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VIDEO. Invitation de Ferhat Mehenni par France24 : les accusations de Amar Saâdani

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Amar Saâdani qui a fait couler beaucoup d'encre avec son absence et son silence pendant le bras de fer médiatique et diplomatique engagé entre Alger et Paris suite à la une tendancieuse du quotidien français Le MONDE citant le chef de l'Etat algérien dans le scandale planétaire d'évasion fiscale «Panama Papers» et  le tweet «Empoisonné» du premier ministre français après sa visite en Algérie, revient sur la scène médiatique à l'occasion de la journée internationale de la liberté d'expression lors d'une réception à l’hôtel Monkada, qu'il a présidé hier, 02 mai.



Le secrétaire général du Front de Libération Nationale, a profité de cette cérémonie pour revenir sur les événements qu'il a raté, commençant par le cas de Le Monde qui, selon lui, malgré sa crédibilité, est tombé dans la diffamation avant de s'attaquer frontalement à la chaîne française publique «France24» qu'il accuse de vouloir déstabiliser le pays et s'attaquer à ses symboles en invitant «Un homme prônant le séparatisme» en allusion au leader du MAK Ferhat Mehenni, avant de se demander «Ou est la neutralité des médias ?».

Le chef de l'ancien parti unique n'a pas manqué de s'attaquer au premier ministre français, Manuel Valls «Ce n'est pas avec Twitter qu'on change un président» tout en essayant de rassurer les algériens sur l'état de santé du président « L’Algérie va bien et le président se porte bien. Je vous rassure, tout va bien. Vous pouvez aller dormir ! » a t-il déclaré






Les graves accusations du directeur d'El Khabar contre le ministre de la communication

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Le rachat d'une filiale du groupe Cevital de 80% des actions du groupe de presse El Khabar vire à une confrontation entre le journal arabophone, réputé comme le plus influent du pays et le ministre de la communication, Hamid Grine, ancien journaliste, qui mène une guerre ouverte contre les journaux indépendants depuis sa nomination.

Dans une interview accordée au journal électronique Tout Sur l'Algérie, le ministre de la communication reproche aux dirigeants d'El Khabar, un manque de professionnalisme, d’éthique et de déontologie ainsi que  le non respect des lois de la république qui régissent l'activité de leur journal dans la transaction et le changement de propriétaire.

Le directeur d'El Khabar, Chérif Rezki a répondu sur les colonnes du même média en démentant le ministre «La SPA El Khabar est bénéficiaire depuis 1992. En tant que ministre de la Communication, il pourrait vérifier au niveau du Centre national de registres de commerce (CNRC) et de l’administration fiscale avant de parler du bilan d’un journal. Les bilans d’El Khabar sont positifs depuis 1992. Les seuls bilans négatifs sont ceux des deux derniers mois de 1990 et l’exercice 1991. C’est-à-dire juste après la création du journal. Cela étant dit, je l’invite à s’occuper de la presse publique qu’il gère en personne et qui, toute réunie, n’a pas le tirage d’El Khabar ! » et en accusant Hamid Grine de combattre la presse libre dont la ligne éditoriale n'est pas celle souhaitée par son gouvernement «D’abord, El Khabar n’a pas la ligne éditoriale qu’il souhaite. Ensuite, Hamid Grine fait partie d’un gouvernement. Evidemment, il n’agit pas seul. Quoi qu’il en soit, El Khabar fait son travail. C’est lui (le ministre) qui n’est pas professionnel. Il dit : j’ai servi l’État. Hamid Grine était où quand on mourrait dans les années 1990 ? Il était où en 1994 quand il y avait le gouvernement du jour et le gouvernement de la nuit ? Il était où quand nous étions contraints de changer d’itinéraires ? Il était où quand nous sortions de nos maisons sans être sûrs qu’on allait y revenir le soir ? Il était correspondant sportif au Maroc avant de devenir rédacteur en chef d’un hebdomadaire économique proche du palais. Pourquoi n’était-il pas resté ici avec nous durant les années noires pour défendre cet État ? Moi je n’ai pas travaillé chez le Makhzen. Donc, j’ai le droit de m’exprimer !» dit-il.



+D'INFOS

Photos. Béjaia : Le Port sec construit illicitement par le fils d'un général démoli !

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La justice a tranché dans l'affaire du port sec construit par un fils d'un général pas loin de la caserne d'Aboudaou, en le déclarant illégal suite à une plainte déposée par le maire de Talla Hamza.



L'affaire, qui a pris des dimensions inattendues après la médiatisation par le chef du groupe parlementaire du Front des Forces Socialistes (FFS), Chafaa Bouaiche, et l'implication de la population locale menaçant d'investir la rue, prend fin avec la démolition du port sec.

L'action de démolition entreprise par les autorités locales, a été saluée par la rue Bougiote et la toile Kabyle.


Plus de 150 passagers à bord d’un avion fissuré d’Air Algérie

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Une fissure constatée sur le fuselage d’un appareil de la compagnie Air Algérie, assurant la liaison Constantine-Tamanrasset (vol 6342), a contraint le pilote de regagner la base mère pour une opération de maintenance.

Liberté 



D’une source bien informée, nous avons appris, hier, que l’appareil, un Boeing 737-800, avait décollé de Constantine, samedi à 15h30, avant d’atterrir à Tamanrasset vers 19h après avoir effectué une escale à Ouargla.

Selon la même source, plus de 150 passagers étaient à bord de l’avion qui aurait été touché par le transporteur de l’escabeau d’accès avant son décollage.
Ce n’est qu’en arrivant à Tamanrasset qu’on s’est rendu compte de la fissure qui était à l’origine de l’annulation du vol retour. À la délégation régionale d’Air Algérie à Tamanrasset, on a assuré que les passagers ont été tous pris en charge à la suite de cet incident fâcheux et expliqué que l’aéronef endommagé a été soumis à une expertise sur avis de l’entreprise de contrôle technique Verital.

Une équipe de réparation de fuselages a été dépêchée à Tamanrasset pour colmater la fissure afin de permettre à l’appareil de rejoindre la base de maintenance d’Alger. Toutefois, l’avion restera cloué au sol en attendant l’accord de navigabilité délivré par des experts de la compagnie, ajoute-t-on.

VIDEO. Issad Rebrab :«Ils veulent pas qu'un Kabyle émerge ... Je ne suis pas de leur région ... je ne suis pas de leur clan»

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Issad Rebrab, le Président Directeur Général du plus grand groupe privé en Algérie et l'homme le plus riche du Maghreb selon le classement de Forbes, se retrouve une nouvelle fois en confrontation avec les teneurs du pouvoir, via un autre ministre, après son conflit «réglé» avec Bouchouareb.



En effet, le ministre de la communication, Hamid Grine a saisi la justice pour «Vérifier si le rachat d'El Khabar par une filiale de Cevital, Ness-Prod en l’occurrence était légal», une action traité le 2 mais dont le verdict tombera demain le 4 mai, par conséquence, El Khabar risque de baisser le rideau.

Selon Issad Rebrab le rachat du groupe de presse d'El Khabar était légal et ne souffre d'aucune ambiguïté «Le ministre nous a sorti l'article 25 du code de l'information stipulant qu'une seule personne morale de droit algérien n'a pas le droit d'avoir deux titres, alors que Ness-Prod est la personne morale qui a racheté les actions du groupe et ne détient aucun autre titre de presse» explique l'homme d'affaire « puis il nous sort l'article 17 stipulant qu'El Khabar doit demander un nouvel agrément parce qu'il a changé de propriétaire, alors que le journal d'El Khabar appartient toujours au groupe de presse d'El Khabar, Ness-prod, la filiale de Cevital n'a acheté que des actions» rajoute t-il.

Issad Rebrab se dit sûr de lui si la «la justice ne soit pas bafouer ... Mais si c'est un fait de prince, nous allons nous battre» met en garde le capitaine de l'industrie algérienne avant d'expliquer les blocages qu'il subit par le régionalisme, le clanisme et même l'anti-kabylisme « Ils veulent pas qu'un Kabyle émerge, je ne suis pas de leur région, je ne fais pas parti de leur clan, ils ont peur que je leur retire le pouvoir qu'ils bloquent» accuse t-il.

+DINFOS


Sa famille l’a enfermé dans une cave à Béjaïa : La terrifiante histoire d’un homme séquestré depuis 31 ans

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Il est des situations où l’homme reste sans voix devant certains comportements humains. L’histoire qui va suivre en est une. Elle est le récit de l’insoutenable calvaire que subit en ce moment même à Béjaïa une personne séquestrée depuis 31 ans par sa propre famille.



Le Soir d'Algérie



Pieds et mains ligotés par des chaînes, il se trouve dans une cave sombre spécialement conçue pour le priver de toute liberté, de tous mouvements par des geôliers qui ne sont autres que des membres de sa fratrie. Prenant son courage à deux mains, un cousin de la victime a décidé de rompre le silence en alertant la presse dans l’espoir que le détenu puisse recouvrer une vie humaine.

Les faits qu’il relate dépassent l’imagination. L’homme qui nous parle, Z. A., approche la cinquantaine. Sa gestuelle, les termes qu’il utilise et les moments d’absence durant lesquels il tente de se remémorer certains détails reflètent un traumatisme généré par cette situation terrifiante. Lui-même se dit avoir été victime d’un climat psychologique incroyable induit par le comportement d’un grand-père très spécial. Tout est parti de la folie de cet homme. «Mon grand-père était dominant, autoritaire. A la maison, personne ne pouvait le contredire, y compris mon père et celui de mon cousin (la victime). Il fallait impérativement obéir à tous ses ordres sans quoi, sa colère impitoyable s’abattait sur nous. A cette époque, mon cousin venait juste d’avoir 20 ans. C’était en 1985. Il avait alors été appelé au service national, mais il avait été très vite libéré pour un petit problème psychiatrique sans gravité».

C’est aussi l’époque à laquelle ce cousin découvre le tabac à chiquer. Il en est accro mais n’a pas les moyens d’en acheter et en quémande quotidiennement aux passants. Un jour, il tente carrément de dérober une boîte à chique d’une épicerie de sa ville, mais le propriétaire s’en aperçoit et réagit en le réprimandant. Le jeune s’emporte et brise la vitrine du magasin à coups de pierres. «Mes parents m’ont raconté que l’épicier s’est alors rendu chez mon grand-père pour se plaindre du fait». Le grand-père entre dans une grande colère. Il monte un plan machiavélique. C’est le début du calvaire de Z. A. Celui-ci se trouve dans une partie du jardin lorsqu’il voit venir vers lui son grand-père. Il est dans une fureur indescriptible. A l’aide d’une corde, il ligote son petit-fils à un arbre et le laisse ainsi, privé de nourriture durant plusieurs jours. Mais le temps qui passe n’apaise pas sa colère. Il prend la décision de l’emprisonner dans l’écurie familiale, située à une dizaine de kilomètres de la maison. La victime est enchaînée, abandonnée à son propre sort. Nul n’a le droit de lui rendre visite. La décision vaut également pour les parents et la grand-mère. «Ces années au service du grand-père diabolique sont difficiles à résumer, à raconter. Pour lui, seul compte son monde mental. Les autres sont des instruments. Il nous a enfermés dans ce climat psychologique pendant de longues années jusqu’à sa mort. Sa démence en a contaminé plus d’un, elle a fait des ravages».


Le grand-père finit par décéder, mais la victime n’en est pas pour autant libérée. Sa sœur, plus âgée d’une dizaine d’années, prend le relais. «Elle est d’une extrême méchanceté, elle est restée célibataire. Cette femme est dénuée de tous sentiments. Elle est là à surveiller tout le monde et personne n’ose franchir le seuil de sa demeure. A présent, il faut en finir et tout faire pour libérer mon cousin», fond en larmes notre interlocuteur. «Actuellement, il est malade, un membre de la famille a réussi à l’entrevoir après avoir escaladé le mur de la forteresse. C’était il y a cinq mois, il était souffrant, il avait été pris d’une crise épileptique, tout le monde dans son entourage pensait qu’il allait mourir. Même sa sœur, la geôlière était prise de panique. Pour la première fois, elle a accepté de le détacher. L’opération était difficile. Puis, elle lui a rasé la tête complètement et n’importe comment puis elle l’a nettoyé avant d’appeler les secours. En 30 ans, c’est la seule fois où il sortait de sa cave. Son frère cadet ne l’a pas quitté jusqu’à son retour en prison. Les pompiers qui étaient venus ignoraient complètement ce qui se passait», ajoute le cousin témoin. Le drame est que tout le voisinage sait par contre de quoi il en retourne. Ici, tous savent et se taisent. Silence compromettant, complice, incompréhensible…

Atterré par cette situation, le cousin de la victime décide un beau jour de dévoiler l’affaire aux autorités. «Il y a huit ans j’ai été au commissariat du 2e arrondissement déposer une plainte et signaler ce drame, l’officier m’a alors orienté vers un autre policier qui a pris note et mon affiliation sur une simple feuille pour ensuite ne rien faire. Tout le monde a cru qu’il s’agissait d’une pure farce».
Alertée à son tour, la Ligue des droits de l’Homme, bureau de Béjaïa, a réagi à travers son vice-président. Saïd Salhi estime que cette affaire est «un cas d’une extrême gravité» et interpelle les instances judiciaires, toutes les âmes sensibles à agir rapidement pour libérer l’homme en question, «il s’agit d’une affaire de dignité humaine. Si ce monsieur est malade, sa place n’est pas dans un cachot mais plutôt dans un hôpital, je suis vraiment ému par ce drame humanitaire».

A l’heure actuelle, la victime est toujours enchaînée dans cette cave sombre. Mais, aujourd’hui tout le monde sait. Le soulagement est peut-être proche pour Z. A…
Kamel Gaci

Le ministre de l'industrie, Bouchouareb exige des britanniques l’exclusion d'Issad Rebrab

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C'est une nouvelle page qui s'ouvre dans le conflit qui oppose le richissime homme d'affaire Issad Rebrab, PDG du plus grand groupe privé en Algérie et au Maghreb, et le gouvernement algérien.




En effet, après l'action judiciaire déclenchée par le ministre de la communication, Hamid Grine, pour annuler le rachat du groupe de presse El Khabar par une filiale de Cevital, Abdesslam Bouchouareb, revient à la charge contre «le capitaine de l'industrie algérienne» selon le quotidien francophone Liberté citant la direction de communication dudit groupe industriel.

Selon la même source, le ministre de l'industrie a exigé l’exclusion d'Issad Rebrab à défaut de boycotter un forum d’investissement algéro-britannique, qui aura lieu à Alger le 22 mai, dont l'agence de communication Business Development Manager (ABM), basée au 150 Tooley Street à Londres avait déjà conclu un contrat de sponsoring avec Cevital à hauteur de 8 000 livres et qui fait du groupe le sponsor majeur de l’événement.

Voir également : VIDEO. Issad Rebrab :«Ils veulent pas qu'un Kabyle émerge ... Je ne suis pas de leur région, je ne suis pas de leur clan»


Voici le récit incroyable du journal appartenant à Issad Rebrab «Début avril, le Groupe industriel Cevital est contacté par une agence de communication britannique, Business Development Manager (ABM), basée au 150 Tooley Street à Londres, pour lui proposer de participer à un forum d’investissement algéro-britannique, qui aura lieu à Alger le 22 mai, mais aussi s’il était intéressé de participer au sponsoring de l’événement. La réponse, pour un grand groupe comme Cevital et un capitaine d’industrie comme Rebrab, ne pouvait être qu’affirmative. Jusque-là, point de problème. Les choses allaient normalement à la grande satisfaction des Britanniques qui apprécient fort bien la participation du capitaine de l’industrie algérienne à un forum dédié à l’investissement.

Le Groupe Cevital a accepté de sponsoriser le forum à hauteur de 8 000 livres. Le contrat est établi dans les formes. Or, ne voilà-t-il pas qu’hier, le jour où le ministre de la Communication rageait contre Issad Rebrab, la direction de la communication du Groupe Cevital reçoit un message inattendu du patron de Business Development Manager (DMA), James McKay, qui l’informe qu’il venait de recevoir une injonction d’une “autorité gouvernementale” qui a exigé de sa boîte d’éliminer le président du Groupe Cevital de la liste des participants au forum, à défaut de quoi le gouvernement algérien ne sera pas au rendez-vous. On imagine la stupéfaction des Anglais, dont le flegme légendaire est pour ainsi dire mis à rude épreuve.

Pour eux, assurément, il est pour le moins incompréhensible qu’une autorité gouvernementale agisse de la sorte contre un industriel et un contributeur de premier ordre. Par retour d’e-mail, le patron de DMA s’est entendu répondre par la direction de la communication du groupe que Cevital maintient sa participation au dit forum et, du coup, décline la proposition de remboursement des frais de sponsoring qui lui a été faite. Contactée par nos soins, la direction de la communication de Cevital s’est déclarée “étonnée” que le gouvernement agisse de la sorte, déplorant “l’image très négative” ainsi donnée de l’Algérie, et qu’il est, de ce fait, “vain, dans ces conditions, de tenter d’instaurer un climat de confiance entre les investisseurs nationaux et étrangers”.

L’on a appris, par ailleurs, que les autorités et les hommes d’affaires britanniques souhaitent vivement que le président de Cevital, le plus important investisseur algérien, soit au rendez-vous du 22 mai. Rappelons que la même autorité gouvernementale avait tenté par le passé d’empêcher la participation du patron de Cevital à un forum économique à Abu Dhabi. L’ambassadeur d’Algérie aux Émirats arabes unis avait, sur instruction d’une officine autre que le MAE, rayé M. Rebrab de la liste des participants. Le patron de Cevital est tout de même parti, officiellement invité qu’il était. Voilà des faits qui démentent les allégations de Hamid Grine sur sa prétendue veille à l’application de la loi et qui donnent la preuve de l’acharnement sur un groupe industriel, qui s’appelle Cevital.»


Cette nouvelle affaire laissent les observateurs perplexes sur les véritables raisons de cet acharnement contre le patron du groupe industriel créateur de richesse et deuxième exportateur après Sonatrach.

VIDEO. Procès d'El Khabar : le journal compte se battre pour survivre

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L'action en référé introduite par le ministre de la communication au prêt du tribunal administratif de Bir Mourad Rais pour «Vérifier si l'achat de 80% des actions du groupe de presse El Khabar par Ness-Prod, la filiale de Cevital», qui devait être traitée le 2 mai et reportée pour aujourd'hui 4 mai a été une nouvelle fois renvoyée pour le 11 mais sous demande de la défense «Afin d'étudier le dossier».






Des dizaines de journalistes, de fonctionnaires, d'El Khabar, activistes et responsables politiques, ont tenu un sit-in devant le tribunal pour apporter leur soutien au journal et dénoncer «Une nouvelle attaque contre les journaux indépendants».


Violences durant la célébration du printemps berbère : Les étudiants de l'université de Bouira décident de poursuivre la grève

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Le collectif des étudiants libres a été unanime, hier lundi, lors de l'assemblée générale qu'il a organisée devant le rectorat de continuer la grève qui a menée depuis 21 avril passé pour revendiquer légitimement et pacifiquement ses droits.



En effet, cette assemblée avait lieu dans le but de faire comprendre mieux le motif de la grève aux étudiants et détromper l'opinion estudiantine de la désinformation que mènent certaines personnes et médias en liant ce mouvement d'étudiants à la revendication politique ou autre. Ce mouvement libre est sans couleur politique, nos revendications sont claires et c'est qu'à l'intérêt de l'étudiant tout cela, nous explique un membre du collectif. L'assemblée générale est également pour objet de laisser la parole à l'étudiant et ouvrir le débat sur le mécanisme et la plate-forme de revendications.

Un débat qui s'est annoncé avec des interventions jugées mures et responsables de la part des uns et provocatrices de la part de quelques autres. L'un des représentants a tenu à souligner à propos de l'agresseur de l'étudiant, d'avoir présenter une demission de sa fonction et dispensé étant coordinateur des agents mais son collectif exige une radiation de l'université comme il revendique la libre expression et organisation. À la fin de l'assemblée les étudiants ont décidé d'occuper encore une fois le rectorat, la grève se poursuit donc pour sa deuxième semaine. Une autre assemblée générale aura lieu demain pour une série de propositions concernant la question.

Par Lounis.D

Le premier ministre français Manuel Valls s'exprime sur la photo de Bouteflika malade

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Le tweet «empoisonné» selon les teneurs du pouvoir suscite une grande polémique qui enfle toujours après les dernières déclarations de Amar Saadani accusant le premier ministre français de vouloir «se venger du président algérien» puisque «il n'a pas obtenu les contrats qu'il était venu chercher ».



Manuel valls, le premier ministre français qui a présidé une délégation ministérielle en visite de travail en Algérie début du mois d'avril juge ces déclarations «infondées» ce qui l'a poussé à appeler son homologue algérien, Abdelmalek Sellal pour lui exprimer et plaider sa «bonne foi»

Pour rappel, Manuel Valls a émis un tweet sur son compte officiel après son entretien avec le chef de l'Etat algérien, Abdelaziz Bouteflik «Échanges économiques, humains et sécurité : la relation franco-algérienne est forte, historique et stratégique.» illustré avec une photo de Bouteflika très fatigué, le visage livide, la bouche ouverte et l'air très mal en point.

Perturbations sur les vols d'Air Algérie

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Une gréve a été entamé par le personnel  naviguant d'Air Algérie ce matin du mercredi 4 mai, sans préavis, ce qui a généré une perturbation des vols, des retards ressentis par les voyageurs même si le service a été assuré.

Perturbations sur les vols d'Air Algérie


Selon les responsables de la compagnie aérienne nationale, le PDG d'Air Algérie a engagé des négociations avec le syndicat pour trouver un terrain d'entente.

A suivre ...

VIDEO. Issad Rebrab revient et charge le pouvoir :«On nous laisse pas investir dans notre pays»

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Issad Rebrab multiplie ses sorties médiatiques avec un langage libéré et franc, après avoir accuser le pouvoir de s'acharner contre lui pour des motifs politiques et régionalistes, l'homme le plus riche du Maghreb persiste et déplore le blocage de ses projets d'investissement en Algérie.








Le PDG de Cevital nie toute difficulté financière et affirme que son groupe industriel réjouis d'un surplus de liquidité qu'il veut investir en Algérie «Mais on veut pas nous donner la permission» accuse t-il avant de rajouter «nous sommes le seul pays au monde où il nous faut une autorisation pour créer des emplois et créer de la richesse» exclame t-il.

Issad Rebrab plaide pour la liberté d'investir «On demande la liberté qui est prévue dans la constitution pour investir et créer de la richesse».


Voir aussi :  VIDEO. Issad Rebrab :«Ils veulent pas qu'un Kabyle émerge ... Je ne suis pas de leur région ... je ne suis pas de leur clan»




VIDEO. Les confessions de Chakib Khelil :« J'ai un compte bancaire en Suisse pour ne pas payer les impôts ... »

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L'ancien ministre de l'énergie entre 1999 et 2010, Chakib Khelil, cité dans des scandales de corruption qui ont éclaboussé la compagnie nationale d’hydrocarbures SONATRACH et visé par un mandat d'arrêt international, se dit innocent après son retour des Etats Unis et se défend de toutes manœuvres politiques dont les observateurs lui reprochent durant sa tournée des Zaouias.



Chakib Khelil pense et se dit convaincu que le peuple algérien le voit innocent «J'ai 27 000 fans sur facebook, ce sont l'élite du peuple et ils pensent que je suis innocent alors qu'il n'y a que 500 personnes à penser le contraire».

L'ancien homme fort du secteur principal du pays avoue avoir mis une grande quantité d'argent dans un compte bancaire en Suisse pour éviter les charges des impôts des USA, selon lui, cet argent l'a reçu suite à sa retraite de la banque mondiale.


Affaire de la Photo «défigurée» de Bouteflika : Manuel Valls ne s'est pas excusé !

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Le tweet du premier ministre français Manuel Valls illustré par une photo jugée humiliante par l'opinion publique algérien, continu à agiter la scène médiatique et politique après l'information révélé par le quotidien français Le Parisien, prétendant que le chef de l’exécutif français aurait appelé son homologue algérien, Abdelmalek Sellal pour plaider sa «bonne fois».



Dans une déclaration à Chorouk News, le premier ministre Abdelmalek Sellal, nie avoir reçu un appel de Manuel Valls, ce qui confirme la prolongation de la tension diplomatique entre Alger et Paris.

En Algérie, le tweet de Manuel Valls est qualifié d'agression contre le président Abdelaziz Bouteflika, par l'«opposante» Louisa Hanoune, un acte de vengeance, par le SG du plus grand parti d’allégeance, Amar Saâdani.

Edito : Kabylie News et les partis politiques «Kabyles»

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Ce sont plusieurs formations politiques qui s'identifient au courant démocratique et séculaire ancré en Kabylie mais historiquement, ils sont deux à avoir traditionnellement une large base populaire dans la région, le premier et le plus vieux parti d'opposition en Algérie, le Front des Forces Socialistes (FFS) et le parti fondé par des animateurs du Mouvement Culturel Berbère (MCB) dont plusieurs étaient militants du premier, le Rassemblement pour la Culture et la Démocratie (RCD), à qui s'ajoutent le Mouvement qui prône «l'indépendance» de la Kabylie après avoir milité plusieurs années pour l'Autonomie dont même un «Gouvernement provisoire» a été créé par son leader à Paris (France) , et qui réjouit d'une montée qui «inquiète» la scène médiatiquo-politique algérienne .

Kabylie News par ailleurs est un journal électronique libre et neutre sans aucune appartenance partisane, qui oeuvre à s'ouvrir sur  l'universalité en gardant et en développant une vision Kabyle au monde, en consacrant sa ligne éditoriale à  l'observation de l'actualité algérienne et maghrébine avec un focus sur la Kabylie, mais en défendant dans l'absolu ses trois constantes : l'Amazighité, la démocratie et la laïcité.

L'équipe jeune de Kabylie News se retrouve souvent confrontée au traitement des informations qui peuvent nuire à l'image d'une des formations politiques «Kabyles» et provoquer des réactions violentes de ses partisans, en payant le prix de son impartialité et sa neutralité.

Pour cause nous tenons à préciser que Kabylie News refuse de tomber dans la propagande partisane ni l'autocensure pour des raisons politiques et/ou financières, KN restera virulente devant toutes dérives des uns et des autres, sans calculs politique.




VIDEO. Echorouk TV interroge les citoyens de Kabylie sur le MAK

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La chaîne de télévision privée Echorouk TV s'est penchée sur la question de «l'indépendance de la Kabylie» prônée par le Mouvement pour l'Autodétermination de la Kabylie (MAK) dont elle qualifie de mouvement séparatiste qui crée la discorde entre les régions du pays et la haine entre les algériens.



Le micro-trottoir d'Echorouk TV a interrogé des citoyens de Tizi Ouzou sur le MAK et sur ses revendications, ces derniers étaient partagés «Les puissances internationales qui soutiennent Ferhat Mehenni veulent les puits du pétrol au Sahara algérien» dénonce un citoyen alors qu'un autre s'étonne du parcours du leader du MAK «Comment on a pu faire d'un fils de Chahid, un homme qui revendique le séparatisme» par contre l'un des intervenants déplore l'Etat dont elle se trouve la Kabylie après 60 ans d'indépendance «Je dirais même qu'il a raison, après 60 ans ou est-on du développement de la région [...] Cet homme parle, si vous voulez suivez le, sinon choisissez un autre chemin».



Trois éléments de soutien aux groupes terroristes arrêtés à Bourmerdès et Bordj Bou Arréridj (MDN)

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Trois (03) éléments de soutien aux groupes terroristes ont été arrêtés jeudi à Bourmerdès et Bordj Bou Arréridj par des détachements combinés, indique vendredi un communiqué du ministère de la Défense nationale (MDN).

"Dans le cadre de la lutte antiterroriste, des détachements combinés ont arrêté, le 5 mai 2016, trois (03) éléments de soutien aux groupes terroristes à Boumerdes/1ere Région militaire (RM) et Bordj Bou Arrérirdj/5ème RM", précise la même source.

"Un autre détachement de l'Armée nationale populaire a découvert et détruit à Skikda/5ème RM, un abri pour terroristes, trois (03) canons de confection artisanale, 4,2 kilogrammes de matières explosives et d'autres objets", ajoute le MDN dans son communiqué.

"Dans le cadre de la lutte contre la criminalité organisée, un détachement combiné a saisi à Beni Ounif (wilaya de Bechar)/3ème RM, le matin du 6 mai 2016, dix (10) quintaux de kif traité", relève la même source.

D'autre part, un détachement à In Guezzam/6ème RM, a saisi deux (02) véhicules tout-terrain et 2,89 tonnes de denrées alimentaires.

"A Souk Ahras, Tébessa et El Tarf/5ème RM, des éléments des gardes-frontières ont déjoué des tentatives de contrebande de plus de 21 178 litres de carburant",selon la même source.



APS

Le coût faramineux de la grande mosquée d'Alger revu à la hausse ?

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Face à sa superbe baie, Alger construit l'une des plus grandes mosquées au monde, un projet controversé censé couronner le règne du président Bouteflika et servir de rempart contre l'extrémisme.


Le coût faramineux de la grande mosquée d'Alger revu à la hausse


Avec un minaret haut de 265 m, le plus élevé au monde, Djamaa El Djazair va taquiner le toit d'Alger, la colline de Bouzaréah qui culmine à 365 m.

Mais, pour l'instant, ce sont les grues qui dominent l'immense chantier de 40 hectares qui borde la voie rapide reliant Alger à l'aéroport.

Elles mènent une course contre la montre pour que la mosquée puisse ouvrir début 2017 malgré le scepticisme de nombreux experts.

Une fois terminée, la salle de prière de 20.000 m2 pourra accueillir jusqu'à 120.000 fidèles, ce qui en fera, selon ses concepteurs, le troisième lieu de culte musulman le plus important au monde derrière les immenses mosquées de La Mecque et de Médine en Arabie Saoudite.

Le site comprendra également une bibliothèque d'un million d'ouvrages, une salle de conférences, une Maison du Coran, un musée d'art et d'histoire islamique et un centre de recherche sur l'histoire de l'Algérie.

Ce vaste complexe sera enchâssé entre la Promenade des Sablettes, futur haut lieu touristique, et des quartiers populaires qui ont fourni des légions de jeunes aux groupes armés islamistes ayant plongé le pays dans la guerre civile au cours des années 1990.

Islam modéré


"Certains nous accusent d'avoir érigé un temple pour les intégristes", s'indigne Ahmed Madani, conseiller du ministre de l'Habitat, le maître d'ouvrage. "Au contraire, ce sont les islamistes qui sont hostiles à ce projet" qui constitue un "lieu emblématique de l'islam modéré en Algérie et va prémunir contre toutes les formes d'extrémisme", ajoute-il.

Selon lui, "l'idée de construire une mosquée emblématique de la culture algérienne et de la période d'après l'indépendance, trotte dans la tête des dirigeants algériens depuis 1962".

Mais, selon lui, le "rêve a commencé à se transformer en réalité" après l'arrivée à la tête de l'Etat d'Abdelaziz Bouteflika, connu comme un homme pieux, captivé par le soufisme et l'art et la civilisation musulmane.

L'Algérie compte déjà plus de 30.000 mosquées de proximité dans les quartiers et les villages.

Djamaa El Djazaîr "ne sera pas uniquement un lieu de culte. Elle sera un lieu où les liens entre la foi, la culture et la science seront renforcés avec sa bibliothèque ultra-moderne et la Maison du Coran ouverte à quelques 300 étudiants", souligne encore M. Madani.

Coût "faramineux"


Pourtant, la "mosquée Bouteflika" comme elle est surnommée ne suscite pas que des louanges. Son coût initial de 1,2 milliard d'euros est jugé "faramineux" en période de disette budgétaire et de raréfaction des devises. Un tel montant permettrait de construire de nombreux hôpitaux dans un pays en manque d'infrastructures de santé, jugent des internautes.

Ce prix risque encore d'augmenter si les délais ne sont pas respectés.

Lancé en mai 2012 en plein boom pétrolier et confié à une société chinoise, le chantier doit être livré début 2017, affirme le ministre de l'Habitat, Abdeladjid Tebboune, qui se rend sur les lieux une fois par semaine.

Cet objectif est "intenable" pour de nombreux experts interrogés par l'AFP. Car "le gros oeuvre est loin d'être terminé" et "les finitions prendront encore beaucoup de temps", estime un architecte, en citant les installations techniques, les revêtements des murs, les sculptures, les décorations et les calligraphies.

La mosquée sera en outre dotée de panneaux solaires et d'un système de récupération des eaux de pluie servant aux sanitaires et à l'arrosage des jardins.

Des experts s'inquiètent par ailleurs des risques liés à d'éventuels tremblements de terre dans une zone fortement exposée.

Le Pr Abdelakrim Chelghoum, expert en génie parasismique, a ainsi mis en garde les autorités sur le risque d'effondrement de l’édifice en cas de séisme majeur.

Il affirme que les études réalisées par un bureau d'études allemand sous-estiment la menace pour un ouvrage d'une telle importance, en particulier pour le minaret et la salle de prière de 150 mètres de côté sans poteaux intermédiaires.

Ces critiques sont balayées par les autorités. La mosquée "a été construite selon un système antisismique en mesure d'absorber de fortes secousses telluriques", assure M. Madani. "Il s'agit d'amortisseurs sismiques capables d'abaisser la magnitude d'un séisme de 9 à 3,5" sur l'échelle de Richter.

AFP

Alerte Météo : Le Bulletin Météorologique Spécial prolongé

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Le Bulletin météorologique spécial annonçant des pluies orageuses sur le nord du pays, émis par l'Office National de Météorologie a été prolongé pour la journée d'aujourd'hui, samedi 7 mai.

Alerte Météo : Le Bulletin Météorologique Spécial prolongé

En effet, l'OMS annonce des averses de pluie parfois orageuses et assez marquées qui continueront d'affecter durant la journée du samedi 7 mai 2016 les wilayas de l'est suivantes:

BORDJ BOU ARRERIDJ, SETIF, BEJAIA, SKIKDA, JIJEL, ANNABA, EL TARF, MILA, CONSTANTINE, OUM EL BOUAGHI, BATNA, KHENCHELA, SOUK AHRAS, GUELMA ET TEBESSA.

Le BMS est encours de validité jusqu'au samedi 7 mai 2016 à 21h avec des cumuls estimés qui atteindront ou dépasseront localement les 40 mm durant la validité.

L'ONM note de fortes rafales de vent sous orages.

Photos et Vidéos. "L'école des réfugiés" : Un nouveau projet de société est né

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Au moment où leur destin était compromit entre le marteau et l’enclume, des jeunes, dont la tendresse et la grandeur des cœurs est inestimable, sont partis goûter au quotidien malicieux de ces « étrangers » sans destin dans un pays économiquement incertain quant à son lendemain. En effet, des jeunes bénévoles enthousiastes de Tizi Ouzou s’organisent dans leur ville pour accompagner les réfugiés dans leur quotidien amère, où il était question de leur offrir des cadeaux, vêtements et insertion d’outils linguistique à usage sociétal. C’est la deuxième action qu’ils ont réussi en une semaine. Si la première fois ils étaient partis, d’une part, pour leur offrir des cadeaux, et, d’une autre part, s’enquérir de leur situation et de ce dont ils ont besoin, cette fois-ci, ils sont allé leur enseigner des éléments linguistiques de base, en quatre langues. 

C’est à cœur chaud et sang froid que des jeunes, étudiants pour la plupart, de Tizi Ouzou ont eu la brillante idée d’initier une structure autonome intitulée « L’école des réfugiés » concise pour accompagner les réfugiés subsahariens se trouvant dans la ville de Tizi Ouzou, et leur enseigner les éléments de base linguistiques. Arrivés sur les lieux, les réfugiés ont accueilli l’équipe des formateurs avec vivacité, s’adaptant, comme peut-on le remarquer, en quelques minutes avec le climat de ces familles démunis de refuges propres et sécurisés. C’était les enfants en un premier temps qui se sont jetés sur chacun des membres bénévoles pour les câliner. « Rien qu’à les voir sourire, cela nous encourage à partir loin avec eux » nous lança Nassim, l’un des initiateurs. Les adultes, en responsables primaires de la « tribu des subsahariens », ont ensuite souhaité la bienvenue à l’équipe, dont à leur tête un réfugié qui maîtrise parfaitement, à notre surprise, l’anglais et l’arabe. « Je l’ai apprise à l’école lorsque j’étais chez moi, au Niger » nous avait-il répondu lorsqu’on avait demandé auprès de lui.

Partagés en deux ateliers, les réfugiés ont choisi chacun le groupe dans lequel il voudrait apprendre. Le premier a été assuré par Athmane avec d’autres jeunes, qui enseignaient l’anglais, assisté par la suite du jeune réfugié anglophone qui traduisait, sans tabou ni obstacle, ce qu’Athmane essayait d’expliquer au groupe. 



Quant au deuxième Workshop,  il était animé principalement par d’autres jeunes, dont Younes, Micipsa, Nassim et d’autres, où il était question d’enseigner les langues française, arabe et Tamazight.




Émotion indescriptible chez les réfugiés…

Les enfants des réfugiés sautaient de joie sur les bénévoles dès leur arrivée sous la passerelle de la nouvelle gare de Tizi Ouzou, lieu où se réfugiaient les subsahariens.

…Et c’est réciproque chez les jeunes bénévoles

Le temps pluvieux a échoué de décourager ces jeunes bénévoles. Même sous la pluie, ils continuent leur action jusqu’au crépuscule de la journée. Ces jeunes, dont la seule récompense est le plaisir de voir les réfugiés sourire et s’adapter avec la société, sont restés attentifs face à la situation, tout comme le sage comportement des réfugiés qui étaient à l’écoute des leurs formateurs.

Il conviendrait de souligner, par ailleurs, qu'en dehors de la zone d’une couverture sécuritaire, les réfugiés ne pouvaient trouver qu’une lueur de grâce à coté de ce groupe qui a lancé "l’Ecole des réfugiés" dédiée particulièrement à l’accompagnement sociétal des subsahariens se trouvant à Tizi.

« Nous sommes encore plus actifs avec l’aide de la société civile qui nous écoute »

A peine le bilan de la première action diffusé sur la toile (réseaux sociaux Facebook et Twitter), la réaction de la société civile était plus que positive. Une sorte de consensus s’était superbement enquiert de l’action. En effet, c’était le compteur de l’adhésion d’autres jeunes bénévoles qui s’était répandue, à Tizi Ouzou, puis « à Béjaia, à Oran, à Alger, pour aller jusqu’à d’autres régions qui commencent déjà à nous demander s’il y a lieu d’utiliser le même concept dans leur région » nous confie Younes, l’un des initiateurs. Fot heureusement, il y a « une chose magnifique dans tout cela, c’est que la solidarité brille toujours » nous ajouta-t-il, et ce dans un pays qui tend à se perdre dans ses propre repères !


Depuis que la frontière entre l'humanité et son originalité est rompue, le bien n'est jamais opprobre !

Bien que d’autres actions attendent cette école, les jeunes initiateurs ne se limitent pas de regarder devant leur nez, car ce n’est guère un passe-temps, tant que « ça commence à prendre une envergure sérieuse dans la société qui tend à partager le concept initié à Tizi Ouzou » nous commenta un autre initiateur de ladite Ecole. De ce fait, une réorganisation des esprits va avoir lieu incessamment, selon la même source, où il sera question de redistribuer les énergies chaque semaine en les actualisant et les encadrant pour ne pas perdre son contrôle lorsque l'initiative pourra se concrétiser en un véritable projet de société. 

Notez que si les secrets de la vie résident derrière des plaisirs pour certains, pour les âmes charitables le plaisir n’est jamais accompli sans qu’il soit partagé. Bravo !


Photos de l'action :




























Images : Kabylie News. 

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