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La police allemande arrête des dizaines d'Algériens

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L'Allemagne est déterminée à faire face à la crise migratoire et controller le nombre de demandeurs d'asile, notament, d'Algérie et du Maroc, classés comme pays sûrs par le gouvernement d'Angela Merkel. En effet, la police de Düsseldorf a annoncé l’arrestation des dizaines de personnes originaires desdits pays, lors d’une sérié de descentes dans le quartier dit « Maghreb ».

En parallèle, la chancelière allemande, Angela Merkel a demandé aux pays nord-africains d’accueillir les réfugiés dont les demandes d’asile ont été refusées.

La police de Düsseldorf a arrêté 40 personnes originaires de l’Afrique du nord, soupçonnés de séjour illégal en Allemagne, à l’issue d’une descente dans le quartier « Maghreb », considéré comme un refuge pour la mafia, le vol et la drogue.

« L'opération avait été organisée l’année dernière et avant les événements de Cologne », a affirmé la police allemande.

S’agissant du rapatriement des migrants en provenance du Maroc et de l’Algérie, un quotidien allemand a indiqué dimanche que l’Union chrétienne-démocrate (CDU), parti d’Angela Merkel, entend traiter les Algériens et les Marocains au même titre que les citoyens venus des pays sécurisés.

Lors d’ouverture des travaux de son parti, le président du Parti socialiste allemand (SPD), Sigmar Gabriel, a fait savoir que le sujet des migrants en provenance du Maroc et d’Algérie n’est pas nouveau. « Ce n’est pas nouveau car nous l’avons débattu depuis longtemps… », a dit Sigmar Gabriel, ministre du Commerce allemand, ajoutant que « le plus important c’est d’expliquer aux gouvernements des pays nord-africains qu’ils doivent accepter le rapatriement des réfugiés dont les demandes d’asile ont été rejetées ».

La police allemande arrête des dizaines d'Algériens


BAC, BEM et 5em (2016) : Les dates des épreuves révélées par le ministère de l'éducation

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La commission ministérielle constituée des deux directions d’enseignement fondamental, secondaire général et technologique, l’inspection générale, le cabinet du ministère et la direction de l’évaluation et de la prospective se sont mis d’accord sur les dates du BAC prévues du 29 mai au 2 juin.

Affirmant que ces dates sont également celles fixées par la tutelle et proposées par les syndicats autonomes. La commission chargée de modifier les dates des épreuves des examens officiels pour l’année 2016 a arrêté les dates des épreuves du BAC prévues du 29 mai au 2 juin. Et ce en attendant les résultats des négociations lors de la rencontre prévue ,ce mardi 19 janvier 2016, en présence des syndicats autonomes de l’éducation.

S’agissant des épreuves de fin de cycle primaire (5e), le département de Benghebrit suggère la date du 26 mai alors que les partenaires sociaux proposent la date du 22 mai.

Pour ce qui est des épreuves du BEM, la tutelle et les syndicats proposent respectivement les dates du 5 juin et du 24 mai.

BAC, BEM et 5em (2016) : Les dates des épreuves révélées par le ministère de l'éducation



Bouira : Deux blessés dans l'explosion d'une bombe

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Deux blessés dont un dans un état jugé critique ont été victimes d'un engin explosif de moyenne intensité au niveau de la commune de Souk El Khemis, sise à une quarantaine de kilomètres au sud ouest de Bouira.

L'explosion s'est produite hier mardi, aux alentours de 19h30 au niveau de la localité d'Ouled Lahueg, relevant de ladite commune. Les deux victimes, ont été transportés vers l'hôpital d'Ain Bessem, où ils sont actuellement en observation. Cet attenant, intervient moins de 48 H après la découverte et la destruction de 04 bombes par les éléments de l'ANP, au niveau de la commune de Djebahia ( ouest de Bouira). Une opération de ratissage a été rapidement déclenchée en cours dans les montagnes de Souk El Khemis et El Mokrani.

Par ailleurs, quatre (4) bombes de confection artisanale ont été découvertes et détruites dimanche par un détachement de l'Armée Nationale Populaire relevant du secteur opérationnel de Bouira, indique lundi le ministère de la Défense nationale (MDN) dans un communiqué.

"Dans le cadre de la lutte antiterroriste et grâce à l'exploitation efficace de renseignements, un détachement de l'Armée Nationale Populaire relevant du secteur opérationnel de Bouira (1e Région Militaire) a découvert et détruit, le 17 janvier 2016, quatre (4) bombes de confection artisanale parées pour explosion", précise la même source.

Par ailleurs et "dans le cadre de la lutte contre la contrebande et la criminalité organisée, des éléments des Gardes-frontières ont arrêté à Tlemcen (2e Région) Militaire, huit (8) immigrants clandestins et saisi une quantité de 512 kilogrammes de kif traité et 7.630 litres de carburants", ajoute-t-on.

De même, à Mascara, des éléments de la Gendarmerie Nationale "ont appréhendé un narcotrafiquant et saisi 124 kilogrammes de kif traité et une somme d'argent de 609.000 dinars algériens", relève le MDN.

Au niveau de la 6e Région Militaire, un détachement relevant du secteur opérationnel de Tamanrasset "a arrêté vingt-et-un (21) contrebandiers et saisi un (1) véhicule tout-terrain et des téléphones portables", rapporte-on encore.

Bouira : Deux blessés dans l'explosion d'une bombe

VIDEO. Un jeune algérien invente les premières chaussures intelligentes «SmartShoes»

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Un inventeur d'origine algérienne, concrétise la prédiction du film «Retour vers le futur» et invente SmartShoes, à défaut de pouvoir enfiler la Nike MAG, réplique parfaite de la paire de sneakers autolaçantes que portait Marty McFly, nous pourrons toujours nous consoler avec cette alternative connectée.

Dévoilées lors du CES 2016, les SmartShoes se présentent comme les premières chaussures intelligentes et connectées. Imaginées par les frenchies de Digitsole, déjà à l’origine d’une semelle chauffante contrôlable par smartphone, ces sneakers au look délicieusement futuriste – et les visuels que vous pouvez apercevoir dans cet article témoignent de la version finale du produit ! – multiplient les fonctions.

Elles sont en effet capable de compter vos pas, la distance que vous avez parcourue, les calories que vous avez brûlées ou même d’analyser votre foulée, pour ensuite vous afficher les résultats sur une application mobile dédiée, que vous retrouverez à la fois sur iOS et Android. Et puis, la chaussure va également bénéficier d’un système de serrage automatique. Fini le laçage, donc ! Plus étonnant encore : les SmartShoes intègrent un système permettant de réchauffer vos pieds, mais aussi une lampe torche, située sur le devant de sa semelle."Bien sûr, ça reste un prototype, mais l'idée est de montrer qu'on maîtrise la technologie", a commenté à l'AFP Karim Oumnia, patron-fondateur de Digitsole, basée à Nancy.

Et elle vend déjà dans une trentaine de pays ses semelles également connectées et chauffantes. Et puisque l'on parle de changer de paire, sachez tout de même qu'il faudra débourser 450 euros pour se procurer ces godillots audacieux et ultra-futuristes qui seront disponibles à la vente dès cet automne.





VIDEO. Un jeune algérien invente les premières chaussures intelligentes  «SmartShoes»

VIDEO. «Naadin Yemmat Yemahom» : Bagarre générale dans une réunion de l’UGTA

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La dernière sortie du secrétaire général de l'Union Générale des Travailleurs Algériens (UGTA), Sidi Said, où il a proféré des insultes envers eux qui refusent la politique menée par sa direction et ceux qui s'opposent à ses choix, mais aussi les syndicats autonomes, qui a suscité une vague d'indignation allant jusqu'à pousser un parti politique d'obédience islamiste à déposer plainte contre lui, ne plait néanmoins aux syndicalistes affiliés à l'UGTA.

VOIR  VIDEO. «Naadin Yemmat Yemahom» : Sidi Said risque la prison


En effet, Un mouvement de contestation s'est propagé à la salle où la centrale syndicaliste se tenait, demandant le départ du Secrétaire général et la réparation du fonctionnement du plus vieux syndicat algérien. Entre protagonistes, qui contestent Sidi Said et ceux qui le soutiennent, une véritable baggare générale a eu lieu au sein de la centrale syndicale, qualifiée d'arène de Box par la chaîne privée Ennahar.




VIDEO. «Naadin Yemmat Yemahom» : Bagarre générale dans une réunion de l’UGTA

Ali Haddad passe à l'offensive : On veut faire de moi un « bouc émissaire »

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Ali Haddad a animé une conférence de presse aujourd'hui, en sa qualité de chef du FCE et patron de l'ETRHB, où il a profité pour répondre à ses détracteurs et «démentir» les reproches que l'opposition et la presse avancent.

En se disant bâtisseur, il refute la thèse prétendant qu'il est "favorisé" par les décideurs« Nous ne sommes pas des prédateurs mais des bâtisseurs. Personne ne nous a fait de cadeaux » a t-il dit avant d'ajouter « le patron de l’ETRHB a payé 20 milliards de dinars de contributions et d’impôts» dans une réponse à Louisa Hanoune sans pour autant la nommer.

Ali Haddad déplore le fait que l'opposition veut faire de lui, le « bouc émissaire », responsable de tous les maux de l’Algérie en justifiant ses relations avec les pouvoirs « Notre rôle n’est pas de s’opposer au gouvernement ou de s’aligner sur tout ce qui vient du gouvernement, le FCE est un partenaire »

Ali Haddad s’est exprimé sur les informations faisant état d’une demande de prêt de son groupe auprès de la BNA, révélées par le journal électronique TSA. « Je suis sidéré par les informations colportées concernant un crédit qui m’aurait été accordé par la BNA d’un montant invraisemblable se chiffrant à plusieurs milliards de dinars », a-t-il dit.

« En tant qu’opérateur économique, j’ai tout à fait le droit de demander un crédit pour financer un projet si mon dossier est complet et que toutes les garanties sont disponibles. C’est une pratique normale et il ne s’agit pas d’une faveur. La SNVI a bénéficié d’un milliard de dinars, c’est-à-dire 1 000 milliards de centimes », poursuit Ali Haddad.

Ali Haddad a toutefois confirmé avoir déposé une demande de crédit auprès de la BNA mais pour un montant de cinq milliards de dinars. Il a affirmé que le responsable du fond Hermès en Allemagne lui a proposé 10 milliards de dollars de crédit. Un fond saoudien lui a quant à lui proposé un prêt de 100 milliards de dinars, selon lui.

« Nous on commence toujours par nos banques, privées ou publiques, si on ne trouve pas de moyens, on ira à l’international », a-t-il dit, en ajoutant : « En 2008, nous avons levé un emprunt obligataire de 6 milliards de dinars sous la supervision de la Cosob. Cet emprunt a été totalement remboursé avant les délais ».

Ali Haddad passe à l'offensive : On veut faire de moi un « bouc émissaire »

Fatwa : les bonshommes de neige sont Haram (Illicite)

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L'Arabie Saoudite, n'a pas vu de neige depuis 85 ans et sa venue cette année n'était qu'une occasion pour de nouveaux Fatwas. En effet, un prédicateur Saoudien a émis une fatwa contre... les bonshommes de neige.

Selon le très sérieux cheikh Mohammad Saleh Al Munadjid, l'un des cheiks islamiques les plus influents du royaume, a décrété que ces statues de neige étaient "haram" c'est-à-dire anti-islamique, illicite.

Répondant à la question d'un père de famille sur le site web religieux Islamqa.info, Mohammad Saleh Al Munadjid a été intransigeant: "Il est interdit d'ériger des statues en neige, même pour jouer". Selon lui, construire un bonhomme de neige revient à créer l'image d'un être humain, un péché, selon l'interprétation radicale du royaume saoudien.

«Dieu a accordé aux gens la liberté de construire tout ce qu'ils veulent, à condition que ça ne contienne pas d'âme: des arbres, des bateaux, des fruits, des habitations...», écrit le cheikh. Les enfants saoudiens vont devoir se consoler en faisant des bateaux en neige, des fleurs, des arbres en neige ou même des igloos.

Les internautes n'ont pas raté cette occasion pour se moquer et ont lancé un hashtag pour se moquer de cette décision: #FatwaPourInterdireLesBonhommesDeNeige. "Un bonhomme de neige est illicite? Et s'il porte un niqab? Donnez-nous une fatwa là dessus!", écrit en arabe un utilisateur de Twitter, en référence à l'obligation pour les femmes de porter le voile intégral dans le royaume.

Fatwa : les bonshommes de neige sont Haram (Illicite)

Quatre refuges de terroristes détruits à Boumerdes (MDN)

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Quatre (04) refuges de terroristes ont été détruits mardi par un détachement de l'Armée nationale populaire (ANP) relevant du secteur opérationnel de Boumerdes, indique mercredi un communiqué du ministère de la Défense nationale.

"Dans le cadre de la lutte antiterroriste, un détachement de l'Armée nationale populaire relevant du secteur opérationnel de Boumerdes (1ère Région militaire) a découvert et détruit, le 19 janvier 2016, quatre (04) refuges pour terroristes", précise le communiqué.

Par ailleurs, et dans le cadre de la sécurisation des frontières et de la lutte contre la contrebande, des détachements relevant des secteurs opérationnels de Tamanrasset et d'In Guezzam (6ème Région militaire) "ont appréhendé, lors de différentes opérations, 28 contrebandiers et ont saisi deux (02) véhicules tout-terrain, un groupe électrogène et un lot d'équipements pour détecteurs de métaux".

De même, des éléments de la Gendarmerie nationale relevant du secteur opérationnel de Tlemcen (2ème Région militaire) "ont saisi un véhicule utilitaire et une importante quantité de carburant s'élevant à 21.125 litres destinée à la contrebande", ajoute la même source.

Quatre refuges de terroristes détruits à Boumerdes (MDN)

Avec l'APS


VIDEO. Algérie : les brigades anti-drones de la gendarmerie à l'oeuvre

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Le commandant de la Gendarmerie nationale, le général major Menad Nouba, a insisté mardi à Tébessa sur "la bonne préparation" des gendarmes et leur "disponibilité totale et constante" pour veiller à l’application des lois et protéger les personnes et les biens publics et privés.

Le général major qui assistait à l’exécution d’une manoeuvre à djebel Taga, dans la commune d’El Houidjbat, a appelé à "l’amélioration continue du niveau des performances opérationnelles" et au "renforcement de la surveillance de la bande frontalière" afin, a-t-il dit, de "lutter efficacement contre la criminalité transfrontalière, la contrebande et le crime organisé".

Le commandant de la Gendarmerie nationale qui s’exprimait en présence d’officiers supérieurs du 5ème commandement régional de ce corps constitué, de la 5ème région militaire (RM) et des autorités de la wilaya de Tébessa, a ajouté que la sécurité des frontières et la lutte contre la contrebande "figurent parmi les priorités de la Gendarmerie nationale."



Il a également appelé à veiller à "faire échec à toute tentative d’action malveillante à travers la frontière, par l’intensification du contrôle des personnes et des véhicules au niveau des barrages de sécurité dotés d’appareils performants de détection de substances explosives ou de drogues".

Le général major Nouba a relevé "l’importance de l’action de proximité des éléments de la Gendarmerie nationale" ainsi que l’implication des citoyens, nécessaire, selon lui, pour l’obtention de résultats positifs.

Il a également souligné que la manoeuvre dans djebel Taga (850 m d’altitude), à une distance de 8 km de la frontière avec la Tunisie, s’inscrit dans le cadre de "la préparation au combat des unités de la Gendarmerie nationale" et de la mise en oeuvre du programme 2015-2016 de formation continue.

La manoeuvre a été exécutée par les différentes unités de la Gendarmerie nationale, des gendarmes gardes-frontières (GGF), des unités d’intervention, des unités territoriales et des éléments de détachement spécial d’intervention (DSI), soutenus par des hélicoptères. La manoeuvre simule une intervention contre un groupe armé constitué de plus de 20 individus infiltrés à travers la frontière et qui s’adonnent à des exactions contre des populations de cette région au relief escarpé et difficile.

Le groupe, repéré dans une ferme abandonné sur le djebel Taga, est rapidement encerclé pour empêcher toute tentative de fuite. L’élimination des membres du groupe criminel qui a rejeté l’offre de se rendre est ensuite confiée aux éléments du DSI assisté de tireurs d’élite de la Gendarmerie nationale et d’artificiers.

Les gendarmes, participant à cette manoeuvre, ont fait montre d’une grande aptitude au combat et d’une totale maîtrise du terrain, de maniement des armes utilisées et des équipements à leur disposition, a-t-on constaté tout au long de l’opération dont l’objectif consiste à évaluer les capacités opérationnelles et de combat des diverses unités de ce corps de sécurité.

Le général major Nouba Menad a ensuite procédé à l’inauguration des sièges de deux brigades de gardes-frontières à Bouchebka et à El Houidjbat, réalisées et équipées dans le cadre du renforcement de la surveillance de la bande frontalière et de la lutte contre la contrebande, la criminalité et l’immigration clandestine.

VIDEO. Algérie : les brigades anti drone de la gendarmerie à l'oeuvre


Révélation : Air Algérie et l'échec d'Air Bus

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Air  Algérie a lancé une opération de renouvellement et modernisation de sa flotte, avec des acquisitions de nouveaux appareils, mais contrairement à l'orientation jusque là adoptée  par l'Algérie, comme fidèle client des marques françaises et européennes, la compagnie nationale a opté pour le constructeur américain en commandant plusieurs avions long-courriers de type Boeing 777 et 787 Dreamliner.

Des révélations d'un médias algérien qui cite des sources proches du dossier, rajoute qu'Air Algérie aurait reçu des facilitations de la part du constructeur américain avec un système de leasing «très favorable».

Le Dreamliner est un appareil pouvant transporter jusqu’à 330 passagers sur un grand rayon d’action tout en étant économe en carburant. Pour le 777, le transporteur national devrait opter pour les dernières versions 777-200LR et 777-300ER, également très économes.

Cette commande d'Air Algérie constitue un échec commercial pour le constructeur européen Airbus qui perd un marché stratégique. Notons qu’en termes de long-courriers, la flotte d’Air Algérie est composée de 11 appareils, 8 Airbus A330-200 et 3 Boeings 767-300, rajoute la même source.

Révélation : Air Algérie et l'échec d'Air Bus

Documents. «Quand Yacef Saadi montra aux paras la cache de Ali la pointe et Hassiba Benbouali»

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Yacef Saadi et Zohra Drif, deux Moudjahids de la grande bataille d'Alger et sénateurs écartés  du tier présidentiel du sénat algérien après leur «rebellion», payent le prix de leur positions, vues comme ingrates envers le Chef de l'Etat qui les a désigné. 

Yacef Saadi, chef militaire de la zone autonome d'Alger,  s'est opposé au quatrième mandat du président en place depuis 1999, cependant, Zohra Drif a signé la fameuse lettre de demande d'audience 19-4.

Les médias connus comme proches du pouvoir ne cessent de révéler des documents présentés comme de l'archive française déclassifié de  la période coloniale, où on épingle les deux anciens combattant de l'ALN comme traîtres de la révolution et indicateurs contre leurs propre compagnons, à l'image d'Ali La pointe et Hassiba BenBouali.

Dans un article intitulé,«Quand Yacef Saadi montra aux paras la cache de Ali la pointe et Hassiba Benbouali» d'un journal électronique réputé comme agence de presse parallèle, l'ancienne figure emblématique de la bataille d'Alger est présenté comme un indicateur et facilitateur des paras et la personne qui a conduit ces derniers à la cachette de Ali la pointe et Hassiba Ben Bouali, un article que nous reproduisons ci-dessous :

« Yacef Saadi et Zohra Drif arrêtés le 24 septembre 1957, se mettent à table, pas même bousculés, dès leur première audition. Ils vont donner les caches de Ali-la-Pointe, « un dingue de la gâchette » dit Yacef Saadi.

Dans les milieux musulmans, où la nouvelle s’est répandue en quelques heures, « il semble que se manifeste comme une gêne », écrit le correspondant particulier du Monde. On se montre déçu de la faible résistance opposée par Yacef Saadi.

On établit même un parallèle entre sa reddition et le combat qu’ont livré, avant de mourir, ses deux adjoints Mourad et Ramel.

Yacef Saadi, dont l’imagination d’un grand nombre faisait un être insaisissable, est mis, le lendemain de sa capture, dans la villa mauresque d’El Biar, P.C. du régiment étranger parachutiste, en présence des membres de la presse autorisés à le photographier, ainsi que Zohra Drif. »

8 octobre 1957 :

« Au cours d’une opération dans la casbah d’Alger une très violente explosion détruit deux immeubles et fait 5 morts. Les paras, sur indication de Yacef Saadi ont découvert la cache d’Ali la pointe. Ali refusant de se rendre, pour l’ouvrir, ils posent une charge de plastic, qui fait exploser tout le stock d’Ali la pointe. Il y a quatre morts, un terroriste, une jeune poseuse de bombe, Ali la pointe, proxénète reconverti dans la pose de bombes et le neveu de Yacef Saadi, Omar. Ali la Pointe fut un ami très intime de germaine Tillon.

D’après des sources ultérieures, en fait l’explosion fit 20 morts, de nombreux immeubles environnant dont les habitant avaient regagné leur domicile s’étant écroulé sous le choc de l’explosion..

Le capitaine Bonnel, ancien du premier REP raconte : « Nous avions dans ma compagnie un officier de police adjoint, S. Pied-noir d’Alger, c’est un ami d’enfance de Yacef Saadi, avec qui il a joué au football, dans le même club, en d’autres temps. Même avant l’arrestation de Yacef, il lui arrivait de rendre visite à la mère de ce dernier. Le 7 octobre, donc, deux semaines après la capture de Yacef, S … obtient l’autorisation de conduire la mère auprès du fils. Que s’est-il passé pendant cette entrevue? S … n’a jamais donné beaucoup de détails. Toujours est-il que Yacef Saadi lui indique la seule cache inviolée de la Casbah, disant qu’Ali la Pointe n’a pu se réfugier qu’à cette adresse-là, 5, rue des Abdérames. En revanche, il demande la vie sauve pour Ali, et surtout, pour son neveu, Omar. La rue des Abdérames est en haute Casbah.

Le soir même, l’opération est menée, de façon classique. Quartier cerné, îlot contenant la cache investi par la 2e compagnie de combat. On fait évacuer la population des maisons comprises dans l’îlot. Il est minuit. Nous menons toujours nos opérations après l’heure du couvre-feu. Revêtu d’une djellaba dont le capuchon lui recouvre en partie le visage, Yacef Saadi est mené, en grand secret, 5, rue des Abdérames. Il entre dans la maison vidée de ses habitants, se dirige au premier étage, nous fait déplacer un divan et nous montre, sur le mur, la trace de l’entrée de la cache, un rectangle d’environ 40 cm sur 50. En réalité, il ne fait que confirmer, par les gestes, ce qu’il a déjà dit à S … Nous le gardons à proximité pour qu’il nous serve éventuellement d’intermédiaire, dans nos conversations avec Ali. Le régiment est, à cette époque, sous les ordres du commandant Guiraud, adjoint du colonel Jeanpierre, blessé lors de l’arrestation de Yacef, le 24 septembre. Ali la Pointe a la réputation, réputation qui nous a été d’ailleurs confirmée par les interrogatoires de Yacef, d’être courageux et même féroce comme un fauve. Il possède, dans sa cache, de l’armement et quatre bombes. Que va-t-il faire? nous essayons d’abord de parlementer avec lui. Nous frappons à la porte de la cache et nous lui parlons à l’aide d’un mégaphone:

– Rends-toi, Ali, c’est fini, Yacef est ici, nous te promettons la vie sauve.

A son tour, Yacef lui répète en gros ce que nous venons de dire. Mais c’est le silence complet. Silence qu’explique peut-être l’épaisseur du mur de la cache. Nous répétons notre appel à plusieurs reprises. Craignant une réaction désespérée d’Ali, nous faisons évacuer le bâtiment par tous les légionnaires qui ne sont pas absolument utiles. Ne restent dans la maison que les officiers de renseignements nous sommes deux – et le capitaine commandant la 2e compagnie de combat. Après plusieurs tentatives de prise de contact avec Ali la Pointe, il nous faut prendre une décision. Maintenant, le bouclage de l’îlot s’est desserré, seule la maison du 5, rue des Abdérames est tenue solidement. Il est fort probable que les populations évacuées en ont profité pour réintégrer leurs maisons en douce. Dans les maisons de cet îlot, il y a celle de Yacef Saadi, celle d’Amar Ouzegane.

Parmi les officiers participant à l’opération, deux tendances:

1) Faire sauter la cache, solution qui évite d’exposer la vie de légionnaires pour un assassin qui, pris vivant, a toutes les chances, comme Yacef Saadi, de sauver sa tête. On ne pourra jamais parlementer avec Ali la Pointe;

2) Essayer de forcer l’entrée de la cache à la pioche. C’est un risque énorme, chacun se rappelant, d’ailleurs, la défense de Mourad et Kamel, responsables F.L.N., cernés dans la Casbah, impasse Saint-Vincent-de-Paul, le 27 août, et qui n’avaient pas hésité une seconde, se sentant pris au piège, à abattre un adjudant et un caporal-chef de la compagnie du 9e zouaves cantonnée dans la Casbah, avant d’user des bombes dont ils disposaient contre le 3e R.P.C., qui cernait leur cache. Pour nous, de grosses pertes sont possibles, en dépit du rapport des forces, compte tenu de l’entrée de la cache d’Ali.

Finalement, le commandant Guiraud décide de prendre une demi-mesure qui consiste à faire sauter la paroi qui obstrue cette entrée avec une ou deux mines ruches. Celles-ci perceront la cloison sans faire exploser les bombes, et les occupants de la cache ont une chance de n’être que choqués par l’explosion. Un élément du génie est alors appelé. Heure H : 5 heures. Un groupe de sapeurs vient se mettre à la disposition du capitaine commandant la 2e compagnie de combat. (…) L’explosion est d’une violence inouie. (…) A moins qu’Ali la Pointe n’ait possedé d’autres explosifs qu’il ne nous avait pas signalé à travers sa correspondance avec Safi. C’est en tout cas cette version que je vais porter au P.C. du corps d’armée d’Alger, et que l’officier de presse donnera aux journalistes. »


VIDEO. Permis de conduire : Augmentation des tarifs de la formation

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Dans une plateforme de revendications, l'Union nationale des auto-écoles, veut une réforme du système d'obtention des permis de conduire en Algérien avec une augmentation des tarifs de la formation et un changement de la chronologie des examens ainsi que le nombres des candidats à les passer.

Ahmed Zineddine Aoudia, le président de l'Union nationale des auto-écoles, plaide pour un permis de 40 000 dinars avec deux examens par mois et une limitation à 10 candidats par examen en imposant aux directeurs des auto-écoles de garantir 15 heurs de formation du code de la route et 30 heurs de conduite.


Par ailleurs, malgré un recul en 2015, le nombre des victimes des accidents de la route demeure élevé.

Selon les statistiques du Centre national de prévention et de sécurité routière (CNPSR), le recule est de seulement 5,25%. Au total «3.952 personnes ont trouvé la mort durant les dix premiers mois de l'année 2015, contre 4.171 en 2014», indique la même source.

Le facteur humain reste «la cause principale» de ces accidents, d'ou une interrogation sur le rôle des auto-écoles dans la formation des futurs conducteurs. Il est question d'adapter les missions de ces établissements, comme l'explique Djawida Azzoug, journaliste à la radio Chaine3, dans son reportage.



VIDEO. Permis de conduire : Augmentation des tarifs de la formation

Tartag Tinhinan et Souad Massi, victimes collatérales du déni identitaire en Algérie

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Les deux charmantes étoiles ont en commun le fait d’être algéroises d’origine Kabyles. Souad Massi, 44 ans et originaire de Amechtras (Ouadhias), est une chanteuse talentueuse bien connue.


Tinhinan Tartag, 18 ans et originaire d’Azeffoun, est élue Miss de Kabylie 2015, par un organisme dirigé par un couple kabyle venant d’Alger. Son nom est source de polémiques puisqu’il se confond avec le surnom du patron des services de renseignements, que tout le monde sait amazigh chawi mais pas amazigh kabyle comme Tinhinan.

Le cas de ces dames est illustratif pour appuyer notre analyse sur le malaise identitaire qu’a généré dans la société le système ayant régné sur l’Algérie postcoloniale depuis le départ de la France.

Commençant par le cas de Tinhinan, qui depuis quelques jours, est victime d’un acharnement sans précédent suite à son refus de parler le kabyle quand le directeur du journal Temps d’Algérie, Hassan Maoli lui a suggéré de parler sa langue maternelle dans une émission de Dzair TV. Ne s’attendant pas à une telle suggestion venant de l’ex-journaliste d’El Watan, désorientée elle a répondu maladroitement qu’elle préférait parler en arabe. Au fait, ce n’est qu’une excuse pour dissimuler sa gêne de ne parler sa langue maternelle, puisque sa réponse était presque en entier en français.

Faut-il blâmer la jeune fille innocente qui ne comprend pas bien les questions et les enjeux identitaires, ou plutôt les organisateurs de Miss Kabylie n’ayant pas inclut une clause sur la nécessité de parler Taqbaylit, parmi les critères de la compétition? Ou encore ses parents qui n’ont pas transmis à Tinhinan l’héritage linguistique de leurs ancêtres?

Le plus à blâmer est, de mon point de vue, le système postcolonial ayant instauré dans la société un déni identitaire étouffant, et dont on paye encore le prix fort. En effet avec sa politique de dépersonnalisation à très grande échelle des peuples amazighs qui composent la société, on ne peut s’attendre qu’à des victimes collatérales comme les parents de Tinhinan. Il ne fait aucun doute que ceux-ci à la maison ne parlent à leurs progénitures que l’Arabe algérois. Exactement comme les millions d’Algérois originaires de Kabylie, pour qui parler le Kabyle est synonyme de sous-développement. L’humoriste Fellag dans un de ses shows, a parfaitement souligné ce fait. Personnellement j’ai vécu dans les années 70s ce qu’a évoqué Fellag, avec des expressions méprisantes genre : Qbayli bunu bunu, jab rriha fi 3abunu.

Pour revenir au cas de la chanteuse Souad Massi, qui dans la plupart de ses interventions médiatiques (principalement en France et en Moyen-Orient) se fait passer pour une chanteuse arabe moderne, est un autre cas d’analyse, intéressant à décortiquer. Dans une récente interview au journal El Watan elle a déclaré, pour décrire son dernier album complètement en arabe littéraire, et intitulé El Mutakalimun (Les orateurs), ceci : «Je me suis dit pourquoi ne pas chanter des poèmes arabes et j’ai commencé par les grands classiques : El Moutanabbi, Zoheir Ibn Abi Salma, Ahmed Matar, Abou El Kassem Echabbi».

C’est parfait pour Souad Massi, qui après avoir chanté en français, espagnol, anglais et l’arabe algérien, elle s’est maintenant mise à l’arabe classique. Ceci montre son côté universaliste, ce qui est à son honneur. Mais ne faut-il pas qu’avant de scruter d’autres perspectives d’ordre linguistiques, commencer par partir de chez soi comme dit IDIR, à partir de la langue de ses ancêtres.

Étant, à quelques années près, de la même génération que Souad Massi, l’école postcoloniale m’a fait aimer ces grands poètes arabes, et plus particulièrement ceux de la Jahiliya dont Zoheir Ibn Abi Salma, El Khansa, Antar Ibn Chadad, …. Mais à la différence de Souad Massi, le printemps amazigh de 1980 et la source de son déclenchement, qu’est le livre «Poèmes kabyles anciens» de Mouloud Mammeri, m’ont fait découvrir que nous les kabyles aussi nous avons eu notre lot de grands poètes-philosophes tels que Yusef Uqasi, Si Muh Umhand, Chikh Muhand Ulhusin, Muhand Said Amlikech, … et dont la liste continue à s’allonger jusqu’aux poètes-philosophes modernes que sont Slimane Azem, Lounis Ait Menguellat, Matoub Lounes, Zedek Mouloud pour ne citer que quelques-uns.

Pour revenir au cœur du sujet, si la Kabyle qu’est Souad Massi, croit encore qu’elle est vraiment arabe, et au même titre que Tinhinan Tartag, la faute incombe-t-elle à ses parents qui ne lui ont pas transmis la langue et les valeurs kabyles? Ou plutôt au bombardement idéologiques de l’école algérienne qui continue jusqu’à date à faire croire à nos enfants kabyles, chaouis, mozabites, targis, … qu’ils sont Arabes et non Amazighs. Exactement comme la constitution le dicte. De plus d’après cette même école idéologique, ces enfants doivent être fiers de leurs grands poètes arabes El Moutanabbi, Zoheir Ibn Abi Salma, Ahmed Matar, Abou El Kassem Echabbi, et non pas de leurs grands poètes amazighs Aissa El Djarmouni, Adel Mzab, Othmane Bali, Slimane Azem, et de nombreux autres poètes amazighs chawis, mozabites, targis et kabyles.

C’est dans ce cadre qu’il faut situer les glissements verbaux de Tinhinan et de Souad Massi. Au lieu d’en vouloir à ces belles étoiles, nous préférons qu’on ferme la parenthèse des polémiques inutiles et se concentrer sur l’essentiel. C’est-à-dire continuer la lutte pour que les choses changent à l’avenir pour asseoir une société paisible, psychologiquement stable, et surtout épargner à nos enfants et petits-enfants de telles anomalies identitaires à l’avenir.

Racid At Ali uQasi

Tartag Tinhinan et Souad Massi, victimes collatérales du déni identitaire en Algérie

Par Le Matin


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Grandiose hommage à Me Ali Yahia Abdenour à l’occasion de ses 95 ans à Tizi Ouzou

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La ville de Tizi Ouzou a connu un moment de convivialité inoubliable en ce jour du 18 janvier 2016, date anniversaire du militant des Droits de l'Homme Maître Ali Yahia Abdenour. En effet la louable initiative de la société SDV Prod de marquer le 95e anniversaire du vieux militant, a été fortement appréciée par la centaine d’invités, parmi de grands noms de la société civile, conviés à un tel hommage-anniversaire. C’est aussi l’occasion de lancer le premier coup de manivelle d’un film documentaire intitulé "Aux origines de la question berbère".

Un programme riche a été concocté à l’occasion par SDV Prod et ce devant la présence de nombreuses personnalités. Il s’agit entre autres du maire de Tizi Ouzou, M. Ouahab Ait Menguellat, M. Said Sadi (président de la fondation AFUD et ex-président du RCD), M. Mustapha Bouhadef (ex-secrétaire général du FFS), M. Aknine Arab (militant des droits de l’homme), M. Meziane Meriane (syndicaliste au CNAPEST), le chanteur Brahim Tayeb et plusieurs autres universitaires, élus locaux, parlementaires, artistes de la chanson et du cinéma, journalistes et éditeurs de presse, à l’image de Omar Belhouchet, directeur d’El Watan. Des échanges réciproques des personnes composant différents courants que traverse la société civile ont ainsi caractérisés une telle rencontre autour d’un homme qui a de temps œuvré pour la démocratie, la justice, la liberté de la parole et surtout l’unité dans la diversité des idées. Exactement à l’image de qu’a été cette mémorable journée du 18 janvier 2016.

Avant les prises de paroles de certaines personnalités suscitées telles que M. Ouahab Ait Menguellat, M. Said Sadi et M. Mustapha Bouhadef qui ont rendu un vibrant hommage à l’infatigable Maître Ali Yahia Abdenour, un télé-témoignage émouvant a caractérisé aussi la soirée. Il s’agit de Madame Lise Garon, ex-professeure titulaire à l’université de Laval au Canada, en retraite depuis quelques années.
En effet de sa résidence au nord de Québec, et par Skype, Madame Lise Garon a relaté toute l’aventure qu’elle a vécu en invitant Maître Ali Yahia Abdenour, en mai 1995 au Canada, pour une série de conférences et des rencontres avec la classe politique canadienne, ainsi que la société civile. Il est à signaler que Madame Lise Garon est auteure de plusieurs ouvrages dont le livre à succès "Dangerous Alliances. Civil Society, the Media & Democratic Transition in North Africa", édité chez Zed Books à Londres, une version enrichie et traduite du "Silence Tunisien", "Les alliances dangereuses au Maghreb".

Rachid At Ali uQasi, membre de la fondation canadienne Tiregwa a aussi témoigné par voie Skype, sur le passage au Canada de Maître Ali Yahia Abdenour, en novembre 2014. Il a entre autres mis l’accent sur les 1900 km qu’a eu à traverser le militant des droits de l’homme en espace de deux semaines entre Montréal, Ottawa, Québec et Kingston. Une série de rencontres et des conférences ont, pour rappel, été animés sur divers sujets dont la crise Berbère de 1949, l’objet de son dernier livre édité chez Barzakh.

Contacté par Skype, à une question posée à M. Samir Ait Belkacem, directeur de SDV Prod, comment vous est venue l’idée d’organiser un tel évènement et surtout l’idée de faire un documentaire sur Maître Ali Yahia Abdenour. Il nous répond : "Au fait, l’idée a émergé l'été 2014. Nous nous sommes constitués un groupe de membres de SDV Prod et de la fondation Tiregwa pour aller rendre visite à Dda Abdenour chez lui à Alger.

Le but était double; d’abord de le questionner pour nous dire un peu plus sur la crise Berbère de 1949, qui a fait l’objet de son dernier ouvrage. Ensuite de le convaincre d’être l’invité de la fondation Tiregwa, et ce dans le cadre de la série des conférences qu’elle organise au Canada en relation avec l’identité, la langue et l’identité amazighe. On a convenu d'accompagner Dda Abdenour au Canada. Ce qui était un grand privilège pour moi, pour ne pas dire un rêve, que de l’accompagner un certain novembre 2014. Depuis l’idée de réaliser un documentaire sur le témoin du siècle qu’est Dda Abdenour ne m’a jamais quittée. Le choix est porté sur M. Yazid Arab pour réaliser un tel film documentaire, d’une durée de 120 minutes, et qui sera produit par la société SDV Prod que je dirige."

Grandiose hommage à Me Ali Yahia Abdenour à l’occasion de ses 95 ans à Tizi Ouzou

Kamel Harani /Photo: maitre Ali Yahia Abdennour Au Canada

VIDEO. Insolite : Cheikh Chamesedine insulté par une dame

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INSOLITE- Cheikh vedette de la chaîne privée En-Nahar, Chamessedine participe à l'émission «Derriere les mures» qui traite des problèmes sociaux et tente résoudre les conflits entre les membres des familles, mais cette fois-ci, le problème dégénère et une dame protagoniste se prend à tout le monde dont cheikh chames dine qui se voit insulté.

La fille handicapée d'une des sœurs, est à l'origine du conflit, après la demande de la mère biologique de récupérer sa fille qui se trouve en France avec sa sœur immigrée, cette dernière refuse et s'énerve en voyant Chikh Chameseddine du coté de la mère biologique, elle perd ses nerfs et s'en prend au staff de l'émission.





VIDEO. Insolite : Cheikh Chamesedine insulté par une dame


Présidentielle Française : Alain Juppé prépare sa candidature à Alger

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Le grand favori de la droite française à l'élection présidentielle de 2017, Alain Juppé sera en Algérie le 31 janvier.

L'ancien premier ministre français, se rendra en Algérie le 31 janvier prochain, Cette visite, inscrite dans le cadre du jumelage qui lie la ville de Bordeaux, dont il est le maire, à la ville d’Oran, mènera l’hôte de l’Algérie, dans la capitale de l’Ouest d’abord. Un petit détour, destiné à atténuer la charge électorale du séjour de Juppé en Algérie.

Alain Juppé entrera le premier février au vif du sujet, le lendemain de son passage à Oran. Le 1er février, il sera à Alger avec un agenda assez chargé. Selon son entourage cité par l'Expression, Alain Juppé donnera une conférence où la communauté française établie à Alger sera conviée, mais également des cadres algériens. La rencontre abordera certainement des questions politiques en relation avec le partenariat algéro-français.

Un tête-à-tête avec le président de la République, souhaité par Alain Juppé, serait envisagé et pourrait même avoir lieu. Il faut dire que pareilles audiences «officieuses» valent leur pesant d’or et renseignent sur l’estime que porte l’Algérie au vieux routier de la politique française qu’est Alain Juppé. Le tête-à-tête avec le président Bouteflika est certainement l’un des plus importants motifs du prochain séjour algérien de Juppé, sachant qu’il est de tradition que les candidats à la présidentielle en France rendent visite à certaines capitales clés, dont Alger, indique la même source.

Presidentielle Française : Alain Juppé prépare sa candidature à Alger

VIDEO. Scandale : Travaux dans un hôpital en plein salle de soins avec des patients allongés

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Une vidéo amateur publiée sur les réseaux sociaux et largement diffusée et commentée par les internautes algériens, montre une scène surréaliste dans une salle de soins d'un hôpital de la wilaya de Souk Ahras,  avec des patients allongés et des ouvrier en plein travaux de réhabilitation. 

Cette scène, n'est pas un cas isolé mais un échantillon de la malheureuse réalité,  de la négligence et l'irresponsabilité dont souffre le secteur de la santé en Algérie, malgré les sorties médiatiques du ministre qui jure à chaque fois de sévir avec un bras de fer.

Lire :  Photos choc. Lettre ouverte d'un médecin à Monsieur le ministre de la santé

Avant quelques mois, un reportage inédit a été diffusé par la télévision publique, l'ENTV s'est rendue au CHU de Canstantine et elle nous a livré des images insoutenables de la saleté, la négligence et la défaillance du secteur de la santé en Algérie.

Voir  : Vidéo. Quand l'ENTV parle de l'état désastreux des hôpitaux algériens





VIDEO. Scandale : Travaux dans un hôpital en plein salle de soins avec des patients allongés

Classement : L'Allemagne le «meilleurs pays du monde», l'Algérie est le pire !

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L'Allemagne en tête du classement des « meilleurs pays du monde » et l'Algérie le clôture selon les critères élaborées par U.S. News & World Report, BAV Consulting et la Wharton School qu'ils viennent de dévoiler à l’occasion du sommet économique de Davos.

L’Allemagne serait le «meilleur pays du monde» en termes d’influence culturelle, de dynamisme commercial, d’héritage et de qualité de vie, entre autres. Une soixantaine de pays ont été analysés dans cette étude qui a tenu compte des réponses fournies par plus de 16 000 répondants, dont 4513 décideurs économiques.

Sur les soixantaine des pays sélectionnées, l'Algérie occupe la dernière place alors que sa voisine jeune démocratie, la Tunisie occupe la 47eme place et le royaume marocain vient en tête des pays maghrébins en occupant la 37eme place.

Le Canada et le Royaume-Uni qui se classent respectivement en deuxième et troisième position. Triste constat, la Belgique ne fait pas partie des 60 pays listés. Le classement intégral est disponible ici.

Classement : L'Allemagne le meilleurs pays du monde et l'Algérie le pire !









VIDEO. Un tlémcenien, Une Hindou et Une Kabyle: étudiants de l'école de Tamazight à Ottawa (Canada)

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Malgré la distance, la diaspora Amazigh en général et Kabyle en particulier à Canada, est très active sur le volet social, culturel et politique, et les associations ainsi que les écoles de Tamazight à Montréal et Ottawa en sont témoins.

L'école d'Ottawa a reçu la caméra de Berbère TV qui s'est approchée de quelques étudiants de Tamazight, un jeune Tlemcenien, et deux jeunes filles, une, d'origine indienne et l'autre Kabyle.

Les trois étudiants ont mis l'accent sur la nécessité de préserver la culture Amazigh et Kabyle en l'apprenant et la faire sortir de l'oralité.



VIDEO. Un tlémcenien, Une Hindou et Une Kabyle : quelques étudiants de l'école de Tamazight à Ottawa (Canada)

VIDEO. Bouteflika décoré de la plus haute distinction de Malte

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Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a été décoré mercredi à Alger par la plus haute distinction de l’ordre national de Malte par la présidente maltaise, Marie Louise Coleiro Preca.

La République de Malte décore le président Bouteflika de la plus haute distinction de l’ordre national de Malte « pour son rôle dans la promotion de la paix et la sécurité dans le monde », indique la présidente maltaise dans un texte lu en son nom à l’issue d’un entretien qu’elle a eu avec le chef de l’Etat.

Cette distinction a été attribuée, également, au Président Bouteflika « en reconnaissance aux efforts qu’il a consentis pour le renforcement des relations d’amitié entre l’Algérie et Malte ».

De son côté, le président Bouteflika a décerné à son homologue de Malte la médaille de l’ordre de mérite national Al Athir « en reconnaissance à ses efforts pour la paix, la sécurité et la stabilité dans le monde notamment dans le bassin méditerranéen ».

La médaille El Athir constitue également « une reconnaissance pour les efforts de la présidente maltaise pour le soutien et le développement de la coopération entre l’Algérie et Malte et le renforcement des relations d’amitié entre les peuples des deux pays ».

Mme Coleiro Preca a entamé mardi une visite d’Etat de trois jours en Algérie à l’invitation du président Bouteflika.




APS

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