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France : Le titre de séjour « étudiant »

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Beaucoup d’étudiants étrangers arrivent en France en cette rentrée universitaire, pour poursuivre des études supérieures. Pour ces nouveaux arrivants le combat « administratif » ne fait que commencer. Une fois en France il faut prendre son courage à deux mains pour se retrouver dans le labyrinthe de l’administration française. C’est pourquoi nous essayerons essayer de simplifier l’essentiel de ces démarches.

Statut spécifique des ressortissants de nationalité algérienne oblige, les choses ne se passent pas de la même manière pour ces derniers que pour le reste des étrangers concernés par le titre de séjour. En effet, les algériens restent soumis à la procédure classique de demande de premier titre de séjour, contrairement aux autres étrangers qui arrivent en France munis d’un VLS (Visa Valant Titre de Séjour), dispositif en vigueur depuis le 01 septembre 2009. Distinguant alors ces deux dispositifs.

Le titre de séjour avec un visa d’études (VLS/TS)


Le visa Valant Titre de Séjour est délivré depuis le 01 septembre 2009 aux étrangers désirant poursuivre des études universitaires en France. Concrètement, le premier titre de séjour qui s’obtenait jadis en préfecture à l’arrivée de l’étudiant est délivré en amont par le Consulat du pays du demandeur et ensuite confirmé en France par l’Office Français de l’Immigration et de l’Intégration. Dans les trois mois de son arrivée en France, l’étudiant muni d’un Visa VLS/TS doit se rapprocher de l’OFII du ressort de son lieu de résidence pour apposer une vignette validant définitivement le premier titre de séjour. Il convient à cet effet fournir un certain nombre de pièces demandées par l’OFII (Copie du passeport, justificatif de domicile…etc.) Une fois la visite médicale effectuée (pour ceux qui ne l’ont pas déjà faite avant leur départ), l’OFII leur adresse une convocation pour apposer ladite vignette.

A signaler deux points importants : - Les étudiants dépassant le délai de 3 mois pour déposer un dossier au niveau de l’OFII  devient de fait des étrangers séjournant en France en situation irrégulière.

- La demande de renouvellement ne se fait pas au niveau de l’OFII mais au niveau de la préfecture du lieu de résidence.

Le cas des étudiants de nationalité algérienne.


N’étant pas concernés par le dispositif décrit précédemment, les étudiants algériens sont soumis à la procédure classique de demande de titre de séjour « étudiant ».

Dans les trois premiers mois de son arrivée (c’est-à-dire durant la durée de validité du visa long séjour), il convient de se rapprocher soit de la préfecture, soit au service des étudiants étrangers dans certaines universités ayant une convention avec la Préfecture.

Une fois le dossier déposé, l’étudiant algérien va être convoqué pour une visite médicale d’admission sur le territoire français, puis pour retirer son certificat de résidence temporaire portant la mention « étudiant ».

Il convient de rappeler ici que le premier récépissé de demande de délivrance d’un premier titre de séjour ne permet pas de voyager (la demande d’admission au séjour n’étant pas encore définitive mais en cours d’instruction, sauf dans le cas où les visa multi entrées est toujours valable)

Les conditions communes pour la délivrance du premier titre de séjour ou d’un visa valant titre de séjour.


Quelques soit la procédure et la nationalité du demandeur, pour prétendre à une admission au séjour en France en qualité d’étudiant, il faut remplir un certain nombre de conditions :

- Obtenir une inscription dans une université française par le biais de campus France ou, dans certains pays, directement par une demande d’inscription à l’université concernée ;

- Obtenir un visa long séjour pour « études » ou un Visa d’études valant titre de séjour ;
- Disposer de ressources suffisantes de l'ordre de 615.00 € par mois (ou par une prise en charge par une personne établie en France où à l’étranger, en gardant toutes les preuves de virements) ;

- Disposer d’un logement personnel ou d’un hébergement

A savoir :


En dehors des démarches relatives au titre de séjour, il faut rappeler que les étudiants étrangers, peuvent également sous certaines contions, demander une chambre universitaire et une bourse d’études sur plusieurs critères (le cas le plus courant étant celui des étudiant dont la résidence fiscale du père ou de la mère est fixée en France depuis au moins deux ans). Il est impératif de se rapprocher du bureau des bourses se trouvant dans chaque université et auprès du Crous concernant le logement universitaire.

Une fois la première année passée, le second combat à mener concerne celui du maintien de ce statut de séjour. Le renouvellement repose sur les conditions de première délivrance que sur de nouvelles conditions concernant les études et la vérification des ressources de l’année d’avant. Nous y reviendrons dans le détail afin d’apporter le maximum d’informations possibles, utiles, espérant-le.



Boualem KACHI
Doctorant en droit public.
bkachi@hotmail.fr

Vidéo. La capitale algérienne dans le Top 5 des pires villes du monde

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Vienne, Zurich, Auckland, Munich, Vancouver... Vous connaissez le classement des villes du monde où il fait bon vivre. Ces villes que l'on imagine sans problème. Un classement auquel fait écho celui du journal The Economist, qui, comme chaque année, fait état des pires villes de la planète. Celles que l'on imagine avec de gros problèmes. Conflits, maladies, surpopulation... Top 10. 

Il fait aussi bon vivre à Alger qu'à Dhaka ! Dhaka est une ville du Bengladesh. Dans le classement établi par la revue britannique «The Economist» qui enquête et évalue les conditions de vie dans 140 villes dans le monde, dans le classement 2009, publié hier, Alger arrive à la 138 ème place mondiale, ex-æquo avec Dhaka (Bengladesh), obtenant un score de 38,7. Seule la capitale du Zimbabwe Harare a fait pire, clôturant le classement de «The Economist» avec 37,5 points.
Après une piètre dernière position en 2008, la ville d’Alger a «progressé», cette année, d’une place .
Selon cette étude, les villes en-dessous de 50 points, à partir de la place 128 de Phnom Penh (Cambodge), représentent «un défi quotidien en matière de qualité de la vie», estiment les auteurs. Ces derniers ont établi une enquête qui mesure, selon plus de 30 indicateurs qualitatifs et quantitatifs, cinq grandes catégories, à savoir la «stabilité», les «soins de santé», la «culture et l’environnement», l’«éducation» et l’«infrastructure». Ces catégories sont compilées et pondérées pour fournir une note globale variant de 1 à 100, où 1 est jugé intolérable et 100 est considéré comme idéal.

Pour comparaison, des villes que l’on jugerait improbables, ont fait mieux que «La Blanche». Téhéran (Iran) arrive, ainsi, à la 129eme place, Karachi (Pakistan) à la 135eme, Lagos (Nigeria) 136eme et Abidjan (Côte d’Ivoire) à la 132eme place.





La publication britannique précise que son étude attribue les points en fonction de l’«instabilité civile» et l’«insuffisance des infrastructures» qui présentent des défis importants pour les citoyens, les villes d’Afghanistan et d’Irak n’étant pas incluses. «The Economist» rajoute que son classement mesure le degré d’«habitabilité» des villes concernées afin de quantifier les obstacles qui pourraient être présentés aux habitants. Le haut du tableau Le haut du tableau reste presque inchangé.

Vancouver reste la ville la plus facile à vivre au monde, obtenant un score de 98, en pôle position. Six des dix premières places du classement sont occupées par des villes situées au Canada et en Australie. Vancouver décroche un score de 98 -zéro étant insupportable et 100% idéal, grâce «à l’importante infrastructure canadienne», note l’étude. Vienne se place en deuxième position, devant Melbourne, Toronto, Perth, Calgary, Helsinki et Genève. Sydney et Zurich sont ex-æquo en 9e position. Parmi les villes européennes où il fait bon vivre, Stockholm et Hambourg arrivent en 14e position, Paris en 17e, Francfort en 19e, Copenhague en 21e et Berlin en 22e position. En revanche, Athènes obtient le plus mauvais score du continent avec 81,2 (63e rang). Les villes obtenant plus de 80 points «auront peu, le cas échéant, de défis en matière de qualité de la vie», selon l’enquête. Washington est 35e, Los Angeles est 48e tandis que Londres atteint le 51e rang juste devant Rome (52). Moscou est 69e, Pékin est 76e, Rio de Janeiro, Sao Paulo et Johannesburg sont 92e et Bangkok 100e. Un peu plus bas, on retrouve principalement des villes asiatiques et africaines: Manille (108), New Delhi et Le Caire (114), Bombay (120), Nairobi (122) et Lusaka (126). «En fin de classement, les villes qui affichent les plus mauvaises performances, sont en Afrique et en Asie, où l’instabilité civile et les infrastructures insuffisantes représentent des défis importants», concluent les auteurs de l’enquête


(Avec Algerie-focus et le Matin DZ)

Qui est le général Tartag, le nouveau patron du DRS ?

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Le général à la retraite Athmane Tartag est le nouvel homme fort des services de renseignement algériens. Depuis hier, il est le nouveau patron du DRS.


Athmane Tartag est né au début des années 1950 dans la région de Constantine. Après une licence de géographie obtenue à l’université de Constantine, il répond à l’appel lancé dans les années 1972 par le président Boumediène, qui souhaitait voir les jeunes licenciés rejoindre l’ANP.

Recruté par la Sécurité militaire (l’ancêtre du DRS) en 1972, alors qu’il est encore étudiant, Athmane Tartag se voit confier, en 1978, la gestion du bureau de sécurité d’Oum El Bouaghi, puis en 1981 celui de Jijel. Ce n’est qu’en 1985 que le jeune officier des services de renseignement est affecté à Alger pour prendre en charge le bureau de sécurité de la wilaya.

Il est relevé de ses fonctions et connaît sa première traversée du désert, qui durera une année, avant de se voir confier la garnison d’Alger. A la faveur de la restructuration de la Direction centrale de la Sécurité militaire (DCSM) qui deviendra la Direction centrale de sécurité de l’armée (DCSA), il est installé comme directeur régional pour la 5e Région militaire.

Dans les années 1990, il est rappelé à Alger pour être nommé sous-directeur de l’opérationnel à la DCSA. C’est à cette période que le «bombardier» Tartag se fait connaître pendant la lutte antiterroriste, dont il sera l’un des principaux acteurs. Farouchement «éradicateur», Tartag va payer les accords passés lors des négociations entre les Services de sécurité et les éléments de l’AIS.

Il sera durant cinq ans placardisé (1999-2005) dans une structure panafricaine, loin de la campagne pour la réconciliation qui battait son plein à Alger. Ironie de l’histoire, c’est le général-major Mohamed Mediène qui le rappellera auprès de lui en qualité de conseiller, avant de l’installer à la tête de la Direction de la sécurité intérieure (DSI), suite à la mise à la retraite du général Abdelkader Kherfi, dit Ahmed.

Devenu le n°2 du DRS, il a assuré de fait le commandement de l’intervention militaire lors de l’attaque terroriste du site gazier d’In Amenas, en janvier 2013, qui a fait une trentaine de morts parmi les otages étrangers. Mis à la retraite en juillet 2014, on le disait en froid avec le patron du DRS. Il sera de nouveau rappelé par le Président pour occuper un poste de conseiller à El Mouradia.

Qui est le général Tartag, le nouveau patron du DRS ?


Salim Mesbah pour El WATAN

Nouvelle vidéo de l’effondrement de la grue sur la mosquée de la Mecque

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Les autorités saoudiennes ont annoncé samedi que le pèlerinage annuel aurait lieu comme prévu malgré la chute d'une grue qui a tué 107 personnes à la Grande mosquée de la Mecque, où les fidèles sont retournés prier au lendemain du drame.

"Nous allons enquêter sur les causes, et ensuite nous annoncerons les résultats aux citoyens", a déclaré le roi Salmane après avoir visité le site de la tragédie, selon l'agence de presse officielle SPA.
Vendredi, à quelques jours du hajj, l'un des piliers de l'islam qui attire des centaines de milliers de fidèles du monde entier, une grue s'est effondrée en pleine tempête sur la Grande Mosquée à la Mecque, le premier lieu saint de l'islam dans l'ouest de l'Arabie saoudite.

Des témoins ont décrit des scènes de chaos: "Soudain, le ciel s'est couvert de nuages et le vent s'est mis à souffler violemment. Puis j'ai entendu le tonnerre et un grand fracas: c'était le bruit de la grue qui tombait", a raconté à l'AFP Mohamed un pèlerin venu du Maroc qui a survécu à l'accident.

"Beaucoup de gens ont été blessés, certains sont morts. Nous avions très peur, nous étions hystériques mais nous avons réussi à sortir", a relaté samedi Ahmed, un Egyptien.

L'accident a fait 107 morts et environ 200 blessés.


Il s'agit de la pire tragédie qui touche les lieux saints saoudiens depuis des années. Mais elle "n'affectera en aucun cas le hajj", a déclaré à l'AFP un responsable saoudien, ajoutant que les dégâts seraient "probablement réparés en quelques jours".
Environ 800.000 pèlerins étrangers sont déjà arrivés pour le hajj qui débute le 21 ou 22 septembre. Il s'agit de l'un des plus grands rassemblements religieux au monde auquel avaient pris part en 2014 quelque deux millions de fidèles.
Samedi, au moment où résonnait l'appel à la prière de la mi-journée, la foule était de nouveau compacte dans la Grande Mosquée. Un périmètre dans lequel gisaient encore des morceaux de la grue rouge et blanche qui s'est fracassée était toujours inaccessible, selon un correspondant de l'AFP sur place.
Selon des témoins, des Saoudiens et des étrangers se sont immédiatement mobilisés après la tragédie pour faire des dons de sang.
- Enquête en cours -
Le porte-parole des deux saintes mosquées (La Mecque et Médine), Ahmed ben Mohamed al-Mansouri, a expliqué la chute de la grue par "les vents violents et les fortes pluies".
Une commission d'enquête a déjà commencé ses investigations et l'entrepreneur de travaux publics a reçu l'ordre de sécuriser les autres grues du site, a précisé l'agence de presse saoudienne SPA.
L'édifice religieux est en effet entouré de plusieurs grues utilisées pour exécuter un énorme projet destiné à agrandir la superficie de la mosquée de 400.000 mètres carrés, ce qui permettrait d'accueillir jusqu'à 2,2 millions de personnes à la fois.
Irfan al-Alawi, co-créateur de la Fondation pour la recherche du patrimoine islamique basée à la Mecque, estime que les autorités ont fait preuve de négligence face au danger représenté selon lui par ces grues. "Ils ne se préoccupent pas du patrimoine et ils se moquent de la santé et de la sécurité".
Un ingénieur du groupe de travaux publics qui mène le projet s'est toutefois défendu, affirmant qu'il n'y avait pas eu de défaillance technique.

La grue qui était là "depuis trois ou quatre ans était installée de manière professionnelle", a-t-il déclaré sous couvert d'anonymat, estimant que le drame relevait de la "volonté de dieu".
Le groupe saoudien Ben Laden Group qui appartient à la famille du défunt fondateur d'Al-Qaïda Oussama Ben Laden, mène les travaux d'agrandissement.

Les autorités n'ont toujours pas fourni de détails sur la nationalité des victimes alors qu'un grand nombre de pèlerins étrangers se trouvaient sur place aux côtés de fidèles saoudiens.
Certains pays ont confirmé des victimes parmi leurs ressortissants: l'Indonésie (2 morts et 31 blessés), l'Inde (2 morts et 15 blessés), la Malaisie (10 blessés et six disparus), l'Iran (15 blessés) et l'Egypte (23 blessés).

L'agence SPA a indiqué que le roi Salmane avait exprimé ses condoléances aux familles de victimes, et visité un hôpital où se trouvaient des blessés notamment iraniens, turcs, afghans, égyptiens et pakistanais.



- Condoléances étrangères -


Plusieurs dirigeants étrangers, dont ceux de Russie, de Grande-Bretagne et d'Inde, ont adressé des messages de condoléances à l'Arabie saoudite.

Le hajj n'a pas connu d'incidents majeurs ces dernières années, l'Arabie saoudite investissant des milliards de dollars dans les autres infrastructures pour faciliter les mouvements de la foule.
En janvier 2006, 364 pèlerins sont morts piétinés lors d'un mouvement de panique, et 251 deux ans auparavant. En juillet 1990, 1.426 pèlerins ont péri, la plupart étouffés lors d'un mouvement de panique dans un tunnel.

DRS. La véritable photo du général Tartag révélée

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Plusieurs photos circulent sur le web présumée comme étant les photos du nouveau patron du Département de Renseignements Secrets (DRS), Le général Athmane Tartag, dit Bachir, nommé hier à la tête du DRS, en replacement du général Toufik.

Le site électronique Tout sur l'Algérie (TSA) révèle une photo prise il y a deux ans au moment où il dirigeait la sécurité intérieure du DRS (DSI). On le voit, en costume à rayures, assis à droite du général Boustila, ancien commandant de la gendarmerie nationale, mis à la retraite la semaine dernière.



DRS. La véritable photo du général Tartag révélée
©TSA GÉNÉRAL TARTAG À GAUCHE



HAFID DERRADJI : Merci pour tout… mon général !

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Le journaliste sportif Hafid Derradji tenant une chronique sur un journal électronique francophone s'est affiché reconnaissant envers le général Toufik mis en retraite par Bouteflika.

Texte intégral :



Le voile est enfin levé sur le scénario que nous attendions depuis longtemps. Un scénario consistant à éliminer tous les hommes soupçonnés de vouloir rejeter le plan français, et visant à se venger de l’institution militaire, du DRS et du général Mohamed Mediene. Ce dernier a observé le silence durant plus de 20 ans, et a respecté les décisions du président, y compris celles ayant touché directement les services de renseignements, les hommes de ce corps et même sa propre personne.

Mais cette discipline ne l’a pas sauvé, comme elle ne sauvera pas d’autres hommes qui tomberont, les uns après les autres, pour mettre ainsi les institutions de la République entre les mains de la nouvelle mafia qui conduira le pays à l’effondrement.

C’est hier qu’a débuté le dernier épisode de ce scénario, concocté au Val-de-Grâce pour détourner l’État et mettre en œuvre le projet de la succession, en se vengeant du peuple, de l’institution militaire et de ses hommes ayant refusé la mise à genoux de l’Algérie. Ces hommes qui se sont dressés devant Saïd Bouteflika et ceux qui le soutiennent au sein de l’État qu’on veut mettre entièrement à la disposition d’un seul homme impotent qui déléguera, par la suite, ses prérogatives à des individus incapables de gérer ne serait-ce qu’une petite commune !

La décision « française » de limoger le général Mohamed Mediene, qui a été signée par le président et mise en application par son frère et ses complices, était prévisible depuis longtemps. Cela en dépit des assurances de beaucoup de partisans qui ne cessent d’affirmer que la restructuration de l’armée et du DRS se fait en accord avec le général Mohamed Mediene. Selon eux, elle vise à édifier un État civil et permettre le retour de l’armée dans les casernes pour se concentrer sur ses missions fondamentales, consistant à protéger la patrie et l’unité de son territoire. En réalité, vous êtes en train d’appliquer un agenda étranger et vous voulez mettre fin à votre complexe vis-à-vis du DRS, dont vous souffrez depuis longtemps.

Après son départ, le général Mohamed Mediene deviendra en un court laps de temps un traître, celui qui est à l’origine de toutes les crises traversées par l’Algérie. Des pseudos hommes n’hésiteront pas à tirer à boulets rouges sur lui. De même pour ceux qui se cachaient derrière lui, qui prétendaient être ses proches ou ceux qui souhaitaient recevoir un appel de lui et le rencontrer. Ces derniers n’oseront pas faire de témoignages objectifs sur l’homme, car ce sont des lâches qui se mettent toujours du côté du plus fort. Même Amar Ghoul n’osera plus parler à nouveau de ses matchs de foot disputés avec Toufik, car il aura peur de Saïd.

Beaucoup, parmi ceux qu’on croyait être des hommes honnêtes qui reconnaissent la supériorité des autres, vont se mettre à plat ventre. De nombreux esclaves vont se prosterner aux pieds du nouveau Dieu de l’Algérie (Rab Dzaïr), qui deviendra ainsi roi sans aucune concurrence. Cela jusqu’à ce que le peuple décide de récupérer sa souveraineté, une fois qu’il sera lassé par la dictature, l’injustice et la corruption et qu’il aura compris que ce qui s’est passé, depuis le retour du président de l’hôpital « Val-de-Grâce », est un plan diabolique devant ouvrir la voie à un néocolonialisme français en Algérie. Un plan qui mettra le peuple à genoux pour s’approprier des richesses du pays, soit une plus grande escroquerie !


L’homme « énigme », comme il est baptisé, n’attend personne pour le défendre et n’a besoin de quiconque, comme toujours. Mais il sera poignardé dans le dos par ses plus proches, car l’expérience en Algérie nous a appris que les loups n’hésiteront pas à manger les hommes qui sont déjà à terre. Le même sort sera réservé prochainement à Ahmed Ouyahia, à Abdelmalek Sellal et à Gaïd Salah qui seront chassés par le frère cadet du président, qui placera à leurs postes ses propres hommes : ceux issus de sa région, les corrompus, les défaillants, les mauvais et les détenteurs de l’argent sale qui ont infiltré les institutions de l’État, pillé les richesses et contribué à la régression de l’Algérie à tous les niveaux, malgré l’abondance des ressources financières, dont nous disposions.

Personne ne doute du fait que le général Mohamed Mediene assume une part de responsabilité dans ce qui s’est passé en Algérie et de la situation actuelle, car il était parmi les soutiens de Bouteflika. Cependant, le peuple découvrira bientôt que le problème de l’Algérie n’est pas le général Toufik, que ce ne sera pas résolu avec son départ et que celui-ci n’était pas « Rab Dzaïr » comme prétendu. Il n’était pas non plus maléfique, ni un collaborateur ou un ogre. Les Algériens découvriront que l’État civil qu’on nous a promis est en réalité qu’une nouvelle dictature absolue, dont les responsables n’hésiteront pas à exterminer le peuple pour rester au pouvoir.

Nous flairons une odeur nauséabonde, dont on ne se débarrassera qu’après votre départ à tous et pas seulement celui du général Toufik. Car la responsabilité de cette tension, de cette régression et de ce sous-développement est à assumer aussi par le président, son frère Saïd et ceux qui sont avec eux, pas seulement par le DRS sur lequel s’est appuyé Bouteflika pour devenir président et le rester pendant plus de 15 ans. De ce fait, il ne pourra pas dire, aujourd’hui, qu’il vient juste de découvrir que le général « Toufik » est à l’origine des problèmes de l’Algérie.

Monsieur le général,

Parce que vous avez accepté de partir pour éviter à l’Algérie des problèmes plus graves, contrairement à beaucoup de lâches, je n’hésiterai pas à vous remercier pour ce geste. Vous avez accepté de quitter après avoir lutté dignement et souffert dans votre combat contre le mal. Je n’hésiterai pas à vous présenter mes remerciements pour tout ce que vous avez fait pour l’Algérie pendant plus de deux décennies et que vous disiez toujours ceci : « Il est le président, il faut respecter ses décisions ». Merci d’avoir respecté la décision du président en acceptant de partir. Merci pour tout ce que vous avez donné pour l’Algérie, général. L’Histoire racontera ce que vous avez consenti pour la patrie. Nous allons mémoriser tout ce qu’ils ont fait contre le pays. Il faut que vous sachiez qu’ils seront démasqués après votre départ. Sachez aussi qu’en Algérie il y a aussi de nombreux « gènes » de Toufik, et que les hommes n’abandonneront pas la République.

derradjih@gmail.com



Aïd el-Adha sera célébré le jeudi 24 septembre

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L'Aïd el-Adha sera célébré le jeudi 24 septembre 2015, a annoncé lundi le ministère des Affaires religieuses et des wakfs dans un communiqué.




En raison de la non observation du croissant de Dhi el-Hidja hier dimanche 29 Dhi el-qida 1436 correspondant au 13 septembre 2015, le ministère annonce que demain mardi sera le premier jour de Dhi el-Hidja, précise le communiqué.



"Le rassemblement sur le Mont Arafat aura lieu le mercredi 9 Dhi el-Hidja 1436 correspondant au 23 septembre 2015, tandis que l'Aïd el-Adha sera célébré le jeudi 10 Dhi el-Hidja 1436 correspondant au 24 septembre 2015", a-t-il souligné.



APS

Vidéo. Bousseyalla, le mouton à 90 millions de centimes

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Echaudés par plus d'une dépense, les ménages affichent de moins en moins d'engouement quant au sacrifice de l'Aïd El Adha, cette fête religieuse aux mille et une senteurs perdues.

A quelques jours de l'Aïd El Adha, les chefs de famille continuent de prospecter les souks et les points de vente, à la recherche d'un mouton au prix raisonnable, pour la circonstance, comme ils ont l'habitude de faire jusque-là. Il est vrai que, bon an mal an, les prix ont de tous temps évolué, mais jamais autant que cette année. L'agneau le moins cher coûte entre 32.000 et 35.000 dinars.
Le prix d'un mouton moyen varie entre 50.000 et 60.000 allant jusqu'à 100.000 dinars. Les éleveurs et les revendeurs justifient cette hausse fulgurante par la cherté de la vie en général et de celle des aliments du bétail en particulier. Dans ce contexte, des maquignons approchés, eux-mêmes, ont confirmé la cherté du cheptel cette année. Aussi, ils expliquent que la disponibilité des moyens de transport fait que jusqu'à 70% des moutons proposés à la vente à l'occasion de l'Aïd El-Adha sont ramenés du nord du pays Annaba notamment, se répercute directement sur les prix. Ajoutons dans le même sillage que les intermédiaires qui procèdent, peu avant la fête de l'Aïd El-Adha, à l'achat des cheptels pour les placer dans des garages et des hangars dans la ville, «influent» aussi sur le prix des bêtes et le font grimper. L'on affirme que les intermédiaires ne négocient même pas le prix des bêtes, les embarquent le plus rapidement possible, convaincus que tout sera vendu et que la marge bénéficiaire est assurée.

A l’image des combats de coqs en Asie, l’Algérie se distingue dans ce genre de traditions par ses combats de… moutons ! Dans certaines régions rurales, les habitants disent que c’est une pratique aussi vieille que le monde. Peut-être, mais ces dernières années, force est de constater qu’elle s’est répandue dans tout le pays et se développe maintenant aux abords des grandes villes. Dans les banlieues d’Alger, Oran, Batna ou Djelfa, les combats de moutons sont désormais très fréquents, et il ne s’agit pas que d’une distraction. En jeu ? Souvent de grosses sommes d’argent qui proviennent des paris faits au moment des combats. Pour certains propriétaires, cela peut être un vrai business et une source de revenus non négligeable. Il n’est pas rare que certaines mises atteignent plusieurs dizaines de milliers de dinars, voire parfois quelques centaines de milliers lors de certains combats. Quant aux bêtes concernées, si une poignée de privilégiées bien bâties acquièrent le statut de star grâce à leurs victoires, les autres sont la plupart du temps délaissées après les combats. Cette pratique, qu’elle relève d’une tradition ou de la simple cupidité, ne fait bien sûr l’objet d’aucune réglementation et est totalement illégale. Les pouvoirs publics n’ont pas eu l’air de s’en préoccuper beaucoup jusque-là.






Le général Toufik ne partira pas seul : Remaniement ministériel imminent

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Le départ de l'ex-patron du DRS ne sera pas sans conséquence sur la scène politique algérienne, c'est ce qu'avancent plusieurs analyseurs repris par des médias algériens, qui chacun selon inféodation s’étale sur l'avenir du système algérien et la méthode dont le «sérail» procédera pour former le gouvernement sans le général Toufik. 

Le journal électronique arabophone SabqPresse, va très loin en nommant même des ministres qui ne feront plus parti du nouveau gouvernement sans le soutien du général Toufik après le remaniement imminent  qui suivra la mise en retraite de ce dérnier. Selon ledit journal, le premier concerné est le premier ministre, quatre fois chef du gouvernement, Abdelmalek Sellal, ainsi que Remtan Laamamra actuel ministre des affaires étrangères, selon SabeqPresse, même Tayeb Louh actuel ministre de la justice est menacé par ce changement de l'équipe gouvernementale.

De son coté Algérie1 va plus loin en désignant les hommes de Toufik comme orphelins délaissés, en rapportant les propos de «Sources bien informées» qui souhaitent garder l’anonymat « Louisa Hanoune, Amar Ghoul, Ahmed Ouyahia portent décidément la scoumoune. Tous ceux et celles dont ils prennent la défense finissent au rébus. Le dernier en date est l’ex-patron du DRS. Ils l’ont tant et si bien défendu, ainsi que tous ceux qui ont lynché Amar Saadani à la suite de la charge qu’il a osée contre le puissant général, qu’ils l’ont désigné au mauvais sort ».

La rédaction d'Algéri1 rajoute en citant un ancien Moudjahid « vous allez voir, le président va, à présent, pouvoir doter notre pays d’une nouvelle Constitution qui va définitivement nous affranchir de la tutelle de l’armée et des services de sécurité, une constitution d’un pays réellement démocratique où l’armée n’est dotée d’aucune prééminence sur l’Etat et la Nation, où il n’y a plus d’article 25″.

« En effet, c’est ce fameux article, qui a fait plus de mal que de bien à notre pays en laissant l’armée sans tutelle. Souvenez vous de feu le général de corps d’armée Mohamed Lamari qui déclarait que « Lui (le président) il a ses prérogatives et nous, nous avons les nôtres » en référence à ce fameux article 25. Cet article tabou n’a jamais été évoqué ni par la vaillante et téméraire passionaria nationale de la démocratie, ni par le docte et courageux penseur cascadeur qui ne ménage même pas le Coran….et encore moins par les chantres de la démocratie »

De nombreux médias proches du cercle présidentiel font la promotion d'une opération qui vise à créer un Etat Civil et démilitariser l'Algérie, une cause noble que Bouteflika serait entrain de défendre et concrétiser, mais l'avenir nous dira si c'était le cas ou une simple lutte d'un conflit d intérêts entre les décideur au plus haut sommet de l'Etat.

Vidéo. Le député «Spécifique» Tahar Missoum accable le ministre de l’enseignement supérieur

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Après avoir fait le buzz sur les réseaux sociaux avec la vidéo de son intervention dans l'hémicycle de l'Assemblée Populaire Nationale en épinglant l'ancien ministre du commerce Amara Benyounes avec de la “nourriture pour chat” ! Originaire de la wilaya de Médéa, le député Tahar Missoum a assuré le spectacle à l’APN une autre fois devant le ministre de l’enseignement supérieur Tahar Hadjar.

Avec sa façon «Spécifique», le député déplore la situation actuelle du secteur l’enseignement supérieure en général, notamment le statut social des étudiants et le retard de l'Algérie dans la recherche scientifique.



Bgayet (Béjaia) : Un imam Salafiste renvoyé par les habitants de Feraoun

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Les habitants de Feraoun centre, village de la commune de Feraoun, à 30 km de Bgayet (Béjaia), ont renvoyé l’imam du village, salafiste de son état, originaire de Oued Souf, suite à une pétition initiée par l’association des sages du village, signée par tous les membres et approuvée par tous les habitants de Feraoun, a rapporté Tamurt. A son arrivée au village, il y a 6 ans, il a profité de l’hospitalité des habitants qui l’ont bien accueilli en lui offrant un logement gratuit selon les traditions et en le mariant à une jeune femme originaire de Bouaandas. Après avoir endormi la vigilance des villageois, il a commencé à répandre son venin en remettant en cause toutes les traditions et coutumes kabyles qui sont à la base de l’organisation du village ainsi que les pratiques religieuses laissées par l’ancien imam décédé (cheikh Tahar) à qui on reconnaissait une ouverture d’esprit.

La dernière lubie de l’imam salafiste a été de décréter le changement du nom du village car selon lui, le nom de « Feraoun » date d’avant l’islam !!! Cela a provoqué la colère des habitants qui ont estimé qu’il a franchi la ligne rouge. De plus, ils ont découvert récemment que lorsque sa femme attendait un enfant, il s’empressait de l’envoyer chez ses parents pour accoucher afin que le nom du village « Feraoun » ne paraissent pas sur les extraits de naissance de sa progéniture. La goutte d’eau qui fait déborder le vase, rapporte ledit journal électronique.

La population s’est unie afin de rédiger une pétition pour l’éviction de cet imam. Il rêvait d’étendre son pouvoir d’asservissement du village, mais c’était sans compter sur l’esprit de non soumission des Kabyles qui ont su résister à toutes les invasions depuis la nuit des temps.

Bgayet (Béjaia) : Un imam Salafiste renvoyé par les habitants de Feraoun




Bgayet (Béjaia) : Un mort et un blessé grave dans une attaque à Oued Amizour

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Le drame survenu dans la nuit de dimanche à lundi, aux environs de 22 heures, près du village Imaaziwen, sur les hauteurs de Mardj Ouaman, dans la commune d’Amizour à 25 kms de Bejaia est l’œuvre d’un groupe terroriste, avons-nous appris d'El Goual citant une source sécuritaire.

Le drame a eu lieu à quelques encablures de l’endroit où un arsenal de guerre avait été découvert par l’armée nationale populaire en août dernier. Les terroristes ont pris pour cible deux jeunes chasseurs tuant sur le coup l’un d’entre eux tandis que l’autre a pris la fuite pour alerter les services de sécurité. Les éléments de la brigade de gendarmerie se sont rendus immédiatement sur les lieux pour découvrir gansant dans une marre de sang le premier chasseur. L’opération de recherche déclenchée immédiatement n’a pour l’instant donné aucun résultat, ajoute la même source

Cette région est connue pour être un couloir qu’utilisent les terroristes pour joindre les bâbords à partir de l’Akfadou et la région de Tizi Ouzou. Récemment, les soldats de l’Armée nationale populaire avaient découvert dans la même région une importante cache d’armes et de munitions.

L'opération a permis de récupérer cinq pistolets mitrailleurs de type kalachnikov, un fusil semi-automatique de type Simonov, un pistolet automatique de type Tokarev, une grenade défensive, six chargeurs garnis, quatre détonateurs, un porte-chargeurs, une quantité de munitions, des médicaments et divers objets», avait précisé un communiqué sécuritaire. En 2007, cette zone avait été le théâtre d’une vaste opération de ratissage avec au bout l"élimination de plusieurs terroriste dont des émirs.


Après plus de 30 ans d'absence : Idir en tournée en Kabylie à la mi-octobre

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C'est le prochain rendez-vous majeur de l'artiste, qui devrait se mettre, juste après, en studio pour l'enregistrement d'un nouvel album dont la sortie n'est pas encore fixée par Sony, boite avec laquelle Idir reste lié, a révélé la dépêche de Kabylie, il sera présent à At Yanni, à l'Akfadou et Qalaa n'At Abbass.

Le chantre Idir va frapper fort avec son retour. En effet il a annoncé, sur la télévision BRTV, qu’il prépare un album dans lequel chanteront des monstres de la musique universelle. Il s’agit notamment de grands chanteurs français comme Maxime le Forestier, Patrick Bruel, Francis Cabrel et tant d’autres.

Lire Aussi : Vidéo. Les deux géants, Idir et Aznavour chanteront «la Bohême» en Kabyle



Tuerie de Oued Amizour (Béjaîa) : Acte terroriste ou bavure militaire ?

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Un jeune chasseur a trouvé la mort et un autre a été grièvement blessé, dans la soirée de dimanche, vers 22h30, dans les maquis de la commune Merj Ouaman, daïra d’Amizour, à une quinzaine de kilomètre à l’est de Béjaia, selon El WATAN qui cite des sources locale, la tuerie serait un bavure militaire contrairement à ce qu'affirme un autre média qui révèle un acte terroriste (Voir Ici).


En opération au lieu-dit Ibakourén, les militaires auraient ouvert le feu sur les chasseurs avant même que les victimes ne déclinent leur identité, a confié le blessé à l’un de ses proches, ajoute El WATAN.



D’après des sources hospitalières, les victimes ont été transportés vers l’hôpital d’Amizour cinq heures plus tard, soit, vers 3h du matin, avant qu’ils ne soient transférés à l’hôpital Khelil Amrane de Béjaïa.

Tuerie de Oued Amizour (Béjaîa) : Acte terroriste ou bavure militaire
Tuerie de Oued Amizour (Béjaîa) : Acte terroriste ou bavure militaire





Les services de sécurité, tous corps confondus en état d'alerte

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Confrontée à une crise structurelle, l’Algérie court le risque immédiat de vivre une explosion sociale à l’horizon 2017 et peut-être même avant. C’est la prévision de l’ancien chef du gouvernement, Ahmed Benbitour, invité du Direct de Radio M, la webradio de Maghreb Émergent. « Aujourd’hui, la crise est structurelle (...) D’autant que le pays connaît une baisse tendancielle de la production parallèlement à une augmentation tendancielle de la demande (énergétique) interne », a-t-il expliqué. De son coté le Chef du cabinet à la présidence Ahmed Ouyahia a affiché une crainte d'une révolte sociale en cas d'augmentation des prix notamment ceux du carburant.

Le journal électronique Tout Sur l'Algérie révèle aujourd'hui en citant des «de source sécuritaire de haut niveau» que le pouvoir anticipe une éventuelle explosion sociale dans un contexte de crise économique. Depuis quelques jours, les services de sécurité ont été mis en état d’alerte, . Tous les corps de sécurité sont concernés, y compris les services de la DCSA de l’armée, qui a récupéré les prérogatives du DRS. La décision est antérieure au limogeage du général Toufik. « Elle n’est pas liée à cette décision », précise notre source.

À Alger, les policiers et les gendarmes ont opéré de nombreuses arrestations dans les milieux de la délinquance et du banditisme. Des agents de la BRI, force d’élite de la police, sont déployés notamment dans le centre-ville de la capitale. Les barrages de contrôle de la police et de la gendarmerie ont été considérablement renforcés, surtout la nuit, dans les quartiers sensibles, notamment à Bab El Oued, rajoute la même source.

Selon Tout Sur l'Algérie, une réunion de haut niveau sur le sujet s’est tenue il y a quelques jours. À la demande du président Bouteflika, le premier ministre Abdelmalek Sellal a réuni les principaux responsables des services de sécurité dont le général Ahmed Gaid Salah, chef d’état-major de l’armée.

Les services de sécurité, tous corps confondus en état d'alerte


Bouira : l’usine de véhicules utilitaires de la marque italienne Iveco opérationnel en 2016

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Les constructeurs automobiles italiens Fiat et Iveco vont implanter, dans le cadre d’un partenariat avec des opérateurs locaux, des usines de montage de véhicules en Algérie.


L’annonce a été faite, hier à Alger, par le ministre de l’Industrie et des Mines, Abdessalem Bouchouareb, au cours d’une conférence de presse conjointe avec Federica Guidi, ministre italienne du Développement économique, en visite en Algérie avec une délégation d’entrepreneurs italiens. Le ministre algérien a ajouté que le premier projet automobile concerne la réalisation d’une usine de montage de camions entre Iveco et le groupe Ival, son représentant et distributeur officiel. Le second projet est quant à lui lié à la construction d’une autre usine de montage de véhicules entre le groupe italo-américain Fiat-Chrysler, en partenariat un privé local dont l’identité n’a pas révélée.

Ces deux projets automobiles «sont bien avancés», a fait savoir le ministre. Pour sa part, Mohamed Baïri, PDG du groupe Ival, a révélé que l’usine de véhicules utilitaires de la marque italienne Iveco, prévue à Bouira, entrera en production fin 2016 avec une capacité de montage initiale de 1000 à 1500 véhicules par an et un taux d’intégration qui devrait se situer entre 17 et 20%. «L’étude du projet de fabrication de véhicules (utilitaires) de marque Iveco en Algérie a été achevée et les négociations pour la création de l’usine sont à un stade très avancé. On procédera à la mi-octobre à la signature du protocole de partenariat pour la création de la joint-venture», a affirmé Mohamed Baïri, cité par l’APS.

Et de préciser que le dossier de la nouvelle usine sera déposé début octobre à l’Agence nationale de développement de l’investissement (ANDI). Le PDG du groupe Ival a annoncé aussi que le premier modèle qui sortira du site de Bouira est l’Iveco Daily, doté d’un châssis cabine, en plusieurs versions et empattements (benne, carrosserie, nacelle). Outre le montage, «l’usine aura également une unité de fabrication de pièces de rechange, pour se conformer aux exigences du ministère de l’Industrie et des Mines», a-t-il indiqué, rappelant que «plusieurs sous-traitants déjà identifiés sont en mesure de nous accompagner». Spécialisés dans les pneumatiques, les batteries et la carrosserie, certains des sous-traitants sont «en contact avec l’équipe d’Iveco», a-t-il conclu.



Hocine Lamriben pour EL WATAN

Un journaliste de France 2 accompagne les «Harragas» dans le voyage de la mort

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Un journaliste de France 2 en reportage à bord d'une embarcation de régugiés

A bord d'une chaloupe de migrants, lors de la traversée entre la Turquie et la Grèce

Les reporters de France 2 ont fait la traversée entre les côtes turques et l'île grecque de Lesbos, dans une embarcation surchargée, où ont embarqué une soixantaine de migrants. Les passagers ont mis quatre heures entre Assos, sur la côte, au nord d'Izmir, en Turquie, et l'île grecque de Lesbos, samedi 12 septembre.

Une traversée de 10 kilomètres et une panne de moteur


Ces dizaines de Syriens et d'Irakiens ont attendu 24 heures. Une vingtaine d'enfants terrorisés ont embarqué, poussés par les passeurs vers la traversée. Ces derniers n'embarquent pas, ils laissent un passager, désigné capitaine, tenir la barre, pour un périple dangereux de 10 kilomètres. Franck Genauzeau et Gionna Messina de France 2 nous raconte leur périple, la nuit, au milieu des cargos.

La chaloupe s'est arrêtée, en pleine nuit, entre la Turquie et la Grèce, en raison d'une panne de moteurs. Les reporters ont alors appelé les secours, et c'est grâce à un bateau de pêche grec que l'équipage de réfugiés a été ramené sur l'île de Lesbos.


618 colonnes génates du béton blanc pour la Grande Mosquée d’Alger

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Le chantier de construction de la troisième plus grande mosquée au monde est en cours en plein cœur de la baie d’Alger. L’agencement architectonique repose sur 618 colonnes octogonales blanches. Ces colonnes ont été fabriquées et livrées par la société Europoles.

Actuellement en construction, la Grande Mosquée d’Alger (sur la photo l’esplanade en prévisualisation), représente un investissement de 1,1 milliard d’euros. La salle principale qui fait office de salle de prière est un cube colossal pouvant abriter jusqu’à 35 000 personnes. Elle repose sur 618 piliers octogonaux en béton.

Ces piliers, dont les 32 plus grands sont divisés en 3 parties, présentent une longueur totale de 34 m pour un diamètre de 1,62 m. Ils sont façonnés à l’aide de béton blanc centrifugé hautes performances fabriqué par un nouveau malaxeur spécifique adapté à la fragilité de ce matériau. C’est le constructeur BHS Sonthofen qui a été désigné pour fournir le type de machine pouvant traiter 20 m3 de béton par heure et en mesure d’assurer un malaxage intensif pour une parfaite homogénéité.

L’un des plus grands édifices au monde


La Grande Mosquée d’Alger sera un lieu de prière qui pourra sans conteste se mesurer aux immenses édifices religieux qui existent déjà dans le monde. Ainsi, ses dimensions dépassent par exemple celle de la Basilique Saint-Pierre de Rome. Son minaret de 265 m va supplanter le record de hauteur jusqu’à présent détenu par la mosquée de Casablanca. Cet édifice religieux a été conçu par le bureau d’études KSP Jürgen Engel Architekten de Francfort. Les collaborateurs chargés du concept ont attribué une importance toute particulière aux colonnes de la mosquée. Celles-ci n’ont en effet pas unique vocation à servir de pilier à l’édifice, mais sont également des éléments d’architecture ornementale. L’esthétisme et l’implantation réfléchie des piliers a permis aux architectes de donner à la mosquée, malgré ses dimensions gigantesques, une allure aérée et inondée de lumière.

Extrême blancheur et finesse des 618 colonnes


europoles-06-largeL’ébauche de l’architecte prévoit au total 618 colonnes octogonales. Celles-ci sont d’une extrême blancheur et finesse, et feront jusqu’à 32 m de haut. Étant donné qu’elles donnent le cachet architectural à l’édifice, il est important que leurs arêtes soient bien saillantes et que leurs surfaces soient réalisées à la perfection. Pour être à la hauteur de ces exigences, les responsables ont mandaté à cet effet la société Europoles, spécialisée dans la construction de mâts (par ex. pour les lignes électriques) en béton centrifugé.

La sismicité de la zone prise en compte


Les colonnes de la salle de prière (au nombre de 32) font plus de 32 m de haut. Elles n’ont donc pas pu être fabriquées et transportées en un seul tenant. Les collaborateurs d’Europoles les ont donc moulées en trois pièces, chacune d’environ 10 m de long et pesant 34 tonnes. Pour l’élaboration des colonnes, les concepteurs ont dû tenir compte du fait qu’Alger est située en zone sismique à risque. Chaque pilier de la mosquée supporte une superficie en toiture de 125 mètres carrés et résiste à une charge de 6,0 Méganewton. Pour que le bâtiment soit paré en cas de séisme, les responsables ont fait en sorte que le béton des colonnes puisse rompre avant tous les autres éléments. Par contre, la cage d’armature des colonnes doit rester la plus intacte possible de sorte à pouvoir supporter le toit. C’est ce qui fait que le bâtiment ne puisse pas s’effondrer d’un seul coup, laissant ainsi aux visiteurs l’opportunité de se mettre en sécurité. Reste bien sûr à espérer que l’édifice n’aura pas à affronter une telle catastrophe et que les croyants pourront séjourner sans être dérangés dans ses belles salles.

L’achèvement de la mosquée est prévu pour mi-2017.

618 colonnes génates du béton blanc pour la Grande Mosquée d’Alger
618 colonnes génates du béton blanc pour la Grande Mosquée d’Alger


Avec Algérie1 

Vidéo. Daesh: un ex-jihadiste témoigne de sa radicalisation en Syrie

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Younès, un Flamand de 26 ans, a intégré pendant six mois les rangs de Daesh en Syrie. De retour en Belgique, il a accepté de témoigner pour BFMTV. Même s'il a intégré un centre d'accompagnement monté par un universitaire, son discours est toujours radical. Ce converti n'est pas un repenti. Younès espère qu'après la guerre, le califat verra le jour pour s'y installer avec sa famille.




Vidéo. DRS : Les mises en garde de Louisa Hannoune après l'écartement du général Toufik

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Louiza Hanoune a réagi, ce mercredi 16 septembre au limogeage du général Toufik. Intervenant à l’ouverture d’une rencontre des membres du Comité central de son parti, elle a d’emblée expliqué que sa réaction était « une première lecture ». Pour la patronne du PT, la mise à la retraite du général Toufik « n’est pas une décision ordinaire, ni une question normale pour l’aborder de manière superficielle ».

« C’est une question très sensible et sa lecture requiert une attention, de la sagesse et un débat approfondi » a-t-elle estimé. Sensible par rapport « aux retombées qu’elle peut avoir sur les plans national et international particulièrement concernant la lutte contre le terrorisme dans un contexte lourd de dangers pour les nations », a-t-elle souligné.

Estimant que l’Algérie est considérée à travers le monde comme étant « un exemple dans la lutte contre le terrorisme grâce à l’ANP et surtout au DRS », elle s’interroge sur « le but du détricotage du DRS et quel est le but de l’emprisonnement du général Hassan qui était le premier responsable de la branche de lutte contre le terrorisme au DRS ? ».

D’autant que « les victoires du général Hassan en matière de lutte contre le terrorisme sont connues ». Pour Hanoune, « quand on jette en pâture un responsable d’une telle pointure, qui est exposé à un jugement à la CPI, on fragilise l’armée et la structure de lutte contre le terrorisme. Et c’est une source de démoralisation des soldats ».

La patronne du PT estime que « le plus grand perdant c’est l’immunité de l’État et donc l’immunité du pays à travers le détricotage du DRS et qui peut affecter la stabilité de l’ANP ». Et d’interroger : « cela ne peut-il pas donner des idées à Daech ? »

Targag hérite d’une coquille vide


La première des prérogatives supprimée du DRS concerne l’enquête sur les affaires de corruption. « C’est un problème », estime la patronne du PT qui considère que ce sont « les mafias, les voleurs et les corrompus qui en bénéficient ». « Targag a hérité d’une coquille vide puisqu’il ne peut pas enquêter sur la corruption ».


Se disant incapable de comprendre les décisions du président relatives au DRS Louiza Hanoune s’interroge : « peut on imaginer Obama dépouiller la CIA de ses prérogatives ou un transfert de certaines de ses prérogatives au Pentagone ? Peut-on imaginer une telle attitude aussi chez Cameron, Merkel ou Hollande ? ».

La patronne du PT note dans la foulée que « des médias ont rapporté que les services secrets français et la CIA ont été exaspérés par le département du DRS et de son chef à cause de leurs positions souverainistes. On peut imaginer que la CIA et les services de renseignement français soient satisfaits des dernières décisions ».

L’illusion d’un État civil


« C’est une illusion de croire que ces décisions augurent de l’institution d’un État civil », a estimé Louiza Hanoune qui bat en brèche la thèse selon laquelle « l’armée s’éloignera du politique ». « Nous pensons que c’est le contraire puisque des prérogatives du DRS ont été transférées à l’État-major de l’armée, cela ne rendra pas l’État plus civil et si ça continue sur cette lancée on ira vers un État semi-militaire »

Le PT n’a jamais reçu d’injonctions


L’immixtion du DRS ou de la présidence de la république dans les affaires internes des partis est étrangère à Louisa Hanoune. « Jamais nous n’avons fait l’objet d’injonctions, d’interférence ou de chantage y compris de la présidence de la république. Nous respectons les institutions et elles nous respectent »

Le chaos


Hanoune a indiqué qu’« il faut arrêter le délire consistant à lier les décisions du président à la prochaine succession ». Son argument est que « les prochaines élections législatives ou présidentielles anticipées ou non seront décisives. Parce qu’en cas de fraude électorale, il y aura le chaos ». Et pour cause : « la mentalité de la majorité a changé. Les citoyens savent que l’État est généreux à l’égard des nouveaux riches et austères à l’égard des couches les plus défavorisées ». Plus incisive, elle estime que « l’Algérie est ouverte à toutes les tempêtes ».




Texte : TSA
Vidéo : Ennahar
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