Peu après 9h30 du matin (heure de New York), une grue de chantier s'est effondrée dans le quartier de Tribeca situé dans le coeur de Manhattan, aux Etats-Unis. Plusieurs témoins présents sur place partagent sur les réseaux sociaux les photos impressionnantes de la structure métallique couchée sur le sol. Lors de sa chute, la grue a écrasé des dizaines de véhicules garés sur le côté de la chaussée. Les causes de cet accident ne sont pas encore connues. Selon plusieurs médias locaux, un premier bilan fait état de 1 mort et de plusieurs blessés. Les équipes de secours sont sur place. Plus d'informations dans quelques instants.
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VIDEO. Une grue s'effondre dans le coeur de Manhattan (USA) : Au moins un mort et plusieurs blessés
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L’Algérie de demain : la vérité, la réalité et la constitution
Comment bâtir quelque chose avec les pierres qui entravent le chemin ?
Le grand philosophe allemand Goethe, qui croit profondément à l’homme qui rêve l’impossible, a déjà affirmé qu’il est de l’ordre du possible bâtir quelque chose avec les pierres qui entravent le chemin.
La nouvelle constitution supposée, nous dit-on- être le fruit d’un long travail de maturation débuté en 2011 sous la bienveillance du chef de l’état. Celle-ci n’a pas manqué de faire réagir experts, personnalités, citoyens et bien entendu les partis politiques.
Incroyable mais vrai. Le projet engageant la vie de toute la nation n’aura mérité qu’une conférence de presse du serviteur le plus zélé du régime : M Ouyahia chef de cabinet de la première institution de l’état désertée depuis des lustres par son locataire.
Encore et encore une fois l’infatigable défenseur des droits de l’homme, le vénérable Maitre Ali Yahia, entouré d’un groupe de militants politiques bien connus et ayant fait, pour la plupart d’entre eux, leurs marques sur le terrain ardu des causes progressistes.
Et, par le biais du texte soumis à notre attention, comme citoyennes et citoyens, force est de constater que le diagnostic établi est grave et sans appel. Et même le pronostic semble assez sombre pour ne pas dire plus.
L’environnement politique, social, économique, culturel est perfide. La collectivité nationale est plus que menacée par cette régression morale et politique. Le système militaro-policier semble s’affairer aux replâtrages tout azimut pour -s’éviter une chute- de toute façon inéluctable. La nouvelle constitution va-t-elle sauver le système ? Assurément que non.
Le ou les défis sont alors ceux de la communauté nationale. Ils sont multiples et complexes. On nous invite à - inventer les institutions qui accoucheront d’un avenir fidèle à notre histoire et conforme à nos attentes et prévenir l’aventurisme de ceux qui ont confisqué la nation-.
Le pays est à refaire. Comment ? Quand ? Par qui ? Le sursaut surviendra-t-il un jour ? le foyer de ce primum movens (Première impulsion) sera-t-il ailleurs qu’en Kabylie ? Viendra-t-il de Constantine, de Tamanrasset, de Batna ou d’ailleurs ? Faut-il nécessairement qu’il vienne de Kabylie ?
La communauté Kabyle, n’est qu’une partie de la communauté nationale. Faut-il encore demander à la jeunesse Kabyle de se sacrifier pour la refonte de l’état nationale ? Fera-t-elle ces sacrifices seule ou avec son équivalent des autres régions du pays ? Comment coordonner tout cela dans des délais raisonnables et avec qui ? Et dans quel autre système concevoir ce salut ?
Y a-t-il des réponses plus concrètes aux problèmes de tous ces jeunes de nos villes, hameaux et villages ? Que fera un jeune homme ou une jeune fille de Yatafen ou d’Ait khalfoun de notre lucidité, de notre dévouement à quoi et à qui?
Y a-t-il quelque chose de concret à offrir -ici et maintenant ? La Kabylie commence à ressembler à une réserve indienne dépendante des ressources matérielles et financières externes, que le système distille à doses homéopathiques. L’investissement se fait rare, les projets structurants quasi absents et l’emploi de qualité se raréfie. Le lien avec l’environnement traduit tout le désastre intérieur de notre jeunesse. La pauvreté et la paupérisation de plus en plus visibles malgré les milliards engloutis ailleurs que dans notre région.
Le chemin de vérité est étroit et même trop étroit. Il reste encore possible mais il faut convaincre ceux qui attendront leur tour de passage. La patience à des limites.
L’impatience, la haine de soi, la haine de l’autre, la tentation par des solutions faciles et irréfléchies sont aussi le lot de ce qu’on entend et de ce qu’on voit. La situation est trop grave, et peu de solutions concrètes à l’horizon.
La politique demeure l’art du possible. Pour paraphraser Goethe : il nous reste à souhaiter un gouvernement qui nous apprendra à nous gouverner nous-mêmes. Les choses sont souvent difficiles quand un pays ne maitrise pas la gouvernance de lui-même. Là est toute la différence.
Le grand philosophe allemand Goethe, qui croit profondément à l’homme qui rêve l’impossible, a déjà affirmé qu’il est de l’ordre du possible bâtir quelque chose avec les pierres qui entravent le chemin.
La nouvelle constitution supposée, nous dit-on- être le fruit d’un long travail de maturation débuté en 2011 sous la bienveillance du chef de l’état. Celle-ci n’a pas manqué de faire réagir experts, personnalités, citoyens et bien entendu les partis politiques.
Incroyable mais vrai. Le projet engageant la vie de toute la nation n’aura mérité qu’une conférence de presse du serviteur le plus zélé du régime : M Ouyahia chef de cabinet de la première institution de l’état désertée depuis des lustres par son locataire.
Encore et encore une fois l’infatigable défenseur des droits de l’homme, le vénérable Maitre Ali Yahia, entouré d’un groupe de militants politiques bien connus et ayant fait, pour la plupart d’entre eux, leurs marques sur le terrain ardu des causes progressistes.
Et, par le biais du texte soumis à notre attention, comme citoyennes et citoyens, force est de constater que le diagnostic établi est grave et sans appel. Et même le pronostic semble assez sombre pour ne pas dire plus.
L’environnement politique, social, économique, culturel est perfide. La collectivité nationale est plus que menacée par cette régression morale et politique. Le système militaro-policier semble s’affairer aux replâtrages tout azimut pour -s’éviter une chute- de toute façon inéluctable. La nouvelle constitution va-t-elle sauver le système ? Assurément que non.
Le ou les défis sont alors ceux de la communauté nationale. Ils sont multiples et complexes. On nous invite à - inventer les institutions qui accoucheront d’un avenir fidèle à notre histoire et conforme à nos attentes et prévenir l’aventurisme de ceux qui ont confisqué la nation-.
Le pays est à refaire. Comment ? Quand ? Par qui ? Le sursaut surviendra-t-il un jour ? le foyer de ce primum movens (Première impulsion) sera-t-il ailleurs qu’en Kabylie ? Viendra-t-il de Constantine, de Tamanrasset, de Batna ou d’ailleurs ? Faut-il nécessairement qu’il vienne de Kabylie ?
La communauté Kabyle, n’est qu’une partie de la communauté nationale. Faut-il encore demander à la jeunesse Kabyle de se sacrifier pour la refonte de l’état nationale ? Fera-t-elle ces sacrifices seule ou avec son équivalent des autres régions du pays ? Comment coordonner tout cela dans des délais raisonnables et avec qui ? Et dans quel autre système concevoir ce salut ?
Y a-t-il des réponses plus concrètes aux problèmes de tous ces jeunes de nos villes, hameaux et villages ? Que fera un jeune homme ou une jeune fille de Yatafen ou d’Ait khalfoun de notre lucidité, de notre dévouement à quoi et à qui?
Y a-t-il quelque chose de concret à offrir -ici et maintenant ? La Kabylie commence à ressembler à une réserve indienne dépendante des ressources matérielles et financières externes, que le système distille à doses homéopathiques. L’investissement se fait rare, les projets structurants quasi absents et l’emploi de qualité se raréfie. Le lien avec l’environnement traduit tout le désastre intérieur de notre jeunesse. La pauvreté et la paupérisation de plus en plus visibles malgré les milliards engloutis ailleurs que dans notre région.
Le chemin de vérité est étroit et même trop étroit. Il reste encore possible mais il faut convaincre ceux qui attendront leur tour de passage. La patience à des limites.
L’impatience, la haine de soi, la haine de l’autre, la tentation par des solutions faciles et irréfléchies sont aussi le lot de ce qu’on entend et de ce qu’on voit. La situation est trop grave, et peu de solutions concrètes à l’horizon.
La politique demeure l’art du possible. Pour paraphraser Goethe : il nous reste à souhaiter un gouvernement qui nous apprendra à nous gouverner nous-mêmes. Les choses sont souvent difficiles quand un pays ne maitrise pas la gouvernance de lui-même. Là est toute la différence.
Contribution de Madjid Yesli. Médecin. Canada
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Marché Parallèle : L'Euro et le Dollar s'envolent face au dinar
Le Dinar Algérien ne se porte pas mieux que les jours précédents et continue sa chute libre face aux devises demandées par les Algériens sur le marché noire fleurissant avec la crise qui étouffe l'économie algérienne basée exclusivement sur le cours du pétrole, qui termine la semaine en baisse, où il a cédait hier 0.36% de sa valeur à la clôture et s'est vendu à 34 dollar.
Ce samedi, sur le marché interbancaire officiel, l’euro se négocie à 118,26 dinars. Le dollar américain s’échange à 106,48 dinars et la livre sterling est à 155,15 DA. Les cours du dinar sur le marché parallèle restent orientés à la hausse. Un euro vaut 185 DA, le dollar s’échange à 170 DA et la livre sterling à 244 DA.
La déroute du dinar algérien face à l'Euro sur le marché parallèle et l'orientation du citoyen algérien vers ce marché noire de change au détriment du marché officiel, semblent réussir à interpeller les autorités. En effet, plusieurs mesures importantes sont à l’étude, et certains projets sont en voie de finalisation.
Lire plus sur : De nouvelles mesures pour le marché de change des devises
Ce samedi, sur le marché interbancaire officiel, l’euro se négocie à 118,26 dinars. Le dollar américain s’échange à 106,48 dinars et la livre sterling est à 155,15 DA. Les cours du dinar sur le marché parallèle restent orientés à la hausse. Un euro vaut 185 DA, le dollar s’échange à 170 DA et la livre sterling à 244 DA.
La déroute du dinar algérien face à l'Euro sur le marché parallèle et l'orientation du citoyen algérien vers ce marché noire de change au détriment du marché officiel, semblent réussir à interpeller les autorités. En effet, plusieurs mesures importantes sont à l’étude, et certains projets sont en voie de finalisation.
Lire plus sur : De nouvelles mesures pour le marché de change des devises
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VIDEOS. Le Maroc fait la leçon à l'Algérie : La plus grande centrale solaire au monde et un TGV
Au moment que les algériens observent impuissant la bourse et le cours du baril du pétrole, le voisin marocain a pu se démarquer, s'ouvrir et diversifier son économie avec une réussite relative impressionnante si on le compare à ses voisins nord-africains, il lance la plus grande centrale solaire au monde et son premier TGV.
La première parcelle de ce qui sera bientôt la plus grosse centrale solaire du monde a été inaugurée en plain milieu du désert marocain.Ouarzazate Noor, c’est son nom, fera la superficie de la ville de Rabat. La première parcelle est composée de 500 000 miroirs de 12 mètres de long, qui font chauffer de l’eau pour produire de l‘électricité. Une fois la centrale terminée, elle permettra d’assurer la moitié de la consommation électrique du pays.
L’investissent de 9 milliard de dollars est réalisé par la Banque africaine de développement, la Banque mondiale, la Banque européenne d’investissement et des entreprises privées.
Au Maroc, l'ONCF a lancé les premiers essais dynamiques en conditions réelles de ciculation du TGV qui doit relier Tanger à Casablanca l'an prochain. Retour sur l'info avec une vidéo du site d'actualité marocain Le 360.Place aux essais. Après l'arrivée le 28 juin dernier dans le port de Tanger Med, de la première rame suivie de plusieurs autres ensuite, l'ONCF prépare activement la mise en service du TGV marocain, une première pour le royaume et tout le continent africain. Il s'agit de vérifier les performances comme le freinage, la vitesse, la captation du courant, le planage des pentographes.Pour rappel, ces trains ont été fabriqués dans les usines Alstom de Belfort et Aytré près de la Rochelle en France.
La première parcelle de ce qui sera bientôt la plus grosse centrale solaire du monde a été inaugurée en plain milieu du désert marocain.Ouarzazate Noor, c’est son nom, fera la superficie de la ville de Rabat. La première parcelle est composée de 500 000 miroirs de 12 mètres de long, qui font chauffer de l’eau pour produire de l‘électricité. Une fois la centrale terminée, elle permettra d’assurer la moitié de la consommation électrique du pays.
L’investissent de 9 milliard de dollars est réalisé par la Banque africaine de développement, la Banque mondiale, la Banque européenne d’investissement et des entreprises privées.
Au Maroc, l'ONCF a lancé les premiers essais dynamiques en conditions réelles de ciculation du TGV qui doit relier Tanger à Casablanca l'an prochain. Retour sur l'info avec une vidéo du site d'actualité marocain Le 360.Place aux essais. Après l'arrivée le 28 juin dernier dans le port de Tanger Med, de la première rame suivie de plusieurs autres ensuite, l'ONCF prépare activement la mise en service du TGV marocain, une première pour le royaume et tout le continent africain. Il s'agit de vérifier les performances comme le freinage, la vitesse, la captation du courant, le planage des pentographes.Pour rappel, ces trains ont été fabriqués dans les usines Alstom de Belfort et Aytré près de la Rochelle en France.
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VIDEO. Quand l'Algérie nourrissait la France : Le grenier de l'Europe
Un voyage dans le temps, avec cette vidéo filmée dans les années 40, sortie des terroirs pour faire le buzz sur les réseaux sociaux.
Un temps révolue pour l'Algérie, qu'on ne regrette pas avec la fin de l'exploitation du pays par la france coloniale, mais qui nous rappelle la faillite de l'Algérie indépendante et ses responsables en faisant de l'Algérie un vulgaire pays consommateur après qu'elle était le grenier de l'Europe. Le blé de Sétif, le vin de Tlemcen et Mascara, les agrumes de la Metidja, les olives et les figues de Kabylie et de Sig, ainsi que les dattes du grand sud, ne sont qu'un ancien souvenir au moment où l'Algérie nourrissait l'Europe.
70 ans plus tard, il est bien loin ce temps. Le pays est plutôt champion en terme de consommation et non plus d’exportation: En 2015, on a importé l’équivalent de 10 milliards de dollars en produits alimentaires.
Un temps révolue pour l'Algérie, qu'on ne regrette pas avec la fin de l'exploitation du pays par la france coloniale, mais qui nous rappelle la faillite de l'Algérie indépendante et ses responsables en faisant de l'Algérie un vulgaire pays consommateur après qu'elle était le grenier de l'Europe. Le blé de Sétif, le vin de Tlemcen et Mascara, les agrumes de la Metidja, les olives et les figues de Kabylie et de Sig, ainsi que les dattes du grand sud, ne sont qu'un ancien souvenir au moment où l'Algérie nourrissait l'Europe.
70 ans plus tard, il est bien loin ce temps. Le pays est plutôt champion en terme de consommation et non plus d’exportation: En 2015, on a importé l’équivalent de 10 milliards de dollars en produits alimentaires.
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Air Algérie : Interdite d'embarquement car handicapée
Air Algérie, un sigle liées dans l’esprit des algériens aux scandales de gestion, récidive une autre fois et la victime n'était qu'une militante interdite du vol N°6027 au niveau l’aéroport Ferhat Abbas (Jijel) à destination d’Alger par le commandant de bord pour la simple raison de son handicap moteur.
La présidente de l'Association Défi et Espoir, Wahiba Laraba, était «Victime de discrimination» de la part de la compagne aérienne algérienne, selon elle, le commandant de bord lui a sèchement asséné à la figure que la loi interdisait la présence d’handicapés sur ce type d’appareils, à savoir un “ATR 72”, mais renforcée par sa détermination, elle a pris un taxi vers Alger pour prendre son vol le lendemain, à destination du Maroc pour prendre part à un forum associatif maghrébin.
L'Algérie compte environ 3 millions de personnes handicapées, soit 10% de sa population. Les personnes handicapées sont confrontées à une discrimination directe ou indirecte dans tous les secteurs de leur vie quotidienne. Les lieux dits « publics » sont totalement inaccessibles aux personnes souffrant d'un handicap physique et ce, en dépit du fait que l'accès soit parfois garanti par la loi. Il est rarement possible.
La présidente de l'Association Défi et Espoir, Wahiba Laraba, était «Victime de discrimination» de la part de la compagne aérienne algérienne, selon elle, le commandant de bord lui a sèchement asséné à la figure que la loi interdisait la présence d’handicapés sur ce type d’appareils, à savoir un “ATR 72”, mais renforcée par sa détermination, elle a pris un taxi vers Alger pour prendre son vol le lendemain, à destination du Maroc pour prendre part à un forum associatif maghrébin.
« L'une des violations les plus fréquentes des droits de l'homme des personnes handicapées est l'expérience d'une discrimination fondée sur le handicap dans tous les aspects de la vie quotidienne. » « Dans la société algérienne, il existe d'énormes obstacles empêchant les personnes victimes de handicaps d'exercer leurs droits et libertés et de participer pleinement aux activités de la société. » (Règles générales des Nations unies sur l'égalité des chances pour les personnes handicapées).
L'Algérie compte environ 3 millions de personnes handicapées, soit 10% de sa population. Les personnes handicapées sont confrontées à une discrimination directe ou indirecte dans tous les secteurs de leur vie quotidienne. Les lieux dits « publics » sont totalement inaccessibles aux personnes souffrant d'un handicap physique et ce, en dépit du fait que l'accès soit parfois garanti par la loi. Il est rarement possible.
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Trois militans du MAK arrêtés à Tizi Ouzou et six syndicalistes à Alger
Au total, ce sont neuf militants arrêtés par la police, trois ont été arrêté à un barrage de police à la sortie de Larebâa Nat Iraten, et six devant le siège du Snapap à Bab Ezzouar (Alger). Ce sont Youcef Gueddache, Yuva Djouahar et Mouloud Fekli du coté du MAK et Salah Dabouz, président d’une aile de la Laddh, et un groupe de 5 syndicalistes.
En effet, les trois militants du MAK ont été relâché après l'établissement des PV, indique l'agence d'information proche du Mouvement pour l'Autodétermination de la Kabylie, qui cite «Une procédure MAK», alors que les syndicalistes arrêtés à Alger ont été à leur tour relâchés par la police indique des sources médiatiques.
Me Dabouz déclare à El Watan qu’il compte avec les cinq autres syndicalistes, porter plainte demain près du tribunal d’El Harach, contre les services de sécurité pour «atteinte à la liberté des personnes».«Je lance un appel à tous nos partenaires qui devaient se réunir avec nous aujourd’hui de venir en force pour la prochaine réunion», lance Me Dabouz. Une réunion dont la date n’a pas été encore fixée.
En effet, les trois militants du MAK ont été relâché après l'établissement des PV, indique l'agence d'information proche du Mouvement pour l'Autodétermination de la Kabylie, qui cite «Une procédure MAK», alors que les syndicalistes arrêtés à Alger ont été à leur tour relâchés par la police indique des sources médiatiques.
Me Dabouz déclare à El Watan qu’il compte avec les cinq autres syndicalistes, porter plainte demain près du tribunal d’El Harach, contre les services de sécurité pour «atteinte à la liberté des personnes».«Je lance un appel à tous nos partenaires qui devaient se réunir avec nous aujourd’hui de venir en force pour la prochaine réunion», lance Me Dabouz. Une réunion dont la date n’a pas été encore fixée.
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PHOTOS. «Les oliviers», le premier centre commercial de Bejaîa
Béjaîa se dotera aussi d'un centre commecial, à l'instar de plusieurs autres villes algériennes, comme Sétif qui s'est offert le plus grand mall d'Algérie. En effet, « Les Oliviers », Situé à Oued-Ghir, sera le premier centre commercial de Bgayet, il est implanté sur un terrain de 21 478,50 m² .
La moitié de ces espaces sera réservée à un hypermarché UNO et le reliquat sera constitué de boutiques : Zara , Adidas, kollirama, must, hugo boss, Etam , Camaïeu , Pimkie , darty , pharmacies , restaurants , airs de jeux et beaucoup d’autres boutiques . Un hôtel 3 étoiles de 70 chambres ouvrira l’année suivante .
Le centre commercial reposant sur une surface totale de 22 774,50 m²est le fruit d'un investissement initié en 2009 par M. Mourad & Abdelkader KOLLI, actionnaires majoritaires du Groupe KOLLIRAMA, sociétés spécialisées en Algérie (Sarl de droit Algérien créée en 1996) et en France dans le rayonnage et équipements pour grandes surfaces de distribution et industriel.
La moitié de ces espaces sera réservée à un hypermarché UNO et le reliquat sera constitué de boutiques : Zara , Adidas, kollirama, must, hugo boss, Etam , Camaïeu , Pimkie , darty , pharmacies , restaurants , airs de jeux et beaucoup d’autres boutiques . Un hôtel 3 étoiles de 70 chambres ouvrira l’année suivante .
Le centre commercial reposant sur une surface totale de 22 774,50 m²est le fruit d'un investissement initié en 2009 par M. Mourad & Abdelkader KOLLI, actionnaires majoritaires du Groupe KOLLIRAMA, sociétés spécialisées en Algérie (Sarl de droit Algérien créée en 1996) et en France dans le rayonnage et équipements pour grandes surfaces de distribution et industriel.
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Révision de la constitution : Démission de Sellal et formation d'un nouveau gouvernement
Abdelmalek Sellal, premier ministre quatre fois consécutives, est annoncé sur le départ par plusieurs sources proches des cercles de prises de décisions, il doit déposer sa démission après l'adoption de l'Avant-projet de la nouvelle constitution algérienne, pour permettre la formation d'un nouveau gouvernement qui sera probablement adopté à la nouvelle conjoncture de la crise économique.
Le parlement réuni de ses deux chambres (APN-SENAT) adoptera sans surprise la nouvelle constitution ce dimanche et Abdelmalek Sellal sera dans l'obligation de déposer sa démission et dissoudre le gouvernement «Sellal 4». Tandis que l'actuel ministre de l'industrie Abdeslam Bouchouareb est donné comme favori pour le remplacer, alors que Sellal serait porté à assumer le poste d'ambassadeur.
Le lifting déjà annoncé dans les cercles proches du président Bouteflika a bel et bien commencé avec le renouvellement du tier présidentiel du sénat et le départ de sénateur qualifiés d'«ingrats au président de la république», parmi eux, Yacef Saadi, opposant du quatrième mandat et Mme Drif Bitat, membre du groupe 19-4 ayant signé la demande d'audience à Bouteflika.
Ces deux anciens figures de la glorieuse batailles d'Alger étaient la cible d'une compagne de dénigrement sur les organes de propagandes officieux en les épinglant comme indicateurs de la France coloniale.
D'autres ministres partiront pour «Incompétence et immobilisme» pendant leur exercice de fonction et face à la «Compagne menée par les proches du général Toufik ex-patron de DRS» avant et après sa mise en retraite, indique des sources bien informée.
Le parlement réuni de ses deux chambres (APN-SENAT) adoptera sans surprise la nouvelle constitution ce dimanche et Abdelmalek Sellal sera dans l'obligation de déposer sa démission et dissoudre le gouvernement «Sellal 4». Tandis que l'actuel ministre de l'industrie Abdeslam Bouchouareb est donné comme favori pour le remplacer, alors que Sellal serait porté à assumer le poste d'ambassadeur.
Le lifting déjà annoncé dans les cercles proches du président Bouteflika a bel et bien commencé avec le renouvellement du tier présidentiel du sénat et le départ de sénateur qualifiés d'«ingrats au président de la république», parmi eux, Yacef Saadi, opposant du quatrième mandat et Mme Drif Bitat, membre du groupe 19-4 ayant signé la demande d'audience à Bouteflika.
Ces deux anciens figures de la glorieuse batailles d'Alger étaient la cible d'une compagne de dénigrement sur les organes de propagandes officieux en les épinglant comme indicateurs de la France coloniale.
D'autres ministres partiront pour «Incompétence et immobilisme» pendant leur exercice de fonction et face à la «Compagne menée par les proches du général Toufik ex-patron de DRS» avant et après sa mise en retraite, indique des sources bien informée.
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Photos. Polémique : Une créatrice israélienne scandalise en "érotisant" le keffieh palestinien
La créatrice de mode israélienne Dorit Baror, a déclenché une véritable polémique, elle a utilisé et décliné sous diverses formes les motifs du keffieh pour sa nouvelle collection de prêt-à-porter féminin: Longues robes ou mini-jupes, tissu à froufrous ou à dentelles. Certains Arabes, dont des Palestiniens, dénoncent une appropriation honteuse de ce foulard devenu symbole de l’opposition palestinienne à Israël, rapportent les Observateurs de France24.
C’est une photographe jordanienne, Tanya Habjouqa, qui a posté le 28 janvier sur son compte Facebook une photo d’une des boutiques de Dorit Baror dans un centre commercial de Tel-Aviv. La boutique semble proposer quasi uniquement la collection de vêtements féminins dérivés du keffieh, qui coutent "au minimum 150 dollars" [134 euros], selon Tanya Habjouqa. Sur le site de la créatrice Dorit Baror, par ailleurs designer et actrice qui possède des enseignes dans 17 pays, des photos montrent un mannequin portant les vêtements. Elle adopte parfois des poses lascives et dénudées, apparaît dos nu ou laisse entrevoir un sein de profil.
C’est une photographe jordanienne, Tanya Habjouqa, qui a posté le 28 janvier sur son compte Facebook une photo d’une des boutiques de Dorit Baror dans un centre commercial de Tel-Aviv. La boutique semble proposer quasi uniquement la collection de vêtements féminins dérivés du keffieh, qui coutent "au minimum 150 dollars" [134 euros], selon Tanya Habjouqa. Sur le site de la créatrice Dorit Baror, par ailleurs designer et actrice qui possède des enseignes dans 17 pays, des photos montrent un mannequin portant les vêtements. Elle adopte parfois des poses lascives et dénudées, apparaît dos nu ou laisse entrevoir un sein de profil.
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VIDEO. Feghouli critiqué en France...et en Algérie
Le milieu de terrain de l'équipe nationale de football Sofiane Feghouli, a été largement critiqué sur les réseaux sociaux après avoir "conseillé" aux footballeurs binationaux de jouer en Algérie, dans un entretien accordé à La Gazette du Fennec où la vedette de l'équipe nationale a appelé les jeunes binationaux à jouer pour l'Algérie car "il y a eu des choses très graves qui se sont produites par le passé".
Les internautes ont aussitôt donné l'assaut contre le milieu de terrain de l'équipe nationale sur les réseaux sociaux, l'accusant d'"ingratitude"à l'égard de la France. " En attendant, sa carrière footballistique, il la doit à la formation française et aux fonds français..bel exemple d'ingratitude" commente un internaute vraisemblablement indigné par les déclarations de Feghouli, d'autres sont allés même jusqu'à demander que Feghouli rembourse les sommes d'argent octroyées par l'état français depuis sa naissance. "Aucun souci, mais alors qu'il rembourse toutes les sommes qu'il a perçues sur le sol français depuis sa venue au monde, qu'il cesse d'utiliser la langue française pour communiquer, etc. Soit tu fais les choses à fond et tu te casses, soit t'acceptes les règles du pays où tu es" lit-on dans un autre commentaire.
Ces déclarations et les critiques qui s'en sont suivies s'inscrivent dans le cadre de l'article 51 de la nouvelle constitution interdisant aux binationaux d'exercer "de hautes fonctions" au sein de l'état, les binationaux s'en trouvent du coup engagés dans un double engrenage avec, d'une part l'Algérie qui leur refuse les même droits qu'aux autres citoyens, et d'autre part la France qui les exclut car les considérant comme des étrangers.
Il est à préciser qu'outre les attaques des internautes français, Feghouli a également subi des critiques de la part des binationaux et même des algériens, à l'image notamment de l'ancien joueur du MCA , Ali Bencheikh, qui lui reproche de mélanger entre sport et politique.
Les internautes ont aussitôt donné l'assaut contre le milieu de terrain de l'équipe nationale sur les réseaux sociaux, l'accusant d'"ingratitude"à l'égard de la France. " En attendant, sa carrière footballistique, il la doit à la formation française et aux fonds français..bel exemple d'ingratitude" commente un internaute vraisemblablement indigné par les déclarations de Feghouli, d'autres sont allés même jusqu'à demander que Feghouli rembourse les sommes d'argent octroyées par l'état français depuis sa naissance. "Aucun souci, mais alors qu'il rembourse toutes les sommes qu'il a perçues sur le sol français depuis sa venue au monde, qu'il cesse d'utiliser la langue française pour communiquer, etc. Soit tu fais les choses à fond et tu te casses, soit t'acceptes les règles du pays où tu es" lit-on dans un autre commentaire.
Ces déclarations et les critiques qui s'en sont suivies s'inscrivent dans le cadre de l'article 51 de la nouvelle constitution interdisant aux binationaux d'exercer "de hautes fonctions" au sein de l'état, les binationaux s'en trouvent du coup engagés dans un double engrenage avec, d'une part l'Algérie qui leur refuse les même droits qu'aux autres citoyens, et d'autre part la France qui les exclut car les considérant comme des étrangers.
Il est à préciser qu'outre les attaques des internautes français, Feghouli a également subi des critiques de la part des binationaux et même des algériens, à l'image notamment de l'ancien joueur du MCA , Ali Bencheikh, qui lui reproche de mélanger entre sport et politique.
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Concours de recrutement des enseignants : Les nouveautés selon M. Benghabrit
Les titulaires de licences en sciences de l'information et de la communication sont en mesure de passer le concours de recrutement d'enseignants prévu fin février, a annoncé samedi à Alger la ministre de l'Education nationale, Nouria Benghebrit.
"La possibilité de passer le concours de recrutement d'enseignants est ouverte à d'autres spécialités, à l'instar celles de sciences de l'information et de la communication", a précisé Mme Benghebrit en marge des portes ouvertes sur la créativité éducative dans le domaine de l'informatique et des nouvelles technologies.
Le ministère "attend", selon Mme Benghebrit, une réponse de la part de la direction de la fonction publique et du ministère des Finances en vue de définir dans le "détail" le nombre de postes ouverts affirmant qu'il (nombre) se rapprochait de celui de l'année dernière" où 18 spécialités ont été ouvertes.
Elle a ajouté qu'un "test oral sera introduit lors du prochain concours dans le souci d'améliorer les performances des enseignants qui bénéficient de sessions de formation après leur recrutement" rappelant que le plus important pour le ministère est le critère de "compétence qui sera confirmé par l'examen écrit".
Pour ce qui est du recrutement dans l'enseignement primaire, l'"enseignant doit justifier d'une connaissance de toutes les matières tant scientifiques que littéraires contrairement à l'enseignant des cours moyen ou secondaire qui est tenu de maîtriser sa spécialité", a expliqué la ministre.
Elle a, par ailleurs, annoncé que "le premier samedi de chaque mois de février sera dédié à la créativité" soulignant que le ministère accompagnera et soutiendra, financièrement notamment, les initiatives créatives dans le domaine des nouvelles technologies.
"La possibilité de passer le concours de recrutement d'enseignants est ouverte à d'autres spécialités, à l'instar celles de sciences de l'information et de la communication", a précisé Mme Benghebrit en marge des portes ouvertes sur la créativité éducative dans le domaine de l'informatique et des nouvelles technologies.
Le ministère "attend", selon Mme Benghebrit, une réponse de la part de la direction de la fonction publique et du ministère des Finances en vue de définir dans le "détail" le nombre de postes ouverts affirmant qu'il (nombre) se rapprochait de celui de l'année dernière" où 18 spécialités ont été ouvertes.
Elle a ajouté qu'un "test oral sera introduit lors du prochain concours dans le souci d'améliorer les performances des enseignants qui bénéficient de sessions de formation après leur recrutement" rappelant que le plus important pour le ministère est le critère de "compétence qui sera confirmé par l'examen écrit".
Pour ce qui est du recrutement dans l'enseignement primaire, l'"enseignant doit justifier d'une connaissance de toutes les matières tant scientifiques que littéraires contrairement à l'enseignant des cours moyen ou secondaire qui est tenu de maîtriser sa spécialité", a expliqué la ministre.
Elle a, par ailleurs, annoncé que "le premier samedi de chaque mois de février sera dédié à la créativité" soulignant que le ministère accompagnera et soutiendra, financièrement notamment, les initiatives créatives dans le domaine des nouvelles technologies.
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Bejaia : Un homme de 37 ans lâchement assassiné à Bouhamza
Une rixe sanglante a éclaté, mercredi dernier, entre deux personnes à l’intérieur d’une cafétéria au centre-ville de la localité de Bouhamza, laquelle s’est soldée par un mort. La victime (O.Z.), âgée de 37 ans, a succombé à ses blessures, car les coups mortels qu’a assénés l’agresseur n’ont laissé aucune chance au trentenaire. Le corps inerte de la victime fut transféré à la morgue de l’hôpital d’Akbou pour les besoins de l’autopsie ; quant à l’assassin (L.H âgé de 49 ans), les éléments de la brigade de la gendarmerie de Béni-Maouche l’ont interpellé en possession de l’arme du crime. Une enquête est ouverte pour déterminer le mobile du crime et élucider cette affaire ayant défrayé la chronique dans la paisible localité de Bouhamza.
DDKabyli /Bachir Djaider
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Surprises du nouveau gouvernement : Ahmed Ouyahia, Gaid Saleh et Amar Saidani ... Pronostics ou révélations ?
Le départ de l'actuel gouvernement sera la formalité qui suivra l'adoption de l'avant-projet de la nouvelle constitution, demain dimanche, par le parlement de ses deux chambres, et la formation du nouveau gouvernement devient la question la plus abordée par le presse algérienne.
Le média électronique connu comme très proche du pouvoir, voir même considéré comme agence officieuse d'anticipation, Algérie1, dresse une liste des ministres partant et des arrivants avec plusieurs surprises, dont la nomination de Ahmed Ouyahia, premier ministre, la promotion de Ahmed Gaid Saleh ministre de la défense ainsi que la nomination de Amar Saidani, secrétaire général du FLN, ministre d'Etat.
Le Premier Ministre Abdemalek Sellal, très souvent décrié pour les manifestations récurrentes de son espièglerie quittera son poste pour celui de Ministre d’Etat, Conseiller spécial auprès du Président de la République. Il sera remplacé par Ahmed Ouyahia.
Ramtane Lamamra quittera le Ministère des Affaires Etrangères et de la Coopération internationale pour occuper le poste de Ministre d’Etat, Conseiller diplomatique auprès du Président de la République.
Ce sera pour lui une position d’attente, car il est pressenti comme candidat à la présidence de la commission africaine.
Ahmed Gaid Salah occupera le poste de Ministre de la Défense Nationale à titre civil.
Le titre de Chef suprême des forces armées restera dévolu au Président de la République. Tandis que le poste de Chef de l’Etat-Major de l’Armée Nationale Populaire sera dévolu à un officier général.
Abdelkader Ouali remplacera Nouredine BEDOUI au poste de Ministre de l’Intérieur et des Collectivités Locales.
Tayeb Louh cèdera le Ministère de la Justice à Madame Sahraoui Soumia, actuellement présidente du Conseil d’état à titre de Ministre de la justice, Garde des sceaux.
Abderrahmane Benkhalfa gardera son poste de Ministre des Finances.
Abdelkader Messahel occupera à plein titre le poste de Ministre des affaires étrangères et de la coopération internationale.
Amara Benyounes remplacera Abdesselam Bouchouareb au Ministère de l’Industrie et des Mines.
Salah Khebri, ministre de l’énergie quittera son poste et sera remplacé par Abdesselam Bouchouareb.
Tayeb Zitouni sera maintenu au Ministère des Moudjahidine.
Mohamed Aïssa sera maintenu au Ministère des Affaires Religieuses et des Wakfs.
Mohamed Benmeradi, ex ministre du travail prendra le poste de Ministre, directeur de Cabinet du Premier Ministre.
Bakhti Belaib remplacera Amar Ghoul au Ministère de l’Aménagement du Territoire, du Tourisme et de l’Artisanat.
Sid Ahmed Ferroukhi sera maintenu Ministre de l’Agriculture, du Développement Rural et de la pêche.
Mustapha Karim Rahiel remplacera Abdelwahab Nouri au Ministère des Ressources en Eau et de l’Environnement.
Abdelwahab Nouri remplacera Abdelmadjid Tebboune au Ministère de l’Habitat, de l’Urbanisme et de la Ville.
Nouredine Bédoui remplacera Abdelkader Ouali au Ministère des Travaux Publics.
M. Boudjema Talai sera maintenu Ministre des Transports.
Mme Nouria Benghebrit ira occuper le poste de Ministre de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique.
Tahar Hadjar prendra le poste de Ministre de l’Éducation Nationale.
Abdelkader Kadi, Ministre de la Formation et de l’Enseignement Professionnels en remplacement de Mohamed Mebarki
Mme Nouria Yamina Zerhouni, Ministre du Travail, de l’Emploi et de la Sécurité Sociale en remplacement de Mohamed El Ghazi qui occupera le poste de Ministre du commerce.
Wacini Laredj, écrivain de grande renommée remplacera Azzedine Mihoubi au Ministère de la Culture.
Tahar Khaoua remplacera Mme Mounia Meslem, une protégée de Zohra Drif, au Ministère de la Solidarité Nationale, de la Famille et de la condition de la Femme.
Tayeb Louh sera nommé Ministre des Relations avec le Parlement.
Abdelmalek Boudiaf sera maintenu Ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme Hospitalière.
Boubekeur Khaldi, secrétaire général du ministère des affaires religieuses remplacera El-Hadi Ould ali au Ministère de la Jeunesse et des Sports.
Toufik Khelladi remplacera Hamid Grine au Ministère de la Communication.
Mme Iman Houda Feraoun sera maintenue au Ministère de la Poste et des Technologies de l’Information et de la Communication
Hadji Baba Ammi sera maintenu Ministre Délégué auprès du Ministre des Finances, Chargé du Budget et de la Prospective.
Mme Aïcha Tagabou sera maintenue Ministre déléguée auprès du Ministre de l’Aménagement du territoire, du Tourisme et de l’Artisanat, chargée de l’Artisanat
Mme Slim Amira, député, chargée de nos ressortissants au Maghreb et au Moyen orient sera ministre de la communauté algérienne à l’étranger
Mohamed Sebaibi, ex secrétaire général de plusieurs ministères et chef de cabinet du chef du gouvernement remplacera Ahmed Noui en qualité de Ministre Secrétaire Général du Gouvernement.
Par ailleurs, le Président de la République nommera :
Amar Saadani Ministre d’Etat Conseiller spécial auprès du Président de la République.
Abdelmalek Sellal Ministre d’Etat Conseiller spécial auprès du Président de la République.
Mohammed Benamar Zerhouni en qualité de Ministre Directeur de Cabinet du Président de la République.
Saïd Bouteflika en qualité de Ministre Conseiller chargé des affaires spéciales du Président de la République.
Bachir Tartag, Conseiller spécial auprès du Président de la République, sera maintenu.
Il mettra fin aux fonctions de conseiller à la Présidence de :
Kamel Rezzag Bara, payera pour ses bavardages incessants
Karim Djoudi, a des problèmes de santé qui l’empêchent d’apporter sa contribution
Youcef Yousfi, n’a fait preuve d’aucun dynamisme depuis sa prise de fonctions
Saadeddine Nouiouat, à presque 90 ans n’assure plus ses fonctions
Mohammed Ali Boughazi, n’a apporté aucune contribution
Les deux walis rappelés au gouvernement pourraient être remplacés par Djamel Dehane ex wali de Souk-Ahras, fils de chahid et énarque, à Tipaza, et Ahmed Adli, ex secrétaire général du ministère de l’intérieur à Boumerdes.
Le média électronique connu comme très proche du pouvoir, voir même considéré comme agence officieuse d'anticipation, Algérie1, dresse une liste des ministres partant et des arrivants avec plusieurs surprises, dont la nomination de Ahmed Ouyahia, premier ministre, la promotion de Ahmed Gaid Saleh ministre de la défense ainsi que la nomination de Amar Saidani, secrétaire général du FLN, ministre d'Etat.
Voici les pronostics du média suscité sur le nouveau gouvernement :
Le Premier Ministre Abdemalek Sellal, très souvent décrié pour les manifestations récurrentes de son espièglerie quittera son poste pour celui de Ministre d’Etat, Conseiller spécial auprès du Président de la République. Il sera remplacé par Ahmed Ouyahia.
Ramtane Lamamra quittera le Ministère des Affaires Etrangères et de la Coopération internationale pour occuper le poste de Ministre d’Etat, Conseiller diplomatique auprès du Président de la République.
Ce sera pour lui une position d’attente, car il est pressenti comme candidat à la présidence de la commission africaine.
Ahmed Gaid Salah occupera le poste de Ministre de la Défense Nationale à titre civil.
Le titre de Chef suprême des forces armées restera dévolu au Président de la République. Tandis que le poste de Chef de l’Etat-Major de l’Armée Nationale Populaire sera dévolu à un officier général.
Abdelkader Ouali remplacera Nouredine BEDOUI au poste de Ministre de l’Intérieur et des Collectivités Locales.
Tayeb Louh cèdera le Ministère de la Justice à Madame Sahraoui Soumia, actuellement présidente du Conseil d’état à titre de Ministre de la justice, Garde des sceaux.
Abderrahmane Benkhalfa gardera son poste de Ministre des Finances.
Abdelkader Messahel occupera à plein titre le poste de Ministre des affaires étrangères et de la coopération internationale.
Amara Benyounes remplacera Abdesselam Bouchouareb au Ministère de l’Industrie et des Mines.
Salah Khebri, ministre de l’énergie quittera son poste et sera remplacé par Abdesselam Bouchouareb.
Tayeb Zitouni sera maintenu au Ministère des Moudjahidine.
Mohamed Aïssa sera maintenu au Ministère des Affaires Religieuses et des Wakfs.
Mohamed Benmeradi, ex ministre du travail prendra le poste de Ministre, directeur de Cabinet du Premier Ministre.
Bakhti Belaib remplacera Amar Ghoul au Ministère de l’Aménagement du Territoire, du Tourisme et de l’Artisanat.
Sid Ahmed Ferroukhi sera maintenu Ministre de l’Agriculture, du Développement Rural et de la pêche.
Mustapha Karim Rahiel remplacera Abdelwahab Nouri au Ministère des Ressources en Eau et de l’Environnement.
Abdelwahab Nouri remplacera Abdelmadjid Tebboune au Ministère de l’Habitat, de l’Urbanisme et de la Ville.
Nouredine Bédoui remplacera Abdelkader Ouali au Ministère des Travaux Publics.
M. Boudjema Talai sera maintenu Ministre des Transports.
Mme Nouria Benghebrit ira occuper le poste de Ministre de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique.
Tahar Hadjar prendra le poste de Ministre de l’Éducation Nationale.
Abdelkader Kadi, Ministre de la Formation et de l’Enseignement Professionnels en remplacement de Mohamed Mebarki
Mme Nouria Yamina Zerhouni, Ministre du Travail, de l’Emploi et de la Sécurité Sociale en remplacement de Mohamed El Ghazi qui occupera le poste de Ministre du commerce.
Wacini Laredj, écrivain de grande renommée remplacera Azzedine Mihoubi au Ministère de la Culture.
Tahar Khaoua remplacera Mme Mounia Meslem, une protégée de Zohra Drif, au Ministère de la Solidarité Nationale, de la Famille et de la condition de la Femme.
Tayeb Louh sera nommé Ministre des Relations avec le Parlement.
Abdelmalek Boudiaf sera maintenu Ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme Hospitalière.
Boubekeur Khaldi, secrétaire général du ministère des affaires religieuses remplacera El-Hadi Ould ali au Ministère de la Jeunesse et des Sports.
Toufik Khelladi remplacera Hamid Grine au Ministère de la Communication.
Mme Iman Houda Feraoun sera maintenue au Ministère de la Poste et des Technologies de l’Information et de la Communication
Hadji Baba Ammi sera maintenu Ministre Délégué auprès du Ministre des Finances, Chargé du Budget et de la Prospective.
Mme Aïcha Tagabou sera maintenue Ministre déléguée auprès du Ministre de l’Aménagement du territoire, du Tourisme et de l’Artisanat, chargée de l’Artisanat
Mme Slim Amira, député, chargée de nos ressortissants au Maghreb et au Moyen orient sera ministre de la communauté algérienne à l’étranger
Mohamed Sebaibi, ex secrétaire général de plusieurs ministères et chef de cabinet du chef du gouvernement remplacera Ahmed Noui en qualité de Ministre Secrétaire Général du Gouvernement.
Par ailleurs, le Président de la République nommera :
Amar Saadani Ministre d’Etat Conseiller spécial auprès du Président de la République.
Abdelmalek Sellal Ministre d’Etat Conseiller spécial auprès du Président de la République.
Mohammed Benamar Zerhouni en qualité de Ministre Directeur de Cabinet du Président de la République.
Saïd Bouteflika en qualité de Ministre Conseiller chargé des affaires spéciales du Président de la République.
Bachir Tartag, Conseiller spécial auprès du Président de la République, sera maintenu.
Il mettra fin aux fonctions de conseiller à la Présidence de :
Kamel Rezzag Bara, payera pour ses bavardages incessants
Karim Djoudi, a des problèmes de santé qui l’empêchent d’apporter sa contribution
Youcef Yousfi, n’a fait preuve d’aucun dynamisme depuis sa prise de fonctions
Saadeddine Nouiouat, à presque 90 ans n’assure plus ses fonctions
Mohammed Ali Boughazi, n’a apporté aucune contribution
Les deux walis rappelés au gouvernement pourraient être remplacés par Djamel Dehane ex wali de Souk-Ahras, fils de chahid et énarque, à Tipaza, et Ahmed Adli, ex secrétaire général du ministère de l’intérieur à Boumerdes.
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Le Djurdjura privé de son manteau blanc !
Le réchauffement climatique commence à se ressentir sérieusement partout dans le monde, le Djurdjura n’en fait pas l’exception. Les hivers passent et repassent mais se ressemblent. Les montagnes de la Kabylie pleurent leur joyau d’hiver..la neige ! Qui aurait dit, vingt ans en arrière, que le Djurdjura ou Adrar n jarjar en kabyle, la plus longue chaine montagneuse de Kabylie, se verrait privé de son habit blanc qui le couvrait merveilleusement bien, en cette période de l’année.
Autrefois, Jarjar, cette région de Kabylie connue pour la dureté et la rudesse de ses hivers ne passait jamais la saison d’hiver sans la neige. En effet, elle venait souvent là pour y rester deux ou trois bons mois de l’hiver. Elle venait faire le bonheur des agriculteurs qui voyait en elle le moyen parfait pour arroser lentement et sûrement leurs terres. Et elle faisait le bonheur des petits qui passaient leur temps à faire du ski à la kabyle, avec des luges fabriquées, souvent, à partir de peu de moyens.
Dans les villages qui étaient, jadis, difficilement accessibles. Les routes pratiquement impraticables à longueur d’hiver par cette poudreuse blanche qui, même si, rendait difficile la vie de ses habitants avait beaucoup plus d’avantages que de préjudices. Aujourd’hui, les montagnards et même les montagnes demandent ne serait ce qu’un peu de pluie.
En Février, le mois sensé être le plus froid de l’année et durant lequel la pluie tombait pratiquement tous les jours. Aujourd’hui elle se fait rare. Les agriculteurs redoutent le pire. On voit même des arbres qui fleurissent prématurément alors qu’on est qu’à la moitié de l’hiver. Les terres arides ne pouvant plus donner des récoltes souffrent de la sécheresse qui touche tout le pays y compris les régions les plus humides. La Kabylie connue autrefois pour ses quatre saisons devient d’année en année et de plus en plus la région la plus touchée par le réchauffement climatique.
Par Dj. O
Autrefois, Jarjar, cette région de Kabylie connue pour la dureté et la rudesse de ses hivers ne passait jamais la saison d’hiver sans la neige. En effet, elle venait souvent là pour y rester deux ou trois bons mois de l’hiver. Elle venait faire le bonheur des agriculteurs qui voyait en elle le moyen parfait pour arroser lentement et sûrement leurs terres. Et elle faisait le bonheur des petits qui passaient leur temps à faire du ski à la kabyle, avec des luges fabriquées, souvent, à partir de peu de moyens.
Dans les villages qui étaient, jadis, difficilement accessibles. Les routes pratiquement impraticables à longueur d’hiver par cette poudreuse blanche qui, même si, rendait difficile la vie de ses habitants avait beaucoup plus d’avantages que de préjudices. Aujourd’hui, les montagnards et même les montagnes demandent ne serait ce qu’un peu de pluie.
En Février, le mois sensé être le plus froid de l’année et durant lequel la pluie tombait pratiquement tous les jours. Aujourd’hui elle se fait rare. Les agriculteurs redoutent le pire. On voit même des arbres qui fleurissent prématurément alors qu’on est qu’à la moitié de l’hiver. Les terres arides ne pouvant plus donner des récoltes souffrent de la sécheresse qui touche tout le pays y compris les régions les plus humides. La Kabylie connue autrefois pour ses quatre saisons devient d’année en année et de plus en plus la région la plus touchée par le réchauffement climatique.
Par Dj. O
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Anne Hidalgo et Alain Juppé : Maires en France et présidents en Algérie ?
Anne Hildago, sera à Alger cet après midi, 07 janvier 2016, invitée par le wali d'Alger, Abdelkader Zoukh. La maire socialiste de Paris n'enviera rien à son homologue, maire de Bordeau, Alain Juppé, homme de droite favori aux primaires des présidentielles en France.
En effet, elle aura droit à un accueil présidentiel et un protocole d'«une quasi-visite d’État».Selon L'Opinion, la visite qui durera un peu plus que 24 heures, commencera par un accueil du wali de la capitale, Abdelkader Zoukh, son homologue algérois. «Son agenda ressemblera ensuite à celui d’un chef d’Etat». Dans la foulée , elle aura un tête-à-tête avec le Premier ministre algérien, Abdelmalek Sellal, suivi d’un dîner officiel en présence de la quasi-totalité des membres du gouvernement algérien.Lundi matin, rajoute le journal français, le ministre algérien des Affaires étrangères lui fera les honneurs.
Alain Juppé, de son coté maire de Bordeaux, était reçu aussi comme avec un protocol présidentiel, il a eu droit à un tête à tête avec le président Bouteflika, dans une étape traditionnelle des prétendant à la présidence française, «Je suis très satisfait de ma visite en Algérie", a indiqué M. Juppé lors d'une conférence de presse animée peu avant son départ à l'aéroport international Houari Boumediene, soulignant que "cette visite a été courte, mais dense de par les activités que j'ai eues».
Par ailleurs, Hamid Grine, ministre algérien de la communication, en mission officielle en France, accompagné du chef du protocole de l’ambassade d’Algérie en France a été, contrairement aux maires français en Algérie, soumis, le mois d'octobre passé, à l’aéroport d’Orly à une fouille au corps humiliante, un incident qui a suscité une vive polémique en Algérie.
En effet, elle aura droit à un accueil présidentiel et un protocole d'«une quasi-visite d’État».Selon L'Opinion, la visite qui durera un peu plus que 24 heures, commencera par un accueil du wali de la capitale, Abdelkader Zoukh, son homologue algérois. «Son agenda ressemblera ensuite à celui d’un chef d’Etat». Dans la foulée , elle aura un tête-à-tête avec le Premier ministre algérien, Abdelmalek Sellal, suivi d’un dîner officiel en présence de la quasi-totalité des membres du gouvernement algérien.Lundi matin, rajoute le journal français, le ministre algérien des Affaires étrangères lui fera les honneurs.
Alain Juppé, de son coté maire de Bordeaux, était reçu aussi comme avec un protocol présidentiel, il a eu droit à un tête à tête avec le président Bouteflika, dans une étape traditionnelle des prétendant à la présidence française, «Je suis très satisfait de ma visite en Algérie", a indiqué M. Juppé lors d'une conférence de presse animée peu avant son départ à l'aéroport international Houari Boumediene, soulignant que "cette visite a été courte, mais dense de par les activités que j'ai eues».
Par ailleurs, Hamid Grine, ministre algérien de la communication, en mission officielle en France, accompagné du chef du protocole de l’ambassade d’Algérie en France a été, contrairement aux maires français en Algérie, soumis, le mois d'octobre passé, à l’aéroport d’Orly à une fouille au corps humiliante, un incident qui a suscité une vive polémique en Algérie.
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VIDEO. «Le permis de conduire à 50 000 DA» : Les précisions du ministère de transport
Le permis à 50 000 DA, une information révélée par un journal arabophone et qui a fait le tour du web algérien sans manquer de susciter l'indignation des citoyens touchés par le tas d'augmentations qui affectent directement leur pouvoir d'achat. En effet, le journal, cite une source du ministère du transport, alors que Hemani Abdelghani, dément catégoriquement, en annonçant des commissions d'inspections qui sanctionneront toute école augmentant ses prix.
Le dit responsable du ministère de transport refute toute augmentation, sauf si unilatéralement prise par les syndicats, ce qui est inacceptable selon lui avant d'ajouter que son ministère prépare en collaboration avec le ministère du commerce un décret régissant l'activité des auto-écoles.
Il est à rappeler que les auto-écoles sont épinglés par les statistiques du Centre national de prévention et de sécurité routière (CNPSR), le recule est de seulement 5,25%. Au total «3.952 personnes ont trouvé la mort durant les dix premiers mois de l'année 2015, contre 4.171 en 2014», dont 80% des accidents sont dus au facteur humain.
Le dit responsable du ministère de transport refute toute augmentation, sauf si unilatéralement prise par les syndicats, ce qui est inacceptable selon lui avant d'ajouter que son ministère prépare en collaboration avec le ministère du commerce un décret régissant l'activité des auto-écoles.
Il est à rappeler que les auto-écoles sont épinglés par les statistiques du Centre national de prévention et de sécurité routière (CNPSR), le recule est de seulement 5,25%. Au total «3.952 personnes ont trouvé la mort durant les dix premiers mois de l'année 2015, contre 4.171 en 2014», dont 80% des accidents sont dus au facteur humain.
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« Homme de 78 ans, en fauteuil roulant » : The Economist s'inquiète sur l'Algérie
Le prestigieux journal The Economiste rejoint plusieurs autres médias internationaux qui s'inquiètent sur l'avenir de l'Algérie et s'interrogent sur son mode de gouvernement avec l'absence du président, dont The Economist qualifie d'« Homme de 78 ans, en fauteuil roulant, pas aperçu publiquement depuis plus de deux ans ».
Pour le média britannique qui consacre un article à l'Algérie, l'absence de Bouteflika arrive au mauvais moment après avoir évité la vague du printemps dit Arabe, avant de rappeler que le chef de l'Etat algérien ne s'est pas adréssé à son peuple depuis son élection, « M. Bouteflika peut à peine parler et l’on dit qu’il communique par lettre avec ses ministres, qui insistent néanmoins que le vieil homme a toutes ses capacités mentales et que c’est lui qui dirige ».
The Economist prédit une déstabilisation sociale avec la chute des prix du pétrole et la fin du système «Insoutenable» d'achat de la paix sociale « Le gouvernement a été en mesure d’acheter la paix chez lui grâce aux subventions, les logements sociaux et de grosses augmentations de salaires pour ses fonctionnaires. Mais l’effondrement des revenus du pétrole rendent ce système intenable », ajoute-t-il.
Pour le média britannique qui consacre un article à l'Algérie, l'absence de Bouteflika arrive au mauvais moment après avoir évité la vague du printemps dit Arabe, avant de rappeler que le chef de l'Etat algérien ne s'est pas adréssé à son peuple depuis son élection, « M. Bouteflika peut à peine parler et l’on dit qu’il communique par lettre avec ses ministres, qui insistent néanmoins que le vieil homme a toutes ses capacités mentales et que c’est lui qui dirige ».
The Economist prédit une déstabilisation sociale avec la chute des prix du pétrole et la fin du système «Insoutenable» d'achat de la paix sociale « Le gouvernement a été en mesure d’acheter la paix chez lui grâce aux subventions, les logements sociaux et de grosses augmentations de salaires pour ses fonctionnaires. Mais l’effondrement des revenus du pétrole rendent ce système intenable », ajoute-t-il.
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Béjaïa : Le cancer prend des proportions alarmantes
Les chiffres dévoilés par le Docteur Daoudi à l’occasion de la Journée mondiale de lutte contre le cancer sont plus qu'inquiétants, avec une multitude de types de cancers.
En effet, Docteur Daoudi, oncologue et chef de service au niveau de l’hôpital d’Amizour révèle que plus de 500 nouveaux cas, de plusieurs types de cancers, avec une prédominance du cancer du sein chez la femme et du colorectal chez l’homme, ont été diagnostiqués, l’an dernier dans son hôpital, dont son service prend en charge tous les cancéreux en matière de chimiothérapie. Parmi ces derniers, certains vivent avec cette pathologie depuis plusieurs années.
Ce qui est sûr, c’est que le remède à cette maladie réside dans la période de sa détection. Son dépistage précoce suivi de sa prise en charge à temps donne de meilleurs résultats de guérison par rapport à une détection tardive. C’est la raison pour laquelle l’oncologue chef de service d’Amizour, à l’instar de ses confrères, multiplie les appels au dépistage, par exemple, du cancer du sein, le plus répandu chez la femme, pour diagnostiquer à temps la tumeur afin d’augmenter les chances de guérison. Toutefois, la rareté et parfois la rupture de stocks de médicaments nécessaires au traitement de ce type de maladies ne permettent pas une bonne prise en charge des patients.
Par ailleurs, La Ligue algérienne pour la défense des droits de l’homme attire, à travers un communiqué, l’attention sur la cherté des soins médicaux des cancéreux, qui « ne sont pas à la portée de tous les malades ». D’ailleurs, précise-t-on, le montant d’ «une séance de radiothérapie s’élève à 13 000 dinars chez le privé » tandis que « les services de la Sécurité sociale n’en rembourse que 400 DA seulement ! ».
Le responsable au sein de LADDH relève « l’existence d’une pénurie de psychotropes et des médicamentations antidouleur nécessaires dans les séances de chimiothérapie faute de prévisions ». Pour lui, c’est un déficit qui peut être « fatal » pour les malades.
Enfin, Houari Kaddour explique que le coût de la prise en charge thérapeutique, l'achat des médicaments anticancéreux (chimiothérapie), la radiothérapie, les frais des analyses de laboratoire, des examens radiologiques, la charge financière liée au transport et aux contrôles post-thérapeutiques, «incombent totalement aux cancérogènes ». LADDH souligne, ainsi, « le caractère désastreux de la prise en charge des malades cancéreux dans l’Algérie profonde qui restent livrés à eux-mêmes », tout en s’interrogeant sur l’utilité du fonds spécial de 30 milliards de dinars, alimenté chaque année par les pouvoirs publics pour l’amélioration de la prise en charge des malades.
LADDH souligne que le cancer est la deuxième cause de mortalité en Algérie avec un pourcentage de 21%, derrière les maladies cardio-vasculaires. Le nombre de cancéreux en Algérie estimé à 480 .000 patients, dont 50.000 nouveaux cas de cancer sont recensés chaque année en Algérie. Il s’agit aussi de 1.500 enfants (soit une moyenne de 5 nouveaux cas par heure enregistrés chez les adultes, et 4 nouveaux cas par jour chez les enfants), enregistrés annuellement.
En effet, Docteur Daoudi, oncologue et chef de service au niveau de l’hôpital d’Amizour révèle que plus de 500 nouveaux cas, de plusieurs types de cancers, avec une prédominance du cancer du sein chez la femme et du colorectal chez l’homme, ont été diagnostiqués, l’an dernier dans son hôpital, dont son service prend en charge tous les cancéreux en matière de chimiothérapie. Parmi ces derniers, certains vivent avec cette pathologie depuis plusieurs années.
Ce qui est sûr, c’est que le remède à cette maladie réside dans la période de sa détection. Son dépistage précoce suivi de sa prise en charge à temps donne de meilleurs résultats de guérison par rapport à une détection tardive. C’est la raison pour laquelle l’oncologue chef de service d’Amizour, à l’instar de ses confrères, multiplie les appels au dépistage, par exemple, du cancer du sein, le plus répandu chez la femme, pour diagnostiquer à temps la tumeur afin d’augmenter les chances de guérison. Toutefois, la rareté et parfois la rupture de stocks de médicaments nécessaires au traitement de ce type de maladies ne permettent pas une bonne prise en charge des patients.
Par ailleurs, La Ligue algérienne pour la défense des droits de l’homme attire, à travers un communiqué, l’attention sur la cherté des soins médicaux des cancéreux, qui « ne sont pas à la portée de tous les malades ». D’ailleurs, précise-t-on, le montant d’ «une séance de radiothérapie s’élève à 13 000 dinars chez le privé » tandis que « les services de la Sécurité sociale n’en rembourse que 400 DA seulement ! ».
Le responsable au sein de LADDH relève « l’existence d’une pénurie de psychotropes et des médicamentations antidouleur nécessaires dans les séances de chimiothérapie faute de prévisions ». Pour lui, c’est un déficit qui peut être « fatal » pour les malades.
Enfin, Houari Kaddour explique que le coût de la prise en charge thérapeutique, l'achat des médicaments anticancéreux (chimiothérapie), la radiothérapie, les frais des analyses de laboratoire, des examens radiologiques, la charge financière liée au transport et aux contrôles post-thérapeutiques, «incombent totalement aux cancérogènes ». LADDH souligne, ainsi, « le caractère désastreux de la prise en charge des malades cancéreux dans l’Algérie profonde qui restent livrés à eux-mêmes », tout en s’interrogeant sur l’utilité du fonds spécial de 30 milliards de dinars, alimenté chaque année par les pouvoirs publics pour l’amélioration de la prise en charge des malades.
LADDH souligne que le cancer est la deuxième cause de mortalité en Algérie avec un pourcentage de 21%, derrière les maladies cardio-vasculaires. Le nombre de cancéreux en Algérie estimé à 480 .000 patients, dont 50.000 nouveaux cas de cancer sont recensés chaque année en Algérie. Il s’agit aussi de 1.500 enfants (soit une moyenne de 5 nouveaux cas par heure enregistrés chez les adultes, et 4 nouveaux cas par jour chez les enfants), enregistrés annuellement.
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Urgent: La nouvelle constitution adoptée
La loi portant révision constitutionnelle a été adoptée dimanche, à main levée, à une majorité écrasante par le Parlement, réuni en session extraordinaire au Palais des nations (Alger), consacrée à la présentation et au vote de ce projet.
Au total, 499 parlementaires ont voté pour le projet, deux contre et 16 se sont abstenus, selon le décompte établi par le président du Parlement, Abdelkader Bensalah.
La séance s'est déroulée en présence de 512 parlementaires, en plus de cinq procurations, sachant que le quorum requis est de 388.
Au total, 499 parlementaires ont voté pour le projet, deux contre et 16 se sont abstenus, selon le décompte établi par le président du Parlement, Abdelkader Bensalah.
La séance s'est déroulée en présence de 512 parlementaires, en plus de cinq procurations, sachant que le quorum requis est de 388.
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