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Opération de ratissage en Kabylie : les terroristes de DAECH abattus identifiés

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Les sept terroristes abattus par l'armée nationale lors d'une opération de qualité dans la région de Lakhdaria, wilaya de Bouira, ont été identifiés.



Sept (07) terroristes ont été abattus mercredi après-midi par un détachement de l'Armée nationale populaire (ANP) dans la commune de Lakhdaria (wilaya de Bouira) lors d'une opération de ratissage et de bouclage toujours en cours, a annoncé le ministère de la Défense nationale dans un communiqué.

Il s’agit de R. Ali appelé ‘Abou El Abbas’, de B. Baha-Edinne alias ‘Khetab El-M’sili’, de M. Ammar alias ‘Ami Chouaïb’, de A. Issa alias ‘Saad El-Blidi’, de B. Mohamed alias ‘Bouzenad’, de Z. Lamine alias ‘Abou Aymen’ et de H. Ahcene alias ‘Yasser El-Blidi’, selon un communiqué du ministère de la défense nationale rendu public aujourd'hui.

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Permis de conduire biométrique et retrait de points : tout ce qu'il faut savoir (Ministre)

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Le permis de conduire biométrique va permettre de réduire considérablement le nombre d'accidents de la route de par sa vocation préventive, répressive et pédagogique, a affirmé, jeudi, le directeur des transports terrestres au ministère des Transports, M. Salem Salhi, à la Radio nationale.



Précisant que le facteur humain est à l'origine de 90% des accidents routiers, le même responsable a fait savoir qu'avec ce futur permis de conduire biométrique, qui est aussi un permis à points, il est prévu le retrait des points en fonction de la gravité de l'infraction commise par le conducteur, sachant que ce permis sera doté de 24 points.

Ces infractions ont été classées suivant quatre catégories donnant lieu au retrait de 1 à 6 points.

Quant aux actes classés dans la catégorie des délits, il est prévu le retrait de 10 points à la fois, a-t-il avisé.

En cas de non paiement de l'amende forfaitaire, liée aux contraventions, au bout de 30 jours, deux (2) points supplémentaires seront automatiquement retirés du permis.

Néanmoins, l'automobiliste a la possibilité de récupérer ses points dans le cas où il n'aura commis aucune infraction au cours d'une période s'étalant de 3 à 4 ans depuis la dernière infraction relevée, ou s'il suivra une formation en conduite à ses frais.

Mais lorsque le solde de points est à zéro, le permis de conduire est alors retiré à l'automobiliste, a averti M. Salhi en précisant que dans ce cas, le conducteur sera soumis à l'obligation de refaire sa formation de A à Z et qu'au bout d'une période de six (6) mois, il pourra postuler pour un nouveau permis de conduire.

D'autre part, le représentant du ministère des Transports a assuré que les dispositifs techniques nécessaires au lancement du permis de conduire biométrique avaient déjà été mis en place par les services du ministère de l'Intérieur et des collectivités locales.

Il s'agit des fichiers nationaux des permis de conduire, des cartes grises et des infractions au code de la route, ainsi que la mise sur pied d'un service chargé du suivi de la mise en oeuvre des procédures liées à ce nouveau permis et au retrait des points.

En outre, a-t-il poursuivi, il sera créé un Conseil national chargé de la mise en place d'une politique de prévention routière, appuyé par une structure qui prendra en charge les aspects pratiques de lutte contre les accidents de la circulation.

De nouveaux manuels élaborés par le Centre national des permis de conduire seront aussi mis à la disposition des moniteurs des auto-écoles afin d'améliorer la qualité de leur formation.

Concernant ces moniteurs, ceux détenant uniquement un Certificat d'aptitude professionnelle et pédagogique (CAPP) doivent avoir une expérience de sept (7) ans dans le domaine pour pouvoir continuer à exercer, tandis que ceux ayant un diplôme universitaire en plus du CAPP, l'expérience requise est de trois (3) ans.

Par ailleurs, M. Salhi a annoncé qu'un arrêté ministériel, relatif au brevet professionnel de conducteur de véhicules de transport de personnes et de marchandises, a été finalisé et sera signé, au plus tard, lundi prochain par le ministre des Transports.

Ce texte prévoit l'amélioration de la qualité de la formation des conducteurs qui bénéficieront de formations liées à la réglementation du travail, la sécurité et la prévention des risques ainsi qu'à la réglementation des transports de personnes et de marchandises.

Durant l'année 2015, rappelle-t-on, pas moins de 35.000 accidents de la route ont été recensés avec un total de 4.610 morts et 55.994 blessés, des chiffres plus ou moins similaires à ceux des années précédentes.

Ces accidents coûtent, chaque année, au pays un total de 100 milliards de dinars, selon une étude réalisée récemment par l'université de Batna.

A rappeler que le Conseil du gouvernement a approuvé, mercredi dernier, l'exposé présenté par le ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales, Noureddine Bedoui, sur les projets du permis de conduire et de la carte grise biométriques qui entreront en vigueur à la fin de l'année 2016.

APS

«Visas français accordés aux Kabyles» : Ramtane Lamamra répond à l'ambassadeur de France en Algérie

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Ramtane Lamamra, ministre algériens des Affaires étrangères, a qualifié les déclarations de l'ambassadeur de France en Algérie, lors de son déplacement à Tizi Ouzou comme étant «irresponsables» provenant d'un diplomate qui se doit «respectueux», dans des déclarations rapportées par des médias algériens.

«Visas français accordés aux Kabyles» : Ramtane Lamamra répond à l'ambassadeur de France en Algérie


Selon les mêmes sources, Ramtane Lamamra, originaire d'Amizour, wilaya de Bgayet (Béjaia) en Kabylie, déplore des déclarations «désolantes» d'un diplomate qui devait se «comporter comme un rassembleur», suite aux «révélations» de Bernard Emié, l'Ambassadeur de France en Algérie, lors d'une rencontre avec les autorités locales et des députés  à Tizi Ouzou «60% des visas français accordés aux algériens ont été délivrés pour les habitants des wilayas de Kabylie» et que «50% des étudiants algériens en France viennent aussi de la même région».

Bernard Emié, a ajouté que la coopération universitaire entre la France et l'Algérie se concentre dans une grande partie avec l'université de Mouloud Maameri de Tizi Ouzou.

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VIDEO. Kabylie : Images époustouflantes de TAMDA OUGUELMIM vue du ciel

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Incrusté, en plein cœur du Djurdjura, Tamda Ouguelmim (le lac Ougoulmim) scintille telle une émeraude, au cœur de la montagne, offrant un paysage pittoresque qui invite au repos et à la contemplation.





Tamda Ouguelmim, comme tout "objet" précieux, ne s’offre pas facilement. Pour atteindre ce site idyllique, il faut avoir les jambes solides et l’esprit aventureux, pour braver les pistes escarpées et abruptes de la montagne, qui le préserve jalousement. L’association écologique Tachemlit, l’association scientifique Trait d’union de la commune d’Ait Bouadou, et l’Association des donneurs de sang de la wilaya de Tizi-Ouzou, ont effectué cette entreprise en compagnie d’un petit nombre d’écologistes et d’amoureux de la nature et de la randonnée.

Pour rejoindre ce site, situé à 1.700 mètres d’altitude, rendez-vous a été donné pour le début de l’escalade au niveau du quartier Ighil Bouwrmi, du chef lieu de la commune d’Ait Bouadou, située en contrebas du Djurdjura. La procession est encadrée par deux randonneurs chevronnés, qui ont fait plusieurs fois l’ascension du Djurdjura. Quittant Ighil Bouwrmi, un village qui tire son nom d’une plante toxique qui pousse dans la région, le groupe emprunte ’’la Route des mulets’’, un chemin tracé par les mulets qui l’empruntent depuis la nuit des temps, selon Bachir Belkacem, membre de l’association Tachemlit et vice-président de la ligue d’Athlétisme de Tizi-Ouzou.

L’ascension s’annonce très rude et particulièrement éprouvante pour les non initiés. Il faut marcher environ 1 heure à travers un chemin quasi inaccessible, qui ne cesse de monter. Subitement au milieu de ce paysage hostile apparaît un cimetière, tel un rappel aux imprudents, des dangers de la montagne. Trois tombes sont visibles, mais on ignore combien de personnes sont enterrées. Selon les habitants de la région, lors de l’épidémie du typhus qui avait frappé la Kabylie dans les années 30, une famille des Ait Bouadou qui avait contracté cette maladie contagieuse avait été mise en quarantaine dans la montagne.

Les personnes décédées y avaient été enterrées sur place afin d’éviter toute contamination des autres habitants du village. Selon les mêmes témoignages des martyrs de la révolte de 1871 contre le colonialisme français sont également enterrés au niveau de ce cimetière. La route continue de monter vers le lieudit Vouqreche, une sorte de canyon, qui a la particularité de renvoyer un écho parfait. A partir de cet endroit, la montée devient moins pénible grâce à la présence de dépressions qui permettent aux randonneurs de reprendre leur souffle.

A 1.373 m d’altitude, la source de Sidi Amar, se trouvant à mi-chemin du lac Ougoulmim, est une bénédiction de la nature. Le groupe des randonneurs décide de s’y reposer pour se rafraîchir et se désaltérer, avant de reprendre l’ascension. Selon les mesures faites par un spéléologue, l’eau de cette source qui jaillit entre les rochers, est la plus froide de la région avec une température constante de 7,3°c. Vers 10h30, le groupe reprend la route vers le Tamda Ougoulmim, suivant un cours d’eau qui annonce que le lac n’est pas loin. Le bruit de l’eau qui coule à travers un oued, qui se déroule tel un long serpent, se fait de plus en plus fort et au loin apparaît une petite cascade. C’est Tichouret El Hammam, un autre endroit féerique du Djurdjura.

Tamda Ouguelmim, royaume de la rainette du Djurdjura


En dépassant cet endroit, et après avoir grimpé deux autres piémonts, le lac Ougoulmim, classé zone humide, se dévoile dans toute sa splendeur. L’endroit, d’une forme presque circulaire, est d’une superficie stable de 3 ha, selon un cadre du Parc national du Djurdjura (PND). Une partie de ce site est couverte d’eau, qui reflète la verdure des alentours, dans laquelle se reflète le pic qui surplombe le lac. L’autre partie est recouverte de végétation. En hiver cette partie est recouverte de neige tandis que l’eau du lac est gelée, précise le cadre du PND. En plein milieu du site et dans la partie sèche se dresse un arbre. Il s’agit d’un cèdre.

Les branches de cet arbre de haute altitude ont été brisées par la neige et ne subsiste que le tronc. " C’est un phénomène naturel", indique le cadre du Parc, précisant que le cèdre repousse toujours après ce type de dégâts. Dévalant la dernière colline, les visiteurs sont accueillis par de petites grenouilles vertes, des rainettes du Djurdjura, qui pullulent au niveau de ce site qui leur offre l’herbe et l’eau dont elles ont besoin.

Leurs croassements se marient harmonieusement avec les chants des oiseaux et rapaces qui planent sur le lac ainsi qu’avec le meuglement des vaches, quasiment à l’état sauvage, qui paissent paisiblement en ce lieu et qui se débattent dans l’eau, passant de longs moments à se rafraîchir et à fuir les piqûres des taons et autres mouches. Les randonneurs ont pris le soin de ramasser les rares bouteilles et sachets en plastique laissés par des visiteurs peu soucieux de la préservation de ce site.

L’absence de routes aménagées vers ce lac a permis de le préserver de toute dégradation qu’aurait causée une présence humaine qui aurait, par ailleurs, perturbé l’équilibre écologique de ce site enchanteur.








Pourquoi la nouvelle carte d'identité biométrique n'est pas transcrite en Tamazight ?

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A l'aube du semblant de l'avancée qu'a prise la langue Tamazight en Algérie en étant officialisée dans la constitution adoptée au Parlement il y a quelques semaines de cela, la volonté politique, qui ne dit pas son nom, affichée par le régime algérien ne révèle pas son intention de reconnaître cette langue millénaire néanmoins à travers ses actions. La nouvelle carte d'identité biométrique en dit long sur le laxisme et le trompe-l’œil des décideurs.

Bien que les candidats au Brevet d'Enseignement Moyen (BEM) et au Baccalauréat (BAC) de l'édition de l'an 2016 sont, pour le moins, épargnés de la bureaucratie administrative, et ont bénéficié des prémices de la Carte d'Identité Nationale biométrique, avant les autres citoyens, pour se présenter le jour de l'examen final avec, sur un autre registre, la volonté politique du régime, quant à elle, n'affiche pas son excitation scandée au début de l'année concernant l'officialisation de Tamazight. Certes, on ne pouvait espérer outre que des méandres dans les discours des décideurs.

Sur une image circulant sur les réseaux sociaux d'une C.N.I biométrique, l'on retrouve les coordonnées de ce jeune citoyen transcrites en langue arabe, mais jamais en Tamazight. Pourquoi encore tant d'effroi sur fond sectaire sur tout ce qui symbolise la culture amazighe ?




«60% des visas français délivrés aux Kabyles» : l'ambassade de France réplique à Remtane Lamamra

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L'affaire des présumés propos de l'ambassade de France en Algérie, rapportés par la presse électronique algérienne, lors de son déplacement à Tizi Ouzou, prend des dimensions inattendues après avoir été commentée par le chef e fil de la diplomatie algérienne, Remtane Lamamra.



L'Ambassade de France en Algérie via son service de presse dément «les rumeurs» rapportés par la presse « Il n’a jamais tenu ses propos [...] Ce sont des rumeurs, mais c’est totalement faux, et nous avons les enregistrements qui en attestent », explique l’attachée de presse, mettant le ministre algérien des affaires étrangères dos au mûr, lui qui s'est précipité à commenté une information non vérifiée.

Pour rappel, Le ministre d'Etat, ministre des Affaires étrangères et de la Coopération internationale, Ramtane Lamamra, a qualifié jeudi à Alger, les propos de l'ambassadeur de France en Algérie, au sujet de la délivrance des visas aux Algériens de "malheureux".

"Si des propos, qui sont tenus dans des circonstances que je ne connais pas, sont de nature à soulever des questions de ce genre, à susciter des commentaires, des interrogations, des perceptions différentes et antagonistes, cela signifie que les propos en question ont été certainement malheureux", a indiqué M. Lamamra dans une déclaration à la presse au terme de l'audience accordée au Commissaire européen chargé de la Politique européenne de voisinage, Johannes Hahn.

Pour le chef de la diplomatie algérienne, de tels propos représentent "plus une moins-value qu'une plus-value, alors même que les exigences de notre métier de diplomate est de favoriser, en toutes circonstances, les propos qui rassemblent et non les propos qui divisent".

En diplomatie "qui est notre métier, on ne doit pas faire de discrimination entre les citoyens du pays auprès duquel on est accrédité", a précisé M. Lamamra, faisant observer qu'"encore une fois, le rôle principal du diplomate, accrédité auprès du chef de l'Etat, est d'ouvrir des ponts, promouvoir les échanges et les relations d'amitié et de coopération".

Selon des propos rapportés par des médias algériens, l'ambassadeur de France en Algérie, Bernard Emié, avait déclaré mardi à Tizi Ouzou que "60% des visas délivrés par son ambassade, bénéficient aux habitants de la Kabylie et que 50% des étudiants algériens en France sont des Kabyles".

A une question sur les déclarations de l'ancien président français, Nicolas Sarkozy sur l'Algérie qui représenterait, selon ses dires, un "danger pour le sud de l'Europe suite à l'effondrement des prix du pétrole", M. Lamamra a estimé que "l'intérêt manifesté à travers malheureusement des clichés et des descriptions caricaturales par la personnalité que vous avez mentionné à l'égard de l'Algérie est sujet à interrogation".

"Comme ce n'est pas la première fois que cette personnalité fait ce genre de commentaire à l'endroit de l'Algérie, on peut véritablement considérer qu'il s'agit d'un récidiviste", a-t-il dit, estimant que "les récidivistes ne s'améliorent pas en se répétant".

"Je ne pense pas que l'opinion publique algérienne devrait accorder de l'importance à ce genre de propos malvenus", a encore souligné M. Lamamra.

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Le Mot Kabyle dérange à ce point en Algérie ?

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L'ambassade de France en Algérie avait déjà démenti via la presse, les propos rapportés par des médias algériens sur le pourcentage dont la Kabylie bénéficie de l'ensemble des visas français délivrés aux algériens.


Le Mot Kabyle dérange à ce point en Algérie ?

Des propos qui ont suscités une réaction rapide du ministre d'Etat, ministre des Affaires étrangères et de la Coopération internationale, Ramtane Lamamra, qui a qualifié jeudi à Alger, les propos de l'ambassadeur de France en Algérie, au sujet de la délivrance des visas aux Algériens de "malheureux".

Mais pourquoi cette sensibilité envers le mot «Kabyle», affichée par les autorités algériennes, qui le voit désormais, du fait de le prononcer, une atteinte à l'unité nationale, une façon de diviser et l’omettre, une façon de rassembler !

C'est une autre démonstration de la fuite en avant du pouvoir en refusant la réalité sociologique du pays qu'il n'arrive pas, même à 54 ans d'indépendance, à comprendre, comme s'il était attaché plus que jamais à l’archaïque pensé de fusion pour mieux consolider l'unité nationale au lieu de chercher à affronter nos différences socio-culturelles et construire une union dans la diversité, une Algérie plurielle qui se reconnait dans le miroir identitaire, pour construire une vraie nation.

Nous n'avons pas les statistiques pour juger ce pourcentage annoncé par la presse algérienne, mais si c'était vrai, ça aurait mieux passé de dire : Tizi, Bouira, Béjaia, BBA, Boumerdes, Sétif et Jijel ? Si c'est que vous voulez, apprenez ce langage administratif, Boumedieniste aux diplomates.

Par Khaled.B

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Ennahar promet de réagir avec "du lourd" : Anis Rahmani avale mal la "punition" d'Issad Rebrab

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Le torchon brûle sérieusement entre les parties en conflit. Une campagne de dénigrement va dans tous les sens à l'encontre du richissime homme d'affaires, Issad Rebrab, a été lancée depuis son annonce de vouloir racheter le groupe médiatique El Khabar, bloqué jusque-là par le gouvernement algérien pour des motifs qui peinent à tenir le coup pour le moment.

En effet, ce serait la chaîne de télévision Ennahar TV appartenant à Anis Rahmani, et qui a des propensions politiques qui se penchent vers le clan présidentiel, qui est à l'origine de cette campagne de dénigrement. Pour cause : Issad Rebrab annule tous les contrats de publicité de son groupe industriel avec toutes ses filiales, le reliant avec la chaîne de télévision privée Ennahar Tv, après que ce groupe médiatique eut diffamé l'homme d'affaire kabyle, en relayant l'information d'un journal roumain qui accusait M.Rebrab d'avoir acquiert une société offshore dans les scandale de Panama Papers.

De ce fait, Anis Rahmani, qui semble avoir mal accepté la "punition" qu'a infligé le patron de Cevital pour sa chaîne de télévision, annonce somme toute avec une excitation qui ne dit pas son nom de publier un "dossier" sur l'origine de l'enrichissement du plus important homme d'affaires africain, notamment, afin de contrecarrer les nombreux soutiens que reçoit ce dernier dans la dernière affaire opposant le groupe médiatique El Khabar, qu'il a essayé d'acheter, au ministre de la communication Hamid Grine. Certains observateurs présument que cet acharnement n'est guère une coïncidence. Cependant, faudrait-il s'attendre à du nouveau sur le "dossier" que promet de publier "en exclusivité" cette chaîne de télévision, ou la montagne accouchera une énième fois d'une souri ?
 Affaire à suivre.



Live. Ennahar TV accuse gravement Issad Rebrab et Said Sadi

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Comme ce fut annoncé précédemment, Ennahar TV appartenant à Anis Rahmani, a mal digéré le fait que le richissime homme d'affaires Issad Rebrab annule les publicités qu'il a procuré pour cette chaîne de télévision dont les sensibilités politiques se penchent vers le régime algérien.

Dans un journal télévisé, intitulé " Rebrab... l'autre visage", la chaîne de télévision Ennahar TV a émit des déclarations d'une gravité inégalable contre le patron de Cevital. En un premier temps, cette chaîne de télévision accuse Issad Rebrab, alors qu'il été "militant du Rassemblement pour la Culture et la Démocratie" de "financer les groupes terroristes". Plus grave encore, en invitant l'avocat que le juge avait expulsé lors du 3eme report du procès opposant le groupe El Khabar au ministère de la communication, cet avocat illégitime, jusque-là, accuse encore Issad Rebrab d'être "un élément du DRS" qui a bénéficié des passes-droits de leur part pour s'enrichir.

La présumée chaîne médiatique est encore irritée du fait que Rebrab n'est pas consentant avec le régime algérien controversée par l'opinion publique et discrédité par les nombreuses affaires de corruption qui se succèdent du jour au jour. En effet, le fait que Rebrab eut subventionné le mouvement des archs, lors du printemps noir de 2001, pendant le déplacement des manifestants à Alger pour marcher le 14 juin 2001, n'a vraisemblablement pas plu à cette chaîne controversée.

Ce n'est pas que cela, puisque la chaîne de propagande de l'entourage du président continue encore à verser sa haine sur tout ce qui symbolise l'opposition. La chaine qui a blanchit Chakib Khelil et Abdeslam Bouchouareb, étant inculpés tout deux dans des scandales de corruptions, a, toutefois, accusé Issad Rebrab d'avoir "comploté avec l'ex-président du RCD, Said Sadi, en 2011 pour faire sortir les algériens dans la rue pour manifester contre le régime". Rappelons, toutefois, que ce sont ces même manifestations qui ont permit aux chaines de télévisions, comme Ennahar TV, de voir le jour, puisque le régime avait cédé à la pression de la rue, en lançant, une autre fois de la poudre aux yeux en ouvrant le champ de l'audiovisuel au privé.

Ce qui est étrange dans cela, c'est qu'Ennahar TV se vante d'avoir publié en exclusivité ce qu'ils ont nommé d'être un "scandale", concernant l'enrichissement du même homme d'affaires, mais oublie toutefois qu'en remontant à une dizaine de jours de cela, le scandale de Panama Papers a poussé la population à l'indignation, en découvrant qu'une panoplie de personnalités appartenant toutes au régime algérien ont, somme toute, bénéficié des sociétés offshores d'une manière illégale dans des paradis fiscaux.

Une chose à conclure est sure : Hormis l'éthique et la déontologie de la profession du journalisme qui sont en train d'être enfreinte, Ennahar TV pourra s'assurer qu'elle ne fait que perpétuer l’entorse du métier en invitant un avocat qui n'est pas en droit d'exercer jusque-là ses fonctions pour des antécédents avec la justice elle-même, et en se fondant sur des arguments obsolètes.



VIDEO. Mais Mr Anis Rahmani, comment vous avez accepté l'argent sale de Rebrab ?

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Les accusations et «les révélations» d'Ennahar TV sur «la face cachée» du PDG du plus grand groupe et acteur économique privé, Cevital, agitent la rue algérienne et laisse les algériens perplexes devant «le soutien au terrorisme» et «la corruption» d'Issad Rebrab.



La chaîne d'Anis Rahmani a promis de réagir avec du lourd à la décision d'Issad Rebrab, résiliant tous les contrats publicitaires de Cevital avec Ennahar et c'est ce qu'il a fait, en accusant l'homme de financer le terrorisme, de provoquer la révolte populaire de 2011, de monopole, de séparatisme et de corruption.



Mais si on suppose que les accusations d'Ennahar TV contre Issad Rebrab sont fondées, comment peut-on expliquer que cette même chaîne faisait de la publicité à un homme d'affaire qui soutenait le terrorisme ? Comment peut, Anis Rahmani, expliquer aux algériens, qu'il acceptait «l'argent sale» du patron de Cevital ? Comment peut t-il expliquer omettre  de telles informations pour garder les contrats publicitaires ?.

Issad Rebrab a les moyens pour se défendre, mais le peuple algérien a le droit aussi, d'exiger de respecter son intelligence.




Said Saadi :« (Rebrab) est un Kabyle qui n’est pas frappé par l’obsession du maquillage de ses origines qui habitent les KDS ( Kabyles de service )»

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L'ancien président du Rassemblement pour la Culture et la Démocratie (RCD), Said Saadi, s'est exprimé sur l'action judiciaire engagée par le ministère de la communication pour «vérifier sir le rachat d'El Khabar par une filiale de Cevital, était légale», dans un long message publié sur sa page facebook.

Said Saadi :« (Rebrab) est un Kabyle qui n’est pas frappé par l’obsession du maquillage de ses origines qui habitent les KDS ( Kabyles de service )»


Said Saadi met en exergue la face politique de l'affaire qu'il juge «illégitime» visant  faire barrage à la jonction entre un «média arabophone singulier» et «un groupe industriel productif».

Pour l'ex-président du RCD, «l’obstruction qui vise, aujourd’hui, à faire capoter le rachat de la majorité des actions du groupe El Khabar n’est, chacun le sait, pas légale ; elle n’est pas légitime : nombre de sous-traitants du pouvoir disposent de titres de presse dont plusieurs, eux aussi de droit étranger, évoluent en dehors des lois en vigueur sans même s’acquitter de leurs obligations fiscales. Personne n’a pensé à eux. Au contraire, ils sont l’objet de sollicitudes et de subsides indirectes qui sont une spoliation du trésor public.» écrit-il.

Said Saadi, revient et accuse le pouvoir algérien d'antikabylisme «Si on ajoute à cette obscure cabale le fait que le postulant à la recapitalisation du groupe El Khabar est un Kabyle qui n’est pas frappé par l’obsession du maquillage de ses origines qui habitent les KDS ( Kabyles de service ), on mesure mieux la portée de l’affaire en cours. D’où, d’ailleurs, le zèle manifesté par ces derniers pour exécuter une autre « sale besogne », eux qui sont toujours prompts à prouver qu’ils savent se démarquer de leurs « épineuses racines » pour, croient-ils, mériter leur intégration mafieuse par le reniement.» rajoute t-il.

Intégralité du Message de Said Saadi :


AFFAIRE EL KHABAR : L’ARBRE QUI DEVOILE LA JUNGLE

L’affaire dite désormais El Khabar-Cevital vient d’être encore renvoyée au 25 mai au motif que les avocats du ministère de l’information - qui a introduit une action en référé pour invalider une opération commerciale concernant deux acteurs privés - doivent étudier le mémoire en réplique de la défense des deux contractants. Il n’est pas indifférent de relever qu’à ce jour, l’on n’a pas vu le même ministère réagir à des transactions engagées sur le champ médiatique dans des conditions autrement plus contestables en terme de droit et condamnables au regard de la morale publique la plus élémentaire.
Ces audiences à répétition ne manquent pas d’indisposer et…d’inquiéter. Non que les tergiversations de nos tribunaux soient une nouveauté, la soumission de l’institution judiciaire aux injonctions occultes étant une de ses marques de fabrique les plus constantes et les plus avérées. En l’occurrence, le malaise vient de ce que le pouvoir politique, ou ceux qui se sont mis en situation de se saisir de ses prérogatives le temps de cette manipulation, laisse à penser que la décision, motivée par des sismicités politiques peu avouables, a été prise dans une impulsivité qui fleure l’intrigue et la rapacité caractérisant les cours de fin de règne. Cet amateurisme est symptomatique d’une improvisation stratégique dans un contexte où tout peut advenir. C’est pour cela que la manigance préoccupe autant par ses apparences burlesques que ce dont elle est signifiante.
En principe, un ministre qui actionne la justice dans un dossier de presse, sujet sensible s’il en est , est supposé avoir suffisamment ajusté son coup pour ne pas éprouver le besoin de se faire octroyer un autre délai en vue de vérifier si son initiative est conforme à la loi ; la riposte étant habituellement un attribut de la défense qui, elle, peut être surprise - et en la circonstance , c’est le cas - par la rapidité, l’illégalité et la brutalité de l’action gouvernementale.
Dans le cas d’espèce, c’est une fois le coup de feu parti que les tireurs semblent chercher leur cible : le groupe El Khabar, coupable d’avoir tenté, vaille que vaille, de maintenir une certaine éthique dans un environnement informatif livré au populisme, les segments de la presse privée restés indociles et qui s’entêtent, malgré moult entraves, à cultiver une certaine indépendance d’esprit dans un pays promis à la congélation politique, le groupe Cevital dont la réussite défie les chausse-trappes et les abus d’autorité, soulignant, par ricochet, l’incurie de la gestion des officiels, son patron auquel on prête des ambitions politiques, étant entendu que le sujet est une chasse gardée ?..
Le dossier ayant résonné dans l’opinion nationale et internationale avec fracas dépasse maintenant ses auteurs, d’où les hésitations politiciennes et les bricolages judiciaires qui voient les donneurs d’ordre s’en remettre aux prolongations à rallonges comme le ferait un arbitre douteux qui appréhende d’affronter le public une fois sifflée la fin d’une partie dont il a violé les règles et faussé les résultats.
Selon des indiscrétions du sérail, il s’avère, en effet, que les affidés qui sont montés les premiers au créneau sont ceux là même qui, ayant renoué avec les nouveaux maitres des services spéciaux, ne désespèrent toujours pas de maintenir le pays dans les obsolescences doctrinales et les archaïsmes institutionnels, avec leurs scories économiques et financières ainsi que les avantages indus qui les accompagnent ; système béni où l’on pérore à longueur de mois, d’années et de décennies sur les vertus d’un ordre politique qui offre le confort que procurent les oukases de la décision solitaire sans avoir à répondre des ses turpitudes. On se congratule dans un entre soi sectaire et misérable et on se rassure comme on peut : quitte à se discréditer un peu plus et à prendre le risque de se désigner comme un gibier de potence de choix à l’heure du changement. On assure redouter « la concentration médiatique » alors qu’on a été acteur et bénéficiaire patenté de la privatisation clanique des titres publics, on s’adosse à un syndicat qui vaut plus par les affaires glauques qui s’y traitent que par le nombre de ses adhérents, on glorifie un patronat bazarisé qui revendique ouvertement le monopole de la captation des marchés publics par le gré à gré et on absout des ministres qui sont dans le sas de la justice internationale. Enfin, et c’est là la manifestation d’une gouaille rédhibitoire, on clame son indignation devant les perturbations que fait planer « un groupuscule local sur la Kabylie » tout en se prosternant devant une secte qui , elle , a mis en coupe réglée l’Algérie entière.
Voilà donc les gnomes qui se posent en modèles nationaux et s’autoproclament indétrônables décideurs d’Etat en droit de juger du sort du meilleur média arabophone et compétents pour évaluer les activités du premier entrepreneur privé, second contribuable algérien après Sonatrach. L’inversion des valeurs tient lieu de norme politique officielle. On atteint les frontières critiques de la décadence. L’Histoire a souvent témoigné que tutoyer ce genre de tangente n’a jamais été de bonne augure pour l’avenir immédiat des peuples. La tempête arrive à grands pas, elle sera rude et gare aux tangages.
Affolés par les abysses d’une crise qu’ils ont créée et longtemps niée, ces insubmersibles de la pensée unique, addicts de la langue de bois et carburant par le détournement de la rente, s’emploient à étouffer un groupe de presse arabophone singulier qui, au prix d’efforts quotidiennement renouvelés, a pu se démarquer des lignes éditoriales débilitantes adoptées, hélas avec morgue, par la plus grande partie de ses confrères de langue. Vigilants, les rentiers redoutaient, à raison, une synergie entre des organes d’information autonomes et crédibles de large audience et la performance économique ; deux hantises des apparatchiks qui entendent accélérer le naufrage des couches populaires, majoritaires et inaccessibles aux medias francophones, par la désinformation. Ceci expliquant cela, ils se montrent également résolus à voiler le succès et les avancées que génère une économie de production ; pratique culturelle vécue comme une condamnation sans appel de politiques d’Etat qui ont invariablement abouti, depuis l’indépendance, à des résultats inversement proportionnels aux moyens mobilisés. Insupportable et humiliante comparaison .
Les innombrables abus administratifs opposés à l’extension du groupe Cevital avaient vocation à freiner la dynamique d’un opérateur qui refuse les dictats de la clientélisation dans le management de la production de richesse. Tous ces dépassements ne semblent pas avoir porté leurs fruits puisqu’en dépit de tout, ce groupe se maintient et, mieux, il se développe en international. L’obstruction qui vise, aujourd’hui, à faire capoter le rachat de la majorité des actions du groupe El Khabar n’est, chacun le sait, pas légale ; elle n’est pas légitime : nombre de sous-traitants du pouvoir disposent de titres de presse dont plusieurs, eux aussi de droit étranger, évoluent en dehors des lois en vigueur sans même s’acquitter de leurs obligations fiscales. Personne n’a pensé à eux. Au contraire, ils sont l’objet de sollicitudes et de subsides indirectes qui sont une spoliation du trésor public.
Si on ajoute à cette obscure cabale le fait que le postulant à la recapitalisation du groupe El Khabar est un Kabyle qui n’est pas frappé par l’obsession du maquillage de ses origines qui habitent les KDS ( Kabyles de service ), on mesure mieux la portée de l’affaire en cours. D’où, d’ailleurs, le zèle manifesté par ces derniers pour exécuter une autre « sale besogne », eux qui sont toujours prompts à prouver qu’ils savent se démarquer de leurs « épineuses racines » pour, croient-ils, mériter leur intégration mafieuse par le reniement.
On le voit, les enjeux de ce conflit dépassent largement les arguties judiciaires du ministère de l’information dont, du reste, les experts ont tôt fait de démontrer la vacuité et l’insanité.
Moment de grande vérité algérienne, le feuilleton El Khabar décrit en un seul et unique scenario les séquences et les mécanismes d’une déchéance qui a conduit le pays à une tragique impasse. Et dans un conjoncture propice à tous les dérapages, ce funeste message doit être appréhendé avec la plus grande gravité.
Télécommandée, l’attaque du ministre de la communication, relayée par son collègue de la justice, est clairement destinée à un double objectif :
1) faire diversion sur l’agonie d’un pouvoir sans visage ni vision ;
2) priver l’Algérien d’une communication saine, dans un période de grande incertitude, en soustrayant à son regard des secteurs essentiels à l’harmonie et la stabilité de la vie nationale, domaines proscrits dès lors que les parrains ne parviennent pas à y imposer leur emprise. Redoutables pédagogies pour les despotismes, en politique comme en économie, les alternatives transparentes et démocratiques s’opposent, frontalement et par essence, à la prédation et au népotisme. Elles doivent être impérativement bloquées ou, à défaut, tenues loin de l’appréciation de l’opinion car elles sont incompatibles avec l’existence d’un système, d’autant plus primaire et maladroit qu’il se sait atteint par une irrémédiable sénescence et dépourvu de son seul vrai capital : le prix du baril.
Cette réaction en dit long sur les intentions et les priorités des autocrates quant au destin qu’ils réservent au pays à court et moyen terme.
En cela, le dossier El Khabar est d’abord un vrai problème politique. En tant que tel et, au delà des protagonistes, il concerne et implique le citoyen. C’est, d’abord et avant tout, à ce titre qu’est émise cette alerte

«Visas français accordés aux Kabyles» : le FFS dément et accuse l'ambassadeur de France

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Les propos attribués à l'ambassadeur de France en Algérie par la presse algérienne et commentés par le ministre des affaires étrangères, Remtane Lamamra, les qualifiant de malheureux et irresponsables, ont été démentis par l'ambassade de France dans un communiqué rendu public hier.

«Visas français accordés aux Kabyles» : Ce qu'a dit réellement l'ambassadeur de France


En revanche, le chef du groupe parlementaire du Front des Forces Socialistes (FFS), Chafaa Bouaiche, confirme de son coté en citant des élus locaux de son partis, présents lors de la rencontre organisée par le chef de la représentation diplomatique de France en Algérie.

Selon le député élu de la wilaya de Béjaia, Chafaa Bouaiche, «L'ambassadeur de France en Algérie, Bernard Émié, a bel et bien déclaré, lors d'une cérémonie organisée, à l'occasion d'une visite qu'il a effectuée dans la wilaya de Tizi-Ouzou, que "60% des visas français accordés aux Algériens ont été délivrés pour les habitants des wilayas de Tizi-ouzou et Béjaia et 50 pc des visas d'études sont également délivrés aux demandeurs de ces deux wilayas" a t-il écrit sur sa page facebook .

Le chef du groupe parlementaire du FFS, va plus loin et accuse l'ambassadeur de France de vouloir alimenter le séparatisme en Algérie «On s'interroge pourquoi de tels propos en ce moment précis ? Pourquoi la France n'accorde pas de visas aux Algériens d'autres régions ? Ces propos ne rentrent pas dans la stratégie de la séparation de la Kabylie de l'Algérie ? Juste des interrogations.» rajoute t-il.

+D'INFOS

Les algériens établis à l’étranger pourraient ouvrir des comptes en devises en Algérie

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Le ministre des finances multiplie les initiatives pour capter l’argent de notre communauté établie à l’étranger, en ces temps de raréfaction des devises. C’est dans ce cadre qu’il a annoncé jeudi à Oran une nouvelle mesure, à savoir la possibilité pour les membres de la communauté algérienne établie à l’étranger d’ouvrir des comptes bancaires en devises.

Par Algérie1


Le démarrage de l’opération est prévu pour le mois de juin, c’est-à-dire avec le début du retour des émigrés au pays pour les vacances. « Nous comptons lancer une nouvelle initiative à partir du mois de juin prochain permettant aux membres de la communauté algérienne non-résidents dans leur pays d’origine d’ouvrir des comptes bancaires en devises », a déclaré Abderrahmane Benkhalfa.
Selon lui, cette mesure permet aux algériens résidents à l’étranger de sécuriser leur argent dans leur pays, surtout que les mutations que connaissent différentes régions du monde peuvent contraindre à un retour au pays d’origine pour y résider, a-t-il expliqué. Cette opération s’inscrit dans le cadre du développement de l’activité bancaire algérienne qui vise à multiplier le nombre des comptes courants de 7 à 17 millions, a ajouté le ministre.
Le ministre a profité pour mettre en garde les citoyens algériens qui seraient tentés de mettre leur argent dans les banques étrangères en raison des difficultés de récupération de cet argent en cas de changement de lois (suspension des visas et autres contraintes). Dans une allusion à l’opération de bancarisation de l’argent de l’informel, Benkhalfa appelé à œuvrer suivant une approche d’innovation pour inciter les détenteurs de « fonds endormis » à les déposer dans les banques.
Il a insisté, dans ce sens, sur le rôle à jouer par les agents des guichets de banques pour sensibiliser les citoyens et gagner leur confiance pour réaliser cet objectif, ainsi que sur l’activation de l’esprit d’initiative chez les gestionnaires des agences bancaires.

Air Algérie, ENTMV et article 51


Il est incontestable que l’annonce du ministre va dans le bons sens. Sauf que les algériens nourrissent une grande méfiance à l’égard de l’administration en général et des banques en particulier. Cette confiance ne peut se décréter par la magie des promesses du ministre. C’est une culture, c’est des mécanismes à mettre en place progressivement et c’est d’autant plus difficile pour le banquier algérien qui n’a pas l’habitude d’être en position de celui qui sollicite le citoyen, l’Etat n’ayant jamais eu besoin de faire appel à l’argent des algériens.
Cette réticence, nous la constatons d’ailleurs à travers l’opération de bancarisation de l’argent de l’informel et de l’emprunt obligataire dont les résultats sont pour le moins mitigés.
Dès lors on se demande si nos compatriotes résidents à l’étranger, déjà remontés contre les compagnies Air Algérie et ENTMV, qui profitent à chaque occasion pour les arnaquer, puissent être au rendez-vous de cette opération, d’autant qu’ils restent toujours en colère et très mécontents à la suite du mépris affiché à leur encontre par ceux qui imposé l’article scélérat

Le village IMALOUCENE organise la quatrième édition de la fête du lait.

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IMALOUCENE est un de ces villages qu’il fait bon de visiter, à vocation entièrement agricole, Il est situé aux plaines du flan sud des Ath-Jennad, administrativement rattaché à la commune de Timizart, il tire son essor d’une intense activité d’élevage essentiellement bovine et production laitière des plus prospères d’Algérie.

Le village IMALOUCENE organise la quatrième édition de la fête du lait.


Classé en 2008 premier producteur de lait en Algérie, IMALOUCENE constitue un vivier économique extraordinaire. L’activité de collecte de lait connait un boom sans précédent fournissant ainsi les grandes marques algériennes de produits laitiers renforçant une dynamique de création d’emploi dans ce secteur promoteur.

Pour se 14 mai le comité de village en collaboration avec l’APW de TIZI OUZOU et la commune de TIMIZART ont organisé la quatrième édition de la fête du lait en rendant hommage à monsieur « OUGUEMAT MOHAMMED dit MAAMAR » ancien agricole de cette région.


En effet avec un programme aussi riche et des invitations lancé pour la société civile ainsi les différentes autorités de la wilaya de TIZI OUZOU , on constate de l’encouragement pour les agriculteurs avec des remises de prix pour les meilleurs éleveurs, ainsi des expositions et des dégustations de lait et fromage et autres produits laitier produit par les agriculteurs et transformateurs de cette région.


En dernier, les agriculteurs présents n’ont pas cessé de demander une politique d’encouragement de la part de l’état, ainsi d'inviter les jeunes de s’investir dans ce domaine qu’ils qualifient de noble.





















Le «Holi Festival de Couleurs» de retour cette année à Béjaia

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Après la réussite de la première édition organisée l'année passée à Saket dans la wilaya de Béjaia, les initiateurs du festival veulent agréablement récidiver en donnant rendez-vous aux "Holistes" le 13 Août prochain.

Les organisateurs, Moov Com  Event´s et le Holi Collectif, annoncent les couleurs «Le HOLI FESTIVAL OF COLORS ALGERIA est un évènement socio-culturel qui a été inspiré de la diversité et de la pluralité que nous offre notre pays. Chaque couleur que nous utilisons est spécifique à l’une de nos richesses, en voici les significations :

- Le BLEU est là pour représenter l'ouverture de l'Algérie à la mer Méditerranée
- Le VERT, lui, c'est les montagnes, la verdure et les prairies de notre pays
- Le JAUNE et l'ORANGE sont là pour nous rappeler les merveilleux paysages du Sud Algérien, les étendues de sable du désert du Sahara.
- Mais avant toute chose, nous aimons notre pays, l'amour que nous lui portons est symbolisé par la couleur ROUGE.»

Le «Holi Festival de Couleurs» de retour cette année à Béjaia


Officiel. A l'entrée et à la sortie du pays : Obligation de déclaration de devises à partir de 1000 Euros

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Les voyageurs résidents et non-résidents sont désormais tenus de déclarer, aux services douaniers à l'entrée ou à la sortie du pays, les devises en leur possession lorsque le montant est égal ou supérieur à mille (1.000) euros, stipule la Banque d'Algérie dans son règlement publié au Journal officiel no 25.

Officiel. A l'entrée et à la sortie du pays : Obligation de déclaration de devises à partir de 1000 Euros


"Les voyageurs sont soumis à l'obligation de déclarer, auprès du bureau des Douanes, à l'entrée et à la sortie du territoire national, les billets de banques et/ou tout instrument négociable, libellés en monnaies étrangères librement convertibles, qu'ils importent ou exportent et dont le montant est égal ou supérieur à l'équivalent de 1.000 euros", note le règlement 16-02 de la Banque d'Algérie.

L'importation de billets de banques et/ou de tout instrument négociable en devises librement convertibles reste "autorisée sans limitation de montant" sous réserve de satisfaire à l'obligation de déclaration pour les montants d'une valeur égale ou supérieure à 1.000 euros, précise le règlement.

Un exemplaire du formulaire de déclaration visé par le bureau des Douanes est conservé par le voyageur.

Aussi, les voyageurs non-résidents peuvent exporter les billets de banques et/ou de tout instrument négociable en devises librement convertibles, importés et non utilisés en Algérie, sur présentation, au bureau des Douanes, du formulaire de déclaration d'importation.

Ce formulaire, qui doit être visé par un guichet de la Banque d'Algérie, un guichet d'une banque, un intermédiaire agréé ou un bureau de change constatant les opérations de change effectuées durant le séjour en Algérie, n'est toutefois valable que pour un seul séjour.

Pour ce qui est du seuil maximal des devises à exporter de l'Algérie par voyage, le même règlement le fixe à 7.500 euros prélevés d'un compte devises ouvert en Algérie.

Les voyageurs sont également autorisés à exporter de l'Algérie tout montant couvert par une autorisation de change de la Banque d'Algérie.

APS

Trois terroristes arrêtés à Tizi-Ouzou

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Communiqué (MDN)- Dans le cadre de la lutte antiterroriste et suite à une embuscade près d’Azazga, wilaya de Tizi Ouzou/1°RM, un détachement de l’Armée Nationale Populaire a capturé trois (03) terroristes, le 15 mai 2016, et récupéré un fusil de chasse, un pistolet automatique de type Makarov, une grenade, une bombe de confection artisanale et une quantité de munitions.



Par ailleurs et dans le cadre de la lutte contre la criminalité organisée, grâce à l’exploitation de renseignements, des éléments de la Gendarmerie Nationale ont arrêté, à Oran/2° RM, quatre (04) narcotrafiquants et saisi deux (02) quintaux de kif traité, deux (02) véhicules et (680000) dinars algériens.

De même, un détachement à Ouargla/4°RM ainsi que des éléments de la Gendarmerie Nationale à Tlemcen, Ain Témouchent, Rélizane/2° RM, El-Oued et Ghardaïa/4°RM, ont appréhendé (05) contrebandiers et (24) immigrants clandestins de différentes nationalités et ont saisi ( 5175 ) bouteilles de différentes boissons et quatre (04) véhicules.

VIDEO. Rachid Nekkaz veut racheter le groupe de presse El Khabar

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Après ses révélations suite à son action d'enquête sur les biens immobiliers appartenant au ministre algérien Abdesslam Bouchouareb, le sit-in devant l’appartement "Des 3 millions d'Euros", a été annulé par Rachid Nekkaz lui même sous demande du ministre l'industrie.

VIDEO. Rachid Nekkaz veut racheter le groupe de presse El Khabar


Selon Rachid Nekkaz, Abdesslam Bouchouareb aurait fait savoir via son avocat qu'il souhaite rencontrer le fondateur du Mouvement pour la Jeunesse et le Changement (MJC), pour expliquer les dessous de l'affaire de Panama Papers dont il était cité et les biens immobiliers qu'il détient à Paris.

Par ailleurs, Rachid Nekkaz s'est dit au microphone de Berbère TV, prêt à racheter le groupe de presse d'El Khabar si la justice juge que le rachat par Rebrab était illégal.

Retour des importations des véhicules de moins de 3 ans en Algérie ?

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Le Comité interministériel chargé de l'examen des demandes des licences d'importation des véhicules a reçu, jusqu'à présent, une vingtaine de recours de la part de concessionnaires, a indiqué dimanche à Alger, le ministre du Commerce, Bakhti Belaïb.

Retour des importation des véhicules de moins de 3 ans en Algérie ?


"Nous avons reçu une vingtaine de recours dont certains sont légitimes et méritent d'être soigneusement étudiés. Nous devons répondre à certains (de ces recours)", a précisé le ministre à la presse en marge d'une rencontre sur l'approvisionnement en produits alimentaires.

M. Belaïb a souligné que les portes de recours étaient toujours ouvertes en assurant que ces recours seront traités selon les normes fixées par la réglementation.

Le contingent quantitatif d'importation des véhicules a été réduit à 83.000 unités pour l'année 2016 (contre un quota initialement fixé à 152.000 unités) dans le cadre des licences d'importation pour une valeur de moins d'un (1) milliard de dollars, a-t-il rappelé.

Selon les précisions du ministre, le Comité interministériel chargé de l'examen des demandes des licences d'importation avait reçu une demande globale d'une valeur de onze (11) milliards de dollars pour l'importation de véhicules.

"Nous avons réduit de manière drastique les importations de véhicules pour cette année. Certains concessionnaires ne sont pas satisfaits mais cela ne veut pas dire que notre décision est infondée. Le Comité a travaillé dans la transparence totale", a commenté le ministre.

"Nous allons étudier l'impact de cette réduction et voir comment la demande va évoluer. A la lumière de ces données, nous déciderons s'il y aura lieu de prendre des mesures correctives", a-t-il avancé.

Interrogé sur la possibilité de recourir à l'importation des véhicules d'occasion de moins de trois ans, le ministre a souligné que cette formule "tant réclamée et dont les coûts sont moindres reste une option", mais a ajouté qu'il sera d'abord examiné l'impact de la réduction du quota instauré dans le cadre des licences d'importation.

Le ministre du Commerce a signé, il y a une semaine, les licences d'importation de véhicules.

Quarante (40) concessionnaires de véhicules ont été retenus pour bénéficier de ces licences sur les 80 postulants.

VIDEO. Karim Tabou défend Ferhat Mehenni

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L'ancien premier secrétaire et député décident du Front des Forces Socialistes (FFS), fondateur de l'Union Démocratique et Sociale (UDS) non agréé, Karim Tabou était l'invité de l'émission kabylophone de la chaîne de télévision privée Dzair News, Tizi N Wassa.



En effet, Karim Tabou, s'est montré emporté sur les propos de Ouyahia "insultant", Ferhat Mehenni, le leader des «indépendantistes Kabyles», le traitant de «mercenaire» au service d’étrangers qui ont comme objectif de déstabiliser l’Algérie. « Dans une guerre classique, on trouve des mercenaires et dans une guerre subversive on trouve aussi des mercenaires et je trouve que Ferhat Mehenni, malheureusement à son âge avancé, s’est retrouvé comme étant un mercenaire de cause étrangère et non pas un mercenaire d’une prétendue cause de la Kabylie », a accusé le chef du RND lors d’une conférence de presse.

Pour Karim Tabou, c'est une grande «injustice» de traiter un homme comme Ferhat Mehenni de ce genre d'insultes, en précisant qu'il (Tabou) ne partage aucune idée avec le fondateur du MAK, «Mais respecte sa liberté de pensé et de parole» avant de rappeler le parcours militant de Ferhat Mehenni et ses sacrifices.

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