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VIDEO. Le «migrant le plus détesté de Suède» est… Algérien !

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L'homme est qualifié de «migrant le plus détesté de Suède», et s'est dit tunisien après son arrestation par la police suédoise suite à son identification dans une vidéo où il agresse une dame devant ses enfants, mais Selon son avocat Ekrem Gungor, cité par « IBTimes UK », le jeune homme a prétendu être un Tunisien, mais il est, en réalité, de nationalité algérienne, âgé de 33 ans et s’appelle Sofiane.


En effet, la police suédoise avait diffusé une vidéo de caméra de surveillance des escaliers de la station de métro Gamla Stan, proche du centre de Stockholm, qui a permis d’identifier et de retrouver l’homme ayant violemment agressé une dame.

La vidéo montre un homme qui tentait de voler le sac d’une dame âgée, mais qui a été épinglé par une maman, qui est courageusement intervenue. Offensé, le voleur a giflé la dame et lui donné un violent coup de pied, puis un coup de poing en plein visage… devant ses enfants apeurés. Le voleur crachera sur la dame et ses enfants avant de disparaître dans la station de métro.

L’affaire a fait couler beaucoup d’encre et les internautes ont largement partagé la vidéo en exprimant leur indignation et leur colère.

L’homme a été reconnu, identifié et dénoncé, avant de se faire arrêter, mardi dernier, et expulser, mercredi 27 janvier 2016. Il est un demandeur d’asile politique en Suède depuis octobre 2015.





VIDEO. Le «migrant le plus détesté de Suède» est… Algérien !

Avec Kapitalis


Tout ce qu'il faut savoir sur les nouvelles dispositions sur les SARL (JO)

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Les nouvelles dispositions sur les Sociétés à responsabilité limitée (SARL), contenues dans l'ordonnance portant code de commerce modifiée et complétée, ont été publiées dans le journal officiel no 71.

Ce texte, qui amende trois articles du code de commerce et y introduit deux autres, prévoit de nouvelles dispositions relatives aux SARL en vue d'encourager la création d'entreprises et de contribuer à la lutte contre l'économie informelle.

Il prévoit notamment la suppression de l'exigence d'un capital minimum pour la création d'une Sarl, l'extension des apports de la société aux apports en industrie, la protection des associés et l'augmentation du nombre de ces derniers.

Ainsi, l'article 566 du code de commerce est modifié et complété pour stipuler que "le capital minimum pour la création de la Sarl est fixé librement par les associés dans les statuts de la société. Le capital social doit être mentionné dans tous les documents de la société".

Ce texte consacre ainsi la non limitation préalable du capital minimum, puisque les associés pourront déterminer, eux-mêmes et librement, le minimum du capital social.

Concernant les apports pour une Sarl, deux articles (567 bis et 567 bis1) sont introduits dans le code de commerce: "L'apport en Société à responsabilité limitée peut être en industrie. L'évaluation de sa valeur et la fixation de la part qu'il génère dans les bénéfices sont fixées dans les statuts de la société. Cet apport n'entre pas dans la composition du capital de la société" (567 bis).

"Si la société n'est pas constituée dans un délai de 6 mois à compter du dépôt des fonds, tout associé peut demander au notaire la restitution du montant de son apport" (567 bis1).

Concernant le nombre des associés, l'article 590 y afférent a aussi été modifié dans le sens où "le nombre des associés d'une Sarl ne peut être supérieur à cinquante (50)", sachant que le nombre maximal des associés d'une Sarl était fixé, auparavant, à 20 personnes.

A rappeler que pour la suppression de l'exigence d'un capital minimum pour la création d'une Sarl, les concepteurs de la loi ont expliqué que cela s'inscrivait dans le cadre de l'encouragement de la création des PME.

Cette exigence n'est plus justifiée puisque les apports effectués pour constituer le capital peuvent être librement utilisés et entièrement dépensés ou investis juste après la constitution, et les pertes peuvent atteindre même le capital social, expliquent les auteurs de ce nouveau texte.

En réalité, selon eux, la valeur de la société est évaluée à travers sa capacité d'investir et non du montant de son capital social, et les associés peuvent recourir à d'autres moyens de financement, notamment les crédits bancaires.

Par ailleurs, le montant du capital minimum de la Sarl, qui était fixé à 100.000 DA, est insignifiant et ne peut constituer une garantie pour les créanciers

Quant à l'augmentation du nombre des associés à 50 associés (contre 20 auparavant), le législateur l'explique que c'est pour éviter la transformation de la SARL en une société par actions, et permettre ainsi aux associés de continuer à exercer leur activité en la forme de la SARL dans le cas où le nombre d'associés venait à connaître une augmentation supérieure au seuil légal existant.

En effet, notent les concepteurs de cette nouvelle loi, la SARL est souvent qualifiée de PME à vocation familiale dont les parts sociales sont librement transmissibles entre ascendants et descendants.

Dès lors, le nombre d'associés peut connaître une augmentation supérieure au seuil maximum d'associés. Or, leur imposer de transformer leur société en une autre forme de société risque de s'opposer à leur volonté de continuer à exercer leur activité en la forme de SARL.

En fait, cette loi vise aussi à faciliter et à encourager la création d'entreprises sous forme de personnes morales, et ce, notamment pour les SARL dont le nombre est encore insuffisant en Algérie même si c'est la forme de sociétés la plus répandue dans le pays.

En outre, le gros du tissu économique privé national est constitué à hauteur de plus 90% de personnes physiques, alors que les pouvoirs publics veulent renverser la tendance et privilégier la création, le plus possible, de sociétés.

A fin 2014, le tissu économique national était composé de 1,7 million d'opérateurs économiques inscrits au registre du commerce dont 157.122 seulement représentant des personnes morales, soit moins de 10% du nombre global des inscriptions.

Le nombre de SARL était à 134.301 à fin 2014, soit 85% du nombre global des sociétés inscrites au registre du commerce.


Première baptisation au nom de Matoub à l'université de Tizi-Ouzou

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La mémoire de Matoub Lounès a été honorée par les étudiants de l'université de Tizi-Ouzou qui ont donné, ce 03 février, son nom à la bibliothèque centrale du campus universitaire de Bastos.

L'événement, organisé en collaboration avec la fondation Matoub Lounès, a consisté en une exposition en plein air de nombre de tableaux, ainsi que d'une biographie retraçant la vie et l'oeuvre du rebelle.Une plaque portant le nom de Matoub Lounès a également été posée à l'entrée de la bibliothèque universitaire qui porte désormais le nom du rebelle.Des chansons du rebelle ont également été diffusées durant toute la journée à l'intérieur de l'université.

Les étudiants ont manifesté leur satisfaction vis-à-vis de cette démarche, et ont exprimé le vœu de voir d'autres événements du même genre au sein de l'université.Il est à préciser que cet événement s'est tenu dans le cadre des commémorations du 60ème anniversaire de la naissance de Matoub Lounès.

Bouira : Une adolescente de 16 ans égorgée par sa mère prof de lycée

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La région paisible de Aomar Gare a été secouée par un crime crapuleux, dont la victime était une adolescente de 16 ans égorgé par sa mère, enseignante dans un lycée de la dite localité, a t-on apprit de sources locales.

Selon les mêmes sources, la mise en cause est enseignante de langue anglaise dans un lycée de la commune de Kadiria (25 km à l'ouest de la ville de Bouira), qui aurait commis son crime après des problèmes familiaux en mettant fin à la vie de sa fille lycéenne de 16 ans.

Le corps de la victime a été transféré à la morgue de l'hôpital de Lakhdaria et une enquête a été ouverte pour déterminer les dessous de l'affaire.


Les anciens du MCB contre la nouvelle constitution.

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D'anciennes figures du Mouvement Culturel Berbère (MCB) , dont l'avocat et défenseur des droits de l'homme Ali Yahia Abdennour et l'ex-président du RCD et fondateur de la fondation AFUD Saïd Sadi, ont signé une tribune intitulée "l'Algérie de demain ou l'indispensable changement institutionnel" qui dénonce le projet de révision constitutionnelle, ont annoncé ce 03 février des médias électroniques.

Les signataires de cette tribune ont mis le point sur le nombre de constitutions que l'Algérie a vues depuis son indépendance, en déclarant que "chaque chef d'état a eu la ou les siennes"."Si ces constitutions n'ont pas assuré la justice et garanti la stabilité et la prospérité au pays, c'est parce que ces textes, au lieu de servir de cadre à la naissance d'une Algérie singulière, plurielle, solidaire et démocratique, ont été conçues comme autant d'instruments de domestication des consciences inspirés de régimes oligarchiques qui ont servi de modèle à des dirigeants obsédés par le pouvoir et obnubilés par des tutelles extérieures qui nient notre mémoire." ont dénoncé les signataires , qui voient en la nouvelle constitution "un artifice politicien dicté par les rapports de forces claniques en confrontation au sommet de l'état".
Parlant de l'officialisation de Tamazight , les signataires estiment que c'est "une opération de diversion"."Au lieu d’affirmer la parité des langues arabe et amazighe pour clore un schisme qui dure depuis les origines du mouvement national, le texte affiche une hiérarchie aberrante qui maintient l’amazighe dans une dimension de stigmate linguistique soumis aux aléas du moindre amendement constitutionnel, dès lors qu’il est évacué des constantes nationales" ont déclaré les signataires, qui relèvent également des "incohérences, approximations et contradictions" contenues dans le projet de révision constitutionnelle.

Il est à rappeler que, depuis son annonce le 05 janvier dernier, le projet de révision constitutionnelle ne cesse de faire polémique au sein de la classe civile et politique en Algérie.

Lutte antiterroriste: 40 personnes arrêtées à Alger

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Une quarantaine de personnes, âgées entre 23 et 45 ans, auraient été arrêtées par les services de sécurité à l'aéroport international Houari Boumediène à Alger, a annoncé ce 03 février le quotidien arabophone Echorouk, qui précise que les personnes arrêtées s'apprêtaient à rejoindre le groupe terroriste autoproclamé État Islamique (EI).

Les 40 personnes auraient été arrêtées en possession de faux passeports, et auraient déclaré aux services de sécurité qu'elles avaient l'intention de se rendre comme touristes en Turquie , avant de rejoindre les groupes terroristes affiliés à Daesh et sévissant en Syrie et en Iraq, précise la même source qui ajoute que l'aéroport international d'Alger serait soumis à des mesures de sécurité draconiennes suite à des information faisant état de l'intention du groupe terroriste de recruter de jeunes algériens dans ses rangs.

Il est à rappeler que, dans le cadre de la lutte antiterroriste , les services de sécurité avaient réussi au mois de novembre 2015 le démantèlement d'un réseau de soutien à Daesh de 21 personnes, dont 8 femmes.

Allemagne: Arrestation de 2 algériens soupçonnés de terrorisme

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Deux algériens ont été arrêtés et deux autres sont recherchés par la police allemande, ont annoncé ce 04 février des médias nationaux et étranger, précisant que les mis en cause sont soupçonnés "d'être en contact" avec le groupe terroriste autoproclamé État Islamique (EI) et de préparer "un acte grave menaçant la sécurité de l'État".

L'un des deux hommes arrêtés aurait été formé aux armes en Syrie et ferait l'objet d'un mandat d'arrêt de la part des services de sécurité algériens pour son appartenance présumée au groupe terroriste, précisent les même sources citant la police berlinoise; le deuxième interpellé aurait été appréhendé à Berlin pour falsification de documents, précisent les mêmes sources.

Les autorités allemandes, citées par nos sources, précisent par ailleurs que les quatre algériens mis en cause, dont deux actuellement recherchés, vivaient dans des camps de réfugiés en Allemagne.

VIDEO. FIS : Ahmed Chouchène, ancien capitaine déserteur de l'armée de retour au pays

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L'ancien capitaine déserteur de l'Armée Nationale Populaire (ANP), après un présumé mouvement de désobéissance au profit du parti islamiste dissous, le Front Islamique du Salut, au moitié des années 90, serait en préparation d'un imminent retour au pays.

En exil, depuis les années 90, Ahmed Chouchane aurait reçu le feu vert, des autorités algériennes pour rentrer au pays, selon des indiscrets rapportés par des médias électroniques algériens, qui font le lien avec la nouvelle position de l'ancien gradé de l'armée algérienne, qui a apporté un soutien ferme à l’actuel état-major de l’ANP et demande au peuple, aux partis et aux troupes de lui témoigner une solidarité sans faille.

Dans une vidéo, tout en se félicitant, Ahmed Chouchène affirme que l’état-major est en train de «procéder à une purge radicale et saine dans les structures névralgiques de l’armée et de l’État. Il aurait décidé de se débarrasser des éléments nuisibles qui, depuis le début des années 90, ont pris l’armée et le pays en otage.», plaide t-il.



VIDEO. FIS : Ahmed Chouchène, ancien capitaine déserteur de l'armée de retour au pays


Menaces à mains armées : Deux généraux à la retraite mis en cause

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La gendarmerie nationale a ouvert une enquête sur l'affaire d'une parcelle de terrain, qui a dégénéré à un conflit entre deux généraux en retraite et les habitants d'une cité de Dely Brahim à Alger.

Cette affaire remonte à mardi quand deux anciens militaires se sont rendus dans la cité du 11 Décembre pour visiter un lot de terrain et y prendre quelques mesures. De quoi intriguer les résidents du quartier, surpris par cette visite. Ces derniers se sont alors rapprochés vers les deux visiteurs, afin de leur demander quelques éclaircissements, rapporte El Khabar.

A la suite de quelques échanges tendus, les deux généraux à la retraite ont pointé leurs armes et menacé les habitants de ce site, qui ont rapidement intervenu pour les désarmer et tenter de les conduire à la brigade de Gendarmerie la plus proche, du quartier Aïn Allah, rajoute le quotidien arabophone.

L’accrochage entre les deux généraux et les habitants de la cité 11 Décembre a immédiatement fait réagir des agents de la sûreté mobilisés autour de l’Ambassade de Oman, sise près du quartier. Devant la montée des tensions, ils ont signalé cet événement aux services de la Gendarmerie nationale, qui sont intervenus, ouvert une enquête et recueillis les témoignages des parties.

Contacté par la même source, Hamza Kamel, maire de Dely Ibrahim a de son côté affirmé ne pas avoir accordé ce lot de terrain aux deux militaires à la retraite. Il aussi révélé que ces dernier ont reçu un agrément officiel de la part de l’Agence locale de la gestion et de la régulation foncière.

Menaces à mains armées : Deux généraux mis en cause

Paris: Ferhat Mehenni poursuivi en justice

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Ferhat Mehenni, président du Gouvernement Provisoire de Kabylie (GPK) affilié au MAK, sera poursuivi en justice pour diffamation, a annoncé ce 04 février le quotidien arabophone Ennahar.

Anis Rahmani, le directeur général du groupe Ennahar, aurait en effet déposé plainte ce 04 février à Paris contre Ferhat Mehenni qu'il accuse de "diffamation".

"En effet, depuis plusieurs jours, le Directeur général du groupe Ennahar est la cible d’une campagne diffamatoire et hostile menée par les relais médiatiques du pseudo-MAK." 

Ecrit le quotidien arabophone qui précise que Rahmani aurait choisi de déposer plainte à Paris pour éviter un jugement par contumace en Algérie.

Il est à préciser que le quotidien arabophone Ennahar et les médias proches du MAK ne cessent de se livrer une guerre acharnée sur le plan médiatique, s'accusant mutuellement de manipulation et de désinformation.


France : Le titre de séjour pluriannuel généralisé mais pas pour les étudiants algériens

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Le projet de loi relatif aux droits des étrangers a été adopté à l’Assemblée nationale française, le 26 janvier 2016. Parmi les mesures phares, le titre pluriannuel de séjour, généralisé à tous les étudiants étrangers, à l'exception des étudiants algériens. En effet, le projet de loi adopté  vient avec quelques nouveautés : Carte de séjour pluriannuelle, Passeport Talent, possibilité pour les détenteurs de titres de séjour "retraité" de solliciter un titre de séjour permanent, plus de droits au profit des étrangers malades (…). Ce texte contient plusieurs autres dispositions de procédures, relatives aux règles d’assignation à résidence, d’éloignement, de placement en rétention administrative…etc.


Les étudiants algériens ne pourront pas bénéficier de ce titre de séjour pluriannuel et pour cause la situation des étrangers relevant d’accords bilatéraux dont l’accord franco-algérien du 27 décembre 1968, n’a pas été abordée dans ce projet de loi, ni dans le volumineux rapport du député Erwann Binet, explique le juriste Boualem Kachi dans une contribution, avant de rajouter, «Contrairement aux autres accords qui lie la France en la matière, l’accord franco-algérien ne renvoie pas expressément à l’application de la loi nationale (CESEDA) pour les points qu’il n’a pas traités, c’est-à-dire qu’il s’applique d’une manière exclusive, ce qui n’est pas le cas des accords franco-tunisiens et franco-marocains qui prévoient l’application de la législation française s’agissant des situations qu’ils n’ont pas abordées. Il convient donc de préciser que cette future loi ne sera pas applicable sur les ressortissants de nationalité algérienne, régis intégralement par l’accord franco-algérien modifié en dernier lieu le 11 juillet 2001. Cette convention bilatérale détermine les conditions d’entrée et de séjour, la nature et la durée de validité des certificats de résidence délivrés aux ressortissants algériens et leurs familles.»

Adopté le 26 janvier 2016 à l'Assemblée nationale, le projet de loi permettra aux étudiants étrangers d'obtenir une "carte de séjour pluriannuelle", après l'expiration de leur premier titre de séjour d'un an. Ce document, accordé pour une durée maximale de quatre ans, restera valable jusqu'à la fin de leurs études. Jusque-là, cette carte ne concernait que certains étudiants de master et de doctorat, rapporte le site électronique l'Etudiant.


Deux suicides mettent en lumière la « situation accablante » des étudiants algériens de France

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Deux suicides en quarante-huit heures. En mars 2015, la communauté algérienne de France a été bouleversée par l’histoire de deux étudiants à Paris qui, plongés dans le désarroi, ont décidé de mettre fin à leurs jours. Ces deux drames ont révélé la situation accablante d’une partie des étudiants algériens en France, victimes d’une législation discriminante à leur égard, certains d’entre eux vivant dans des conditions de précarité extrême.

Selon les derniers chiffres du ministère de l’intérieur, le nombre de « visas étudiants » délivrés par le consulat français en Algérie a augmenté, à l’instar de tous les autres pays (5,4 % en 2015). Nous sommes donc 26 000 jeunes Algériens venus poursuivre nos études supérieures dans des universités françaises avec la volonté de réussir.
Le frein des accords de 1968

Toute personne ayant eu affaire au service des cartes de séjour en préfecture a sûrement remarqué la présence de la mention « sauf Algériens » sur bon nombre de documents administratifs.

Contrairement aux autres étrangers résidants en France, nous autres Algériens ne dépendons pas du droit commun appliqué aux étrangers, mais des accords franco-algériens du 27 décembre 1968, communément appelés « accords de 1968 », qui réglementent la circulation, l’emploi et le séjour des ressortissants algériens et de leurs familles en France. Si ceux-ci offrent certaines facilités, notamment pour l’exercice d’une activité commerciale et l’acquisition du titre de séjour de dix ans, ils sont une véritable entrave dans la vie quotidienne des étudiants.

De fait, en plus de l’impossibilité d’avoir un titre de séjour pluriannuel, la principale contrainte est l’impossibilité d’exercer une activité salariée, ne serait-ce que de quelques heures par mois. Ces difficultés, parmi d’autres, ont été évoquées par leurs proches pour expliquer le geste des deux étudiants qui ont mis fin à leurs jours en mars 2015. Car travailler est souvent une nécessité pour les étudiants qui ne bénéficient ni de la bourse sur critères sociaux du CROUS ni d’aucune autre aide financière de leur pays d’origine. Ceux qui souhaitent décrocher un job restent soumis à l’autorisation préalable de travail. L’obtention de ce sésame se fait après une procédure administrative lourde et lente, ce qui rend les patrons réticents à l’embauche d’Algériens.

Multiplier les obstacles


A chaque modification de ces accords, les voix des mouvements et des syndicats étudiants s’élèvent pour réclamer la suppression de cette formalité. Mais elles n’ont pas été entendues. Pourquoi ? Parce que, derrière cette situation, se cache la volonté de l’Algérie de limiter la fuite de ses jeunes cerveaux. L’interdiction de travailler ne figurait pas dans le texte de 1968, c’est un avenant ajouté en 2001 à la demande d’Alger.
En multipliant les obstacles pour les étudiants intéressés par la mobilité internationale (non-reconnaissance des diplômes étrangers, suppression des bourses, etc.), l’Algérie espère les dissuader de quitter le pays. Et en interdisant à ses ressortissants de travailler en France, elle sait que la majorité d’entre eux n’auront pas les moyens de partir étudier dans l’Hexagone, en raison de la dépréciation du dinar algérien et du difficile accès aux devises étrangères en Algérie. A cet effet, le régime de change de devises est d’une incohérence flagrante : un citoyen algérien n’a droit qu’à une allocation touristique d’environ 130 euros par an, peu importe la destination et la durée du voyage, alors que la condition principale pour entrer en France est de disposer de 120 euros par jour durant tout le séjour. Pour les plus aisés, il reste le marché informel. Avec la crise que traverse le pays aujourd’hui, il est de 80 % supérieur à celui de la banque.
Une perte pour la France

Les Algériens constituent la troisième communauté estudiantine étrangère après les Marocains et les Chinois. Aujourd’hui, beaucoup d’entre eux n’envisagent le passage par les universités françaises que comme un tremplin pour partir ailleurs une fois diplômés : au Canada, au Royaume-Uni et aux Etats-Unis principalement. Les autres pays l’ont bien compris : pour capter la matière grise algérienne, des salons leur sont consacrés partout en Algérie. Chaque année, on y remarque de plus en plus de pays d’Amérique, d’Asie et d’Europe de l’Est. Leurs deux arguments pour attirer les jeunes Algériens ? Une fluidité administrative et une législation plus clémente à leur égard, y compris pour travailler tout en étudiant. D’ailleurs, d’après une étude publiée par l’Insead, en collaboration avec Adecco et le Human Capital Leardership Institute de Singapour, la France a perdu de son attractivité. Elle est désormais classée 22e sur 109 pays.

Lire aussi : Des « presque citoyens » dénoncent la réforme de la Constitution algérienne
Alors que 41 % des doctorants inscrits dans les universités françaises sont étrangers, dont un quart provient du Maghreb selon l’enquête réalisée en 2010 par la Confédération des jeunes chercheurs, c’est la recherche scientifique et le rayonnement de la France qui sont en jeu. Pour rendre la vie des étudiants possible, pour éviter de nouveaux drames, il serait urgent que les autorités françaises reprennent le dialogue avec leurs interlocuteurs algériens sur les accords de 1968.

Le Monde

Lire l'article depuis sa source ICI

Dans le top 10 du classement FIJ : C'est très risqué d'être journaliste en Algérie

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La Fédération internationale des journalistes (FIJ), a rendu publique son rapport annuel sur la liberté de la presse dans le monde. En effet la FIJ indique qu’«au moins 2.297 journalistes et professionnels des médias» ont été tués depuis 1990. En effet, l'Irak, le Yémen et la France comptent le plus de journalistes victimes alors que 112 ont été tués rien qu'en 2015, Selon la fédération des journalistes, 2006 reste l’année la plus meurtrière pour les professionnels des médias, avec 155 morts.

L’Algérie figure parmi les 10 pays les plus dangereux pour les journalistes avec 106 professionnels des médias morts dans l’exercice de leurs fonctions, derrière l’Irak (309), Philippines (146), Mexique (120), Pakistan (115), Russie (109), dans la classement établi pour les 25 dernières années.

Dans son rapport repris par l'AFP, de nombreux décès ont lieu dans les zones de conflits, beaucoup de journalistes ont été «victimes des barons du crime organisé et de fonctionnaires corrompus.» «Il y a beaucoup plus de journalistes tués dans des endroits en paix que dans des pays touchés par la guerre», précise la FIJ.

La FIJ, le manque d’action pour éradiquer l’impunité des meurtres et autres attaques visant les professionnels des médias ne fait qu’aggraver la violence dont ils sont victimes.



«Sniper» : l'application sioniste qui vous suit à la trace sur internet

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«Sniper», une nouvelle application mobile lancée par l'Organisation sioniste mondiale (OSM), recense via un algorythme le contenu judéophobe présumé d'un site internet, permettant aux internautes de prendre les mesures nécessaires en justice son système est configuré pour numériser les informations du web en utilisant un algorithme qui permet d'identifier certains mots-clés dans de nombreuses langues différentes.

Une équipe de membres de l'OSM (organisation sioniste créée en 1897 à Bâle en Suisse) scanne ensuite les résultats et confirment les cas de «présence réelle d'antisémitisme» sur le site en question, puis contacte les autorités du pays où le site est hébergé.


L'OSM souligne (tout de même ...) que l'application sera scrupuleusement contrôlée et supervisée, afin que des personnes ne soient pas accusées d'antisémitisme sans preuves concrètes.


«Sniper aura pour but de dissuader les antisémites», affirment les créateurs de cette application. «Il ne sera plus aussi simple de publier un statut ou un commentaire appelant au meurtre de juifs ou des photos montrant des personnes qui brûlent le drapeau israélien», poursuivent-ils.

Les premiers utilisateurs de «Sniper» seront avant tout les membres du réseau mondial de l'OSM pour la lutte contre l'antisémitisme, au sein du centre de communication de l'organisation. Leur rôle sera d'éplucher la toile, traquant sans relâche à peu près tout et n'importe quoi qui pourrait s'apparenter à ce qui relève à leurs yeux de l'antisémitisme : citations, captures d'écran, photos, vidéos ... Plus tard, de nombreux autres utilisateurs devraient commencer à utiliser l'application.

Sniper devrait être lancée le 7 février lors d'une conférence de l'OSM à laquelle assisteront l'ambassadeur d'Israël à l'ONU Dany Danon, ainsi que le président du parlement israélien, la Knesset, Yuli Edelstein.

«Sniper» : l'application sioniste qui vous suit à la trace sur internet



Kabylie News avec RT

VIDEO. L'enfant égorgeur de Daesh

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Le groupe terroriste autoproclamé État Islamique (EI) a diffusé une nouvelle vidéo montrant l'exécution d'un prisonnier par un enfant âgé d'environs 10 ans, selon une information relayée ce jeudi par le quotidien britannique The Sun.

La vidéo d'environs 17 minutes montre un enfant âgé d'environs 10 conduire un prisonnier habillé d'un uniforme orange, elle montre ensuite le même enfant prononçant un discours en anglais dans lequel il menace les États-Unis, avant de pousser le prisonnier à terre et de le décapiter , dans un autre épisode de monstruosité de la part du groupe terroriste.

Il est à préciser que le groupe terroriste Daesh ne cesse de faire parler de lui depuis sa création, notamment par ses méthodes d'exécution.Récemment , le groupe avait exécuté un prisonnier en lui roulant dessus avec un char d'assaut.





Baisse de la publicité: le crépuscule de la presse écrite?

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La baisse des annonces publicitaires dans la presse, due à la chute brutale des cours de pétrole, touche de plein fouet la presse écrite Algérienne, qui pourrait avoir recours à des licenciements massifs et même à la fermeture de certains médias écrits, ont annoncé ce 04 février des médias électroniques.

Le nombre de journaux écrit pourrait ainsi baisser d'un fort pourcentage à cause de la baisse des annonces publicitaires dans la presse écrite, principalement due à la chute des prix du pétrole ainsi qu'aux changements des techniques de communication par les grandes entreprises, et aucune solution ne semble pour l'instant envisageable.Autant dire qu'après l’euphorie des années 1990 due à l'ouverture politique et le rebond des années 2000 dû à la flambée des prix du pétrole, la presse écrite arrive à son crépuscule et est en train d'agoniser à cause de la baisse des annonces publicitaires, qui constituent l'essentiel des revenus de ce type de presse.

La presse écrite pourrait donc, si elle venait à disparaître, laisser la place à la presse électronique et aux chaînes de télévision, d'autant plus qu'aucune solution ne semble paraître à l'horizon pour régler le problème des publicités.

VIDEO. Trois algériens dont une femme préparaient un attentat d'envergure en Allemagne

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Trois personnes de Nationalité algérienne ont été arrêté par la police allemande dans une opération visant des algériens dont certains vivaient dans des centres de réfugiés, soupçonnés de préparer un attentat à Berlin en lien avec l'organisation Etat islamique, a-t-on appris de l'AFP.

Un couple d'Algériens, vivant dans un centre de réfugiés à Attendorn (ouest, 80 km de Cologne) a été arrêté sur la base de mandats d'arrêt de l'Algérie car ils sont suspectés d'appartenir à l'EI, selon le parquet berlinois. L'époux aurait été formé aux armes en Syrie.

Un autre Algérien, arrêté à Berlin, est accusé d'avoir confectionné de faux papiers. Deux autres suspects, également originaires d'Algérie, ont été laissés en liberté.

"Il est reproché aux suspects d'avoir potentiellement préparé une attaque à Berlin", a indiqué à l'AFP Martin Steltner du parquet berlinois.

Un porte-parole de la police berlinoise a indiqué à l'AFP que les téléphones et d'autres indices, saisis lors de perquisitions à Berlin, en Rhénanie du Nord-Westphalie et en Basse-Saxe, étaient analysés pour déterminer "si (un attentat) était prévu et quelles étaient les cibles".

Selon l'agence DPA, l'un des Algériens aurait eu des contacts avec la mouvance islamiste belge et s'est rendu au moins une fois ces dernières semaines dans le quartier de Molenbeek, à Bruxelles, d'où sont originaires des auteurs des attentats du 13 novembre à Paris.

"Ca fait partie des choses que nous vérifions", a dit à l'AFP un porte-parole de la police berlinoise.





Avec AFP

VIDEO. Trois algériens dont une femme préparaient un attentat d'envergure en Allemagne

VIDEO. Article 51 : la nouvelle sortie paradoxale de Abdelmalek Sellal

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Abdelmalek Sellal, le premier ministre algérien, défend l'avant projet de la nouvelle constitution dévoilé par Ahmed Ouyahia, président du cabinet de la présidence, le début de mois de janvier. En effet, Sellal contredit Ouyahia sur l'article 51, qui prive les binationaux algériens d'assumer de hautes responsabilités de l'Etat Algérien.


L’article 51 du projet de révision constitutionnelle concerne exclusivement les fonctions supérieures et sensibles de l’Etat, à l’instar de la sécurité de la nation et la sécurité financière du pays, a précisé jeudi à Alger le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, qui a expliqué que les textes de lois viendront expliciter l’article 51 en définissant ces fonctions après adoption du projet de révision de la Constitution.

« L’article 51 du projet est très clair et ne vise aucunement nos frères à l’étranger, mais plutôt concerne les fonctions supérieures et sensibles. L’Etat et les lois définiront ces fonctions », a-t-il indiqué, citant en particulier la sécurité et la sécurité financière à un niveau supérieur de l’Etat qui « nécessitent des conditions exceptionnelles ».

M. Sellal a estimé, d’une façon pour le moins paradoxale, que « pour la première fois dans l’histoire de l’Algérie, on reconnaît les Algériens porteurs de plusieurs nationalités. Les portes demeurent ouvertes aux Algériens de l’étranger dans diverses fonctions ». Cependant, « certaines fonctions seront conditionnées par des critères exceptionnels, à l’instar de ce qui est appliqué dans beaucoup de pays du monde ».




VIDEO. Article 51 :  la nouvelle sortie paradoxale de Abdelmalek Sellal

Agressions à l'arme blanche à Tizi Ouzou : Des supporters Oranais lourdement condamnés

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Des supporteurs du MCOran arrêtés par la gendarmerie à Yakouren le weekend dernier et accusés agression à l’arme blanche, dégradation des biens d’autrui et vol avec violence ont été condamnés par le tribunal de Azazga. En effet, quatre des 12 supporteurs ont été condamné à 5ans de prison ferme, et un cinquième mis en cause a écopé d’une peine d’une année de prison avec sursis alors que les 7 autres ont bénéficié de la relaxe.

La région paisible de Yakouren et ses revendeurs de poterie traditionnelle étaient victimes de vandalisme et agression, week-end dernier, de la part de dizaines de pseudos supporteurs du club Oranais MCO, en déplacement à bord d’un autocar de marque Isuzu vers la wilaya de Béjaia, pour assister au match de football devant opposer leur équipe à celle du MOB de Béjaia, au stade de cette dernière localité, à l’aide d’armes blanches (sabres, couteaux et aérosol lacrymogène), lors d’une halte observée sur la RN.12, indique un communiqué du commandement de la Gendarmerie nationale.

Les artisans de poterie en argile qui étalent leurs produits au bord de la route se sont vu saccager leurs étals, avant que les « supporters » en question s’emparent de six (06) fusils en bois (factices) en exposition et des articles de cuisine en argile, pour prendre ensuite la fuite en direction de Béjaia.

Lire Plus : Tizi Ouzou/ A l'aide des Sabres et aérosol lacrymogène : Des supporteurs Oranais saccagent et agressent à Yakouren

Agressions à l'arme blanche à Tizi Ouzou :  Des supporters du Oranais lourdement condamnés



Le Professeur Canadien François Paré invité de la fondation Tiregwa

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La Journée internationale de la langue maternelle fut proclamée par l'UNESCO le 21 février 2000. Pour promouvoir la diversité linguistique et culturelle et le multilinguisme dans le monde, la langue maternelle est ainsi célébrée à cette même date chaque année dans les États membres de l'UNESCO.

C’est dans ce cadre que Tiregwa, la fondation canadienne pour Tamazight, et en partenariat avec l’association INAS de Montréal et l’Association ACAOH d’Ottawa, ont invité le professeur canadien François Paré pour animer deux conférences débats sur la nécessité de transmettre la langue première aux enfants en général et aux enfants canadiens (issus de l’immigration) en particulier.

Dr. François Paré démontrera avec des arguments scientifiques et des exemples concrets que la transmission de la langue maternelle (parentale ou ancestrale selon d’autres) aux enfants est plus qu’indispensable pour leur équilibre mental et socio-professionnel. Il mettra l’accent sur le fait que la tâche n’est certes pas facile pour les parents vivant dans une nouvelle société d’accueil (nouveaux immigrants dans le cas du Canada), mais il est primordial et vital de le faire pour le bien de leurs enfants. D’où le choix du titre des deux conférences comme indiqué dans les affiches.

La conférence d’Ottawa aura lieu le Dimanche 21 février à 14h au Centre Communautaire Heron, alors que celle de Montréal aura lieu à l’université UQAM le Samedi 20 février à 14h à la salle R-M130 de l’UQAM, sis 320 St-Catherine Est (Métro Berri-UQAM). Une visite de l’école de Tamazight de l’association INAS sera programmée pour le professeur François Paré à 11h.

A signaler que la conférence de Montréal sera animée par Dr. Madjid Yesli, médecin de famille à Laval (Québec) et spécialiste de la communication non violente au sein de la famille. Il sera d’ailleurs l’invité de la fondation Tiregwa le mois d’après, soit samedi19 Mars 2016, au même lieu et à la même heure que la conférence de François Paré du 20 février, soit 14h à la Salle R-M130 de l’UQAM.

Qui est Dr. François Paré?

Dr. François Paré, né à Longueuil au Québec en 1949, est professeur titulaire et directeur du Département d’études françaises de l’Université de Waterloo dans la province de l’Ontario. Après avoir obtenu un diplôme en études françaises de l'Université de Montréal, François Paré vit 5 ans à Buffalo dans l’État de New York aux USA, où il a fait son doctorat. À son retour au Canada, en 1977, il est d’abord professeur de littérature d'expression française à l'Université de Guelph (Ontario) pendant plusieurs années avant de s’établir en 2003 à l’Université de Waterloo.

Les œuvres de Dr. François Paré?

En 1993, Dr. François Paré publia son premier livre « Les littératures de l’exiguïté » qui lui a valu le Prix du Gouverneur Général du Canada. Il est aussi l’auteur de Théories de la fragilité (1994), puis de Traversées (2000), et de Frontières flottantes : Lieu et espace dans les cultures francophones du Canada (Amsterdam, Rodopi, 2001). Son ouvrage, La distance habitée (2003) lui a valu le Prix Trillium, offert par le gouvernement de l’Ontario, et le Prix Victor-Barbeau de l’Académie des Lettres du Québec.

Il est aussi co-auteur de Jean Marc Dalpé : ouvrier d’un dire (2006), et Le fantasme d’Escanaba, un essai sur les cultures de la diaspora québécoise en Amérique (2007), et enfin, un ouvrage sur le romancier Louis Hamelin (2008).

François Paré travaille actuellement sur un recueil d’articles sur la langue en situation de minorisation, surtout en Ontario français. Depuis septembre 2012, il dirige le projet de recherche subventionné par le Conseil de recherche en sciences humaines du Canada sur les premiers écrits de l’Ontario français.



Par Racid At Ali uQasi










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