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Le ministre de l’intérieur saoudien en Algérie pour une partie de chasse

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Mohamed Ben Nayef Ben Abdelaziz, le puissant ministre saoudien de l’Intérieur, vient de quitter la wilaya de Béchar ( à 1200 kilomètres d'Alger) sur son avion privé, suite à l'attentat visant une mosquée chiite en Arabie Saoudite, après la crise ayant suivi l'execution d'un notable chiite avec 46 autres personnes accusées de terrorisme. En effet, l'émir était en Algérie pour chasser l'outarde, un oiseau en voie de disparition, ou encore la gazelle. Ces chasses sont interdites par la loi mais les autorités ferment les yeux.

L'émir Saoudien habitué à la chasse au sud-est du pays reviendra en Algérie, selon des sources bien informées, dans quelques jours pour reprendre sa quête de chasse.

Il est à rappeler, qu les photos et vidéo de ces quêtes de chasse provoquent à chaque fois, une vague d'indignation en Algérie, sachant que ces  espèces sont protégés par la loi algérienne, à l'image de l'outarde, un oiseau très rare dont la chasse est illégale. Comme la gazelle du Tassili ou le fennec, elle fait partie des 73 espèces protégées, au titre du décret N° 83-509 relatif aux espèces animales non-domestiques protégées, complété par l’arrêté du 17 janvier 1995 et de l’article 92 de la loi n°04-07 du 14 août 2004 relative à la chasse. Pour les contrevenants, la loi prévoit de deux à six mois de prison ainsi qu'une amende de 10 000 DA (75 Euros) à 100 000 DA (7500 Euros).

Par ailleurs, El Khabar rapporte que le ministre saoudien, Mohamed Ben Nayef Ben Abdelaziz est un amoureux de la région, dont il a fait le don d'une grande mosquée et un grand mall ainsi qu'un projet d'une usine de produits laitiers, pas encore entamé, selon la même source.

Tandis que les émirs saoudiens sévissent à Béchar, jusqu’à la wilaya de Tindouf, ceux du Golfe opèrent à El Bayadh et Naâma. Les émiratis marquent leur territoire à travers des réserves de repeuplement. Les qataris, quant à eux, débarquent en Algérie en tant que touristes pour passer inaperçus. Ils sont pris en charge par des agences sises à Ghardaïa. Et s’ils s’approprient les zones de chasses des Saoudiens, ce qui arrive souvent, le conflit entre les deux "clans" est inévitable.




VIDEO. Arrestation de 3 étudiants : Marche nocturne des étudiants à Tizi Ouzou

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Des dizaines d'étudiants ont pris part ce 1er février à une marche nocturne à Tizi-Ouzou, afin de dénoncer la situation qui règne actuellement au sein de leur université.

La marche a débuté à la cité universitaire de Boukhalfa, où des dizaines d'étudiants résidents sont sortis pour dénoncer la situation qu'ils vivent au sein de leur cité universitaire, entamant une marche vers la résidence du Wali située au centre ville de Tizi-Ouzou.Trois étudiants auraient été arrêtés au niveau d'un barrage par les services de la Brigade de Recherche et d'Intervention (BRI), suscitant ainsi l'intervention des étudiants résidents de la cité universitaire de Hasnaoua, qui sont sortis par dizaines pour occuper le centre-ville de Tizi-Ouzou.Les trois étudiants arrêtés ont été relâchés, précisent les organisateurs de cette marche.

Les étudiants se sont ensuite dirigés vers la cité universitaire de Hasnaoua, où la marche a pris fin, devant un important dispositif des forces de sécurité, déployées au centre ville de Tizi-Ouzou et ses alentours. Les protestataires ont appelé au départ immédiat du recteur de l'université.

Pour rappel, cette marche intervient dans un contexte tendu, alors que les étudiants et l'administration de l'université se livrent un bras de fer depuis plusieurs semaines.



VIDEO. Arrestation de 3 étudiants : Marche nocturne des étudiants à Tizi Ouzou

Tizi-Ouzou: les souscripteurs de l'AADL réclament leur dû

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Des dizaines de souscripteurs de l'AADL se sont rassemblés ce 02 février à 09H devant le siège de la wilaya de Tizi-Ouzou à l'appel du collectif des souscripteurs AADL 2001-2002, afin de dénoncer le retard accusé pour prendre possession de leurs logements.

Dans une requête adressée au wali et dont Kabylie News a obtenu une copie, les souscripteurs ont tenu a manifester leur inquiétude face au "déphasage entre le discours officiel et la réalité locale", en effet, les souscripteurs ont dénoncé "l'incohérence" entre le discours du ministre de l'habitat et celui des responsables de l'AADL au niveau de Tizi-Ouzou."L'inquiétude des souscripteurs résulte du déphasage entre le discours officiel et la réalité locale, d'un côté un discours rassurant du gouvernement par la voix de monsieur le ministre de l'habitat qui fixe périodiquement les échéances et d'un autre côté, la réalité sur le terrain et le discours des responsables qui se succèdent à la tête de l'AADL locale incitent au pessimisme et désespoir et l'odeur d'une trahison hantent l'esprit des souscripteurs", peut-on lire dans la requête adressée au wali.

Les souscripteurs ont estimé être "dans leur droit", affirmant s'être conformés aux exigences et avoir réglé les sommes d'argent demandées pour leurs logements, ils ont par ailleurs affirmé qu'ils n'accepteraient pas d'être "les dindons de la farce" en cas de dysfonctionnements."nous voulons disposer de nos logements dans les délais au même titre que tout les autres algériens dans les autres wilayas." concluent-ils.

Bilan de l'opération antiterroriste en Kabylie (MDN)

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Dans le cadre de la lutte antiterroriste, un détachement de l’Armée Nationale Populaire relevant du secteur opérationnel de Bouira/ 1ère Région Militaire a abattu, le 1er février 2016, un terroriste et récupéré un pistolet mitrailleur de type kalachnikov et une quantité de munitions, suite à une opération de fouille et de recherche menée aux environs de la localité de Kaf Lahcen, commune de Souk Lakhmis au nord de la wilaya de Bouira. Aussi, des éléments de la Gendarmerie Nationale ont appréhendé un terroriste à Aïn Defla, tandis qu’un détachement relevant du secteur opérationnel de Tizi Ouzou a récupéré un pistolet mitrailleur de type kalachnikov et une quantité de munitions.

Par ailleurs et suite à des informations portant sur la disparition de quatorze (14) personnes au large d’Esseklab, commune d’Oum-Teboul/ wilaya d’El Tarf, une opération de recherche et de sauvetage déclenchée par les unités des Gardes-côtes a permis de sauver et d’évacuer trois (03) personnes, et de récupérer la dépouille d’une autre. L’opération est toujours en cours.

D’autre part et dans le cadre de la lutte contre la contrebande et le crime organisé, un détachement combiné relevant du secteur opérationnel de Mascara/ 2e Région Militaire a arrêté quatre (04) narcotrafiquants et saisi (845) kilogrammes de kif traité, un camion et un véhicule touristique. De même, des éléments de la Gendarmerie Nationale ont arrêté, à Rélizane, deux narcotrafiquants à bord d’un véhicule touristique chargé de (65,9) kilogrammes de kif traité. Et à Tlemcen, des éléments des Gardes-frontières ont intercepté huit (08) immigrants clandestins et saisi une quantité carburant destinée à la contrebande s’élevant à (4700) litres.

Par ailleurs et au niveau de la 1ère Région Militaire, des éléments des Gardes-côtes ont intercepté, à Azzefoun/ Tizi Ouzou, un narcotrafiquant à bord d’un plaisancier chargé de (30,7) kilogrammes de kif traité. De même à Alger, où (29,860) kilogrammes de kif traité ont été saisis.



En 6e Région Militaire, deux détachements relevant des secteurs opérationnels de Tamanrasset et d’In Guezzam ont arrêté trois (03) contrebandiers et seize (16) immigrants clandestins, et saisi (3760) litres de carburant.

Bilan de l'opération antiterroriste en Kabylie (MDN)

VIDEO. Nouveau scandale en Allemagne : Des «migrants» attaquent des passagers défendant une femme harcelée

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Une vidéo polémique montrant l'agression de deux personnes âgées dans le métro de Munich fait actuellement le tour des réseaux sociaux outre-Rhin. Selon plusieurs médias, cette tentative de harcèlement sexuel serait l'œuvre de migrants.

Tom Roth, auteur de cette vidéo, affirme que la bagarre a éclaté après qu'une femme ait repoussé les faveurs de l'un des hommes du groupe dont l'origine fait actuellement l'objet de spéculations. Furieux, l'agresseur aurait alors violemment frappé la vitre de sa main en signe de protestation. Ce geste aurait alors interpellé deux hommes âgés voulant mettre fin à l'agression.





Filmée par le biais d'un téléphone mobile, la scène montre une situation confuse où un homme d'un certain âge est aux prises avec l'un des membres du groupe, beaucoup plus jeune. Tom Roth a également rapporté qu'un des passagers dont la tête était chauve avait été moqué par un ami de l’agresseur. «Il avait un comportement tellement irrespectueux, je n'ai jamais vu cela auparavant», déplore-t-il. Il a en outre précisé avoir appelé la police mais cette dernière a affirmé qu'elle ne pouvait pas intervenir face à ce genre de situation et concède qu'une nouvelle forme de criminalité a fait son apparition depuis l'arrivée des migrants dans le pays.




Avec Agences

VIDEO. Sétif: Découvrez le plus grand «Park Mall» en Algérie

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Véritable beauté architecturale, ce mégaprojet ouvrira ses portes vendredi. Le public est impatient de voir ce complexe métamorphosant d’un coup le centre-ville de Sétif, méritant le surnom de «ville carrefour». En effet, en transformant les deux tours abondanneés par la CNEP en un très bel ouvrage d’art, le patron de Prombati (un groupe industriel privé de Sétif), Rachid Khenfri, a relevé un challenge.

Ce Park Mall est à la fois un centre d’affaires, de shopping et de loisirs. Il comporte, à sa base, un centre commercial de dimension internationale, avec plus de 41 250 m², une tour de bureaux de 13 650 m² et un hôtel 4 étoiles (Marriott) de 239 chambres. Sous forme de coupole, un palais des congrès de 900 places et des parkings en sous-sol d’environ 1400 places accompagnent le mastodonte.

Au deuxième étage du Mall, un food court et un ensemble loisirs haut de gamme feront sans nul doute le bonheur des visiteurs et singulièrement les familles. Lesquelles bénéficieront désormais d’un lieu de flânerie et de divertissement. Les férus du bowling et d’un laser game se donneront rendez-vous au rez-de-chaussée de la première tour. S’étendant sur une superficie de 20 ha, dont 143 000 m2 de bâti, ce mégaprojet, dont l’étude a été confiée au célèbre bureau d’études français Arte Charpentier et la réalisation au turc Kayi, comporte en outre un centre d’affaires installé dans la deuxième tour.

Un centre commercial de 4 étages (le 1er étage est occupé par un l’hypermarché UNO du groupe Cevital) sera fonctionnel à partir du 15 février courant. Le 2e étage est réservé à 95 enseignes, dont 40 franchisées. Le 3e étage est destiné aux loisirs, 7000 m2 de jeux pour enfants et adultes, dont une patinoire de 400 m2. Le 4e étage sera occupé par 13 restaurants qui auront des vues sur la ville. Offrant plus de 1500 postes de travail directs, le centre, qui sera ouvert 7 jours sur 7, va booster le marché du travail à Sétif, où le secteur privé offre des centaines d’opportunités aux jeunes.

Lancé en décembre 2010 par le groupe Khenfri employant actuellement 2000 agents, le Park Mall de Sétif attend, dans un premier temps, 6 500 000 visiteurs/an. Ne cachant pas son bonheur, le promoteur de cette colossale opération, Rachid Khenfri, dira : «œuvre collective, ce gigantesque projet prouve clairement que le pays recèle d’inépuisables potentialités. Il démontre, en outre, la face de l’Algerie qui bouge. Sans le concours et les facilitations des pouvoirs publics, qui croient en l’investissement national, ce projet n’aurait pas vu le jour.» Le directeur général du Park Mall, Kamal Jean Rizk, qui a dirigé le centre commercial de Bab Ezzouar six années durant, lui emboîte le pas : «Construit en dehors de la capitale, le plus grand centre commercial du pays, lancé avec la devise : ‘Au-delà de vos attentes’, va non seulement ouvrir une nouvelle page dans l’histoire des centres commerciaux en Algérie, mais aussi modifier les bases en matière de shopping et de loisirs.»










Avec El WATAN

URGENT. VIDEO. Le verdict de l'Affaire Sonatrach 1 est tombé

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Attendu pour cet après midi, Le tribunal d’Alger a prononcé ce mardi 02 février 2016 son verdict dans l’affaire Sonatrach1, En effet, le fils de l’ancien PSG de Sonatrach, Mohamed Meziane, Réda Meziane ainsi que le président du Conseil d’administration de Contel Funkwerk, ont écopé chacun d’une peine de six (06) ans de prison ferme, ajoute la même source.



Belkacem Boumediene ex-President directeur général adjoint chargé des activités Amont du groupe Sonatrach, poursuivi pour son implication dans l'affaire "Sonatrach1" a été condamné à 5 ans de réclusion criminelle mardi par le tribunal criminel d'Alger.

Belkacem Boumediene a été également condamné à 500.000 DA d'amende.

Le représentant du parquet général avait, dans son réquisitoire, requis une peine de sept ans de réclusion criminelle assortie d'un million de DA d'amende .

19 personnes (15 personnes physiques et 4 personnes morales) dont des responsables du groupe Sonatrach et des entreprises nationales et étrangères sont impliquées dans l'affaire "Sonatrach1" dont le procès a débuté le 27 décembre 2015 au niveau du tribunal criminel d'Alger.

Les dernières plaidoiries se sont tenues mercredi dernier avec l'intervention des avocats de l'un des principaux accusés dans cette affaire, Belkacem Boumediene (PDG adjoint chargé de l'activité amont). La défense a plaidé l'acquittement et la réhabilitation de son client, estimant que "toutes les charges de gestion" qu'il a assumées dans le cadre des marchés, objet du procès, comptaient au titre des "missions qui lui ont été assignées et qu'il agissait sous les ordres du PDG de Sonatrach et du ministre de l'Energie et des mines de l'époque".

Des peines de prison d'une année à 15 ans avaient été requises par le représentant du ministère public contre 15 accusés et une amende de cinq millions de dinars contre quatre entreprises.

Le procès s'est tenu en présence de l'ensemble des collectifs de défense des 15 personnes et quatre sociétés impliquées dans cette affaire, ainsi que 110 témoins (deux témoins étant décédés) cités dans l'arrêt de renvoi.

Selon l'arrêt de renvoi, il s'agit de "trois gros marchés douteux" conclus entre le groupe Sonatrach et les sociétés impliquées dans l'affaire. Il s'agit des projets d'acquisition d'équipements de télésurveillance et de protection électronique des complexes du groupe pétrolier à travers le pays, du gazoduc devant relier l'Algérie à l'Italie (Sardaigne) et du projet de réhabilitation de l'ancien siège du Groupe Sonatrach (rue Ahmed Gharmoul Alger).




VIDEO. Le chef du gouvernement de Chadli Benjdid accable Khaled Nezzar et encence Toufik et Betchine

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Abdelhamid Brahimi, l'ancien chef du gouvernement durant le règne de Chadli Benjdid et l'homme qui a éclaté le scandale des 26 milliards de dollars est rentré au pays après 25 ans d'exil à Londres.

«L'homme des 26 milliards» a accordé une interview à Ennahar TV où il est revenu sur la période de sa chefferie du gouvernement pendant les années 80, les événements de 1988 et l'arrêt du processus électoral après la monté du parti islamiste dissous, le Front Islamique du Salut. Abdelhamid Brahimi dément avoir lui-même démissionné suite à des pressions. L’ancien chef du gouvernement qui a présenté sa démission après les événements d’octobre 1988.


Il a par ailleurs, revenu sur ses relations avec les généraux puissants de l'époque, à l'image du général Khaled Nezzar ancien ministre de la défense, général Toufik ancien patron du DRS et le général Betchine « J’ai connu Nezzar quand la France l’a envoyé rejoindre la révolution sur les frontières est du pays », affirme-t-il dans un entretien, ce mardi 2 février, au journal . « Je m’opposais et je continue à m’opposer au pouvoir des officiers de (l’armée) de la France qui se sont introduits dans le pouvoir après l’indépendance et à leur tête l’ancien ministre de la Défense Khaled Nezzar », ajoute-t-il avant de qualifier Mohamed Betchine et le général Toufik de « patriotes » qu’il a eu à connaître durant la Guerre de libération et après l’indépendance. « Je me souviens que quand j’ai rencontré Toufik dans le maquis durant la guerre, il épluchait la pomme de terre et les carottes », raconte-t-il.





VIDEO. Les révélations du chef du gouvernement de Chadli Benjdid sur les généraux Khaled Nezzar, Toufik et Betchine


Document : Le général Betchine accusé de détournement de fonds publics

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La guéguerre entre les généraux des années 80-90 continue sur la presse interposée et c'est au tour du site appartenant au fils de Khaled Nezzar de révéler une autre épisode du règne de ces généraux sur l'Algérie. En effet, Algérie Patriotique, révèle dans un article paru aujourd'hui 2 février, un document mettant en cause, le général Betchine, ancien conseiller du président Zeroual.

Ce document serait selon le journal électronique suscité, un courrier officiel classé «secret», adressé au directeur de l’Agence nationale d’édition et de publicité (Anep) en février 1995. L’instruction, rédigée à la main par l’ancien directeur de cabinet du ministère de l’Intérieur, Lahcène Seriak, enjoint au directeur de l’Anep, à l’époque, de réorienter systématiquement toutes les annonces du ministère de l’Intérieur, qui constituent l’essentiel des placards publicitaires gérés par cette agence étatique à ce jour, vers les deux journaux du général Mohamed Betchine, qui occupait la fonction de conseiller politique du président Liamine Zeroual. La note secrète fait suite à une instruction du chef du gouvernement, Mokdad Sifi, lit-on dans le document, d’alimenter exclusivement les quotidiens L’Authentiqueet El-Acil,propriété du général Mohamed Betchine, outre les journaux publics, hormis Echaâb et El Khabar.

A en croire à Algérie patriotique, ce détournement de la manne publicitaire aurait permis au conseiller de Zeroual d’amasser une fortune colossale qui se chiffrait à un milliard de centimes par mois, avant de passer à deux milliards suite à l’instruction qu’il fit signer de force au directeur de cabinet du ministère de l’Intérieur.


Voir le document mis en Ligne ICI



Tizi-Ouzou: un responsable du MAK arrêté

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Boussad Becha, un responsable du Mouvement pour l'Autodétermination de la Kabylie (MAK) a été interpellé ce 02 février aux environs de 20H au niveau d'un barrage de la police situé sur l'une des sorties de la ville de Tizi-Ouzou, apprends-t-on auprès de sources proches du mouvement autonomiste.

Le concerné aurait été arrêté au niveau dudit barrage pour un contrôle d'identité avant d'être conduit au commissariat central de Tizi-Ouzou, situé à quelques dizaines de mètres de la place M'barek Aït Menguellet, non loin du centre ville de Tizi-Ouzou, ajoutent nos sources.

Boussad Becha serait toujours retenu audit commissariat à l'heure même où nous mettons sous presse, précisent les mêmes sources.Aucune réaction officielle du MAK n'a pour l'heure été manifestée.

VIDEO. Bouteflika reçoit Alain Juppé

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Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a reçu mardi à Alger le maire de Bordeaux (France), Alain Juppé, en visite de travail de trois jours en Algérie.

L’audience a eu lieu en présence du Premier ministre, Abdelmalek Sellal, du ministre d’Etat, ministre des Affaires étrangères et de la Coopération internationale, Ramtane Lamamra, du ministre de l’Intérieur et des Collectivités locales, Noureddine Bedoui, et du ministre de l’Industrie, Abdeslam Bouchouareb.



VIDEO. Bouteflika reçoit Alain Juppé

VIDEO. «wilayate Al Djazaïr» : DAECH veut se déployer en Algérie

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DAECH, l'organisation terroriste autoproclamé Etat Islamique cherche à se déployer en Afrique du Nord, notamment en Algérie. En effet, malgré que l'Algérie reste le pays le moins exportateurs de Djihadistes, Daech tente via sa propagande et l'envoi de terroristes d'origines algérienne de réactiver les cellules dormantes et recruter des djihadistes potentiels.

Des rapports médiatiques révèlent des informations de renseignement indiquant le retour de trois algériens de l’organisation Etat islamique partis combattre en Syrie sont, selon des sources sécuritaires, revenus en Algérie. Mandatés par Abou Bakr Al Baghdadi, ils ont pour mission de «réactiver» «wilayate Al Djazaïr», nom donné à l’ensemble de l’organisation (cellules dormantes urbaines et section militaire dans les maquis) en Algérie. Le premier de ces djihadistes s’appelle Abou Mouram Al Djazairi (Mohamed Merimi, de son vrai nom). Il se serait réintroduit en Algérie en passant par la Tunisie. Le second, Abou Al Kacem Al Mouhajir, est originaire d’El Bayadh et serait parti en Syrie en 2012. Le troisième reste encore inconnu.

Par ailleurs et comme nous l'avons rapporté, un grand réseau de recrutement a été démantelé le mois de novembre 2015, formé de 21 personnes dont 8 femmes, et une autre opération rapporté par El Khabar fait état de l'arrestation de 32 personnes à Boumerdès par les services de sécurité qui parlent du «deuxième plus important réseau de l’EI en Algérie».







VIDEO.  «wilayate Al Djazaïr» : DAECH veut se déployer en Algérie

Un ancien moudjahid violemment agressé par un juge à Oran

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Abdelkader Djebbar, 79 ans, valeureux moudjahid, a été rossé de coups par un juge du tribunal d’Oran.

La justice n’est pas seulement aux ordres, mais elle est aussi à l’œuvre de la punition. Ce que vient de subir cet ancien moudjahid de Boukadir est tout simplement insupportable de la part d’un représentant de la justice. Car comment donc un représentant de cette auguste institution peut-il se conduire comme un voyou en passant à tabac un vieillard ? La Ligue algérienne des droits de l’homme s’est fendu d’un communiqué dans lequel elle dénonce cette agression caractérisée et interpelle le ministre de la Justice pour qu’il intervienne.

Par ailleurs, plusieurs mouvements de protestations de la part d’anciens moudjahidine ont été organisés à Oran, Boukadir et Relizane, pour s’élever contre ce juge.

A quoi donc faut-il s'attendre désormais quand on assiste à ce genre de comportement contre un homme qui a participé à la libération du pays ? Comment donc un juge peut-il se permettre de régler à coups de poing un différend personnel, lui qui est censé représenter la justice ? Derrière cet agissement, il y a comme une espèce de grave déliquescence de ce qu'est la justice. Car si un vénérable homme âgé est ainsi traité, qu'en est-il du commun des Algériens ?

La justice ne peut, de raison, fermer les yeux devant un pareil dépassement.

L.M.
Un ancien moudjahid violemment agressé par un juge à Oran



Par : LE MATIN

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VIDEO. Rachid Nekkaz appelle à appliquer les préceptes de l'ISLAM et refuse la loi contre les violences faites aux femmes

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Rachid Nekkaz, ancien franco-algérien et candidat controversé de la présidentielle de 2014 en Algérie, adepte du Buzz sur les réseaux sociaux et fondateur du Mouvement pour la Jeunesse et le Changement (MJC) non agréé par l'Etat algérien s'assume comme islamiste sur le plateau d'Ennahar en refusant la loi contre les violence faite aux femmes et en appelant à appliquer les préceptes de l'Islam.

Rachid Nekkaz, hors de la course vers El Mouradeia si l'article 51 de la nouvelle constitution soit voté par les députés algériens, soutient dans une vidéo qui date de mars 2015, que la nouvelle loi (publiée avant quelques jours sur le journal officiel), menace l'unité de la cellule familiale algérienne et peut la disloquer, tout en rappelant qu'il est contre tout ce qui peut être contraire aux préceptes de l'islam.


Il est à rappeler que le texte, qui a été entériné par l’Assemblée populaire nationale (APN) en mars dernier, avait été bloqué durant de longs mois au niveau du Conseil de la nation à cause, notamment, des pressions exercées par des courants islamo-conservateurs. Après des mois d’attente et de polémiques, l’amendement apporté au code pénal, portant essentiellement sur la protection des femmes contre toutes les formes de violence, a été publié au Journal officiel daté du 30 décembre dernier. Il entre donc en application à partir de cette date.




VIDEO. Rachid Nekkaz appelle à appliquer les préceptes de l'ISLAM et refuse la loi contre les violences faites aux femmes

Photos : Alain Juppé se promène à Alger centre

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Alain Juppé, Le maire de Bordeaux et ancien premier ministre français s'est dit mardi à Alger "satisfait" de sa visite en Algérie qu'il a qualifiée de «courte mais particulièrement dense». «Je suis très satisfait de ma visite en Algérie", a indiqué M. Juppé lors d'une conférence de presse animée peu avant son départ à l'aéroport international Houari Boumediene, soulignant que "cette visite a été courte, mais dense de par les activités que j'ai eues».

Le candidat favori aux primaires de la droite française, a profité par ailleurs de sa visite en Algérie pour se promener sur l'avenu de Didouche Mourad à Alger centre, accompagné, du ministre de l'intérieur, ministre de l'industrie et le wali d'Alger, des responsables algériens que le citoyen vient de découvrir face à face (Voir photos).


Par ailleurs, dressant le bilan de cette visite, l'ancien Premier ministre français, a relevé l'"excellence" des relations bilatérales qui, a-t-il dit, "se sont renforcées ces dernières années dans divers domaines, notamment économique".

Il a précisé que quelque 500 entreprises économiques françaises sont installées en Algérie, contribuant, a-t-il ajouté, à la création de 40.000 emplois.

Dans le même sillage, M. Juppé a indiqué que "compte tenu de la conjoncture actuelle, marquée par l'effondrement des prix du pétrole, les entreprises françaises ont besoin d'un marché nouveau, de même que l'Algérie qui a besoin de diversifier son économie".

Evoquant la radicalisation qui cible notamment les jeunes, M. Juppé a relevé que "l'Algérie dispose d'une expérience dans la lutte contre ce phénomène".

A une question sur la situation de crise en Libye et en Syrie, il a affirmé que "la solution passe par la réconciliation politique".

Au sujet du flux migratoire, M. Juppé a estimé qu'il s'agit des "conséquences d'un déséquilibre régional", appelant les pays européens à "investir pour le développement des pays du Sud pour pouvoir maîtriser ce flux".

Il a également souligné "la nécessité d'oeuvrer au règlement des conflits qui sont à l'origine de ce phénomène".







«Le minaret de la grande mosquée d'Alger s'effondrera au premier tremblement de terre» (VIDEO)

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La troisième plus grande mosquée du monde risque d'être vulnérable aux forces dynamiques majeures dont les tremblements de terre, avertissent plusieurs experts en la matière à l'image du Pr.Abdelkrim Chelghoum, expert en génie parasismique et numérique et sismologie. Ce dernier déplore l'absence d'une étude approprié à ce genre d'ouvrage de grande envergure.

Le professeur Abdelkrim Chelghoum se dit inquiet de la grande minaret qui se repose sur un sol instable qui nécessitait une étude dynamique du sol en place et non seulement une étude géotechnique classique, celle d’un bâtiment en R+5 «Une étude dynamique du sol en place”. Malheureusement, déplore-t-il, “ce qui a été exécuté est une étude géotechnique classique, celle d’un bâtiment en R+5. Compte tenu de l’importance de l’ouvrage, composé, entre autres, d’un minaret de 265 mètres et d’une salle de prière de 150 mètres de côté, sans poteaux intermédiaires, l’étude mise en exécution est donc erronée»

L'expert suscité a plaidé à maintes fois à une solution radicale pour pallier ce problème avec des experts indépendants pour un audite «Beaucoup de zones d’ombre sur la méthodologie adoptée et les hypothèses de calcul persistent toujours. Or, dans cette catégorie de projets, les études d’exécution pour chaque partie d’ouvrage doivent être obligatoirement conçues et réalisées au millimètre près”, explique Chelghoum Abdelkrim. Dans le cas contraire, ajoute-t-il, le moindre effet secondaire engendré par une onde sismique peut déclencher des dommages incontrôlables au niveau de chaque élément de structure. Une esquisse de ce projet, suggère-t-il, devait être au préalable, présentée à une commission nationale d’experts indépendants, spécialisés dans les différentes filières, telles que le sol, la structure, les matériaux, le numérique… pour être discutée, critiquée afin d’apporter les modifications exigées par les contraintes géologiques, géodynamiques et physiques. Une fois cette phase passée, la même commission, affirme le Pr Chelghoum, doit être sollicitée pour affiner l’avant-projet détaillé de l’ouvrage avec toutes les conséquences qui peuvent en découler.»

Il est à rappeler, que la Grande Mosquée d’Alger pourra accueillir 120.000 fidèles et sera dotée d’un minaret de 300 m de hauteur. Le projet grandiose comprend plusieurs bâtiments indépendants, disposés sur un terrain d’environ 20 hectares avec une surface brute de plus de 400.000 m2, à Mohammadia à l’est de la capitale, en face de la baie d’Alger.

La grande mosquée d’Alger sera également composée d’ une salle de conférences, d’un musée d’art et d’histoire islamiques, d’un centre de recherches sur l’histoire de l’Algérie, de locaux commerciaux, d’un restaurant, de bibliothèques et d’un parking de 6.000 places.



«Le minaret de la grande mosquée d'Alger s'effondrera au premier tremblement de terre» (VIDEO)

Bouira : Un homme tué dans la collision d'un bus avec un train

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Un homme originaire d'At Laqser (Ahl Lakser)  âgé de 33 ans a été tué dans la collision de son Bus avec un train à El Asnam (Wilaya de Bouira).

 L’accident a eu lieu vers 7h00 du matin à un passage à niveau non gardé sur une piste longeant la route nationale n°5.

La victime a emprunté ce tronçon pour éviter les sempiternels bouchons sur la RN 5. La dépouille a été transférée à la morgue de l’hôpital Mohamed Boudiaf de Bouira.

Bouira : Un homme tué dans la collision d'un bus avec un train

Un évènement dans la vie de Hocine Aït Ahmed : l’évasion de la prison d’El Harrach

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La vie de Hocine Aït Ahmed, récemment décédé, fut marquée par un évènement majeur : son évasion, le 1er mai 1966, de la prison d’El Harrach, dans la banlieue est d’Alger, où il était détenu.

Ancien membre du « comité des 9 » qui déclencha l’insurrection du 1er novembre 1954, il s’est trouvé au lendemain de l’indépendance, en septembre 1962, en désaccord avec Ahmed Ben Bella, sur la question du pluralisme politique. Celui-ci, devenu président du Conseil, voulait transformer le FLN, dont il était membre du Bureau politique, en parti unique. Aït Ahmed était pour le multipartisme.

L’idée d’Ahmed Ben Bella s’étant imposée avec l’appui de Houari Boumediene, chef de l’ANP, Hocine Ait Ahmed créa alors un parti d’opposition, le Front des Forces Socialistes (FFS). Entouré d’anciens officiers des wilayas 3 et 4, il créa un maquis en Kabylie pour s’opposer par les armes au pouvoir.

Arrêté au mois d’octobre 1964 dans la région d’Aïn El Hammam, il fut condamné à mort puis gracié par Ahmed Ben Bella, président de la République. Il devait être élargi suite à un accord FLN – FFS, mais …

Un autre évènement intervint dans la vie du pays : le 19 juin 1965, le colonel Houari Boumediene renversa Ahmed Ben Bella. L’accord FLN – FFS fut caduc et Hocine Aït Ahmed resta en prison.

C’est là qu’intervient son ancien camarade du parti PPA - MTLD des années 1940, Lakhdar Rebbah. Connu pour avoir été en 1955 le premier assistant d’Abane Ramdane à Alger, Rebbah jura à Hocine Aït Ahmed de le sortir de prison. Il discuta de son projet avec Mohamed Merzougui, qui fut membre comme lui de la Fédération du Grand Alger du FLN, puis passa à l’acte. Il contacta un gardien de la prison d’El Harrach, Chouli, son ancien codétenu de la prison de Loos, au nord de la France.

La date du 1er mai 1966 fut retenue. Chouli fit sortir Hocine Aït Ahmed, vêtu d’un voile, au milieu des nombreuses femmes de sa famille venues lui rendre visite. Devant la lourde porte de la prison, une voiture R4 attendait. Le désormais fugitif fut conduit, dans un premier temps, au quartier du lycée Abane Ramdane où l’attendait Lakhdar Rebbah. Celui-ci, accompagné de son neveu, le prit en charge et l’emmena dans sa villa à Alger-Plage où son départ vers le Maroc fut mis au point.

Accompagné par Chouli, le « fugitif » prit le chemin de l’Ouest dans un camion de transport de meubles appartenant à la famille Rebbah.

La frontière avec le Maroc fut traversée sans encombre. Libre, Hocine Aït Ahmed retrouva son beau-frère Mohamed Khider, en exil depuis quelques temps. Ils partirent ensemble en Suisse.

Lakhdar Rebbah, dit El Ghazal, le militant utile et efficace comme le disent ses compagnons de lutte, a tenu parole.

Cette histoire, Lakhdar Rebbah me l’a racontée, le 13 septembre 1988, au douar Bouhandès, dans le djebel Beni Salah, au Sud-ouest de Blida, lors de la commémoration du 31ème anniversaire de la mort au combat de mon frère aîné, Nour Eddine Rebah.




Mohamed Rebah

Chercheur en histoire, auteur

VIDEO. Tizi Ouzou : Une famille avec Trois enfants malades en détresse

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C'est l'histoire de la famille Oumzaouche de cinq personnes avec trois enfants qui ne dépassent pas les sept ans et dont deux enfants atteints de maladies chroniques. La famille vie une pauvreté et une misère lamentable dans des conditions inimaginables : logement insalubre, humidité, famine, sans parler des différentes maladies provoquées par le froid.

La famille est en détresse sociale et demande l'aide des âmes charitables pour venir en aide à ses enfants malades et leur garantir un toit digne de son nom. La mère des enfants rappelle qu'elle est allée voire plusieurs responsables locaux avec plusieurs dossiers de demande de logement qui ont été déposés mais en vain.


Appel aux âmes charitables qui veulent contribuer à rendre le sourire à cette famille :

Téléphone de la famille: 00213 557 89 8713

Compte CCP: 0016407928 clé 42



VIDEO. Tizi Ouzou : Une famille avec 3 enfants malades en détresse

De nouvelles mesures pour le marché de change des devises

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L'Etat algérien est déterminé à faire entrer l'argent de l'informel dans le secteur bancaire officiel avec plusieurs dispositions jusqu'à aller même à une amnistie fiscale.


La déroute du dinar algérien face à l'Euro sur le marché parallèle et l'orientation du citoyen algérien vers ce marché noire de change au détriment du marché officiel, semblent réussir à interpeller les autorités. En effet, plusieurs mesures importantes sont à l’étude, et certains projets sont en voie de finalisation.
Dans la perspective d’améliorer l’environnement des transactions, et gagner la confiance des « agents » opérant dans ce segment économique, y compris informel. Selon des sources au fait du dossier cité par le jeune indépendant, des mesures, dont les cambistes du square Port-Saïd attendent avec impatience seront prises, à l'instar de l’adoption officielle de la révision de la loi sur le marché interbancaire du change, ainsi que la revalorisation de la marge de rémunération sur la commission (fixée à 1% actuellement).

C’est ce taux de bénéfice revendiqué par les cambistes « informels » qui semble avoir été pris en charge par les pouvoirs publics, afin de rendre plus attractive et concurrentielle cette activité et qui pourrait faire augmenter ainsi le nombre des autorisations accordées à la création des bureaux de change, et dont le nombre ne dépasse guère la quarantaine depuis 1997.

 La même source affirme que des mesures incitatives au profit des ménages sont prévues dans cette batterie de projets. Des « mesures qui pourraient toucher aussi bien au droit de change qu’à la convertibilité courante du dinar »  confie-t-on. Il est question d’un relèvement de l’allocation touristique de voyage, fixée aujourd’hui à 15 000 dinars, soit presque les 120 euros, comme plafond exigé.

Il est également prévu d’autres dispositifs d’allègement, comme la possibilité de recourir à l’achat de devises pour des raisons médicales ou scolaires et universitaires, dont le seuil n’est pas encore fixé définitivement. Rappelons que les pouvoirs publics ont toléré l’existence d’un marché parallèle des devises, alors que la réglementation en vigueur n’autorise que les banques commerciales et bureaux de change légaux à vendre et à acheter le dinar.

Par ailleurs. le marché parallèle de change pèse environ cinq milliards de dollars, selon le porte-parole de l’Union des commerçants et des artisans (UGCAA) Hadj Tahar Boulanouar.


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