique d'une magnitude de 3,5 degrés sur l'échelle ouverte de Richter a été enregistrée lundi dans la wilaya de Bordj Bou Arreridj, a indiqué le Centre de recherche en astronomie astrophysique et géophysique (CRAAG) dans un communiqué.



L'épicentre de cette secousse survenue à 11h19, a été localisé à 1 km sud de Sidi Embarek, wilaya de Bordj Bou Arreridj, a-t-on précisé de même source.

L'Etat ferme les studios appartenant à Issad Rebrab

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Le bras de fer entre Issad Rebrab et les tenants du pouvoir, continue dans une bataille multidimensionnelles après le rachat d'une filiale de Cevital appartenant au richissime homme d'Affaire, NessProd, de la majorité des actions du groupe de presse le plus influent du pays, El Khabar en l’occurrence.



Après la décision de la justice, de geler la transaction dudit rachat, les pouvoirs publique ont scellé les studios de NassProd dont l'émission "Ki Hna Ki Nas" est tournée, une émission satirique qui a marqué le champs audiovisuel algérien après quelques jours de diffusion.

Lire : Une nouvelle affaire contre Issad Rebrab


L'opération de fermeture selon El Khabar s'est déroulée avec la présence d'un procureur de la république sans donner d'explications.

Pour rappel, le même animateur de l'émission qui aborde des sujets sensibles s'est vu arrêter une autre émission sur une autre chaîne, "El Djazairia".


Sellal installe les membres de l'Autorité de régulation de l'audiovisuel (ARAV)


Le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, a procédé, lundi à Alger, à l'installation des membres de l'Autorité de régulation de l'audiovisuel (ARAV).

La cérémonie d'installation de l'ARAV, qui est présidée par M. Zouaoui Benhamadi, s'est déroulée au Palais du gouvernement, en présence de membres du gouvernement et de responsables du secteur de la communication.

L'ARAV "est un organe indépendant dont l'action n'est encadrée que par les seules dispositions de la loi", a déclaré M. Sellal lors de cette cérémonie d'installation.

"Aussi, nous attendons de ses membres une action volontariste pour veiller au libre exercice de l'activité audiovisuelle, à l'impartialité, à l'objectivité, à la transparence, à la promotion des langues nationales, et au respect des valeurs et des principes de la société algérienne", a ajouté le Premier ministre.

L'ARAV est une institution prévue par la loi relative à l'activité audiovisuelle, adoptée par le Parlement en 2014, afin de réguler le champ audiovisuel en Algérie et consolider la mission du service public.

Cette Autorité indépendante assumera ses prérogatives à la fois en tant que garant et gardien de la liberté d'exercice du métier.

L'ARAV est composée de 9 membres nommés par décret présidentiel : 5 membres, dont le président, sont désignés par le président de la République, 2 membres non parlementaires, proposés par le président du Conseil de la nation, et 2 membres non parlementaires, proposés par le président de l'Assemblée populaire nationale.

En matière de contrôle, l'Autorité doit, entre autres, veiller à la conformité aux lois et règlements en vigueur, de tout programme audiovisuel diffusé, quel que soit le support, s'assurer du respect des quotas minimums réservés à la production audiovisuelle nationale et à l'expression en langues nationales.



Les membres de l'ARAV


Voici la liste des membres de l'Autorité de régulation de l'audiovisuel (ARAV), installée lundi à Alger, par le Premier ministre, Abdelmalek Sellal.

Président: Zouaoui Benhamadi, journaliste, communicant, gestionnaire d'organismes publics



Membres:


- Zahir Ihaddadène, journaliste, historien

- Zaïm Khenchelaoui, anthropologue, chercheur

- Abdelmalek Houyou, haut fonctionnaire, gestionnaire d'organismes publics

- Dr Ahmed Bayoud, universitaire, haut fonctionnaire

- Aïcha Kassoul, professeur, universitaire, diplomate

- Zouina Abderrezak, professeur des universités

- El Ghaouti Mekamcha, professeur des universités et ancien ministre de la Justice.

- Lotfi Cheriet, journaliste.

Le gouvernement va couper Internet à chaque occasion

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Le pas est franchi à l'occasion de la session partielle du BAC 2016 Bis, internet a été bloquée et les réseaux sociaux ainsi que le moteur de recherche Google censurés, une décision radicale et radicaliste qui n'augure de bon pour l'avenir de la liberté d'expression en Algérie.

Le gouvernement coupera Internet à chaque occasion


Devenue la colonne vertébrale du monde, de sa communication, ses transactions économiques, qui s'émissent dans les détails les plus intimes du citoyen moderne, internet n'est pas encore vue de la même façon par le gouvernement algérien qui, une nouvelle fois, a opté pour la plus simple des solutions afin de contrecarrer la triche et la fuite des sujets du BAC, au lieu de faire une réelle réflexion sur  le problème de gouvernance et pallier le problème de la fraude qui se généralise et se socialise.

La censure des réseaux sociaux, n'est pas une première dans le pays, facebook, Twitter et Youtube, se sont vus inaccessibles pendant quelques jours durant les événements du printemps dit "Arabe" en 2011.

Malgré les solutions techniques qui se trouvent avec abondance sur la toile pour contourner la censure et le blocage géographique, la question qui doit se poser est "à quel point le gouvernement pourrait arriver avec cette logique de blocage  et de censure ?", que sera la décision en cas d’événement politique majeur.




VIDEO. Un député sanctionné pour avoir accusé un ministre d'être «Fils de Harki»

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La dernière intervention du député Tahar Missoum élu de la wilaya de Médéa, n'a pas laissé le premier ministre Abdelmalek sellal indifférent, après avoir accusé le ministre de l'industrie Abdesslam Bouchouareb d'être «un fils de Harki».



Le buzz créé par la nouvelle sortie du «député spécifique» dans l’hémicycle du parlement algérien, a fait réagir le premier ministre Abdelmalek Sellal qui aurait adressé une lettre au président de l’APN Mohamed Larbi Ould Khelifa, lui indiquant son refus de voir les ministres de son gouvernement se faire humilier au sein de l’hémicycle.

Le président de l’APN a pris des mesures conservatoires à l’endroit de l’intéressé qui sera interdit de prendre la parole durant 6 séances « Vu les comportements incorrects et répétés du député Tahar Missoum au sein de l’hémicycle et son exploitation de cet espace pour insulter et injurier les cadres de l’Etat jusqu’à porter atteinte à leur honneur et dignité, et après l’avoir averti de se conformer au règlement intérieur, après plusieurs avertissements pour s’en tenir au sujet du débat, il a été décidé conformément aux clauses du règlement intérieur de l’APN notamment les articles de 75 à 78 relatifs aux mesures disciplinaires, d’interdire à ce député de prendre la parole et de participer aux travaux de six séances plénières et ce afin d’éviter de tels comportements déplorables qui ne cadrent pas avec la noble mission de député », souligne dimanche un communiqué de l’APN.



Voir VIDEO. «Je refuse que tu me gouverne ... T'es un fils de Harki»

Le MAK s'apprête à frapper sa propre monnaie

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Après la «Carte d'identité Kabyle» et le «Drapeau Kabyle», le Mouvement pour l'Autodétermination de la Kabylie songe à frapper sa propre monnaie, une information étrange divulguée par un journal électronique très proche dudit mouvement prônant «l'indépendance  de la Kabylie».

Le MAK s'apprête à frapper sa propre monnaie


Selon le site électronique Tamurt qui nie toute déclaration officielle, parle en connaissance de cause et cite des militants influents qui seraient en préparation de cette opération qualifiée par la même source comme «un pas géant vers l'indépendance de la Kabylie».


La conception de la future monnaie kabyle est entrain de se préparer. Certes, aucune instance de MAK ni du GPK n’a abordé ce volet, mais des militants souverainistes se penchent sérieusement sur le sujet. Des billets à l’effigie de Matoub Lounès, Mouloud Mammeri et autres acteurs kabyles et hommes de valeurs sont d’ores et déjà préparés.

Le mouvement fondé par un groupe de militants Kabyles en 2001, à leur tête Ferhat Mehenni, prône et assume clairement la revendication séparatiste après avoir passé de l'autonomie à l'autodétermination.

VIDEO. Cheikh Chameseddine affole le web avec une fatwa délirante

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La Star Cheikh Moufti d'Ennahar Tv revient avec du lourds, une fatwa ci étrange et délirante en réponse à une question posée par une téléspectatrice mariée à un commerçant de la ville d'Oran, la jeune femme a découvert que son mari était marié à une tunisienne et à une marocaine et qu'il avait deux enfants de chacune.



La jeune femme demande si elle doit exiger le divorce. La réponse du Cheikh est juste épique: "Votre mari croit à l'unité maghrébine, à l'Union du Maghreb Arabe (...) votre mari applique la réalité de l'union du Maghreb, il n'aime pas les 'slogans' vides: le voilà qui épouse une femme en Algérie, une autre en Tunisie et une autre au Maroc (...)" affirme le Cheikh.

Le Cheikh donne son conseil à cette femme éplorée: "Mais cela n'est pas le Maghreb arabe dans son ensemble, il faut donc qu'il en rajoute une Libyenne et comme ça il aura réussi l'unité du Maghreb Arabe dans son ensemble".





De la «Pornographie» sur un sujet du BAC

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BUZZ- Les réseaux sociaux s’affolent suite à l'apparition du nom d'une  marque de Sex-Toys et de lingerie coquine  sur le sujet anglais du BAC  refait dans le cadre de la deuxième session partielle.



Le sujet d'anglais se porte sur une lettre de réclamation d'une certaine Ann Summers, une marque spécialisé dans le sex-shop et qui détient 140 magasins dans les rues commerciales au Royaume Uni, en Ireland, en Islande et en Espagne.

Le sujet est devenu viral, Coïncidence ? Non, les internautes accusent également Nouria Benghabrit d'acte délibérée «dans son entreprise de déviation du peuple algérien des principes islamiques».

Air Algérie en graves difficultés financières

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Le Président-directeur général d’Air Algérie a reçu le bilan financier de la compagnie aérienne nationale, au titre de l’année 2015, où il appert un déficit de 260 milliards de centimes.

Echououk


L’explication donnée par le commissaire aux comptes dénote que c’est la dévaluation du dinar et le plafonnement budgétaire dû aux investissements qui en sont la cause.

De mémoire de société, c’est le plus grand déficit jamais enregistré par le Pavillon national, ce qui a poussé son P-dg, Mohamed Abdou Bouderbala, a prendre des mesures draconiennes en urgence afin de réduire ce déficit budgétaire au niveau de la société-mère et ses démembrements, surtout le catering et la maintenance qui sera autonome en juillet prochain, en attendant celui de l'assistance et des prestations au sol en juillet 2017.

En outre, afin de se renflouer et équilibrer ses comptes, Air Algérie va renforcer ses vols domestiques et internationaux.

Malgré officielle : Tamazight «interdite» au parlement !

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L'unanimité, la seule et unique d'ailleurs qui unissent les algériens, est le fait de s'accorder que le pouvoir en place ne rédige des constitutions que pour les violer, après avoir impressionné l'intérieur et l’extérieur avec ses textes.



Après l'arrestation des sept déjeuners de Skikda en contradiction flagrante avec la liberté de culte et de conscience, stipulée dans la nouvelle constitution de Bouteflika, la guerre déclarée contre la presse et la liberté d'expression ainsi que les arrestations et les intimidations des militants politiques pacifistes, un autre acte vient pour confirmer la thèse de la pérennité du mode d'emplois du pouvoir, qui s'étale avec lui dans le temps et l'espace.

M. Ahmed Betatache, ancien premier secrétaire du Front des Forces Socialistes (FFS) et actuel député élu d'une liste dudit parti, dénonce via sa page facebook, l'interdiction d'usage de la langue Tamazight dans les relations entre les deux chambres du parlement, entre ce dernier et le gouvernement, malgré la proposition déposée par ledit député pour modifier l'article 6, stipulant que l'arabe y reste exclusivement la seule langue, refusée par la commission des affaires juridiques.

Une nouvelle fois, l'officialisation de Tamazight annoncée à tambour battant par le pouvoir algérien, s'avère une nouvelle fois que de la poudre aux yeux.

Clinton éclaboussée par un scandale impliquant la CIA et des islamistes

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En pleine campagne électorale, la candidate démocrate Hillary Clinton a été rattrapée par un scandale impliquant la CIA. Il est question de l'enlèvement du prédicateur islamique radical Abou Omar en 2003.



En 2003, des agents américains ont capturé Abou Omar en Italie pour l'extrader en Egypte, où le prisonnier, selon ses propos, a subi la torture. Aujourd'hui, l'une des participantes supposées à cette opération, l'ex-agent de la CIA Sabrina de Sousa – risque la prison: on s'apprête à l'extrader en Italie où elle a été condamnée par contumace pour kidnapping.

De Sousa, qui travaillait sous couverture diplomatique, accuse Clinton de ses mésaventures, plus exactement de l'avoir abandonnée sans l'avoir défendue contre la justice italienne et sans lui assurer l'immunité diplomatique. De son point de vue, ce n'est pas seulement la liberté qui est en jeu, mais aussi dans une certaine mesure la réputation du pouvoir américain (qui sera peut-être représenté dans les années à venir par Hillary Clinton). Plus exactement, la question est de savoir si ce pouvoir sera capable de protéger ses représentants à l'étranger.

L'objectif


Abou Omar (vrai nom Nasr Oussama Mustafa Hassan) est un islamiste originaire d'Egypte. Il était associé à l'organisation terroriste Gamaa al-Islamiya impliquée dans l'assassinat du président Anouar el-Sadate en 1981 et le massacre de touristes à Louxor en 1997. Omar a vécu plusieurs années en Albanie, avant de déménager en Italie où il a obtenu le statut de réfugié.



Selon certaines informations, Omar était un informateur secret de la CIA jusqu'au début des années 2000. Plus exactement du renseignement albanais étroitement lié à la CIA (ses agents ont suivi une formation aux USA, et l'unité antiterroriste, selon les anciens agents, était de facto dirigée par un certain Mike, qui travaillait à l'ambassade américaine à Tirana). En 1995, Omar a été arrêté par les Albanais sur indication de Washington, et il a accepté de collaborer.

Les Albanais recevaient d'Omar des informations sur les activités des terroristes pour les transmettre à la CIA. Comme le notait l'ex-agent Asrit Nasufi, il était devenu une importante source d'informations pour les deux parties. Les Albanais ne le payaient pas, mais l'aidaient à régler les formalités liées à son statut migratoire et un conflit immobilier avec un habitant local.

Puis la collaboration a pris fin. Omar a déménagé en Italie où il a commencé à tenir des discours extrémistes, à fustiger les USA et à inciter ses adeptes à la guerre contre la coalition internationale en Afghanistan et en Irak.


L'enlèvement


Selon l'une des versions, c'était précisément la cause de son enlèvement (qualifié d'extradition extraordinaire – une procédure officieuse largement appliquée après le 11 septembre 2001 à l'ég, ard des individus soupçonnés de terrorisme). Selon une autre version, l'objectif était de le réutiliser en tant qu'informateur.

De Sousa, qui était traductrice pendant la préparation de l'opération (elle insiste sur le fait qu'elle n'a pas participé au kidnapping), affirme qu'il n'y avait en réalité aucune raison de procéder à un enlèvement. Selon elle, Omar ne représentait pas une "menace directe" pour les USA, et l'opération a été planifiée par le chef de la cellule locale de la CIA Jeffrey Castelli, qui espérait profiter de l'histoire de la "capture d'un terroriste" pour monter en grade.

Omar a été enlevé en février 2003. Il a été jeté dans une voiture, puis transporté à la base militaire d'Aviano où était déployée une unité de l'armée de l'air américaine. Après cela il a été extradé en Egypte, en passant par la base allemande de Ramstein, où il a été transmis au renseignement local. Selon l'islamiste, il a été interrogé et torturé avec de l'électricité.

En 2004 Omar a été relâché, puis à nouveau interpellé. Il est resté en détention jusqu'en 2007 avant d'être relâché, mais sans avoir le droit de quitter l'Egypte.


L'enquête


L'enquête sur l'enlèvement d'Omar a été ouverte en Italie en 2003. Il s'est avéré que des agents américains et italiens étaient impliqués dans l'opération.

Comme l'ont indiqué les sources de Washington, l'opération était menée de manière négligée. Selon l'ex-agent de la CIA Bob Baer, ses collègues utilisaient imprudemment leur téléphone et leur courriel (les enregistrements de leurs conversations obtenus par les autorités italiennes constituent l'une des principales preuves dans l'affaire).

En 2009, l'affaire est allée jusqu'au tribunal. Plus de 20 membres de l'opération, des Américains et plusieurs Italiens, ont été reconnus coupables. Ils ont écopé de différentes peines et ont été condamnés à verser à Omar une indemnisation de 1 million d'euros. Les Américains, dont Sabrina de Sousa, ont été condamnés par contumace.

Omar, dont la justice italienne a pris la défense (la violation de ses droits a été également reconnue par la Cour des droits de l'homme), a lui aussi a été condamné. Mais par contumace, tout comme ses ravisseurs. En 2013, il a été condamné à 6 ans d'emprisonnement pour terrorisme. La condamnation n'a pas été mise en application étant donné qu'il réside en Egypte.


Les conséquences


La CIA n'a pas reconnu son implication dans le kidnapping. Néanmoins, il est proscrit aux agents dont les noms ont été mentionnés par la partie italienne de quitter le sol américain – compte risque d'être arrêté à l'étranger pour être remis aux autorités italiennes.

De Sousa a démissionné de la CIA en 2009, puis elle a séjourné un certain temps en Europe où vivent ses proches. Fin 2015, elle a été arrêtée à l'aéroport de Lisbonne (sur mandat européen), ses documents ont été saisis, puis la justice a ordonné sa remise aux autorités italiennes (l'appel sur cette décision a été récemment rejeté).

En 2009 déjà, De Sousa a déclaré qu'elle se sentait "abandonnée et trahie" par les autorités américaines. Selon elle, l'enlèvement d'Omar – notoirement illégitime – était une erreur. L'ex-employée de la CIA décriait le fait que ses initiateurs n'aient encouru aucune responsabilité.

Elle en a accusé, entre autres, Hillary Clinton. En 2009, quand la sentence a été prononcée, cette dernière était à la tête du Département d'Etat. D'après De Sousa, Clinton devait confirmer son immunité diplomatique, ce qui l'aurait déchargée des poursuites en Italie (plusieurs Américains figurant dans l'affaire ont été disculpés grâce à l'immunité diplomatique, dont Jeffrey Castelli).

En 2012, l'ex-employée de la CIA s'est adressée à Clinton par l'intermédiaire de son avocat. Sa lettre adressée à la future candidate à la présidentielle stipulait que De Sousa était "de facto abandonnée par le gouvernement auquel elle avait loyalement servi". Que conformément aux normes internationales, le gouvernement devait au moins vérifier les déclarations d'Omar concernant la torture dont il aurait fait l'objet. Et que l'affaire de De Sousa pourrait devenir un mauvais exemple pour les fonctionnaires américains à l'étranger. "Quand tu comprends que tu ne bénéficies pas de la défense dont tu as besoin et que tu mérites – c'est un peu effrayant", dit-elle.

L’adresse est restée lettre morte. Le porte-parole de la campagne électorale de Clinton contacté par les journalistes s'est refusé à tout commentaire.

(Agences)

VIDEO. Quand le Petit Journal se moque de la censure des réseaux sociaux en Algérie

VIDEO. «Si Amirouche interdisait aux Kabyles de parler Kabyle»

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Le président du Front National Algérien, prônant l’extrême droite nationaliste, Moussa Touati était l'invité de l'émission "Ki Hna Ki Nnas" de la chaîne privée KBC TV.

VIDEO. «Si Amirouche interdisait aux Kabyles de parler Kabyle»

Moussa Touati a été interrogé par l'un des chroniqueurs sur la question de Ferhat Mehenni et son mouvement prônant «le séparatisme». Il a appuyé ses arguments peu convaincants en niant toute légitimité des revendications identitaires amazighs, en prétendant que le colonel Amirouche interdisait aux maquisards Kabyles de s'exprimer en Kabyle, en présence de ceux qui ne comprennent pas leur langue.

Le récit de Moussa Touati va à l'encontre de la logique, si l'on sait que la majorité des maquisards Kabyles ne maîtrisaient pas l'arabe, vu que l'arabisation de la région via l'école n'a commencé qu'en 1962, ainsi que l'éventuelle langue qui serait utilisée dans ce cas de figure est le français, laissant entendre que la langue du colonisateur serait préférée par Si Amirouche au détriment de sa langue maternelle.


Regarder : VIDÉO. Nordine Aït-Hamouda apporte son soutien à Ferhat Mehenni





PS : Le montage vidéo a été réalisé par une page facebook, dont le contenu est utilisé par Kabylie News pour illustrer l'article loin de la propagande partisane.

Université de Tizi Ouzou : Un agent de sécurité brutalise un étudiant et le menace de représailles à la sortie

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La violence devient vertu, lorsque la raison est blêmie par l'ignorance. C'est dans l'enceinte de l'Université Mouloud Mammeri de Tizi-Ouzou (UMMTO), qu'une ultime atteinte aux principes d'un étudiant est commise. A l'ombre des problèmes que subit cette université ces temps-ci, voilà un obstacle lourd, à son sens large, que rencontrent toutefois ces étudiant(e)s : Les agressions verbales et physiques commises même par des organismes chargés à veiller à la sécurité de l'Université. Cela peut paraître ironique, mais c'est le cas, tant que cette violence de toute nature, ne date pas d'aujourd'hui et n'est pas dépassée. Il y a des ces jours où des universitaires se demandent si c'est bien dans un établissement public, servant à étudier et former l'élite et des cadres d'Etat, dans lequel ils se trouvent.

En effet, Younes A.S, un étudiant en Master art et littérature à l'UMMTO, vient d'être malmené par un agent de sécurité dans l'enceinte de la résidence universitaire de Hesnaoua. Le problème a commencé le jour où le restaurant de ladite résidence eut fermé bien avant l'horaire fixée par la réglementation, par des agents de sécurité. Pis encore, ça représente un fait qui s'est répété depuis des lustres, cachant parfois de douteuses affaires organisées par des parties du personnel. Ensuite, l'étudiant ayant réclamé le respect de la réglementation s'est vu brutalisé par cet agent devant répondre aux fonctions de sécurisation et l'a menacé de représailles en sortant de l'Université, même si "des étudiants sont arrivés après qu'un autre agent vienne nous calmer" nous témoigna Younes.

C'est alors à ce moment que le même étudiant, étant épaulé de témoins, a décidé de déposer un rapport auprès des autorités concernées, signalant le dépassement commit par cet agent, et exiger le rétablissement de l'ordre, et l'application sérieuse de la loi, et ce malgré qu'un autre agent eut essayé de le convaincre de revenir en arrière, et de ne pas déposer ce rapport. Soutenu par le comité de sa résidence, Younes nous a confié que le soutien progresse, ainsi que la protestation, sur fond de dénonciation, se verra cependant confortée par une action sur le terrain. "Nous allons fermer le portail de la résidence Hesnaoua, ce soir" ajoute-t-il, pour réclamer l'écartement de l'agent. Des actions pareilles ont été déjà suivies par l'écartement des gens moteurs de la violence à l'Université et contempteurs du bon fonctionnement des choses, et ce lorsque la raison règne.



Censure des réseaux sociaux/ Feraoun: « Des mesures seront prises à l’encontre des utilisateurs du VPN »

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La ministre de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication (PTIC), Houda-Imane Faraoun, a affirmé que la restriction d’accès aux réseaux sociaux avait pour objectif principal de protéger les candidats au baccalauréat contre les tentatives de déstabilisation. Elle reconnaît également l’existence d’une « machination » qui a visé à généraliser l’usage du VPN parmi les jeunes, tout en affirmant que des mesures seront prises à l’encontre de ces « fraudeurs ».

Censure des réseaux sociaux :« DES MESURES SERONT PRISES À L’ENCONTRE DES UTILISATEURS DU VPN » (Ministre)


Jeune Indépendant


« C’est dans l’objectif de protéger nos candidats au baccalauréat contre les tentatives de déstabilisation via de faux sujets et des rumeurs malveillantes que nous avons procédé, en relation avec l’Autorité de régulation de la poste et des télécommunications, ainsi qu’avec l’ensemble des opérateurs de télécommunication, à la restriction de l’accès aux principaux réseaux sociaux pendant des horaires limités liés à ces examens », a précisé la ministre des PTIC dans un entretien à l’APS.



Houda-Imane Faraoun a tenu à souligner qu’il ne s’agissait pas d’une « coupure d’Internet, mais simplement d’une réduction de trafic pendant la première moitié du premier examen » afin, a-t-elle expliqué, de « déjouer les desseins de certains groupuscules qui activent pour perturber le déroulement des épreuves ». Elle a également fait savoir que le blocage pendant la nuit ne concernait que les réseaux sociaux, affirmant que le gouvernement avait « toute latitude de prendre des mesures conservatoires pour des situations d’urgence, tant que l’intérêt public l’exige ».

Pour ce qui est des désagréments causés par cette mesure aux usagers d’Internet, la ministre a souligné que « le devenir des candidats au baccalauréat nous oblige à faire le sacrifice et à céder un peu de notre bien-être personnel pour contribuer au bon devenir de toute la société ». La ministre n’a toutefois rien dit au sujet des entreprises qui ont subi d’énormes pertes suite à cette coupure, ni concernant une éventuelle compensation, comme cela fut le cas lors de la coupure du câble sous-marin l’an dernier.

La ministre des PTIC s’est par ailleurs penché sur le cas des logiciels VPN (virtuel private network), grâce auxquels des milliers de bacheliers ont contourné le blocage des réseaux sociaux, ce qui a rendu, selon des experts, l’initiative inefficace. Mme Faraoun a reconnu qu’une « machination » a visé à généraliser l’usage du VPN parmi les jeunes, dépassant de loin le stade de simples fraudeurs ordinaires. Dans ce contexte, la ministre a assuré que des mesures sévères seront prises à l’encontre des fraudeurs utilisant ces techniques ainsi qu’à l’encontre des artisans de cette machination.

« Le blocage des VPN, qui sont des réseaux virtuels privés, donc cryptés, se fait moyennant le filtrage de tout le trafic crypté, et nuirait donc sérieusement aux échanges Internet non incriminés, notamment les courriers électroniques », a expliqué la ministre.


Par ailleurs, la ministre a affirmé que l’Algérie, en ayant recours à ce blocage, ne fait pas exception, car il y a eu des restrictions de certains réseaux sociaux dans d’autres pays pour diverses raisons, y compris celles liées au baccalauréat, « Il faut ajouter que les réseaux sociaux ne sont qu’une partie de ce qu’on appelle les applications OTT (Over The Top) qui utilisent les réseaux déployés par les opérateurs de télécommunications à des fins commerciales, et sans contrepartie pour ceux-là, aboutissant à la saturation de la bande passante, en plus de la concurrence sur le segment de la voie pour les propriétaires mêmes des réseaux », a-t-elle précisé, affirmant que divers pays « ont autorisé leurs opérateurs de télécommunications à bloquer temporairement ou définitivement les OTT, voire négocier avec eux les conditions tarifaires du maintien de service ».

BAC2016 : Tizi Ouzou indétrônable pour la 8e fois consécutive !

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La wilaya de Tizi Ouzou donne l'exemple pour la 8e fois consécutive à la tête du classement des wilayas en matière de réussite au BAC à l'instar des autres examens.




Dans un classement rendu public sur le web, Tizi Ouzou détient la première place sur le niveau national avec un taux de réussite de 76.17% suivie par Boumèrdes avec 75.76% et constantine avec 74.69%.



Lire : BEM : Tizi Ouzou reste indétrônable sur le niveau national


Par ailleurs,« Le taux de réussite au baccalauréat 2016 est de 49,79 pour les candidats scolarisés et de 33,7% pour les candidats libres » a révélé, ce matin et en exclusivité, à L’Invité de la rédaction de la chaine 3 de la Radio Algérienne, la ministre de l’Éducation nationale, Nouria Benghabrit.


Lire : La méthode malsaine pour détrôner Tizi Ouzou de la tête du classement

Racisme et anti-kabylisme primaire d'un journaliste algérien

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Ce n'est plus une révélation, la haine anti-Kabyle est assumée publiquement en Algérie, sur les journaux, les chaînes de télévision comme sur les réseaux sociaux, la Kabylie est la source de tous les maux de ce pays.



Entre jalousie et ignorance, baignent des pseudos-intellectuels algériens dont la cible n'est autre qu'une région, dont à force de briller par son non-conformisme et son refus d’aliénation, provoque cette démonstration de faiblesse chez des personnage collants "Docteur", "Rédacteur en Chef", "Professeur" ... ETC. A leur pseudos sur le réseau social de Mark Zuckerberg.



Regarder : VIDEO. Mouloud Mammeri et Matoub Lounes insultés sur le plateau d'El Bilad TV


En effet, le même journaliste ayant sponsorisé avec des articles et des postes haineux, la campagne inquisitoire contre notre confrère journaliste Hafid Nait Slimane, revient pour détracter les résultats de nos jeunes bacheliers de Tizi Ouzou qui raflent la première place dans le classement des wilayas en matière de réussite au BAC pour la 8e fois consécutive.

Ce journaliste dont son profile indique qu'il est rédacteur en chef d'un journal inconnu, pense que Tizi usurpe ce classement en accusant toute une wilaya avec ses cadres de l'éducation nationale, ses parents d'élèves et ses bacheliers de fraude, pour la simple raison d'avoir réussi.

Entre le sport national algérien de détraction de la réussite et l'anti-Kabylisme, les pseudos-intellectuels algériens qui ne cessent de s'attaquer au MAK prônant «le séparatisme», ils le renforcent et l'aident à progresser.


VIDEO. L'incroyable indélicatesse de George W. ‪Bush

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L'ancien président américain George W. Bush, tenant Michelle Obama par la main, s'est soudainement mis à danser lors des funérailles des policiers morts à Dallas.




L'ancien président américain George W. Bush s'est bien ridiculisé pendant les funérailles organisées en commémoration des cinq policiers morts à Dallas le 7 juillet dernier.

En entendant les premiers accords de l'Hymne de Bataille de la République, chant patriotique et ecclésiastique américain, l'homme politique n'a pas pu s'empêcher de chantonner et de danser.


L'ex-chef d'Etat américain tenait notamment d'une main sa femme Laura et de l'autre l'autre l'épouse du président américain en exercice Michelle Obama.


Les deux femmes étaient très embarrassées du comportement inapproprié de M.Bush. Michelle Obama a notamment lancé à son endroit quelques regards de biais et tenté de lui sourire lorsque lui, s'adonnant au plaisir de fredonner sa chansonnette préférée, secouait fortement la première dame de l'Etat par la main.


Tizi-Ouzou: trois morts et une dizaine de blessés

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Trois (3) personnes ont trouvé la mort et une dizaine d'autres ont été blessées dans trois accidents de la route distincts survenus mardi à Tizi-Ouzou, a-t-on appris mercredi auprès de la Protection civile.



L'accident le plus mortel a eu lieu mardi après-midi à Draa Ben Kheda, sur la route menant vers Tirmitine, lorsqu'une collision entre une moto et un véhicule léger a occasionné le décès sur place des deux occupants de la moto, âgés respectivement de 21 et 32 ans, selon la même source.

Deux (2) autres personnes qui étaient à bord du véhicule léger ont été blessées et transférées au Centre hospitalo-universitaire Mohamed Nedir de Tizi-Ouzou, a indiqué à l'APS le chargé de la communication à la Protection civile de Tizi-Ouzou, le Capitaine Bouchakour.

Un deuxième accident similaire est survenu sur la RN 12, à proximité du campus universitaire d’Oued Aissi, lorsqu'une collision entre un véhicule léger et une moto a fait un mort, un quadragénaire conducteur de la moto. Un blessé, un des occupants du véhicule, a été transféré au CHU de Tizi-Ouzou, a indiqué la même source.

Enfin, six (6) personnes ont été blessées lorsque le fourgon au bord duquel elles se trouvaient s'est renversé avant de faire une chute dans un ravin près de Bouzeguène, selon la même source qui signale que les blessés et deux personnes choquées par l'accident ont été évacués vers la structure sanitaire la plus proche.

(APS)
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