Mohamed Ben Nayef Ben Abdelaziz, le puissant ministre saoudien de l’Intérieur, vient de quitter la wilaya de Béchar ( à 1200 kilomètres d'Alger) sur son avion privé, suite à l'attentat visant une mosquée chiite en Arabie Saoudite, après la crise ayant suivi l'execution d'un notable chiite avec 46 autres personnes accusées de terrorisme. En effet, l'émir était en Algérie pour chasser l'outarde, un oiseau en voie de disparition, ou encore la gazelle. Ces chasses sont interdites par la loi mais les autorités ferment les yeux.
L'émir Saoudien habitué à la chasse au sud-est du pays reviendra en Algérie, selon des sources bien informées, dans quelques jours pour reprendre sa quête de chasse.
Il est à rappeler, qu les photos et vidéo de ces quêtes de chasse provoquent à chaque fois, une vague d'indignation en Algérie, sachant que ces espèces sont protégés par la loi algérienne, à l'image de l'outarde, un oiseau très rare dont la chasse est illégale. Comme la gazelle du Tassili ou le fennec, elle fait partie des 73 espèces protégées, au titre du décret N° 83-509 relatif aux espèces animales non-domestiques protégées, complété par l’arrêté du 17 janvier 1995 et de l’article 92 de la loi n°04-07 du 14 août 2004 relative à la chasse. Pour les contrevenants, la loi prévoit de deux à six mois de prison ainsi qu'une amende de 10 000 DA (75 Euros) à 100 000 DA (7500 Euros).
Par ailleurs, El Khabar rapporte que le ministre saoudien, Mohamed Ben Nayef Ben Abdelaziz est un amoureux de la région, dont il a fait le don d'une grande mosquée et un grand mall ainsi qu'un projet d'une usine de produits laitiers, pas encore entamé, selon la même source.
Tandis que les émirs saoudiens sévissent à Béchar, jusqu’à la wilaya de Tindouf, ceux du Golfe opèrent à El Bayadh et Naâma. Les émiratis marquent leur territoire à travers des réserves de repeuplement. Les qataris, quant à eux, débarquent en Algérie en tant que touristes pour passer inaperçus. Ils sont pris en charge par des agences sises à Ghardaïa. Et s’ils s’approprient les zones de chasses des Saoudiens, ce qui arrive souvent, le conflit entre les deux "clans" est inévitable.
L'émir Saoudien habitué à la chasse au sud-est du pays reviendra en Algérie, selon des sources bien informées, dans quelques jours pour reprendre sa quête de chasse.
Il est à rappeler, qu les photos et vidéo de ces quêtes de chasse provoquent à chaque fois, une vague d'indignation en Algérie, sachant que ces espèces sont protégés par la loi algérienne, à l'image de l'outarde, un oiseau très rare dont la chasse est illégale. Comme la gazelle du Tassili ou le fennec, elle fait partie des 73 espèces protégées, au titre du décret N° 83-509 relatif aux espèces animales non-domestiques protégées, complété par l’arrêté du 17 janvier 1995 et de l’article 92 de la loi n°04-07 du 14 août 2004 relative à la chasse. Pour les contrevenants, la loi prévoit de deux à six mois de prison ainsi qu'une amende de 10 000 DA (75 Euros) à 100 000 DA (7500 Euros).
Par ailleurs, El Khabar rapporte que le ministre saoudien, Mohamed Ben Nayef Ben Abdelaziz est un amoureux de la région, dont il a fait le don d'une grande mosquée et un grand mall ainsi qu'un projet d'une usine de produits laitiers, pas encore entamé, selon la même source.
Tandis que les émirs saoudiens sévissent à Béchar, jusqu’à la wilaya de Tindouf, ceux du Golfe opèrent à El Bayadh et Naâma. Les émiratis marquent leur territoire à travers des réserves de repeuplement. Les qataris, quant à eux, débarquent en Algérie en tant que touristes pour passer inaperçus. Ils sont pris en charge par des agences sises à Ghardaïa. Et s’ils s’approprient les zones de chasses des Saoudiens, ce qui arrive souvent, le conflit entre les deux "clans" est inévitable.