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VIDÉO. Piégé par le journaliste « kabyle »: le propriétaire «Kabyle» du Casa Nostra se défend

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Lundi soir, une séquence du Petit Journal montrait l’achat d’une vidéo de la fusillade ayant touché la pizzeria Casa Nostra le 13 novembre dernier par des journalistes du Daily Mail. Le patron du restaurant était clairement mis en cause, c’est son portable qui est filmé, et à l’issue de la négociation, 50 000 euros en cash, c’est un “proche du patron qui compte” les billets, annonce la voix off. Pourtant sur France 2 Dmitri Mohamadi patron du restaurant nie formellement avoir vendu cette vidéo: “Je n’ai vendu aucune vidéo, parce que pour moi, c’est de l’argent sale”. Dans Nice Matin, il a également raconté: “Vous savez, le journaliste qui a témoigné au Petit Journal, il est venu pour une interview et il voulait la vidéo”.


Trompé par le journaliste « kabyle »




Le propriétaire met également en cause Djaffer Ait Aoudia pour son comportement tout au long du processus. Il déclare ainsi que le journaliste lui aurait conseillé à plusieurs reprises de vendre ses images, lui offrant même la somme de 12 000€.




« C’est surtout lui qui m’a proposé de prendre de l’argent. Je lui ai dit que je n’en voulais pas. Il voulait que je lui envoie par mail. Il m’a poussé et m’a dit que c’était dommage de ne pas gagner cet argent-là…», affirme-t-il dans Rue 89.

Pour expliquer sa présence sur les lieux de la transaction, le journaliste évoque aussi « une certaine proximité qui s’est établie » avec le propriétaire. « On est kabyle tous les deux, ça s’est fait comme ça », dit-il lors de son intervention dans Le Petit Journal. Le propriétaire confirme : « Il y avait beaucoup de journalistes qui voulaient filmer dans mon restaurant et j’étais perdu. Je n’ai pas l’habitude de parler à la presse. Il est venu et il m’a dit : « Les journalistes sont des chacals je vais t’aider et te protéger ». J’étais content de l’avoir avec moi. Je lui ai même proposé de venir chez moi à la maison, parce que je pensais qu’il était sincère. Finalement, il était là pour me piéger. Je lui ai montré les images, j’allais les lui donner gratuitement. », affirme-t-il.


Djaffer Ait Aoudia propose des articles sur le contenu de la caméra de surveillance. Le Monde raconte avoir refusé : « Alors qu’il avait filmé à son insu le propriétaire pour le confondre, le journaliste a proposé au Monde un sujet-texte décrivant le contenu des images de la Casa Nostra, auxquelles il avait « eu accès ». Il disait avoir été en contact avec le Daily Mail, qui allait publier les images. Mais il n’a pas parlé d’une transaction dont il aurait été témoin. Sa proposition semblait floue, elle a été refusée », écrit le journal français dans son édition de ce jeudi.





VIDÉO. Piegé par le journaliste « kabyle »: le propriétaire «Kabyle» du Casa Nostra se défend


L'Algérie participe à une réunion avec Israël : la fin du boycott ?

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Les participants à la conférence ministérielle de Barcelone sur le développement en Méditerranée, abordent jeudi, lors des travaux de la rencontre, plusieurs questions liées aux développements, à l'occasion du 20e anniversaire du lancement du Processus de Barcelone, a-t-on appris auprès des services de presse de l'Union pour la Méditerranée.

La conférence ministérielle intitulée "Vers un programme de développement commun en Méditerranée", débutera dans l'après midi et sera l'occasion d'examiner le bilan et les perspectives de l'UPM, qui a succédé au Processus de Barcelone, en juillet 2008.

l’Algérie a préféré participer au sommet économique à Barcelone, en Espagne, au lieu de le boycotter en raison de la présence d'Israël. En effet, elle a justifié sa participation en disant qu’elle est un des pays fondateurs du Processus de Barcelone et que l'Union pour la Méditerranée va saisir cette occasion pour appeler à l'élaboration de relations de bon voisinage et de renforcer la coopération régionale.

Selon le communiqué du MAE, l'Algérie participera à la Conférence des ministres des Affaires étrangères des Etats membres de l'Union pour la Méditerranée, qui aura lieu jeudi à Barcelone.

L'Algérie, en tant que pays fondateur du Processus de Barcelone et de l'UPM, saisira cette opportunité pour «plaider en faveur de la promotion des liens de bon voisinage et du renforcement d'une coopération régionale favorisant le rapprochement des peuples des deux rives de la Méditerranée et le développement des liens de partenariat de manière à faire face aux défis communs d'ordre sécuritaire et économique dans la région», a précisé la même source.


L'Algérie participe à une réunion avec Israël : la fin du boycott ?

Le Général Hassan (DRS) condamné par le tribunal militaire à 5 ans de prison ferme

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Le général Hassan, de son vrai nom Abdelkader Ait-Ouarabi, a été condamné à cinq ans de prison ferme. Il était jugé par le tribunal militaire d'Oran (nord-ouest) pour des délits de « destruction de documents » et « infraction aux consignes militaires ».

Une première pour un haut responsable des services secrets


Selon Algérie1, L’ancien général a été reconnu coupable d’au moins deux chefs d’accusation à savoir « non respect des consignes militaires » et « destruction de documents militaires », selon des bribes d’informations qui ont été fuitées de ce procès tenu à huis clos.

Les circonstances de l’affaire pour laquelle cet ancien haut responsable du Département du Renseignement et de la Sécurité (DRS) remontent à l’année 2012 quand des individus armés arrêtés à un barrage au sud du pays avaient affirmé être armés par le général Hassan.

Les avocats de l’accusé ont soutenu devant le tribunal que l’opération rentrait dans le cadre d’une tentative d’infiltrer un groupe armé terroriste et elle était menée sous la direction du patron du DRS, le général Toufik.

Ce dernier n’a pas été convoqué en qualité de témoin dans ce procès comme réclamé par les avocats de la défense assurée par les avocats Khaled Bourayou, Mokrane Ait Larbi et Ahmed Toufali Tayeb.

La défense a décidé de faire appel de ce verdict rendu par le tribunal militaire d’Oran sis dans la commune de Mers El-Kebir (Oran), rajoute la même source.

Le général Hassan, de son vrai nom Abdelkader Ait-Ouarabi, a été condamné à cinq ans de prison ferme. Il était jugé par le tribunal militaire d'Oran (nord-ouest) pour des délits de « destruction de documents » et « infraction aux consignes militaires ».

La mosquée de l’Arbresle fermée : «100 autres mosquées menacées de Fermetures en France»

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Cette fermeture, décidée par la préfecture en raison de « risques sérieux d’atteinte à la sécurité », rentre dans le cadre de l’article 8 de la loi relative à l’état d’urgence.

Depuis la mise en place de l’état d’urgence, prolongé pour trois mois , les autorités ont mené plusieurs opérations visant des mosquées, dont celle de l’Arbresle, dans le Rhône, qui vient d’être fermée pour « risque sérieux d’atteinte à la sécurité », selon la préfecture.

Cette salle de prières dite « mosquée » de l’Arbresle était fréquentée par de « nombreux salafistes », dont certains soupçonnés d’entretenir des contacts en Syrie, rapporte la préfecture ce jeudi. La procédure de fermeture, qui rentre dans le cadre de l’article 8 de la loi relative à l’état d’urgence, a été notifiée et exécutée « sans incident » par les gendarmes, et « contribue en outre à prévenir les risques de radicalisation auxquels sa fréquentation et son fonctionnement exposent de nombreux jeunes », a précisé la préfecture dans un communiqué.

Le 18 novembre, la fermeture d’une mosquée située sur le plateau des Minguettes à Vénissieux, dans la banlieue de Lyon, avait déjà été annoncée par la mairie de la ville pour des raisons touchant à la sécurité des lieux et à l’accueil du public. Mais la préfecture avait souligné que cette décision avait été prise antérieurement aux attentats de Paris et ne répondait qu’à des impératifs de sécurité, sans lien donc avec sa fréquentation. La fermeture de la mosquée de l’Arbresle constituerait donc une première du genre depuis la mise en place de l’état d’urgence.


Fermeture de trois lieux de culte musulman clandestins dans les Alpes-Maritimes


Parmi les autres opérations visant les mosquées, la préfecture des Alpes-Maritimes a de son côté perquisitionné et fait procéder à la fermeture de trois lieux de culte musulman clandestins : à Drap, Beausoleil, et Nice, le dernier en date annoncé ce jeudi.
D’autres perquisitions ont été menées ailleurs, comme celle, la semaine dernière, de la mosquée de Sunna, de Brest, dont l’imam fait l’objet de nombreuses polémiques pour ses prêches sur les femmes ou la musique.

La mosquée de la Fraternité à Aubervilliers, elle aussi concernée, a d’ailleurs été le premier lieu de culte perquisitionné à la suite des attentats, précise FranceTVinfo . La mosquée Aïcha, à Montpellier, a elle aussi été touchée, et son imam a été assigné à résidence, une « injustice sans nom » selon l’association Aïcha qui s’est exprimée via un communiqué .

Au moins huit lieux de culte musulman perquisitionnés depuis l’état d’urgence


Au total, le responsable de l’Observatoire du Conseil français du culte musulman avait souligné mardi que huit lieux de culte avaient fait l’objet de perquisitions administratives dans le cadre de l’état d’urgence. « Il y a eu quelques perquisitions musclées », avait-t-il alors déploré.
Interrogé sur les conditions de ces interventions, Bernard Cazeneuve avait assuré qu’il ne tolèrerait « aucune perquisition qui ne se déroulerait pas dans le strict respect des règles du droit » qui doit « prévaloir en toutes circonstances ». « Si des manquements sont intervenus, des instructions seront données et des rappels à l’ordre auront lieu », avait-t-il ajouté lors d’une conférence de presse.



(Avec AFP)

Un Saoudien qui a violé, torturé et tué sa fille libéré après avoir payé le «prix du sang»

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Fayhan al-Ghamdi, un prédicateur saoudien célèbre en Arabie saoudite pour ses interventions télévisées avait été emprisonné pour le viol et le meurtre en octobre 2012 de sa fillette de 5 ans, Lama. Il vient d'être libéré après avoir payé le «prix du sang», une compensation financière à la mère de l'enfant, rapporte the Independent.

Fayhan al-Ghamdi et son ex-femme se partageaient la garde de Lama, leur fille. Alors qu'il hébergeait Lama, il l'a violée à plusieurs reprises avant de la torturer. L'enfant, qui souffrait de multiples fractures, d'ecchymoses et de brûlures, est décédée peu de temps après son hospitalisation en urgence.
Le prédicateur saoudien a reconnu avoir utilisé des câbles et une canne pour battre la fillette, explique the Independent. Il doutait de la virginité de Lama, qu'il avait fait examiner par un médecin, note the Daily Mail.
Après trois mois d'emprisonnement, le juge en charge de l'affaire a estimé que Fayhan al-Ghamdi pouvait payer «le prix du sang» pour être libéré: 200.000 riyals (soit un peu moins de 40.000 euros) versés à la mère de Lama comme compensation financière pour la perte de sa fille. Si Lama avait été un garçon, la somme aurait été doublée.

En Arabie saoudite, où la charia régit le droit, la peine de mort est en vigueur, rappelle the Independent. Mais un homme ne peut être exécuté pour le meurtre de son épouse ou de ses enfants, qui sont considérés comme sa propriété.

L'année dernière, le prédicateur islamiste Abdullah Daoud avait déclaré à la télévision saoudienne que le voile intégral devrait être obligatoire pour tous les nouveaux nés de sexe féminin, note the Telegraph. Une telle mesure empêcherait les agressions sexuelles et les viols sur les bébés.

La libération de Fayhan al-Ghamdi a provoqué la colère des Saoudiens et des activistes du Women to Drive, un groupe saoudien qui lutte pour les droits des femmes, qui, entre autres, doivent être voilées et ne sont pas autorisées à conduire. Le hashtag #AnaLama («je suis Lama») a émergé sur Twitter en hommage à la fillette et les autorités locales ont mis en place une permanence téléphonique pour lutter contre la maltraitance infantile.



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VIDÉO. La journaliste Mona Iraqi, qui avait "dénoncé" l'homosexualité de 26 hommes en Égypte, écope de 6 mois de prison

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Une journaliste d'une chaîne privée égyptienne a été condamnée jeudi 26 novembre à six mois de prison pour diffamation après avoir dénoncé les activités d'un hammam où 26 hommes avaient été arrêtés à tort pour "débauche", ont indiqué son avocat et l'agence officielle.

Ces hommes, interpellés en décembre, avaient été accusés d'avoir organisé ou participé à des "orgies homosexuelles" dans ce hammam du centre du Caire et avaient été acquittés en janvier, un verdict sans précédent dans un pays où être gay est globalement mal perçu.

Les images de la descente policière avaient été diffusées sur une chaîne privée. La journaliste qui a filmé la scène, Mona Iraqi, s'était targuée d'avoir dénoncé l'établissement à la police.

"Il y a beaucoup de sympathie dans l'opinion publique pour les victimes"


"Elle a été condamnée par un tribunal du Caire à six mois de prison. Nous allons faire appel", a indiqué à l'AFP son avocat Chaabane Saïd, qui a expliqué que le juge avait autorisé sa cliente à rester en liberté jusqu'au verdict d'appel en payant une caution de 1000 livres (120 euros).



(AFP)


VIDÉO. La journaliste Mona Iraqi, qui avait "dénoncé" l'homosexualité de 26 hommes en Égypte, écope de 6 mois de prison

La Russie demande à ses ressortissants de quitter la Turquie

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Le ministère russe des Affaires étrangères demande à ses ressortissants vivant en Turquie de rentrer au pays. Il évoque des risques "terroristes".

Les Russes actuellement en Turquie doivent rentrer en Russie, a exigé jeudi le ministère russe des Affaires étrangères, invoquant des risques « terroristes », deux jours après le crash d'un avion militaire russe abattu par l'armée turque.

« En raison de l'actuelle menace terroriste en Turquie, nous réitérons notre appel aux citoyens russes de renoncer à visiter la Turquie et nous recommandons à ceux qui se trouvent là-bas pour des raisons personnelles de rentrer dans leur patrie », a déclaré le ministère.

Le ministère russe des Affaires étrangères demande à ses ressortissants vivant en Turquie de rentrer au pays. Il évoque des risques "terroristes".

Officiel. La France va enfreindre les droits de l'homme

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la France envisage de déroger aux Droits de l’homme, dans le cadre de l’état d’urgence décidé après les attentats. Le gouvernement a lui-même envoyé un courrier au Conseil de l’Europe pour l’en informer. "Les autorités françaises ont informé le Secrétaire Général du Conseil de l’Europe d’un certain nombre de mesures prises dans le cadre de l’état d’urgence […], mesures qui sont susceptibles de nécessiter une dérogation à certains droits garantis par la Convention européenne des droits de l’homme", peut-on lire sur le site du Conseil. Une procédure nécessaire pour se prémunir d’un éventuel procès auprès de la Cour européenne des Droits de l’homme (CEDH).

L’article 15, où la possibilité d’une dérogation. La Convention européenne des Droits de l’Homme, dont le Conseil de l’Europe est le garant, oblige ses signataires à respecter une liste de droits fondamentaux : droit à la vie, interdiction de la torture, interdiction de l'esclavage et du travail forcé, droit à la liberté et à la sûreté, droit à un procès équitable, pas de peine sans loi, droit au respect de la vie privée et familiale, liberté de pensée, de conscience et de religion, liberté d'expression, liberté de réunion et d'association, droit au mariage, droit à un recours effectif ou encore interdiction de discrimination.

Mais l’article 15 de cette convention prévoit aussi une possibilité de déroger à certains de ces droits. Les pays signataires peuvent ainsi "prendre des mesures dérogeant aux obligations prévues par la présente Convention, dans la stricte mesure où la situation l’exige […] et ce uniquement en cas de guerre ou en cas d’autre danger public menaçant la vie de la nation".

La France a fait une demande officielle. Pour éviter tout procès devant la CEDH, la France doit, pour déroger à ses obligations, faire une déclaration qui motive ses raisons. En clair, elle doit officiellement se déclarer en guerre ou expliquer quel est le "danger public" qui menace "la vie de la nation". Ce qu’elle a fait dans un courrier du 24 novembre : "la menace terroriste en France revêt un caractère durable, au vu des indications des services de renseignement et du contexte international (…) De telles mesures (celles de l’état d’urgence ndlr) sont apparues nécessaires pour empêcher la perpétration de nouveaux attentats terroristes. Certaines d’entre elles […] sont susceptibles d’impliquer une dérogation aux obligations" de la CEDH. C’est on ne peut plus clair : la France informe officiellement qu’elle risque d’enfreindre certains Droits de l’Homme avec les mesures récemment votées pour lutter contre le terrorisme. Et même qu’elle l’a déjà fait.

De quelles mesures parle-t-on ? L’état d’urgence, récemment élargi et prolongé pour trois mois, donne en effet le droit aux autorités françaises d’enfreindre certaines libertés. Premièrement, le ministère de l’Intérieur a désormais la possibilité d’ordonner des perquisitions, de jour comme de nuit, sans passer par une autorité judiciaire. Durant ces perquisitions, les policiers peuvent notamment fouiller et copier toutes les données informatiques qu’ils souhaitent. Ce qui, en temps normal, est jugé contraire au droit à la vie privée. Autre mesure concernée : l’élargissement des assignations à résidence à n’importe quelle personne pour laquelle il y a "des raisons sérieuses de penser que son comportement constitue une menace pour la sécurité et l'ordre public". En temps normal, une telle mesure pourrait être jugée arbitraire est contraire à la liberté de circulation.

La France risque-t-elle un procès à la CEDH ? Il revient désormais au Conseil de l’Europe et à la CEDH de vérifier la conformité de la dérogation déposée par la France. Car cette dérogation ne peut pas s’appliquer à tous les droits. Ainsi, elle ne peut pas se faire à l’encontre du droit à la vie, de l’interdiction de la torture, l’interdiction de l’esclavage, ou du principe de légalité des peines (il faut enfreindre la loi pour être condamné).

En outre, une dérogation doit respecter le Pacte international relatif aux droits civils et politiques. Or ce pacte, qui dépasse le cadre européen, prévoit d’autres droits intangibles, comme la liberté de pensée, de conscience, et de religion. En outre, la dérogation s’applique uniquement s’il y a vraiment "menace sur la vie de la nation". S’il s’avère que des perquisitions sont menées sans lien avec les attentats et/ou qu’elles s’avèrent discriminante contre une religion, la France pourrait, en théorie, être inquiétée.

D’autres pays ont-ils déjà dérogé ? Cette invocation de l’article 15 est loin d’être une première. Le Royaume-Uni avait également dérogé aux Droits de l’Homme en 2004, après les attentats de Londres. L’Irlande avait, elle aussi, déposé une dérogation en 1957 et 1970 pour lutter contre les terroristes de l’IRA (l’armée républicaine irlandaise). La Turquie, qui a signé la Convention européenne, avait elle aussi dérogé à la Convention européenne en 1996, à la suite d’affrontements entre les forces de l’ordre et le PKK, Parti des travailleurs du Kurdistan.



Avec Europe1


VIDÉO. Adele chante "Hello" accompagnée de jouets pour enfants

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Adele a repris son dernier tube pour en livrer une version improbable. The Root et Jimmy Fallon l’ont accompagné avec des instruments d’école primaire.

Presque 10 millions de vues en 3 jours. Cette performance d’Adele a beau être plus rudimentaire que l’originale, cela ne l’empêche pas de remporter un succès… phénoménal. Sans le moindre effet sur sa voix, la chanteuse interprète "Hello"à merveille au milieu des sons de xylophone, kazoo et autre ukulele. L’animateur Jimmy Fallon et The Roots l’entourent et assurent l’accompagnement. Une version acoustique tout en dépouillement qui fait mouche une nouvelle fois.



VIDÉO. Adele chante "Hello" accompagnée de jouets pour enfants

VIDÉO. Violences faites aux femmes : les députés islamistes répondent à la ministre de solidarité

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Echourouk TV qui se targue clairement comme une chaîne islamiste, défend les députés accusés d'avoir bloquer le projet de loi contre les violences faites aux femmes. En effet, des représentants de partis islamistes ont affirmé jeudi 26 novembre que Mounia Meslem, la ministre de la Solidarité nationale "se trompe". Ils rappellent que le projet en question a été adopté au parlement malgré leur opposition et insistent qu'ils ne possèdent aucune majorité leur permettant de bloquer l'amendement.


Ce projet, adopté par le parlement le 5 mars 2015, a connu des "résistances" de certains partis islamistes qui "ont un discours religieux très fort au sein du Parlement", a-t-elle regretté mercredi 25 novembre à l'occasion de la journée internationale pour l'élimination de la violence à l'égard des femmes.

"C'est une accusation gratuite qui n'a aucun fondement", a déclaré Lakhdar Ben Khellaf, député du Front de la Justice et du Développement, un parti islamiste. "Les partis islamistes n'ont pas la majorité, ni au parlement, ni au Conseil de la Nation", a-t-il ajouté.
Ferhat Abdelhamid, un député dont l'Alliance Algérie Verte avait appelé au retrait de l'amendement, s'interroge. "Il est vrai que nous avons opposé cet amendement pour des raisons logiques, réalistes et religieuses", selon lui, mais "le projet de loi a été voté par les députés de l'Assemblée Nationale Populaire", affirme-t-il.

Parmi les nouveautés de ce texte, un article portant sur la protection de l'épouse des coups et des blessures volontaires, provoquant un état d'invalidité ou causant l'amputation, la perte d'un membre, une invalidité permanente ou la mort de la victime, en introduisant des sanctions en fonction du préjudice.

Le pardon de la victime met cependant fin à toute poursuite judiciaire sauf dans certains cas, une disposition qui a été largement critiquée par des acteurs politiques favorables à l'amendement.

Un nouvel article a été élaboré pour criminaliser et lutter contre le harcèlement contre les femmes dans les lieux publics. La peine est alourdie si la victime est mineure.

Sans donner d'autres précisions, Mme Meslem a indiqué avoir eu "des assurances" sur l'adoption du projet de loi par le Conseil de la Nation.




Violences faites aux femmes : les députés islamistes répondent à la ministre de solidarité

VIDÉO. Nia CHAILIN chante en Tamazight : «Ah a Tudert»

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Après la finlandaise Stina, l'allemande Ulli Rohd et bien d'autres, c'est au tour de Nia CHAILIN de chanter en tamazight. Elle a enchanté le public avec une très belle performance lors du festival Noujoum Gnaoua à Casablanca, en août 2015.

Nia Chailin est une chanteuse finlandaise dont la musique mixe plusieurs culture, elle chante avec six langues différentes, Français, Espagnol, anglais, Amazigh et Arabe.




VIDÉO. Nia CHAILIN chante en Tamazight : «Ah a Tudert»

Révélations et accusations très graves de l'avocat du général Hassan

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L’ancien général Hassan a été reconnu coupable d’au moins deux chefs d’accusation à savoir « non respect des consignes militaires » et « destruction de documents militaires », selon des bribes d’informations qui ont été fuitées de ce procès tenu à huis clos. En effet, il a été condamné à 5 ans de prison par le tribunal militaire d’Oran à l’issue du procès ouvert dans la matinée de ce jeudi.

Dans une interview accordée au journal électronique TSA, l'avocat du général en question, Khaled Bourayou revient sur le procès tenu hier à huis clos au tribunal militaire d’Oran. Il qualifie le général d'une victime collatérale de la lutte des clans «Le tribunal n’a pas fait bénéficier le général Hassan des circonstances atténuantes alors qu’il est malade et qu’il a consacré 51 ans de sa vie au service de l’armée et du pays. On se dit alors qu’il s’agit beaucoup plus d’un châtiment que d’une sanction. Un héros de la lutte antiterroriste a été jugé pour des infractions qui n’ont rien à voir ni avec la corruption, ni avec le trafic d’influence, ni avec un abus de fonction. C’est une décision qui ne peut s’expliquer que par des considérations politiques». selon lui « Le général Hassan est un homme proche du général Toufik. L’affaire a un caractère politique. À la lutte contre la corruption menée par le DRS qui a abouti aux affaires qu’on connaît, correspondait lutte menée contre les éléments du DRS. Je pense que les luttes de clans sont incompatibles avec les exigences d’un État de droit. La justice ne peut pas être rendue sur la base de règlement de comptes, de considérations autres que celle de l’application rigoureuse de la loi.»

Maître Khaled Bourayou rajoute que le DRS a mené «une lutte contre la corruption parce que les principales enquêtes dont celles liées à Sonatrach et l’Autoroute Est-Ouest ont été menées par le DRS. Pas irréprochables parce que beaucoup de prévenus sont innocents. Quand vous entendez le Secrétaire général du FLN dire que Chakib Khelil est le meilleur ministre que l’Algérie ait connu, on se demande si ce n’est pas une forme de réhabilitation politique.»

Par ailleurs, selon son avocat le général Hassan est poursuivi pour infractions aux consignes et destruction de documents. La défense n’a pas eu l’occasion d’apprécier la véracité des pièces de conviction. «Je ne peux pas vous en dire plus. Le huis clos ordonné par le Président du tribunal impose l’interdiction des comptes rendus d’audience conformément aux dispositions de l’article 135 du code de justice militaire.»


Répondant sur une question pourtant sur l'affaire du générale Benhadid, Maître Bourayou se dit pessimiste «n’augure de bon quand la justice n’est pas sereine et objective. L’institution d’un État de droit doit se faire sur des valeurs de droit, d’équité, d’objectivité et de la primauté de la loi.»

Révélations et accusation très graves de l'avocat du général Hassan


VIDÉO. La Finlandaise Stina rend hommage aux divas Kabyles : Taos Amrouche, Noura, Hnifa & Chrifa

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La chanteuse Kabyle d'origine finlandaise, revient avec un chef d'oeuvre et elle n'est plus au stade d'apprendre ou découvrir la culture Kabyle mais plus avancée, à celui de la créativité. Stina rend un vibrant hommage aux divas Kabyles, Taos Amrouche, Noura, Hnifa & Chrifa.

Avec un style nordique, la blonde scandinave, chante pour que «Personne n'oublie ces artistes Kabyles», «Je partage ma petite contribution pour rendre hommage à ces Grandes Divas de la chanson kabyle. Dans un style chorale qu'on faisait à l'école, cette fois avec un mélange de classiques des chanteuses Taos Amrouche, Noura, Hnifa et Chrifa et ma contribution en piano dans un style nordique.», peut t-on lire sur sa page facebook.

Née à Helsinki en 1986, est une pianiste et chanteuse finlandaise. Elle chante en kabyle et finnois en mêlant les styles nordiques et la musique kabyle. Elle est connue grâce à ses interprétations des meilleurs chefs d'oeuvres de la chanson kabyle à travers les médias sociaux.







VIDÉO. La Finlandaise Stina rend hommage aux divas Kabyles : Taos Amrouche, Noura, Hnifa & Chrifa


9000 euros d’amende pour le port d’un voile intégral en Suisse

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9000 euros d'amende est l'équivalent du port de la burqa ou du niqab, dans le canton du Tessin, en Suisse. Ainsi, toute personne se couvrant le visage dans l’espace public du canton, même si en réalité la loi vise plutôt le voile intégral, sera passible d’une amende d’environ 9000 euros.

Etant donné le contexte, la séance du Parlement consacrée au vote du texte, lundi, avait fait l'objet de mesures de sécurité renforcées, avec notamment des détecteurs de métaux installés à l'entrée.

Concrètement, la loi, qui doit entrer en vigeur dans les prochaines semaines, interdira de se couvrir le visage dans l'espace public du canton. Elle visera toutefois spécifiquement le port du voile intégral (niqab ou burqa). Le canton du Tessin compte 350.000 habitants, dont environ 2% de musulmans.

Alors que près de 40 000 visiteurs en provenance du Moyen-Orient se sont rendus au Tessin en 2014, des messages d'information seront diffusés dans les gares et aéroports, la loi s'appliquant sans distinction aux touristes.

Cette loi s'inspire de celle sur le voile intégral en France, que la Cour européenne des droits de l'Homme avait validée en juillet 2014.

9000 euros d’amende pour le port d’un voile intégral en Suisse



Canada : l’écrivain Kabyle Karim Akouche honoré à Montréal

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La communauté kabyle de Montréal est invitée à assister à l'hommage qui sera rendu à l'écrivain kabyle Karim Akouche le dimanche 29 novembre à 16h00 au salon Gelber qui se trouve au 5151 chemin de la Côte-Sainte-Catherine. En effet, il sera honoré pour son talent et les idées de liberté qu'il défend à l'ouverture du Festival Séfarad de Montréal.


Le programme débutera par la projection d'un documentaire sur l'auteur réalisé par les productions Telimagin. Puis, accompagnées de la flûte de Yassine Elbey et de la guitare de Smail Hami, les comédiennes Marie-Anne Alepin et Francine Alepin interpréteront ses plus beaux textes.

À la fin, la sociologue Sonia Sarah Lipsyc - également auteure, enseignante et dramaturge - aura un entretien avec l'auteur sur la Kabylie, les Berbères, l'écriture, l'exil, les identités meurtries, les versets douloureux, etc.

L'événement sera animé par Évelyne Abitbol.

À noter la présence de plusieurs personnalités et invités dont  Ferhat Mehenni.

Des gâteaux, du café et du thé seront offert à l'assistance.




(SIWEL)

Khaled Nezzar : «La condamnation du général Hassan est criminelle»

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Dans une déclaration publiée sur le site électronique AlgériePatriotique, Khaled Nezzar le général en retraite qualifie la condamnation du général Hassan ex-patron de la cellule anti-terroriste au sain du DRS de criminelle : «La condamnation du général Hassan est criminelle». En effet, Khaled Nezzar, malgré ne pas avoir connu personnellement le général incarcéré, déplore sa condamnation «je suis surpris par la sévérité de ce jugement qui efface d’un trait toute une carrière d’un homme qui a voué sa vie pour le service de la nation. C’est une condamnation criminelle et infamante qui jette l’opprobre sur le général Abdelkader Aït Ouarabi (dit Hassan) et sa famille.».

Le général en retraite se dit tu pendant la phase d’instruction, d’incarcération et de jugement pour ne pas perturber le libre déroulement du procès, jusqu'à «L’énoncé de ce verdict d’une telle sévérité n’a pas manqué de m’interpeller en ma qualité de militaire et, d’autre part, en tant qu’ancien ministre de la Défense nationale. C’est cette qualité et celle aussi d’ancien chef d’état-major de l’ANP qui me désignent beaucoup plus qu’une autre, pour me prononcer sur les fâcheuses conséquences que pourrait avoir la décision du tribunal militaire d’Oran. Les délits, qualifiés d’«infraction aux consignes générales de l’armée», n’auraient jamais dû relever du domaine pénal ; ils devaient se limiter à l'aspect disciplinaire. L’infraction aux consignes générales de l’armée, portée dans le code de justice militaire, a été âprement discutée et contestée au sein de la commission ad hoc qui a eu à l’élaborer, en raison de son imprécision. Certains n’ont pas hésité à considérer cet article comme un chef d’accusation «fourre-tout», susceptible d’être opposé à quiconque.»

En mettant en cause, les articles et la méthode qui conduit à la condamnation du général Hassan, l'ex-ministre de la défense, Khaled Nezzar se pose la question « en cette période d’incertitudes, de savoir si le général Hassan n’a pas servi d’alibi aux «commandeurs» de cette mascarade. Traitée dans un climat serein, ce que l’on peut qualifier aujourd’hui «d’affaire Hassan» n’aurait jamais eu un tel retentissement. Le général Hassan méritait, tout au plus, une sanction militaire de quelques jours de forteresse. Le général de corps d’armée Mohamed Mediene, alors qu’il était encore en service, avait, à travers une correspondance adressée au président de la République, expliqué les tenants et les aboutissants de cette affaire. Il avait souligné qu’en tant que chef hiérarchique direct du général Hassan, il était responsable de tout ce qui pouvait être reproché à ce dernier et qu’en conséquence, il en assumait l’entière responsabilité. Il n’y a pas eu de réponse ce jour…», conclut l'ancien chef d'Etat Major.

Khaled Nezzar : «La condamnation du général Hassan est criminelle»


VIDÉO. Nouveau scandale d'abus de pouvoir d'un commissaire «en Etat d'ivresse» contre les voyageurs

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La vidéo largement diffusée sur les réseaux sociaux et reprise par une chaine de télévision privée montre le commissaire de la traversée Alicante - Oran qualifiée «En état d'ivresse» par le voyageur qui filme la scène et l'accuse d'avoir insulté les voyageurs en se ventant d'être «Le commissaire qui fait ce qu'il veut».

Selon El BILAD TV, la scène s'est déroulé le 7 novembre tout en infirmant avoir vérifier la véracité du contenu de la vidéo.




VIDÉO. Nouveau scandale d'abus de pouvoir d'un commissaire «en Etat d'ivresse» contre les voyageurs du Bateau «Algérie 2»



VIDÉO. Réduite à l'esclavage en Arabie Saoudite: l’appel au secours d’une employée marocaine

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Dans une video postée sur youtube le 22 novembre, Une femme de chambre marocaine a lancé un appel à l’aide. Elle y dénonce les mauvais traitements qu’elle subit de la part de son employeur et explique qu’elle est séquestrée.


«Elle (son employeuse, ndlr) me maltraite et m’a enfermée et ne me laisse pas quitter ce pays. Quand je lui ai dit que j’allais appeler la police, elle m’a dit que même eux n’arriveraient pas à (me) sauver», raconte-t-elle. Elle explique être privée de passeport et avoir payé ses employeurs en échange de sa liberté mais que le mari de son employeuse, un Saoudien, n’a pas tenu parole une fois l’argent empoché. «Mon employeuse ne me paie pas et me dit que je vais travailler pour rien et selon son humeur à elle».



VIDÉO. Réduite à l'esclavage en Arabie Saoudite: l’appel au secours d’une employée marocaine

VIDÉO. L'Algérie dans le TOP10 mondial des systèmes de défense aériens

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l'Algérie est dans le TOP 10 mondial des systèmes de la défense aériens selon Ennahar TV qui rapporte des rapports américains, En effet, des S-400 ont été livrés en Algérie, si on en juge par des photos publiées par le blog algérien Secret Difa3. Le blog militaire algérien Secret Difa3 a publié les premières photos du système de missiles sol-air russe S-400 de la DCA algérienne au mois de juillet. 


Par ailleurs, l'auteur du blog affirme qu'un contrat de livraison des S-400 en Algérie avait été signé il y a un an cité par l'agence de presse russe officielle sputnik. Une photo d'un camion BAZ-64022 équipé d'une rampe de lancement bâchée confirme la livraison. Selon l'auteur, la photo a été prise au printemps 2015 lors de tests des armes livrées. Toujours selon le blogueur, l'Algérie devrait en équiper 3 ou 4 régiments (soit 6 à 8 groupes composés chacun de huit batteries).

D'après le blog militaire russe bmpd, l'Algérie possède, depuis 2003, trois régiments équipés de systèmes de missiles sol-air russes S-300. Ils protègent le nord de l'Algérie, ses frontières avec le Maroc et son littoral. Selon les auteurs de bmpd, les livraisons de S-400 permettront non seulement de consolider la DCA algérienne, mais lui permettront aussi d'engager les cibles à une plus grande distance.

Si ces informations sont confirmées, l'Algerie sera le premier acheteur étranger des missiles russes S-400. Ces dernières années, les experts ont estimé que ce sera plutôt la Chine qui importera la première les S-400 Triumph.

Le S-400 Triumph (code Otan: SA-21 Growler) est un système de missiles sol-air de grande et moyenne portée destiné à abattre tout type de cible aérienne: avions, drones et missiles de croisière hypersoniques. Le système est capable de tirer simultanément 72 missiles sur 36 cibles éloignées à une distance de 400 km.




VIDÉO. L'Algérie dans le TOP10 des systèmes de défense aériens

France : «Les imams doivent prêcher qu'en français»

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Le Maire de Béziers (Sud de France), Robert Ménard, un proche du Front national, qui a présenté, hier, une « charte », demandant aux dirigeants des mosquées de la ville de signer ce texte qui précise notamment que les imams doivent prêcher en français.

Dans le texte présenté à la presse, Robert Ménard assure que sous le régime d’état d’urgence qui a suivi les attentats de Paris, « les forces de police ont perquisitionné plusieurs mosquées et notamment celle de Brest, dont l’imam entretient des liens avec certains responsables de la communauté musulmane de Béziers ».

Il assure « qu’un imam de Montpellier ayant déjà tenu des conférences dans une mosquée de Béziers vient d’être assigné à résidence par l’État » et en conclut que « s’impose une clarification des activités des mosquées de Béziers ».

Pour le maire proche des thèses du parti de Marine Le Pen, « l’approbation sans réserve de cette charte sera de nature à rassurer l’ensemble des habitants de la ville ».

Selon le premier point de la « charte », « les imams des mosquées de Béziers s’engagent à ne prêcher qu’en français et en toutes circonstances ».

Second point, « les imams et fidèles des mosquées de Béziers s’engagent à ne faire aucun appel à la prière dans la rue sous quelque forme que ce soit ». Pour les musulmans de Béziers, la proposition de Ménard est qualifiée d’une « charte de la honte ».

Troisièmement, « les imams et présidents d’associations gérant les mosquées de Béziers s’engagent à ne pas poursuivre d’activités et à entretenir des liens avec des associations ou des mosquées, en France ou à l’étranger, appartenant aux courants les plus extrémistes, salafiste et Frères musulmans ».

Quatrièmement, ils « s’engagent à ne pas diffuser les discours ou faire la promotion des cheikhs ou savants saoudiens wahhabites, des cheikhs des Frères musulmans de tous les pays ».

Cinquièmement, les mêmes dirigeants doivent s’engager « à ne pas promouvoir les textes et livres comme ceux de l’école malékite qui prescrivent le djihad ou la peine de mort pour les apostats ou homosexuels ».

Enfin, ils « s’engagent à ne recevoir aucun financement d’un État étranger, d’une collectivité d’un État étranger ou d’une association étrangère ».

Après la présentation de ce texte, sur la page Facebook « Les musulmans de Béziers », des commentaires parlent de « charte de la honte » tandis qu’un autre indique laconiquement, « urgent Ménard doit être interné ». Aucune réaction officielle des imams et présidents de mosquées concernés n’a pu être recueillie.

France : «Les imams ne doivent prêcher qu'en français»

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