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Channel: Kabylie News
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Contribution : Les origines arabes de Zinedine Zidane

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Zinédine Zidane est le premier entraîneur français à atteindre la finale de la prestigieuse Champions League Européenne depuis Arsène Wenger en 2006. Zizou jouera sa première finale comme technicien ce 28 mai à Milan, contre l'Atlético de Madrid pour tenter le sacre et faire mieux que ses prédécesseurs.



Mais ce qui est fréquent chez nous sur la rive sud de la méditerranée et au moyen-orient, c'est d'entendre ces derniers jours, comme à l'époque où il était meilleur joueur du Monde, la fameuse phrase sur les «origines arabes» de Zizou, une phrase répétée par les médias de masse arabes et arabophones jusqu'à banalisation se ventant du premier entraîneur arabe à jouer la finale de la LDC.

Cette usurpation et arabisation des origines ne date pas d'aujourd'hui, plusieurs grands hommes et femmes Amazighs, perses, Kurdes et autres, ont été victimes, comme si n'était pas suffisant de tronquer l'histoire et falsifier même la géographie en annonçant l'Algérie une «terre arabe» dans la préambule de la nouvelle constitution algérienne, pour tenter de récupérer les origines des hommes et des femmes.



Cette récupération médiatique va au delà du sport et de Zinedine Zidane, c'est la manifestation d'une idéologie arabo-islamiste expansionniste.

Un coups de gueule de K.B




VIDEO. L’impressionnant tornade qui frappe des wilayas algériennes

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Un tourbillon de vents extrêmement violent s'est formé en engendrant un tornade frappant la région frontalière administrative entre les wilayas d'El Djelfa et Tiaret sans causer des dégâts. 



La vidéo du phénomène naturel rare dans le pays, fait le buzz sur les réseaux sociaux algériens dans une semaine marquée par le retour des intempéries avec des pluies orageuses.


Déclarations d'Issad Rebrab : Saâdani met en garde contre «l'atteinte à l'unité nationale»

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Amar Saadani, le secrétaire général du Front de Libération National (FLN), s'est exprimé devant la presse à la marge d'une rencontre avec les Mouhafedhs de son parti.

Déclarations d'Issad Rebrab : Sââdani met en garde sur l'unité nationale


Le SG de l'ancien parti unique était interpellé sur les dernières déclarations de Issad Rebrab, dénonçant l'acharnement du pouvoir contre lui en déplorant du régionalisme, du clanisme et même de l'antikabylisme.

Amar Sâadani a met en garde contre «toute atteinte à l'unité nationale» en rappelant que «Dans la dernière montagne de Kabylie, les gens connaissent la valeur de l'Algérie» a t-il dit.

Lire aussi : VIDEO. Issad Rebrab :«Ils veulent pas qu'un Kabyle émerge ... Je ne suis pas de leur région ... je ne suis pas de leur clan»


Par ailleurs, l'homme fort du FLN a calmé le jeux avec son homologue du Rassemblement National Démocratique (RND) en évitant de répondre sur les questions ayant relation au conflit qui l'oppose à Ahmed Ouyahia en se contentant de présenter ses «félicitations».

Un important incendie au siège de l'APW de Tizi Ouzou

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Un important incendie s'est déclaré dans l'immeuble abritant le siège de l'Assemblée populaire de wilaya de Tizi Ouzou ravageant le bureau de la cellule de communication.



Selon les informations parvenues à notre rédaction, l'incendie a ravagé le matériel et les documents qui se trouvaient dans le bureau de la cellule de communication de l'assemblé, avant d'être contrôlé par les agents de la protection civil, l’empêchant d'atteindre d'autres bureaux sis au même immeuble.

Une enquête a été ouverte par les autorités compétentes pour déterminer les causes de l'incendie.

VIDEO. Tentative d'assassinat d'un journaliste, filmée en direct !

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En plein procès controversé pour divulgation de secret d'Etat, le journaliste d’opposition turc Can Dündar a été visé par trois coups de feu. Le directeur de la rédaction du quotidien Cumhuriyet s'en sort indemne et son assaillant a été arrêté.

VIDEO. Tentative d'assassinat d'un journaliste, filmée en direct !


« Je vais bien ». Quelques minutes après les coups de feu, Can Dündar a tenu à rassurer ses proches et ses soutiens sur Twitter.

Le journaliste a évité de justesse plusieurs coups de feu, juste devant le tribunal où il est jugé avec un autre membre de son journal. Avant de tirer, l'assaillant l'a insulté : « traître » a-t-il crié. Il a depuis été arrêté.

Ce procès est très critiqué et Can Dündar est devenu le symbole de la liberté d'expression bafouée en Turquie. En mars, un autre journal, Zaman, avait été mis sous tutelle par le gouvernement.

Après sa tentative d'assassinat, Can Dündar a déclaré : « Nous ne connaissons pas la personne qui nous a tirés dessus, mais nous savons qui nous a désignés comme une cible » ; sous-entendu, Recep Tayyip Erdogan. En lançant personnellement des poursuites contre les journalistes, le président turc avait déclaré : « ils le payeront cher ».



Reuters

Urgent. Le sit-in des journalistes opprimé à Bouira

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En guise de soutien au groupe médiatique d'El Khabar, dans l'affaire l'opposant à Hamid Grine -ministre de la communication-, des journalistes et des correspondants de la wilaya de Bouira ont été empêchés d'organiser un sit-in par les services du maintien de l'ordre public.

Les services du maintien de l'ordre public viennent d'empêcher les professionnels de l'information de la wilaya de Bouira d'organiser un sit-in pour soutenir leurs confrères d'El Khabar.

L'information étant diffusée par des militants-journalistes sur les réseaux sociaux, prend de l'ampleur. Selon des sources, les même intervenants ont "exécuté l'ordre donné par le ministre de la justice" lui-même. Au moment où l'on rédige ce papier, des nouvelles données sur le développement de la situation ne nous sont pas encore parvenues.

VIDEO. Sarkozy récidive, s'attaque à l'Algérie et encense le Maroc et son roi

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Après sa sortie qui a suscité une vive polémique depuis la Tunisie, Nicolas Sarkozy, ancien président de la France et premier homme de la droite et le parti Les Républicains ambitionnant revenir au Contrôles  de l'Elysée, encense le Maroc, son roi et la Tunisie en taclant l'Algérie.



Pour Sarkozy, le roi du Maroc est le garant de la stabilité « aux portes de l'Europe nous avons une déstabilisation quasi-complète de tout le sud de la méditerranée (…) Mis à part le Maroc où nous pouvons nous appuyer sur un grand roi, souhaitons lui une longue vie » avant d'aller vers l'Algérie qu'il qualifie d'une menace contre la stabilité de l’Europe «Je ne dirai rien de nos amis algériens parce que je sais que le sujet est sensible, mais c’est un sujet. Et j’opposerai un démenti formel à tous ceux qui viendraient me dire qu’il n’y a pas de question qui se pose, surtout avec l’effondrement des prix des matières premières et la dépendance de ce grand pays aux énergies fossiles ».





Ambassadeur de France : «60% de visas accordés aux algériens délivrés aux habitants de Kabylie»

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Bernard Emié, l'Ambassadeur de France en Algérie l'a révélé à Tizi Ouzou, hier mardi, lors d'une rencontre avec les autorités locales et des députés «60% des visas français accordés aux algériens ont été délivrés pour les habitants des wilayas de Kabylie» et que «50% des étudiants algériens en France viennent aussi de la même région».

Ambassadeur de France : «60% de visas accordés aux algériens délivrés aux habitants de Kabylie»


Selon l'ambassadeur de France en Algérie, la coopération universitaire entre la France et l'Algérie se concentre dans une grande partie avec l'université de Mouloud Maameri de Tizi Ouzou.

Bernard Emié a rappelé que sa visite en Kabylie vienne dans le même cadre que ses déplacements dans plusieurs villes dont Oran, Tlemcen, Constantine, Annaba et Biskra, il a souhaité se rendre dans la wilaya de Tizi-Ouzou « avec laquelle nous avons des relations de coopération très fortes dans le domaine culturel, de la langue française, ainsi que dans le domaine économique ».

VIDEO. Quand Ouyahia avoue son «archaïsme»

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L'affaire du Tweet «empoisonné» du premier ministre français, Manuel Valls, illustré par une photo jugée «humiliante» du président Abdelaziz Bouteflika lors de son entretien avec le chef de l’exécutif français, continue à animer les réactions plus au moins dénonciatrices en Algérie.



En effet, le chef du cabinet du président, ancien chef du gouvernement et secrétaire général du parti d'allégeance Rassemblement Démocratique National, Ahme Ouyahia dénonce de son coté «une extrême indélicatesse» de Manuel Valls qui, selon Ouyahia, «n'a rien trouvé de mieux après avoir été reçu par le président de la république que tweeté cette photo qui nous apprenne rien de nouveau» avant de s’excuser, au passage, de son ignorance «Excusez mon ignorance de ces affaires électroniques. Je ne suis pas très fortiche dans ce domaine » dit-il.

Un avoue révélateur de l’archaïsme des responsables algériens  vivants dans une autre époque et détaché de la réalité de la communication et ses évolutions.

VIDEO. Cevital «punie» Ennahar TV : Anis Rahmani accuse Rebrab

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Issad Rebrab annule tous les contrats de publicité de son groupe industriel avec toutes ses filiales, le reliant avec la chaîne de télévision privée Ennahar Tv.

VIDEO. Quand Issad Rebrab punie Ennahar TV

Selon le président et propriétaire de la chaîne Ennahar TV, Anis Rehmani, Issad Rebrab aurait pris cette décision qu'il qualifie de «Stalinienne» suite à la couverture «professionnelle» de son média du scandale planétaire d'évasion fiscale Panama Papers.

Anis Rahmani s'est exprimé via sa chaîne de télévision dans un communiqué lu sur le journal télévisé rappelant que les contrats publicitaires avec Cevital ne représentaient que 0.5% du budget de son média et que la décision d'Issad Rebrab ne va pas influencer l'équilibre financier de «la première chaîne des algériens» avant de préciser que la chaîne Ennahar Tv «va garder sa ligne éditoriale nationale et n’acceptera aucune intimidation ou chantage qui l’empêchera de dire la vérité aux algériens».


Pour rappel, Ennahar TV a relayé un article paru sur un journal roumain accusant Rebrab d'être impliqué dans le scandale de Panama Papers avant d'être démenti par la cellule de communication du groupe Cevital.

Lire plus : PanamaPapers/ Accusé de corruption par un journal roumain : la réaction d'Issad Rebrab !





Rachat d'El Khabar par Issad Rebrab : le troisième report

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La deuxième chambre des référés du tribunal administratif de Bir Mourad Rais (Alger) a reporté, au 25 mai prochain, l'examen de l'affaire de la cession d'actions du groupe El Khabar au profit du groupe Cevital.



Ce report, le troisième, a été décidé par le président de la deuxième chambre des référés, Mohamed Dahmane, lors de cette audience durant laquelle le tribunal a reçu les mémoires en réponses de la partie défenderesse (groupe El Khabar) .

L'audience a été marquée dés son entame par la révocation de la défense de la partie demanderesse (ministère de la Communication), Me Mohcene Amara qui, selon les arguments avancés par le magistrat Mohamed Dahmane, "est sous le coup de trois mesures disciplinaires datant du 16 janvier 2016" et qui "ne peut, en vertu de l'article 127 de la loi régissant la profession d'avocat se constituer défense dans cette affaire".

Le magistrat qui répondait à une question de Me Mohcene Amara, a expliqué avoir été destinataire de ces décisions, ce jour mercredi 11mai à travers une correspondance du bâtonnat.

Les fonctionnaires et travailleurs du groupe El Khabar ont observé un sit-in devant le tribunal administratif auquel ont participé des représentants de médias, de partis politiques et de syndicats, a-t-on constaté sur place.

Le ministère de la Communication avait introduit une action en référé auprès du tribunal de Bir Mourad Raïs sur la conformité du rachat du groupe de presse El Khabar par le groupe agroalimentaire Cevital avec les dispositions de l'article 25 du Code de l'information.

L'article 25 du Code de l'information de 2012 stipule qu'"une même personne morale de droit algérien ne peut posséder, contrôler ou diriger qu'une seule publication périodique d'information générale de même périodicité éditée en Algérie".

Le Président-directeur général du groupe Cevital, Issad Rebrab est déjà propriétaire du quotidien Liberté.

En vertu de la transaction en question le groupe Cevital a acquis plus de 80% des actions du groupe El Khabar, qui est une Société par actions (SPA) incluant le journal éponyme, la chaîne de télévision KBC, les imprimeries et une société de diffusion.

APS

Blocage des réseaux sociaux en Algérie : les précisions de Imane-Houda Faraoun

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Les réseaux sociaux, comme Facebook, Viber et Skype, ne seront pas bloqués en Algérie, a affirmé lundi à Alger la ministre de la Poste et des Technologies de l'information et de la communication, Imane-Houda Faraoun.




"Le gouvernement algérien n'a jamais eu l'intention d'interdire les réseaux sociaux, car l'Algérie est un pays démocratique", a indiqué Mme Faraoun qui présentait un exposé sur son secteur devant la Commission des finances et du budget de l'Assemblée populaire nationale (APN) dans le cadre de la loi sur le règlement budgétaire de 2013.

Interrogé sur le fait que ces réseaux sociaux engrangent des milliards de dollars sans contrepartie pour l'Algérie, elle a expliqué que Facebook, Viber ou Skype vivent de la publicité, appelant les jeunes algériens à faire de même en créant des réseaux sociaux locaux.

"La seule solution pour contrer ce type de réseaux est d'investir sur le patriotisme des jeunes algériens et leur dire de créer un forum national ou un Facebook algérien", a-t-elle ajouté.

Sur la décision algérienne de lancer la téléphonie mobile 4G cette année, Mme Faraoun a indiqué que cette technologie est un passage obligé, et que le fait de passer de la 3G à la 4G "n'est pas un grand investissement en soi".

"C'est un petit investissement qui sera rapidement rentabilisé", a-t-elle estimé, relevant que "les opérateurs offriront certainement la 4G avec un prix un petit peu plus élevé que la 3G".

Revenant sur la convention signée entre l'opérateur public de la téléphonie mobile Mobilis et l'opérateur français Orange activant dans le secteur des TIC, elle a indiqué qu'"à aucun moment le ministère n'a été impliqué dans la décision".

"Moi-même, je l'ai appris par la presse. L'exécutif de Mobilis a toute latitude à gérer les questions commerciales. Ce n'est pas des questions sur lesquelles le ministère peut intervenir ni même l'Autorité de régulation de la poste et des télécommunications (ARPT)", a-t-elle dit.

"Néanmoins, une fois l'annonce faite, nous avons demandé à l'ex PDG de Mobilis des explications sur l'opportunité de cette convention. Ce qui est dommage, c'est qu'en aucun cas il n'a négocié des communications gratuites pour le client algérien alors que le groupe français a obtenu une gratuité totale des appels vers l'Algérie", a-t-elle regretté.

"J'ai des données chiffrées que je communiquerai prochainement à la Commission des finances de l'APN", a-t-elle encore ajouté.

La ministre a indiqué que "la convention, effective depuis octobre 2015, prévoit neuf mois de test", ajoutant qu'"au bout de ces neuf mois, nous déciderons de la maintenir ou non".

Bouira : Sept terroristes abattu par l'ANP

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Les forces de l'Armée Nationale Populaire (ANP) ont abattu, au cours d'une opération de qualité, sept terroristes dans la région de Lakhdaria (Wilaya de Bouira) ce mercredi 11 mai, a indiqué le ministère de Défense nationale dans un communiqué.



L'opération toujours en cours a permis l'élimination de sept (7) terroristes et la récupération de quatre pistolets mitrailleurs de type Kalachnikov, un (01) fusil à répétition, un (01) autre à lunette, quatre (04) chargeurs de munitions garnis et huit (08) téléphones portables ont été récupérés, tandis que deux (02) abris pour terroristes ont été détruits.

Il s’agit des criminels « M.Ammar », « R.Ali » ayant rejoint les groupes terroristes respectivement en 1993 et 2001 et du criminel « Z.Lamine ». L’identification des quatre autres terroristes est en cours.

Etude : 54,8% des algériens pour «la laïcité»

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L’étude réalisée, le 10 mai 2016, par l’institut tunisien Sigma en collaboration avec l’Observatoire arabe des religions et des libertés et la Fondation Konrad-Adenauer. La majorité des personnes sondées en Lybie, en Egypte, en Tunisie, au Maroc ou en Algérie, va contre les idées reçues de ces cinq sociétés, jugées comme étant acquises par l'islamisme.



Selon cette étude, qui confirme néanmoins que la religion reste un facteur très important dans les sociétés nord-africaines, démontre en revanche, que l'islam politique est rejeté par la majorité qui est favorable à la séparation entre la religion et la politique. Et en tête de liste, on retrouve les Tunisiens qui se prononcent à plus de 70% contre. Ils sont aussi les plus nombreux à «désapprouver l’intervention des imams dans la vie politique». Plus d’une personne sur deux trouve même que l’islam y a «un impact négatif».


Les 1000 algériens sondés dans la cadre de ladite étude était à leur tour favorables à la séparation entre la religion et la politique à hauteur de de 54,8% avec 40,5% «tout à fait d'accord» et 16,8% «plutôt d'accord».

Etude : 54,8% des algériens sont pour «la laïcité»


Appelés à définir «l’extrémisme religieux», les sondés des cinq pays d’Afrique du Nord hésitent entre «une mauvaise interprétation de l’islam» ou «une calomnie». Concernant Daech, la plupart des sondés interrogés par téléphone l’associent à «terrorisme» ou «barbarie» et l’écrasante majorité dit avoir une image «très mauvaise» ou «plutôt mauvaise» de l’organisation Etat islamique.

Tizi Ouzou : Tamda s'isole du monde pour protester contre des conditions précaires !

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"Boudés pendant longtemps par les autorités", les habitants de Tamda, sise à une quinzaine de kilomètres du chef lieu de la wilaya de Tizi Ouzou, ont somme toute fait appel à l'extrême des positions pour exprimer leur ras-le-bol.

En effet, la rumeur qui courait la veille de la protestation a été confirmé à l'aube de ce mercredi. Ce sont des villageois de la ladite localité qui sont allés fermer la route menant vers le nouveau pôle universitaire de Tamda pour tenter de se faire entendre par les autorités. Selon diverses sources, la raison de ces tenantes agitations des villageois revient à la négligence des autorités de cette zone. "Personne ne sait à quel point nous souffrons, à l'exemple de l'autre jour où la pluie avait tombé, nous avons tous perdu le courant (électricité NDLR)" nous expliqua un citoyen.

Bien que l'agitation a été menée sans se confronter à de violentes interventions policières et que les activités commerciales de ladite ville ont été boudées, de l'autre revers de l'événement, les universitaires et l'opinion publique se demandent toujours sur la logique sur laquelle est fondée la fermeture du Campus de Tamda, annexe de l'Université Mouloud Mammeri de Tizi Ouzou. "Peut-être pour se faire entendre, certes, mais ainsi, leur revendication risquent de tomber à l'eau" nous explique un étudiant en Science de l'Information, et d'ajouter qu'"eux-même risquent de perdre le soutien des universitaires en usant de ces méthodes l'autre âge !" nous lança le même interlocuteur.


La VIDEO qui choque la France: Une jeune française se suicide en direct sur l’application Periscope

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Une Française de 19 ans s’est suicidée mardi en France en se filmant en direct sur Periscope, une application de diffusion instantanée de vidéos au succès fulgurant, mais dont les images sans filtres ont déjà provoqué plusieurs polémiques.



La jeune femme s’est donné la mort en se jetant sous un train de la banlieue parisienne tout en filmant son geste sur Periscope, a-t-on précisé mercredi de source judiciaire.

Selon les premiers éléments de l’enquête, la victime «aurait évoqué un viol et désigné un agresseur» au cours de l’enregistrement, a dit une source judiciaire, tout en restant très prudente sur la réalité de ces faits.

La justice a ouvert une enquête pour déterminer les circonstances de ce suicide survenu à Egly, dans la banlieue sud de Paris. «L’exploitation du téléphone et la récupération de la vidéo sont en cours», a-t-on précisé de source judiciaire.

Les gendarmes ont indiqué avoir été alertés par «un utilisateur de Periscope qui était connecté avec la victime et disait qu’elle n’allait pas bien». Ils n’ont cependant pas pu empêcher le suicide.

La jeune fille aurait également envoyé un SMS à une proche juste avant son décès.

Le passage à l’acte a été supprimé du flux de Periscope mais un extrait vidéo qui précède le suicide est disponible sur Youtube. La victime, assise sur un canapé, parle d’une vidéo qui «n’est pas faite pour faire le buzz» mais «pour faire réagir les gens, ouvrir les esprits».

Puis, après un long silence face caméra, s’affiche un écran noir avec en fond, difficilement audibles, les voix de secouristes venus récupérer le corps.

«Nous ne faisons pas de commentaires sur les comptes individuels», a réagi un porte-parole pour l’Europe de Twitter, qui a acheté Periscope en 2015.



Avec JDMontreal

Justice : le «placement sous bracelet électronique» débarque en Algérie

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L’utilisation du bracelet électronique comme alternative à la détention provisoire sera adoptée prochainement, a annoncé, mardi à Oran, le magistrat et membre de la commission nationale de modernisation du secteur de la justice, Derradj Ishak.



Animant une conférence en marge du Salon international du futur technologique (SIFTECH), ouvert lundi à Oran, M. Derradj a souligné que l’application de la mesure du bracelet électronique est "un pas dans la modernisation" du secteur de la justice et un mécanisme de contrôle utilisé dans de nombreux pays.

Ce mécanisme entre dans le cadre du contrôle et constitue une mesure en faveur des libertés individuelles contribuant à la réinsertion sociale des détenus.

M. Derradj a également indiqué que les procédures techniques ont été complètement réalisées et cette technique sera bientôt lancée, ajoutant que le bracelet sera fabriqué à l’étranger, alors que des experts algériens se chargeront de la base de données et des techniques de son fonctionnement.

Abordant les perspectives de parachèvement de la modernisation du secteur, le même magistrat a signalé la préparation pour la mise en service d’une base de données de l’empreinte génétique pour élucider les affaires de crimes en comparant les informations et données stockées et les pièces à conviction se trouvant sur la scène du crime.

En outre, une base de données biométriques sera adoptée en vue de présenter un service public au citoyen et faciliter la reconnaissance des repris de justice lors de leur présentation devant les instances judiciaires, ainsi que l’opération de gestion des établissements pénitentiaires et de rééducation.

Dans le cadre de la simplification des procédures administratives au profit de la communauté algérienne résidant à l’étranger, il sera procédé à la mise en place d’un nouveau mécanisme permettant une correction automatique des erreurs d'état-civil pour les personnes nés à l’étranger en collaboration avec les ministères de l’Intérieur et des Collectivités locales et des Affaires étrangères, a-t-il fait savoir.

Concernant les projets menées dans le cadre de la modernisation du secteur, le conférencier a signalé que le ministère a initié plusieurs projets stratégiques d'amélioration du service public appliquant le principe de rapprochement de la justice du citoyen à travers une exploitation des technologies de communication et d'information (TIC).

Parmi les réalisations menées dans ce cadre, l’intervenant a signalé la possibilité de retirer le casier judiciaire 3, le certificat de nationalité algérienne signée en électronique sur internet dans le pays et à l’étranger à travers une pré-inscription de la base de données nationale créée à cet effet.

Le ministère de la Justice a ouvert des adresses électroniques (e-mail) sur son site pour répondre aux questions du citoyen sur la réception de documents dont le casier judiciaire no 3, la nationalité et aux interrogations portant sur le domaine juridique et judiciaire.

Un centre d’appel national a été mis en place sous le numéro 1078 permettant de répondre aux préoccupations des citoyens sur leurs affaires dans les tribunaux, la technique de conversation visuelle à distance permettant de faciliter les procédures judiciaires, d'organiser des procès, d'écouter les témoins, les parties civiles et les experts et épargner le déplacement aux détenus et des témoins.

APS

Trois ans de prison ferme contre les 19 jeunes d'El Asnam

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Les 19 jeunes, arrétés, lors des émeutes qui ont éclatées à la commune d'El Asnam le précédant 24 avril sont passés, ce lundi, devant le tribunal de Bouira. Trois ans de prison ferme requis à leur encontre, en attendant le verdict.

Accusés d'avoir participer aux émeutes qui sont déclenchées à El Asnam, de trouble à l’ordre public et destructions de biens de l’État et avoir exercer la violence contre un agent d’ordre, le procureur de la république a requis trois ans d'emprisonnement ferme contre les accusés. Pour la défense, leurs clients sont innocents et ont plaidé leur acquittement, quant aux accusés, ils nient toute implication dans les faits. Le verdict sera prononcé la semaine prochaine par le juge. Un dispositif considéré était déployé au tribunal de la ville lors du procès, d’après des témoins sur place.

À rappeler, ces manifestations qu'à connu la région d'El Asnam, selon les habitants, ont lieu aprés l'agression d'un jeune citoyen. Ils ont qualifié alors l'incident du "mépris", la population en colère s'est «révoltée».

Trois ans de prison ferme contre les 19 jeunes d'El Asnam


À suivre...


Lounis. D

VIDEO. Paris (France) : Révélations «exclusives» sur l'appartement de 3 millions € appartenant à Bouchouareb

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Rachi Nekkaz ne compte pas lâcher le ministre algérien de l'industrie, Abdesslam Bouchouareb, cité dans le scandale planétaire d'évasion fiscale Panama Papers, ainsi que d'autres révélations journalistiques mettant en scène ses biens immobiliers en France, à l'image du livre Paris-Alger: Une histoire passionnelle.




Le malheureux candidat à la candidature des présidentielles algérienne de 2014, fondateur du Mouvement de la Jeunesse et du Changement ( MJC ), non agréé, mène un véritable travail d'investigation et se déplace au bâtiment abritant l'appartement de Abdesslam Bouchouareb, dont la valeur dépasse, selon Rachid Nekkaz, les trois millions d'euros.

Rachid Nekkaz charge le ministre de l'industrie et revendique des explications devant l'opinion public afin de justifier «d'ou vient cet argent».


Comment l'ex-DRS compte renvoyer Chakib Khelil à son statut de prévenu

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Les commissions de Saipem arrivaient bien chez Chakib Khelil via la filière Bedjaoui-Habour-Najat Arafat, l'épouse de l'ancien ministre de l'Energie. Elle est le premier maillon exposé que cible la contre-attaque de l'ex DRS finalement relayée par le général à la retraite Khaled Nezzar.

Par : Maghreb Émergent 





Maghreb Emergent a pu consulter une partie des documents qui ont fondé l'enquête publiée ce mardi 11 mai par le site Algérie Patriotique édité par l'un des fils du général à la retraite Khaled Nezzar. Si les informations se recoupent, les sources ne se sont forcément les mêmes. Elles sont proches de l'appareil judiciaire dans le cas de Maghreb Emergent. Leurs informations sont étayées par des vérifications effectuées depuis un mois aux Etats Unis et en France. Elles ne sont pas démenties par d'autres sources informées des contenus de l'enquête du DRS qui a abouti à la chute de Chakib Khelil au printemps 2011. Najat Khelil née Arafat détenait un sous-compte sur le principal compte d'affaires de la filière du scandale Saipem. Il s'agit d'un compte de la Bank Audi Saradar à Beyrouth sur lequel Pearl Partners de Farid Bedjaoui a redistribué 34,3 millions de dollars de commissions Saipem. Titulaire principal de ce compte : Omar Habour, l'ami de 50 ans de Chakib Khelil, son hologramme bancaire et gestionnaire de patrimoine. Le nom de Najat Khelil née Arafat qui figure comme détenant ce sous compte au Liban apparait dans le rapport d'une commission rogatoire internationale en 2011. Cette information est l'une des plus précises qui a fondé l'inculpation de Chakib Khelil par le tribunal de Sidi M'hamed et l'émission d'un mandat d'arrêt international contre lui son épouse et ses deux fils le 12 août 2013 par le procureur général près du tribunal d'Alger, Belkacem Zeghmati. Elle apportait la preuve tangible dans le scandale de Saipem que c'est les Khelil qui se tenaient au bout de la chaine de flux de paiement transitant par Farid Bedjaoui, puis principalement par Omar Habour.



Un système de camouflage éventé


L'épouse de Chakib Khelil a donc eu accès à un compte bancaire disposant d'une provision de 34,3 millions de dollars provenant quasi directement des activités de Saipem en Algérie entre fin 2007 et fin 2010. Cela ne diminue en rien de l'importance des informations révélées par Algérie Patriotique, même si elles impliquent des montants inférieures. Une source algérienne résidente aux Etats-Unis nous a expliqué que connaissant le système fiscal local et la surveillance des flux suspects, les Khelil ont choisi de ne pas rapatrier beaucoup de cash vers les Etats Unis. Les opérations enregistrées sur le compte Sun Trust Bank de Mme Najat Khelil font état d'une entrée de 1 421 000 dollars provenant, comme rapporté par Algérie Patriotique, d'un compte détenu par Omar Habour. Le couple Khelil a cumulé entre 2004 et 2011 un avoir de 1,4 million de dollars sur un autre compte détenu en commun. C'est le système de camouflage des flux qui a nécessité une multiplication des intermédiaires, des sociétés-écrans (révélées dans le Panama Papers) et les comptes bancaires. L'ancien ministre de l’énergie en détenait trois aux Etats Unis en dehors de cinq comptes en Suisse. Un avocat a engagé une bataille judiciaire en janvier 2014 pour empêcher la levée du secret bancaire sur les comptes de Chakib Khelil en Suisse, une bataille qui a tourné contre le prévenu en février 2015 mais qui a été abandonnée par le ministère public algérien. Alger ne veut plus savoir de combien ont été provisionnés les comptes suisses de Chakib Khelil. La compagnie Pearl Partners de Farid Bedjaoui a signé un contrat avec Saipem le 27 octobre 2007 au terme duquel la filiale du pétrolier italien ENI lui reverserait 3% du chiffre d'affaires réalisé en contrats en Algérie au delà de cette date. Saipem a engrangé près de 6,9 milliards de dollars en trois ans et Pearl Partners a reçu 197 milliards de dollars sur ses comptes à Hong Kong et Singapour.

Une stratégie attentiste qui a semé le doute


La parution de l'enquête de Algérie Patriotique apparaît comme le coup d'envoi d'une contre attaque des secteurs de l'armée, l'ancien DRS en particulier qui a subi le retour et la tentative de réhabilitation de Chakib Khelil comme une humiliation. Les anciens du DRS, leur chef historique en premier, avaient été pris de vitesse par les évènements de ces dernières semaines. Le scénario d'un Chakib Khelil faisant le tour des zaouias dans le pays et campant le personnage de la victime persécutée sur les plateaux de télévision était un scénario politiquement impensable encore au début de cette année. La réaction a beaucoup tardé. Le général à la retraite Toufik, patron du service de renseignement algérien durant 25 ans, est connu pour sa prudence opérationnelle. L'enquête qui a confondu Chakib Khelil est en grande partie celle de ses éléments. Sa réhabilitation en cours les a fait basculer subitement dans le rôle des bourreaux. Le général Toufik a pris le pari de laisser le clan Bouteflika rattraper le délire de Chakib Khelil et l'inviter à jouir discrètement de l'impunité dont il bénéficie pour l'heure. Cette démarche attentiste tablait secrètement aussi sur l'auto-affaissement de l'opération « revamping » Khelil sous le poids des faux pas qu'il accumule dans sa frénésie d'apparitions publiques. Mais cette posture du « laisser dire » a atteint ses limites lorsqu'il s'est confirmé que le clan Bouteflika a perdu sa boussole politique avec l'aggravation de l'incapacité du président et que personne, surtout pas Said Bouteflika, ne ramènerait Khelil à la raison. Des secteurs de l'ancien réseau clientéliste du DRS ont été saisis par le doute sur la capacité des militaires déchu du Bouteflikisme à rester des acteurs qui comptent dans la vie publique. Ce doute s'est accompagné d'un autre sur la culpabilité réelle de Khelil dans l'opinion publique matraquée par le forcing de Ennahar TV pour le « laver plus blanc que blanc ». Des pressions se sont, en conséquences, faites plus inquiètes ces derniers jours pour que les informations précises sur, notamment, l'enrichissement personnel de Chakib Khelil et de sa famille durant l'exercice de ses fonctions ministérielles, trouvent un accès vers les Algériens. Maghreb Emergent a bénéficié de la fuite sur le compte secondaire de Mme Najat Khelil au Liban et de son importance décisive (34, 3 millions de dollars) il y a près d'un mois. Le journal a choisi de prendre le temps de la vérifier. Mais aussi de comprendre qu'elle était la stratégie des acteurs de ce film surréaliste. Celle de Chakib Khelil demeure illisible. Celle des anciens du DRS et de l'armée paraît aujourd'hui plus claire. Elle porte encore l'empreinte du général Toufik : ne pas tirer toutes les munitions d'un coup. Cela se ressent dans l'article d’Algérie Patriotique qui annonce détenir d'autres détails sur les comptes Bank of America de Chakib Khelil. De même les soldes des comptes suisses de l'ancien ministre de l'Energie sont sur le seuil d'affleurer au grand jour. « Il y a de quoi raconter chaque jour durant tout l'été un récit documenté sur le trafic d'influence qu'a exercé durant de nombreuses années Chakib Khelil », prévient un retraité de l'ANP. Il y a de bonnes raisons de penser qu'aux apparitions du ministre inculpé dans Sonatrach 2 répliqueront désormais de plus en plus des fuites médiatiques sur des éléments de son dossier.

Le renfort clivant de Khaled Nezzar


Le rappel ou la révélation des turpitudes de Chakib Khelil, des membres de sa famille (tous inculpés) et de son entourage d'affaires, peut paraître une bataille d'arrière garde dans le contexte algérien actuel ; tant les faisceaux convergents de sa culpabilité sont phosphorescents depuis longtemps. Cette bataille peut cependant accélérer des clivages politiques jusque-là contenus au sein du régime de la fin de l'époque Bouteflika. En dépit de tout le mérite professionnel auquel peut aspirer la jeune rédaction de Algérie Patriotique, il est difficile de concevoir la parution chez ce confrère de la presse électronique de telles révélations sans le soutien du général Khaled Nezzar. Le tonitruant ancien patron de l'ANP a plutôt fait profil bas ces derniers mois, après les polémiques télévisées finalement contre productives sur l'histoire récente du pays. Il a reçu la visite de plusieurs membres de l'opposition dans le but de le sonder sur sa réaction face à la déferlante Khelil. « Est ce que vous les anciens vous allez laisser faire cela ? ». Entre la gestion des flux d'informations compromettantes et la gestion de leur parution publique, un axe en pointillé Toufik-Nezzar s'est manifestement reconstitué. Il peut donner le signal d'une lame de fonds qui de l'intérieur de « l'Etat profond » rappelle le clan Bouteflika à la mesure au sujet de la comète Khelil. Pendant de nombreuses années le président Bouteflika tenait en respect les hauts gradés de l'armée, dont les généraux Toufik et Nezzar, par la menace du lâchage face à de toujours possibles poursuites internationales au sujet de leur gestion extra légale de l’insurrection islamiste. Cet équilibre de la terreur est dissipé depuis longtemps. Un autre est entrain de se mettre en place autour de la sulfureuse personnalité de Chakib Khelil. A la fin des années Bouteflika, il a la succession pour vrai enjeu.
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