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Bouira : Découverte d’un corps lacéré à l’arme blanche
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Plus de 100 morts : Vidéos prises au moment de l'effondrement de la grue sur la mosquée de la Mecque
Une grue s'est effondrée sur la Grande mosquée de La Mecque, vendredi, en Arabie saoudite. Selon un bilan provisoire, au moins 107 personnes ont été tuées et 238 autres blessées. Le pèlerinage débutera cependant comme prévu dans quelques jours.
Au lendemain de l’effondrement d’une grue sur la Grande Mosquée, en Arabie saoudite, à quelques jours du grand pèlerinage, les autorités saoudiennes ont annoncé, samedi 12 septembre, que le hajj débuterait comme prévu le 21 ou le 22 septembre.
Vendredi, en pleine tempête, un appareil était tombé sur la Grande Mosquée de La Mecque, faisant au moins 107 morts et 238 blessés, selon le dernier bilan communiqué par les autorités.
Les circonstances de l'accident restent à déterminer. Des photos circulant sur les réseaux sociaux montrent des corps ensanglantés gisant dans une cour de la mosquée, où une partie de la grue semble avoir chuté.
De fortes pluies s'abattaient sur la ville lorsque l'incident a eu lieu et des photos montrent un éclair qui pourrait avoir frappé la grue. Les autorités ne se sont cependant pas prononcées sur les causes de l’accident.
La Grande mosquée est généralement bondée le vendredi, jour hebdomadaire de repos et de prières chez les musulmans. L'Arabie saoudite n'a pas donné de précision sur la nationalité des personnes décédées, mais L'Indonésie a confirmé la mort de deux de ses ressortissants, ajoutant que 31 autres avaient été blessées dont certains grièvement, et hospitalisés. La Malaisie a fait état de son côté de 10 blessés parmi ses nationaux et de six disparus. L'Iran a fait état de 15 pèlerins blessés.
Ce drame intervient alors que l'Arabie saoudite s'apprête à accueillir des centaines de milliers de pèlerins pour le hajj, l'un des cinq piliers de l'islam que tout fidèle est censé accomplir au moins une fois dans sa vie s'il en a les moyens. L'agence saoudienne SPA a indiqué vendredi que près de 800 000 pèlerins étaient déjà arrivés à La Mecque.
Un énorme projet est actuellement en cours pour agrandir la superficie de la mosquée de 400 000 mètres carrés, ce qui permettrait d'accueillir jusqu'à 2,2 millions de personnes à la fois. La mosquée est ainsi entourée de plusieurs grues utilisées pour exécuter ces travaux.
L'effondrement de cette grue ne manquera pas d'attiser la controverse sur ce projet d'aggrandissement, relève la correspondante de France 24 en Arabie saoudite Clarence Rodriguez. Des quartiers datant de plusieurs siècles ont été démolis en vue de ce chantier, qui vaut à La Mecque d'être surnommée "Las Vegas" par les détracteurs de l'extension.
Au lendemain de l’effondrement d’une grue sur la Grande Mosquée, en Arabie saoudite, à quelques jours du grand pèlerinage, les autorités saoudiennes ont annoncé, samedi 12 septembre, que le hajj débuterait comme prévu le 21 ou le 22 septembre.
Vendredi, en pleine tempête, un appareil était tombé sur la Grande Mosquée de La Mecque, faisant au moins 107 morts et 238 blessés, selon le dernier bilan communiqué par les autorités.
Les circonstances de l'accident restent à déterminer. Des photos circulant sur les réseaux sociaux montrent des corps ensanglantés gisant dans une cour de la mosquée, où une partie de la grue semble avoir chuté.
De fortes pluies s'abattaient sur la ville lorsque l'incident a eu lieu et des photos montrent un éclair qui pourrait avoir frappé la grue. Les autorités ne se sont cependant pas prononcées sur les causes de l’accident.
Affluence en vue du pèlerinage
La Grande mosquée est généralement bondée le vendredi, jour hebdomadaire de repos et de prières chez les musulmans. L'Arabie saoudite n'a pas donné de précision sur la nationalité des personnes décédées, mais L'Indonésie a confirmé la mort de deux de ses ressortissants, ajoutant que 31 autres avaient été blessées dont certains grièvement, et hospitalisés. La Malaisie a fait état de son côté de 10 blessés parmi ses nationaux et de six disparus. L'Iran a fait état de 15 pèlerins blessés.
Ce drame intervient alors que l'Arabie saoudite s'apprête à accueillir des centaines de milliers de pèlerins pour le hajj, l'un des cinq piliers de l'islam que tout fidèle est censé accomplir au moins une fois dans sa vie s'il en a les moyens. L'agence saoudienne SPA a indiqué vendredi que près de 800 000 pèlerins étaient déjà arrivés à La Mecque.
Un énorme projet est actuellement en cours pour agrandir la superficie de la mosquée de 400 000 mètres carrés, ce qui permettrait d'accueillir jusqu'à 2,2 millions de personnes à la fois. La mosquée est ainsi entourée de plusieurs grues utilisées pour exécuter ces travaux.
L'effondrement de cette grue ne manquera pas d'attiser la controverse sur ce projet d'aggrandissement, relève la correspondante de France 24 en Arabie saoudite Clarence Rodriguez. Des quartiers datant de plusieurs siècles ont été démolis en vue de ce chantier, qui vaut à La Mecque d'être surnommée "Las Vegas" par les détracteurs de l'extension.
Avec AFP
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Vidéo. Prix du carburant : Ouyahia craint une révolte
Ahmed Ouyahia a estimé ce samedi 12 septembre qu’il n’était pas question de supprimer le soutien des prix des carburants du jour au lendemain, et qu’il fallait procéder d’une manière graduelle pour faire face à la crise économique. Il a également estimé que le peuple n’accepterait pas de hausse brutale des prix des carburants.
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Vidéo. Canada : Masiba At Buzid appelle à «Ass N Tegmat n Leqbayel» à Montréal
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Béjaia : Une quantité d'Or et une grande somme d'argent saisie
Pour gagner sa vie ou s’enrichir tous les moyens sont bons à prendre y compris ceux qui mènent à la ruine et en prison.
C’est le risque qu’a pris B. A, âgé de 56 ans, un individu résidant à Ain Naadja dans la wilaya d’Alger. En se rendant à Bejaia, il pensait sans doute parvenir à s’enrichir en tout impunité. Mais c’était sans compter la vigilance des services de sécurité qui réussissent à mettre fin à ses pratiques au courant de la semaine passée. B. A a été arrêté en plein jour sur le boulevard de la liberté.il était en train d’écouler de l’or. Il avait en sa possession 361 grs d’or, soit l’équivalent de 1.471.000.00 DA. Les revenus de la vente du jour d’élevaient quant à eux 191.000.00 DA. Après analyse de la marchandise saisie, il s’est avéré qu’elle ne portait pas de seau officiel de l’état algérien. Une autre partie provenait carrément de l’étranger. Présenté devant la parquet de Bejaia, le mis en cause a été retenue en détention provisoire, il devra comparaitre incessamment pour détournement, détention d’or et son écoulement illégal.
C’est le risque qu’a pris B. A, âgé de 56 ans, un individu résidant à Ain Naadja dans la wilaya d’Alger. En se rendant à Bejaia, il pensait sans doute parvenir à s’enrichir en tout impunité. Mais c’était sans compter la vigilance des services de sécurité qui réussissent à mettre fin à ses pratiques au courant de la semaine passée. B. A a été arrêté en plein jour sur le boulevard de la liberté.il était en train d’écouler de l’or. Il avait en sa possession 361 grs d’or, soit l’équivalent de 1.471.000.00 DA. Les revenus de la vente du jour d’élevaient quant à eux 191.000.00 DA. Après analyse de la marchandise saisie, il s’est avéré qu’elle ne portait pas de seau officiel de l’état algérien. Une autre partie provenait carrément de l’étranger. Présenté devant la parquet de Bejaia, le mis en cause a été retenue en détention provisoire, il devra comparaitre incessamment pour détournement, détention d’or et son écoulement illégal.
Avec El Goual
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Les anciens délégués des Arches reviennent et avertissent !
Le mouvement « Initiative citoyenne », dirigé par Mustapha Mazouzi, ancien délégué des arouchs de Kabylie, a tiré à boulets rouges sur la CNLTD (Coordination National pour le Changement démocratique), à laquelle il reproche d'avoir soutenu les populations d'Aïn Salah contre l'exploitation du gaz de schiste et pas celles de Kabylie qui revendiquent leur identité, a rapporté El Goual.
Ce dernier, qui a tenu un meeting ce samedi devant un parterre de présents à la place de l'ancienne mairie de la ville de Tizi-Ouzou, a rappelé que son mouvement continue à revendiquer l'officialisation de Tamazight.
D'ailleurs, Mazouzi a averti les tenants du pouvoir, qu'il accuse d'avoir préparé une mouture de la nouvelle constitution en ignorant la dimension amazighe de l'identité nationale, que ce dérapage ne sera pas sans conséquences immédiates.
Ce dernier, qui a tenu un meeting ce samedi devant un parterre de présents à la place de l'ancienne mairie de la ville de Tizi-Ouzou, a rappelé que son mouvement continue à revendiquer l'officialisation de Tamazight.
D'ailleurs, Mazouzi a averti les tenants du pouvoir, qu'il accuse d'avoir préparé une mouture de la nouvelle constitution en ignorant la dimension amazighe de l'identité nationale, que ce dérapage ne sera pas sans conséquences immédiates.
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Photo Archive |
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Vidéo. Des réfugiés nourris comme des animaux dans un zoo
"C'était comme nourrir des animaux enfermés dans un enclos", se désole une collègue de la bénévole autrichienne, qui a filmé la scène. Dans une vidéo, tournée en secret dans le camp de Röszke (Hongrie), mercredi 9 septembre, quelque 150 migrants rassemblés à l'intérieur d'une grande salle munie d'enclos, se bousculent pour tenter d'attraper des sandwiches enveloppés dans du plastique, lancés par des policiers hongrois portant des casques et des masques hygiéniques.
Une nouvelle barrière, de 4 m de haut, est en construction et devrait être achevée à la fin octobre ou début novembre.
Des barbelés le long de la frontière avec la Serbie
Mardi, l'agence de l'ONU pour les réfugiés a critiqué les conditions d'accueil très dures au camp de Röszke, alors que la Hongrie pour tente de faire face à l'afflux record de migrants, qui traversent ses frontières pour tenter d'atteindre l'Europe occidentale. Le gouvernement de droite a fini, à la fin août, de construire une barrière de barbelés le long de sa frontière de 175 km avec la Serbie.Une nouvelle barrière, de 4 m de haut, est en construction et devrait être achevée à la fin octobre ou début novembre.
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La journaliste algérienne d'Al Jazeera Khadija Benguenna recherchée par les services secrets syriens
La journaliste d’Al Jazeera d’origine algérienne Khadija Benguenna serait désormais interdite de séjour en Syrie et recherchée par les services de renseignement syriens, selon le site zamanalwsl.net. Khadija Benguenna, l’une des figures de proue de la chaîne qatarie Al Jazeera et journaliste très en vue dans le monde arabe, est accusée par le régime de Bashar El Assad de relayer via ses émissions les prises de position du Qatar. Sur sa page Facebook , Khadija Benguenna se moque de cette menace, écrivant que « les 3/4 de la planète sont recherchés par les services de renseignement syriens » et qu’il n’y a plus en Syrie ni Etat ni services de renseignement.
http://www.elkhabar.com/press/article/90168/%D8%AE%D8%AF%D9%8A%D8%AC%D8%A9-%D8%A8%D9%86-%D9%82%D9%86%D8%A9-%D9%85%D8%B7%...
Posted by خديجة بن قنة on samedi 12 septembre 2015
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Vidéo. Voila comment des élèves algériens traversent une rivière pour rejoindre leur école
De surcroît, en Algérie et après 800 milliards de dollars dépensés pendant la période la plus riche de notre histoire post-indépendance, des élèves traversent une rivière pour rejoindre leurs écoles de la manière la plus dangereuse. En effet, les malheureux garçons et malheureuses fillettes s'attache à une conduite d’eaux potables suspendue dans le vide à plusieurs mètres de hauteur et parcourent ainsi une longue distance avec l'espoir d'être épargnés cette fois-ci d'une mort fatale.
Ça se passe dans le grand Aurès au pays des Chaouis, plus précisément dans la wilaya de Khenchela où la conduite d'eau sert les habitants comme un pont qui relaie les deux rives du Wed Laarab à Mechtet Ouedjla Khelifa.
Ça se passe dans le grand Aurès au pays des Chaouis, plus précisément dans la wilaya de Khenchela où la conduite d'eau sert les habitants comme un pont qui relaie les deux rives du Wed Laarab à Mechtet Ouedjla Khelifa.
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Vidéo. Les militaires saoudiens giflent les Hadjis à la Mecque !
La vidéo montrant un soldat saoudien gifle un Hadji accompagné de sa femme aux terres saintes de l'islam fait polémique après quelques heurs de l'effondrement d'une grue sur la mosquée de la Mecque et qui a coûté la vie à une centaine de pèlerins.
un militaire saoudien gifle un Hadji (homme) et bouscule une dame qui l’accompagnait. Selon le site de la chaine TV El Watan, le Hadji aurait tenté de traverser un couloir interdit à la circulation piétonne, barricadé et fermé par des barrières, ce qui a soulevé l’ire du “Djoundi”, semble-t-il dépassé par les événements. Une information à prendre au conditionnel, étant donné que la vidéo à elle seule ne permet pas donner beaucoup de détails sur le contexte de l’incident.
un militaire saoudien gifle un Hadji (homme) et bouscule une dame qui l’accompagnait. Selon le site de la chaine TV El Watan, le Hadji aurait tenté de traverser un couloir interdit à la circulation piétonne, barricadé et fermé par des barrières, ce qui a soulevé l’ire du “Djoundi”, semble-t-il dépassé par les événements. Une information à prendre au conditionnel, étant donné que la vidéo à elle seule ne permet pas donner beaucoup de détails sur le contexte de l’incident.
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Vidéo. Un avion militaire survole à très basse altitude l’autoroute Est-Ouest
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Vidéo. La police israélienne a pris d'assaut la mosquée Al-Aqsa de Jérusalem
Alors que s'ouvrent les fêtes juives, des affrontements ont eu lieu à Jérusalem-Est, sur l'Esplanade des mosquées, notamment autour de la mosquée Al-Aqsa, occupée par des Palestiniens.
C'est à la veille des fêtes de Roch Hachana, qui marquent la nouvelle année juive, que l'événement s'est produit, d'après la police et des témoins.
Selon ces derniers, la police aurait pénétré dans la mosquée et y aurait provoqué des dégâts. «Des tapis de prière ont été partiellement brûlés», affirme notamment l'un d'entre eux. Des informations démenties par la police, par la voix de son porte-parole, Luba Samri, qui affirme que les forces de l'ordre ont simplement empêché l'accès au lieu de culte. Dans un communiqué, la police indique que des manifestants palestiniens s'étaient barricadés dans la mosquée afin de «perturber» les célébrations juives.
«Des manifestants masqués qui se trouvaient dans la mosquées ont lancé des pierres et des pétards vers les policiers. Des tuyaux suspects susceptibles d'être remplis d'explosifs artisanaux ont également été retrouvés à l'entrée de la mosquée», précise le communiqué.
D'après une journaliste de l'AFP, la police a utilisé des grenades lacrymogènes et assourdissantes contre les manifestants.
L'Esplanade des Mosquées, que les Juifs appellent le «Mont du Temple», est défendue par un groupe musulman informel appelé «mourabitoun» qui a été déclaré «illégal», samedi 12 septembre, par le ministre de la Défense israélien, Moshe Yaalon. Une déclaration qui avait fait monté les tensions autour de l'Esplanade.
C'est à la veille des fêtes de Roch Hachana, qui marquent la nouvelle année juive, que l'événement s'est produit, d'après la police et des témoins.
Selon ces derniers, la police aurait pénétré dans la mosquée et y aurait provoqué des dégâts. «Des tapis de prière ont été partiellement brûlés», affirme notamment l'un d'entre eux. Des informations démenties par la police, par la voix de son porte-parole, Luba Samri, qui affirme que les forces de l'ordre ont simplement empêché l'accès au lieu de culte. Dans un communiqué, la police indique que des manifestants palestiniens s'étaient barricadés dans la mosquée afin de «perturber» les célébrations juives.
«Des manifestants masqués qui se trouvaient dans la mosquées ont lancé des pierres et des pétards vers les policiers. Des tuyaux suspects susceptibles d'être remplis d'explosifs artisanaux ont également été retrouvés à l'entrée de la mosquée», précise le communiqué.
D'après une journaliste de l'AFP, la police a utilisé des grenades lacrymogènes et assourdissantes contre les manifestants.
L'Esplanade des Mosquées, que les Juifs appellent le «Mont du Temple», est défendue par un groupe musulman informel appelé «mourabitoun» qui a été déclaré «illégal», samedi 12 septembre, par le ministre de la Défense israélien, Moshe Yaalon. Une déclaration qui avait fait monté les tensions autour de l'Esplanade.
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Urgent : Le général Toufik mis à la retraite
Le président Abdelaziz Bouteflika a mis fin aux fonctions du général Mohamed Mediene à la tête du DRS. L’information, diffusée en premier par la chaîne de télévision Ennahar, a été confirmée par plusieurs médias dont TSA par des sources proches de la présidence de la République.
Le général Toufik dirigeait le DRS depuis novembre 1990.
Le général Toufik dirigeait le DRS depuis novembre 1990.
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Vidéo. Urgent. DRS : Bachir Tartag remplace Mohamed Mediene alias général Toufik
Le président de la République a mis fin aux fonctions du général de corps d’armée, Mohamed Mediene, dit Toufik, en qualité de chef du Département du renseignement et de la sécurité. Abdelaziz Bouteflika a également nommé son successeur, selon Ennahar, un média proche du pouvoir, le général à retraite Bachir Tartag, apprend-on de sources sûres.
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La présidence s'exprime sur la mise en retraite du général Toufik patron de DRS (Communiqué)
Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a mis fin aux fonctions de chef du Département du Renseignement et de la Sécurité, exercées par le général de corps d’armée, Mohamed Mediene, admis à la retraite, indique dimanche un communiqué de la Présidence de la République.
« Conformément aux dispositions des articles 77 (alinéas 1 et 8) et 78 (alinéa 2) de la Constitution, Monsieur Abdelaziz Bouteflika, président de la République, ministre de la Défense nationale, a mis fin ce jour aux fonctions de chef du Département du Renseignement et de la Sécurité, exercées par le général de corps d’armée, Mohamed Mediene, admis à la retraite », lit-on dans le communiqué. Le président de la République a nommé M. Athmane Tartag, chef du Département du Renseignement et de la Sécurité, ajoute la même source. M. Athmane Tartag, général-major à la retraite, était jusqu’à ce jour conseiller auprès du président de la République. Auparavant, il avait assumé plusieurs hautes responsabilités au sein des services de renseignement et de sécurité, conclut le communiqué.
(APS)
« Conformément aux dispositions des articles 77 (alinéas 1 et 8) et 78 (alinéa 2) de la Constitution, Monsieur Abdelaziz Bouteflika, président de la République, ministre de la Défense nationale, a mis fin ce jour aux fonctions de chef du Département du Renseignement et de la Sécurité, exercées par le général de corps d’armée, Mohamed Mediene, admis à la retraite », lit-on dans le communiqué. Le président de la République a nommé M. Athmane Tartag, chef du Département du Renseignement et de la Sécurité, ajoute la même source. M. Athmane Tartag, général-major à la retraite, était jusqu’à ce jour conseiller auprès du président de la République. Auparavant, il avait assumé plusieurs hautes responsabilités au sein des services de renseignement et de sécurité, conclut le communiqué.
(APS)
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Révélations sur le processus d'écartement du général Toufik de la tête de DRS
Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a mis fin aux fonctions de chef du Département du Renseignement et de la Sécurité, exercées par le général de corps d'armée, Mohamed Mediene, admis à la retraite, indique dimanche un communiqué de la Présidence de la République. Le président de la République a nommé M. Athmane Tartag, chef du Département du Renseignement et de la Sécurité, ajoute la même source.M. Athmane Tartag, général-major à la retraite, était jusqu'à ce jour conseiller auprès du président de la République. Auparavant, il avait assumé plusieurs hautes responsabilités au sein des services de renseignement et de sécurité, conclut le communiqué.
Le Général Toufik, âgé de 76 ans, a dirigé le DRS depuis novembre 1990. Il était considéré parmi les plus anciens chefs des services de renseignement dans le monde. Il avait pris en main le DRS au moment où l’Algérie s’enfonçait dans une sale guerre qui a fait des milliers de morts. Aujourd’hui encore, personne ne connait les dessous de cette crise des années 90. Le général Toufik est donc parti en emportant avec lui tous ses secrets. Mais, contrairement à ce que tout le monde croit, le journal électronique Algérie-Focus révèle que le général Toufik n’a pas été limogé. Son départ a été décidé d’un commun accord avec la Présidence de la République.
Le général Toufik négociait son départ depuis juillet dernier, souligne ledit journal en citant des sources bien informée. Il avait exigé qu’il choisisse, lui-même, son propre successeur. Et son choix s’est porté sur son compagnon Bachir Tartag, qui l’avait accompagné durant des années à la Direction de la sécurité intérieure (DSI), le contre-espionnage algérien. Bachir Tartag avait dirigé aussi le Centre principal militaire d’investigation (CPMI), l’un des appareils les plus stratégiques du DRS qui avait joué un rôle clé, et troublant aussi, dans la lutte contre le terrorisme durant les années 90.
A en croire à Algérie Focus le général Toufik est donc parti après avoir confié les clés de la maison à un proche qu’il a lui-même placé à la Présidence pour l’imposer, petit à petit, à Abdelaziz Bouteflika. De nombreux médias sont tombés dans le piège de la manipulation en accréditant la thèse selon laquelle Bachir Tartag et le général Toufik étaient en froid et se livraient à une guerre larvée.
L’épisode de l’arrestation du général Hassan a envenimé le climat politique et a contraint le Général Toufik a accélérer son départ pour permettre au DRS d’amorcer sa mue. Plusieurs sources nous le confirment : le général Toufik ne s’est guère opposé à l’arrestation du général Hassan. “Il a uniquement exigé un traitement juste et digne à son ancien compagnon. C’est, d’ailleurs, le général Toufik qui a obtenu la détention du général Hassan dans une résidence surveillée à Alger, où les conditions sont évidemment différentes d’une prison ordinaire”, assure une source très bien informée.
Le général Toufik part donc au moment où le DRS se libère et s’émancipe de ses cadres qui symbolisent la dure et difficile période des années 90. L’ancien patron du DRS a lui-même tracé cette stratégie de changement pour éviter à son appareil de sombrer dans l’anarchie après son départ, soulignent des officiers de son entourage cités par AF. “Le général réfléchissait depuis 2011-2012 à un nouveau DRS pour empêcher le pays de se transformer en une Syrie-bis. L’objectif était de moderniser les services, de les adapter aux enjeux de l’époque, de les doter des compétences qui comprennent les avancées technologiques, pour que cette institution ne meurt pas sous les pressions des manœuvres politiques”, confie une autre source, selon laquelle le général Toufik avait compris depuis deux ans qu’une nouvelle page de l’histoire du DRS devait s’écrire sans lui conclut la rédaction d'Algérie Focus.
Le Général Toufik, âgé de 76 ans, a dirigé le DRS depuis novembre 1990. Il était considéré parmi les plus anciens chefs des services de renseignement dans le monde. Il avait pris en main le DRS au moment où l’Algérie s’enfonçait dans une sale guerre qui a fait des milliers de morts. Aujourd’hui encore, personne ne connait les dessous de cette crise des années 90. Le général Toufik est donc parti en emportant avec lui tous ses secrets. Mais, contrairement à ce que tout le monde croit, le journal électronique Algérie-Focus révèle que le général Toufik n’a pas été limogé. Son départ a été décidé d’un commun accord avec la Présidence de la République.
Le général Toufik négociait son départ depuis juillet dernier, souligne ledit journal en citant des sources bien informée. Il avait exigé qu’il choisisse, lui-même, son propre successeur. Et son choix s’est porté sur son compagnon Bachir Tartag, qui l’avait accompagné durant des années à la Direction de la sécurité intérieure (DSI), le contre-espionnage algérien. Bachir Tartag avait dirigé aussi le Centre principal militaire d’investigation (CPMI), l’un des appareils les plus stratégiques du DRS qui avait joué un rôle clé, et troublant aussi, dans la lutte contre le terrorisme durant les années 90.
A en croire à Algérie Focus le général Toufik est donc parti après avoir confié les clés de la maison à un proche qu’il a lui-même placé à la Présidence pour l’imposer, petit à petit, à Abdelaziz Bouteflika. De nombreux médias sont tombés dans le piège de la manipulation en accréditant la thèse selon laquelle Bachir Tartag et le général Toufik étaient en froid et se livraient à une guerre larvée.
L’épisode de l’arrestation du général Hassan a envenimé le climat politique et a contraint le Général Toufik a accélérer son départ pour permettre au DRS d’amorcer sa mue. Plusieurs sources nous le confirment : le général Toufik ne s’est guère opposé à l’arrestation du général Hassan. “Il a uniquement exigé un traitement juste et digne à son ancien compagnon. C’est, d’ailleurs, le général Toufik qui a obtenu la détention du général Hassan dans une résidence surveillée à Alger, où les conditions sont évidemment différentes d’une prison ordinaire”, assure une source très bien informée.
Le général Toufik part donc au moment où le DRS se libère et s’émancipe de ses cadres qui symbolisent la dure et difficile période des années 90. L’ancien patron du DRS a lui-même tracé cette stratégie de changement pour éviter à son appareil de sombrer dans l’anarchie après son départ, soulignent des officiers de son entourage cités par AF. “Le général réfléchissait depuis 2011-2012 à un nouveau DRS pour empêcher le pays de se transformer en une Syrie-bis. L’objectif était de moderniser les services, de les adapter aux enjeux de l’époque, de les doter des compétences qui comprennent les avancées technologiques, pour que cette institution ne meurt pas sous les pressions des manœuvres politiques”, confie une autre source, selon laquelle le général Toufik avait compris depuis deux ans qu’une nouvelle page de l’histoire du DRS devait s’écrire sans lui conclut la rédaction d'Algérie Focus.
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Révélations sur le processus d'écartement du général Toufik de la tête de DRS |
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Vidéo. Des Femen perturbent le salon la femme musulmane en France
C'était la confusion au salon musulman de Pontoise (Val d'Oise), dans la soirée du samedi 12 septembre. Deux militantes du mouvement féministe Femen ont fait irruption sur la scène du parc des Expositions pour interrompre le discours de deux intervenants en qamis blanc, avant d'être interpellés par la police. Habillées de djellabas puis seins nus, les deux femmes âgées de 25 et 31 ans ont scandé des propos en français et en arabe et affichaient des messages inscrits sur leur poitrine. "Personne ne me soumet" et "Je suis mon propre prophète", pouvait-on lire.
Juste avant qu'elles ne perturbent le déroulement des événements, l'un des intervenants, Nader Abou Anas délivrait sa vision du rôle de la femme dans l'islam. "Craignez Allah dans votre comportement à l'égard des femmes. Comportez-vous avec elles convenablement", lance-t-il devant près de 500 personnes et le micro de RTL. Inna Shevchenko, porte-parole des Femen à Paris, a affirmé à l'AFP que les "deux imams étaient en train de parler de la question de savoir s'il faut battre ou non sa femme".
Pendant que des "sales putes, il faut les tuer" se faisaient entendre dans la salle, selon les constations de l'AFP, le service d'ordre du salon a rapidement maîtrisé les deux femmes, originaires d'Algérie et de Tunisie. "Une quinzaine d'hommes ont sauté sur la scène et leur sont tombées dessus", a commenté Inna Shevchenko. Un journaliste de Buzzfeed affirme par ailleurs qu'une des Femen a été rouée de coups à cette occasion, ce que semble confirmer une vidéo de l'agence Ruptly.
Au bout de quelques minutes, la police est arrivée sur les lieux pour procéder à l'interpellation des deux femmes, "entendues samedi soir", selon le parquet de Pontoise. Leur garde à vue a été "levée dans la nuit" mais les autorités vont "poursuivre l'enquête et les auditions pour savoir ce qui s'est passé". Les organisateurs du salon musulman ont en tout cas annoncé leur intention de porter plainte.
Le public, composé majoritairement de familles musulmanes, était sous le choc. "Elles seraient montées habillées, on serait en train de les écouter. Mais là, elles se sont déshabillées et font honte à la communauté. On n'a rien compris. On ne sait même pas ce qu'elles voulaient. Elles ont juste fait peur aux enfants", a déploré une spectatrice au micro de RTL.
Cette troisième édition controversée du salon musulman, qui se poursuit dimanche 13 septembre et met "la femme à l'honneur", était visé par une pétition réclamant son interdiction. Plus de 6.000 signatures ont été recueillies sur le site change.org. L'instigateur de cet appel au boycott dénonçait la présence de "prédicateurs fondamentalistes", notamment Nader Abou Anas, "connu pour avoir légitimé le viol conjugal et plus largement la soumission de la femme".
Juste avant qu'elles ne perturbent le déroulement des événements, l'un des intervenants, Nader Abou Anas délivrait sa vision du rôle de la femme dans l'islam. "Craignez Allah dans votre comportement à l'égard des femmes. Comportez-vous avec elles convenablement", lance-t-il devant près de 500 personnes et le micro de RTL. Inna Shevchenko, porte-parole des Femen à Paris, a affirmé à l'AFP que les "deux imams étaient en train de parler de la question de savoir s'il faut battre ou non sa femme".
Rouée de coups
Pendant que des "sales putes, il faut les tuer" se faisaient entendre dans la salle, selon les constations de l'AFP, le service d'ordre du salon a rapidement maîtrisé les deux femmes, originaires d'Algérie et de Tunisie. "Une quinzaine d'hommes ont sauté sur la scène et leur sont tombées dessus", a commenté Inna Shevchenko. Un journaliste de Buzzfeed affirme par ailleurs qu'une des Femen a été rouée de coups à cette occasion, ce que semble confirmer une vidéo de l'agence Ruptly.
Au bout de quelques minutes, la police est arrivée sur les lieux pour procéder à l'interpellation des deux femmes, "entendues samedi soir", selon le parquet de Pontoise. Leur garde à vue a été "levée dans la nuit" mais les autorités vont "poursuivre l'enquête et les auditions pour savoir ce qui s'est passé". Les organisateurs du salon musulman ont en tout cas annoncé leur intention de porter plainte.
Un salon controversé
Le public, composé majoritairement de familles musulmanes, était sous le choc. "Elles seraient montées habillées, on serait en train de les écouter. Mais là, elles se sont déshabillées et font honte à la communauté. On n'a rien compris. On ne sait même pas ce qu'elles voulaient. Elles ont juste fait peur aux enfants", a déploré une spectatrice au micro de RTL.
Cette troisième édition controversée du salon musulman, qui se poursuit dimanche 13 septembre et met "la femme à l'honneur", était visé par une pétition réclamant son interdiction. Plus de 6.000 signatures ont été recueillies sur le site change.org. L'instigateur de cet appel au boycott dénonçait la présence de "prédicateurs fondamentalistes", notamment Nader Abou Anas, "connu pour avoir légitimé le viol conjugal et plus largement la soumission de la femme".
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Le 1er drone supersonique africain est « made in Algeria »
Le premier drone supersonique africain est finalisé et les tests seront lancés début octobre prochain à Tafraoui, a annoncé le Directeur général de la recherche scientifique et du développement technologique au ministère de l'Enseignement supérieur et de la recherche scientifique, Hafidh Aourag.
"Le prototype est finalisé. Début octobre, nous lancerons les tests à Tafraoui" dans la wilaya d'Oran, a-t-il déclaré dans un entretien à l'APS.
Cette opération a été concrétisée à la faveur de la mise en commun des compétences et des savoir-faire des chercheurs algériens, locaux et expatriés.
"Il faut rendre hommage à ces Algériens, l'un a travaillé pour le constructeur aéronautique américain Boeing et l'autre pour l'européen Airbus, qui ont fait aboutir ce projet. En plus, ils ont formé une main d'œuvre algérienne pour assurer la relève", a-t-il indiqué.
L'institut d'aéronautique de l'Université de Blida a été choisi à ce titre pour accueillir le site d'implantation de la plateforme de production.
Initialement, le projet devait être réalisé dans le cadre de la coopération scientifique avec l'Afrique du Sud. Mais, "pour des raisons stratégiques et de confidentialité le projet a été mené par des compétences algériennes à 100%", a souligné le Pr Aourag.
Ce drone supersonique, a-t-il poursuivi, se distingue par "un grand angle de couverture des zones" et par "les équipements embarqués et qui permettront de donner des informations sur son comportement en service".
"Il s'agit d'une nouvelle technologie. Ces drones ne sont pas, seulement, des appareils de surveillance, mais ils permettront également la collecte d'informations", a encore ajouté le Directeur général de la recherche scientifique et du développement technologique.
"Le prototype est finalisé. Début octobre, nous lancerons les tests à Tafraoui" dans la wilaya d'Oran, a-t-il déclaré dans un entretien à l'APS.
Cette opération a été concrétisée à la faveur de la mise en commun des compétences et des savoir-faire des chercheurs algériens, locaux et expatriés.
"Il faut rendre hommage à ces Algériens, l'un a travaillé pour le constructeur aéronautique américain Boeing et l'autre pour l'européen Airbus, qui ont fait aboutir ce projet. En plus, ils ont formé une main d'œuvre algérienne pour assurer la relève", a-t-il indiqué.
L'institut d'aéronautique de l'Université de Blida a été choisi à ce titre pour accueillir le site d'implantation de la plateforme de production.
Initialement, le projet devait être réalisé dans le cadre de la coopération scientifique avec l'Afrique du Sud. Mais, "pour des raisons stratégiques et de confidentialité le projet a été mené par des compétences algériennes à 100%", a souligné le Pr Aourag.
Ce drone supersonique, a-t-il poursuivi, se distingue par "un grand angle de couverture des zones" et par "les équipements embarqués et qui permettront de donner des informations sur son comportement en service".
"Il s'agit d'une nouvelle technologie. Ces drones ne sont pas, seulement, des appareils de surveillance, mais ils permettront également la collecte d'informations", a encore ajouté le Directeur général de la recherche scientifique et du développement technologique.
APS
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Tizi-Ouzou : Un homme tué par la foudre
La foudre qui a accompagné les intempéries du week-end a fait une victime dans la région littorale de Tigzirt, 50 kms au Nord du chef-lieu de la wilaya de Tizi-Ouzou.
Le drame s'est déroulé dans le village Ighil Ighes dans la commune d'Iflissen, lorsqu'un homme a été mortellement frappé par la foudre. La victime, transportée à l'hôpital, n'a pas survécu à ses brûlures.
Le drame s'est déroulé dans le village Ighil Ighes dans la commune d'Iflissen, lorsqu'un homme a été mortellement frappé par la foudre. La victime, transportée à l'hôpital, n'a pas survécu à ses brûlures.
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DRS. Une vidéo inédite du général Toufik révélée
La photo du général Toufik, patron des renseignements algériens et véritable faiseur de rois, est introuvable sauf quelques unes qui circulent sur internet. Après sa mise en retraite, la chaîne de télévision d’obédience islamiste Echourouk révèle une vidéo de 16 secondes où on peut voir clairement le visage du patron de DRS écarté par le président Bouteflika après 25 ans de règne.
Aéroport d'Alger, janvier 1992. L'Algérie est sous tension extrême, le président Chadli vient d'être déchu par un groupe de militaires après la victoire aux élections législatives du FIS, parti islamiste radical. La plaie ouverte, il faut suturer rapidement et trouver un nouveau président.
L'armée et le DRS, les renseignements militaires, s'accordent après avoir consulté les fiches des «historiques», sur Mohamed Boudiaf, haute figure de la lutte pour l'indépendance, possédant la carte FLN n°001 (Front de libération national) mais exilé au Maroc depuis des décennies, pour des différends avec les maîtres du pays.
La délégation qui attend le retour au pays de Mohamed Boudiaf est impressionnante; tout ce que compte l'oligarchie militaire est présente pour l'accueil sur le tarmac de la nouvelle vitrine (civile) du pays. La télévision d'État retransmet l'événement et en les filmant, cite un à un les officiers présents que le nouveau président Boudiaf salue sans les connaître.
Dans le lot, quand vient le tour du général Toufik, la caméra s'en détourne rapidement et le commentaire en off n'annonce aucun nom à mettre sur le visage furtif. Ce sont les ordres, discrets. Pas de nom, pas de visage.
Aéroport d'Alger, janvier 1992. L'Algérie est sous tension extrême, le président Chadli vient d'être déchu par un groupe de militaires après la victoire aux élections législatives du FIS, parti islamiste radical. La plaie ouverte, il faut suturer rapidement et trouver un nouveau président.
L'armée et le DRS, les renseignements militaires, s'accordent après avoir consulté les fiches des «historiques», sur Mohamed Boudiaf, haute figure de la lutte pour l'indépendance, possédant la carte FLN n°001 (Front de libération national) mais exilé au Maroc depuis des décennies, pour des différends avec les maîtres du pays.
La délégation qui attend le retour au pays de Mohamed Boudiaf est impressionnante; tout ce que compte l'oligarchie militaire est présente pour l'accueil sur le tarmac de la nouvelle vitrine (civile) du pays. La télévision d'État retransmet l'événement et en les filmant, cite un à un les officiers présents que le nouveau président Boudiaf salue sans les connaître.
Dans le lot, quand vient le tour du général Toufik, la caméra s'en détourne rapidement et le commentaire en off n'annonce aucun nom à mettre sur le visage furtif. Ce sont les ordres, discrets. Pas de nom, pas de visage.
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