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VIDÉO. L'attaque du Bataclan filmée par un témoin : « l’horreur absolue »

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Daniel Psenny est journaliste au Monde. Il habite derrière le Bataclan et a été blessé vendredi 13 novembre alors qu’il tentait de secourir des blessés qui s’étaient échappés de la salle de concert.

Une balle, certainement tirée depuis une fenêtre, lui a traversé le bras gauche. Vers 3 heures du matin, il a été transporté aux urgences de l’hôpital européen Georges-Pompidou, dans le 15e arrondissement. Il attendait d’être opéré samedi matin, comme une trentaine d’autres victimes évacuées vers l’établissement de santé.

« J’étais en train de travailler chez moi. La télé était allumée, elle diffusait un film dans lequel Jean-Hugues Anglade joue un rôle de flic. J’ai entendu un bruit, comme des pétards, et j’étais persuadé au début que c’était dans le film. Mais le bruit était fort, alors je suis allé à la fenêtre. J’habite au deuxième étage, et mon appartement donne sur les sorties de secours du Bataclan. Parfois, il y a des évacuations un peu agitées, mais là, tout le monde courait de tous les côtés, j’ai vu des mecs par terre, du sang… J’ai compris qu’il y avait quelque chose de sérieux. J’ai demandé ce qui se passait. Tout le monde refluait vers la rue Amelot ou le boulevard Voltaire. Une femme était agrippée à la fenêtre du Bataclan, au deuxième étage. J’ai pensé aux images du 11-Septembre.

Je me suis alors dit que j’allais descendre pour ouvrir aux gens afin qu’ils puissent venir se réfugier. J’ai donc ouvert la porte de l’immeuble. Il y avait un homme allongé sur le trottoir. Avec un autre homme que je n’ai pas revu après, on l’a tiré pour le mettre à l’abri dans le hall. J’ai dû prendre la balle à ce moment-là. Je ne sais plus, j’ai une absence. Mais je me souviens avoir senti comme un pétard qui explosait dans mon bras gauche, et j’ai vu que ça pissait le sang. Je pense que le tireur était à la fenêtre du Bataclan. On est montés chez un couple de voisins au quatrième étage. Le type qu’on a fait rentrer avait une balle dans la jambe. C’est un Américain. Il vomissait, il avait froid, on a cru qu’il allait mourir. On a appelé les pompiers, mais ils ne pouvaient pas nous évacuer. J’ai appelé une copine médecin qui m’a expliqué comment me faire un garrot avec ma chemise. Et on est restés coincés jusqu’à ce que l’assaut soit donné et que le RAID vienne nous chercher. »




VIDÉO. L'attaque du Bataclan filmé par un témoin : « l’horreur absolue »
Source : Le MONDE

VIDÉO. Paris : Il amène son piano au Bataclan pour jouer «Imagine» de John Lennon

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Un homme a installé son piano devant le Bataclan et a rendu un bel hommage aux victimes de l’attentat en interprétant "Imagine" de John Lennon. Un réponse émouvante face aux violences de la nuit dernière.

Instant insolite et émouvant au pied du Bataclan cet après-midi à Paris. Dans l’effervescence et l’effroi vécus par les Parisiens depuis hier soir, un homme est arrivé devant la salle de concert avec son vélo-piano. Il s’est mis à jouer, devant les passants et les caméras présentes sur place.

Et c’est le célèbre morceau pacifiste "Imagine" de John Lennon qu’a choisi d’interpréter le pianiste. En hommage aux victimes des terribles attentats qui ont eu lieu ce vendredi 13, causant la morts de dizaines de personnes, mais aussi pour lancer un appel à la paix.

Selon les journalistes présents sur place, l’homme n’a pas joué très longtemps mais a réussi à émouvoir la foule présente et a surpris cette journaliste de la chaine CNN, en plein duplex devant le Bataclan.



Un homme a installé son piano devant le Bataclan et a rendu un bel hommage aux victimes de l’attentat en interprétant "Imagine" de John Lennon. Un réponse émouvante face aux violences de la nuit dernière.

Victimes algériennes des attentats de Paris : le communiqué de l'Ambassade d'Algérie en France (Actualisé)

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PARIS - Deux ressortissants algériens ont été recensés parmi les 129 morts, victimes des attentats perpétrés vendredi 13 novembre à Paris, a indiqué à l’APS la cellule de crise installée au niveau de l’ambassade d’Algérie en France. Il s'agit d'un Algérien âgé de 29 ans résident à Paris et une dame de 40 ans, a précisé la cellule de crise chargée de suivre les développements de ces événements tragiques en coordination avec les représentations consulaires algériennes en France et des autorités françaises.

Le président Abdelaziz Bouteflika, a exprimé, samedi, sa « profonde indignation » suite aux attentats qui ont visé, la veille, la capitale française, les qualifiant de « véritable crime contre l’humanité », dans un message adressé à son homologue français, François Hollande.

« C’est avec stupeur et profonde indignation que j’ai appris les lâches attentats qui viennent d’être perpétrés à Paris et qui ont causé un lourd bilan en vies humaines. Cette horreur planifiée constitue un véritable crime contre l’humanité », a écrit le président Bouteflika dans son message.

« L’Algérie condamne énergiquement ces crimes terroristes qui attestent encore une fois, malheureusement, que le terrorisme est un fléau transfrontalier », a ajouté le président de la République.

Dans le même contexte, le chef de l’État a affirmé que « ce fléau appelle une réaction solidaire de toute la communauté internationale, sous l’égide des Nations Unies, une réaction qui se doit également d’être lucide


Par ailleurs, près de 24 heures après les attentats terroristes à Paris, Alger garde le silence. Le président Abdelaziz Bouteflika n’a pas encore réagi. Le ministère des Affaires étrangères a installé une cellule de crise.


« Nous n’avons pas de confirmation sur d’éventuelles victimes algériennes dans ces attaques. Les services consulaires ont été instruits pour suivre la situation », affirme une source diplomatique


Victime algérienne des attentat de Paris : le communiqué de l'Ambassade d'Algérie en France

Avec Agences

VIDÉO. Quand Bachar El-Assad parle des attentats de Paris

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Le président syrien Bachar al-Assad, dont la France réclame le départ, s'est démarqué samedi de l'élan général de solidarité après le carnage à Paris, en soutenant que la politique française en Syrie avait contribué à "l'expansion du terrorisme".


Le président français a reconnu, dans une interview au Monde l'existence des livraisons d'armes à l'opposition qu'il qualifie de modérée et non djihadiste. Selon une source officielle cité par ledit journal, plusieurs livraisons ont été effectuées l'an dernier par des voies clandestines. Le matériel comprenait notamment des mitrailleuses de calibre 12.7 mm, des lance-roquettes, des gilets pare-balles, des jumelles de visée nocturne et des moyens de communication, mais aucun « équipement qui aurait pu se retourner contre nous », tels que des explosifs. D'après cet interlocuteur, qui souhaite conserver l'anonymat, ces livraisons sont assez identiques à celles qui sont faites actuellement aux combattants kurdes des peshmergas. « Il s'agit d'armements immédiatement utilisables, qui ne nécessitent ni formation ni maintenance », dit-il.

Par ailleurs, Interviewé dans le 20 heures de France 2, avant quelques mois, le président syrien accuse la France de soutenir les terroristes. «C'est vous qui avez aidé les terroristes (...) Comment peut-on avoir un dialogue avec un pays qui soutient les terroristes? (...) Que le gouvernement français cesse son appui aux terroristes dans mon pays.» Dans un entretien exclusif accordé au Figaro en septembre 2013, le dirigeant syrien avait déjà mis la France en garde. «Dans la mesure où la politique de l'État français est hostile au peuple syrien, cet État sera son ennemi.»


Selon le président syrien, "Les politiques erronées adoptées par les pays occidentaux, notamment la France dans la région ont contribué à l'expansion du terrorisme", a indiqué M. Assad devant une délégation française dirigée par le député Thierry Mariani (opposition). "La France a connu (vendredi) ce que nous vivons en Syrie".

Le conflit en Syrie a été déclenché en mars 2011 par la répression par le régime Assad des manifestations pacifiques réclamant des réformes dans le sillage du Printemps arabe. Ces manifestations ont dégénéré en rébellion armée avant de devenir une guerre civile qui a favorisé l'émergence des jihadistes dont l'EI en 2013.

- "On avait averti" -

Le régime Assad considère pêle-mêle comme "terroristes" tous les rebelles et jihadistes. L'opposition syrienne quant à elle affirme que l'EI a volé sa "révolution" contre M. Assad et que le groupe jihadiste "sert" le régime syrien.


"On avait averti sur ce qui allait se passer en Europe il y a 3 ans, on avait dit ne prenez pas ce qui se passe en Syrie à la légère. Malheureusement les responsables européens n'ont pas écouté", a dit M. Assad samedi.




Vidéo du moment d'arrivée des terroristes au Bataclan (Paris) : Une centaine de victimes

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Phyllie, 37 ans et Damien, 43 ans, étaient au Bataclan vendredi soir. Ils ont échappé aux terroristes en se cachant, avec d’autres, dans un petit réduit situé à droite de la scène.

« Nous étions à droite de la scène, sur le côté, pas dans la fosse. Le concert avait super bien démarré, l’ambiance était très joyeuse, certains se faisaient porter par la foule. Le chanteur du groupe a même dit à un moment : ‘vous êtes le meilleur public qu’on ait eu depuis longtemps !’ Et puis soudain, on a entendu un bruit de pétards. On a d’abord cru que cela faisait partie du show. Mais non. On a vu les kalachnikovs et là, on a compris que c’était bien réel, que ce n’était pas des balles à blanc.
En quelques secondes, on est passé de la fête à l’enfer. Tout le monde s’est allongé par terre, en essayant de rester silencieux. Et chaque fois que quelqu’un bougeait ou tentait de fuir, ils tiraient, notamment sur ceux qui voulaient partir par la gauche du bâtiment. Nous, on était coincés à droite. A un moment, on a vu qu’ils montaient à l’étage et on en a profité pour se glisser dans un petit renfoncement entre la scène et la salle, une sorte de cagibi, avec des portes, nous étions une vingtaine. Pour ce qu’on a pu en voir, les terroristes étaient habillés normalement, à visage découvert, ils ne cachaient rien. A un moment, on les a entendus crier ‘Allahou akbar’. On a essayé de sa barricader dans ce petit réduit, en coinçant la porte avec une planche à repasser qui se trouvait là. Mais on ne pouvait pas s’enfuir



On était piégés. Il y avait beaucoup de tension. Tout le monde avait très peur. Moi (Phyllie), j’ai appelé mon ex pour lui dire d’embrasser les enfants, parce que je ne savais pas si on allait s’en sortir. Entre 22 heures et l’intervention de la police, vers minuit et demi, ça a été vraiment très long, interminable même. Il y avait avec nous dans le cagibi une personne qui saignait beaucoup, qui avait un garrot, je ne sais pas si elle est encore en vie aujourd’hui. Dans la salle, il y a tellement de gens qui ont été blessés par balle et qui sont peut-être morts d’hémorragie pendant tout ce temps. Je (Phyllie) ne comprends pas pourquoi l’intervention a mis autant de temps à se faire. Qu’est-ce qui pouvait être pire que ce qui s’est passé ?
On peut penser que les terroristes n’avaient pas tant de munitions que cela. Parce que la fusillade a été très nourrie au début, mais après, c’était beaucoup plus espacé. Et ce n’étaient plus des rafales, mais des coups de feu distincts, l’un après l’autre. Puis il y a eu une, ou plusieurs explosions, on ne sait plus, on a appris après que c’était les terroristes qui s’étaient fait sauter. On n’a pas tout de suite compris que la police était intervenue, on a surtout entendu beaucoup de cris, on ne savait pas trop quoi faire.

On a attendu le dernier moment, pour être bien sûr qu’il s’agissait de la police. On est sortis les mains en l’air, et là, on a vu un vrai carnage, une horreur indescriptible. Les policiers nous disaient : ‘ne regardez pas par terre !’ Mais ce n’était pas possible. On marchait dans le sang, il y avait des bouts de chairs, on a du enjamber des corps, d’autant qu’il fallait sortir par le chemin qu’ont emprunté les terroristes en arrivant dans la salle. Même les policiers semblaient dépassés. Et cela aurait pu être pire encore : si les terroristes avaient eu plus de munitions et avaient été plus systématiques, plus méthodiques, on ne serait plus là pour raconter tout ça. Ils auraient fait un carnage encore plus terrible.

Aujourd’hui (samedi), quelques heures après ce drame, on est envahi de plein d’émotions différentes: la rage, la tristesse infinie, l’effroi… On a parlé avec nos familles, et puis on est partis se promener, parce qu’on ne voulait pas rester confinés chez nous. Voir tout ce déferlement médiatique, l’ampleur de l’émotion mondiale, nous ramène sans cesse à ce qu’on a vécu et ce n’est pas évident à gérer. On vit une sorte de décalage. D’autant qu’on n’a pas été pris en charge à la sortie, c’était le chaos total. Tout le monde nous dit qu’on a de la chance d’être en vie. C’est vrai. Mais là, dans nos têtes, on est encore au Bataclan, et c’est très dur. »
Propos recueillis par Alexandre Fache



Avec humanite.fr

VIDÉO. Le coups de gueule du ministre de la santé :« Arrêtez de prendre les malades en otages»

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Le ministre de la Santé, de la population et de la réforme hospitalière, Abdelmalek Boudiaf, a mis l’accent, samedi à Sétif, sur "la nécessité de promouvoir la santé de proximité dans le cadre de la nouvelle approche de gestion des hôpitaux".

La santé de proximité est le "point focal" de la stratégie sanitaire du pays, a précisé M. Boudiaf lors d’une visite effectuée dans cette wilaya, soulignant que la promotion de la santé de proximité contribuera "à alléger la pression sur les centres hospitalo-universitaires (CHU) et permettra à ces structures de santé de se concentrer sur leur mission principale, celle de la formation, de la recherche scientifique et des soins de haut niveau".

Le ministre a instruit les cadres de son secteur à œuvrer à "concrétiser les nouvelles orientations" avant de donner un délai "jusqu’au mois de mars 2016" pour "réactiver" le rôle des salles de soins et d’autres structures de proximité du secteur de la santé.

Au cours de la mise en exploitation d’un équipement IRM (imagerie par résonance magnétique et d’un scanner au centre anti-cancer (CAC) d’El Bez, M. Boudiaf a insisté sur l’importance de "réduire le délai" des rendez-vous donnés aux malades et souligné que "tous les moyens ont été mobilisés pour une meilleure prise en charge des malades atteints d’un cancer".

Les deux nouveaux équipements du CAC d’ El Bez ont nécessité un investissement public de 200 millions de dinars, selon, selon le directeur de cette structure, Salim Rekam, qui a déclaré que sept (7) praticiens de ce service ont suivi une formation assurée par le fournisseur des équipements.

Le ministre a par ailleurs réitéré son refus de la "double fonction" pour les praticiens, précisant que c’est aux médecins de choisir le secteur dans lequel ils veulent évoluer, les patients ne devant en aucun cas être pris en otages de situations ambigües.

Au cours de sa visite dans la capitale des Hauts-plateaux, M. Boudiaf qui avait entamé sa tournée par l’inauguration du village "Changing diabètes" sur l’esplanade de la maison de la culture de Sétif, a mis en exploitation, à la cité Bel-Air, une unité de dépistage du diabète, la première du genre à l’échelle nationale.



Le ministre a aussi présidé, au CHU Saâdna-Abdenour, la mise en exploitation des services de médecine légale, d’anatomie-pathologie (avec de nouveaux laboratoires répondants aux normes internationales), ainsi que le service d’histologie et cytogénétique.

M. Boudiaf a également inspecté la polyclinique du quartier Lehchama, au nord-est de la ville de Sétif, où il s’est enquis du fonctionnement de cette structure de santé.




VIDÉO. Le coups de gueule du ministre de la santé :« Arrêtez de prendre les malades en otages»

VIDÉO. Le juge antiterroriste Marc Trévidic : «Il faut s'attendre à d'autres attaques d'envergure»

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Début octobre, Marc Trévidic, ancien juge du pôle antiterroriste de Paris, prévenait: "le pire est devant nous". Il expliquait dans un entretien à Paris Match , que "la menace est à un niveau maximal, jamais atteint jusqu'alors".

Au lendemain des attentats qui ont endeuillé Paris, il explique que "ce n'est pas parce qu'on sait qu'on va nous frapper qu'on a les moyens de l'éviter". "La menace a changé de nature et explosé", analyse-t-il.

Contrairement aux attentats à la bombe qui avaient frappés la France dans le passé, il décrit un mode opératoire nouveau avec des kamikazes et armes de poing terriblement plus efficace. "La simplicité il y a rien de mieux en matière de terrorisme", analyse-t-il. Le vice-président du tribunal de grande instance de Lille estime que l'Etat islamique - ne manquant pas de volontaires - peut se permettre de les faire mourir contrairement à Al-Qaïda.




Une opération préparée depuis plusieurs mois


Marc Trévidic pense que les assaillants qui ont commis des attentats à Paris vendredi soir "préparaient certainement ça depuis 4 ou 5 mois". Il estime que ces attaques nécessitaient en effet plus de préparations que les dernières qui ont frappé la France. Il juge que les kamikazes "sont assez professionnels pour revenir de Syrie ou d'Irak" et que c'est l'Etat-major de l'Etat islamique qui a tout programmé.

Celui qui a déjà démantelé un réseau de djihadistes et en a vu défiler bon nombre dans son bureau imagine qu'il y a plusieurs Français parmi les kamikazes et que les étrangers étaient des encadrants. "Ils connaissent la France par cœur", remarque-t-il.

S'il rappelle qu'au sens juridique la France n'est pas en guerre, il s'oppose à toute "pudeur" et qualifie l'état actuel de "guerre en temps de paix". Il estime qu'on a passé avec ces attaques "un cap": "Le terrorisme c'est quelquechose qui va toujours plus haut", rappelle-t-il.



VIDÉO. Le juge Marc Trévidic antiterroriste : «Il faut s'attendre à pire que ça dans l'avenir»

Avec BFMTV

VIDÉO. Deux victimes algériennes des attentats de Paris : Un Kabyle propriétaire d'un restaurant attaqué

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La série d'attentats terroristes qui ont secoué la capitale française vendredi soir ont coûté la vie à 129 victimes dont Deux Algériens selon l’ambassade d’Algérie en France, il s’agit d’un Algérien âgé de 29 ans résidant à Paris, et d’une femme quadragénaire. Parmi les restaurants attaqués figure le Cosa Nostra qui appartient à un jeune algérien originaire de Béjaïa a t-on appris de TSA.



VIDÉO. Deux victimes algériennes des attentats de Paris : Un Kabyle propriétaire d'un restaurant attaqué


Un des Kamikaze de Paris, Ismaël Omar Mostefaï était en Algérie

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Âgé de 29 ans – il est né le 21 novembre 1985 – il a été formellement identifiée par le « relevé de ses empreintes papillaires« , à partir d’un doigt retrouvé dans les décombres de la salle de spectacle parisienne, a affirmé samedi soir le procureur de Paris François Molins. Né à Courcouronnes, dans l’Essonne en banlieue parisienne, il n’est connu que pour des petits délits: son casier judiciaire fait mention de huit condamnations entre 2004 et 2010, sans aucune incarcération.

Un doigt sectionné a suffi à l’identifier: le preneur d’otage français qui a fait exploser vendredi soir sa ceinture d’explosif après avoir tiré sur le public d’un concert au Bataclan était un petit délinquant de droit commun.

Il « a fait l’objet en 2010 d’une fiche S pour radicalisation« , mais « n’a par contre jamais été impliqué dans un dossier de filière ou d’association de malfaiteurs terroriste« , a souligné le procureur.

Selon une source proche de l’enquête, Omar Ismaïl Mostefaï fréquentait assidument la mosquée de Lucé, en Eure-et-Loir.

Les enquêteurs tentent par ailleurs de confirmer que le kamikaze a bien séjourné en Syrie en 2014, ont affirmé des sources policières.

Son père et son frère ont été placés en garde à vue samedi soir et leurs domiciles, à Romilly-sur-Seine (Aube) pour le premier et à Bondoufle (Essonne) pour le second, ont été perquisitionnés.

‘Il est parti au bled’


Le frère, âgé de 34 ans, s’est présenté de lui-même à l’hôtel de police de Créteil dans la soirée. Il est tombé des nues en apprenant que son cadet était impliqué dans les attentats de vendredi soir, notamment dans la prise d’otage du Bataclan, où il a causé la mort, avec au moins deux autres kamikazes, d’au moins 89 personnes.

« C’est un truc de fou, c’est du délire…« , avait-il réagi samedi avant sa garde à vue auprès de l’AFP, la voix tremblante. « Moi, hier, j’y étais sur Paris et j’ai vu comment c’était la merde! »
Il confirme que son frère est né à Courcouronnes et qu’il « a eu des affaires avec la justice » dans le passé, « des gardes à vues, des trucs comme ça… »

Bien qu’il ait coupé les ponts avec lui depuis plusieurs années, à cause d’ »histoires de famille« , il ne l’imaginait pas s’être radicalisé.
« Il est parti au bled« , en Algérie, avec sa famille et « sa petite fille« , affirme-t-il. « Ça fait un moment que je n’ai plus de nouvelles (…) Je n’ai pas son numéro au bled, moi… »

Ce père de famille aux yeux clairs, qui vit dans un modeste pavillon, ne voit pas non plus ses deux autres frères. Il ajoute que deux soeurs complètent la fratrie.

« J’ai appelé ma mère, elle a l’air de rien savoir« , assurait-il samedi en début de soirée.« C’est quoi le rapport avec nous? On est en froid depuis des années! », s’est pour sa part interrogé la femme du frère, en pleurs, qui a également été interpellée samedi soir, selon une source proche de l’enquête. « J’espère qu’on va être tranquille. Nous, on a une petite vie tranquille et là ça commence à m’inquiéter... »


VIDÉO. Nouvelles images difficiles de l'attaque du Bataclans

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De nouvelles images ont émergé après les attaques qui ont fait 129 morts vendredi 13 novembre à Paris. En particulier concernant la fusillade qui a éclaté dans la salle du Bataclan ce soir-là.

Comme le montre la vidéo du Huffington post au-dessous de l'article, elles montrent notamment les premiers coups de feu tirés pendant le concert des "Eagles of Death Metal". Alors que ce que le public a pris pour des pétards dans un premier temps retentit, on voit l'un des musiciens se précipiter vers les loges alors que son compagnon guitariste semble paralysé par l'incompréhension.

Les images, entre autres celles de Paris Match, montrent également les échanges de tirs entre terroristes et forces de l'ordre qui ont suivi autour de la salle de spectacle.



VIDÉO. Nouvelles images difficiles de l'attaque du Bataclans



VIDÉO. Dominique de Villepin :« Nous avons, en grande partie, enfanté Daech (Etat Islamique)

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L'ex-Premier ministre Dominique de Villepin a récusé dimanche, à contre-courant d'une grande partie de la classe politique française, l'idée "d'être en guerre" car "c'est faire le jeu de l'ennemi" et risque de "pousser le pays à la guerre civile".

"On ne fait pas la guerre aux terroristes", "parce que je ne veux pas faire le jeu de l'ennemi", a-t-il affirmé, alors que le Premier ministre Manuel Valls et l'opposition utilisent abondamment ce terme depuis les attentats de vendredi soir.

"Le piège qui nous est tendu c'est l'idée que nous devons faire la guerre", a-t-il prévenu lors du Grand Jury RTL/Le Figaro/LCI. "Une guerre ce sont deux Etats et deux armées qui se confrontent", a-t-il justifié et "nous légitimons à travers cette idée de guerre qu'ils sont en guerre, qu'ils ont des objectifs de guerre". "Cette approche n'est pas la bonne", a-t-il ajouté.

"Ils veulent nous diviser et pousser notre pays à la guerre civile", a-t-il argumenté. Ce n'est pas "parce qu'une bande d'assassins fanatiques vous déclare la guerre que vous tombez dans le piège de la surenchère".

"Ces attentats sont en grande partie liés à un processus historique qui s'est accru avec les interventions en Afghanistan, en Irak, en Libye, et ailleurs et qui ont toutes rajouté de l'huile sur le feu", a-t-il analysé.

"Tirons les leçons de l'expérience: les choses n'ont fait que s'aggraver en 10 ans, les choses sont pires en Libye, en Afghanistan, en Irak", a-t-il lancé, lui qui lorsqu'il était ministre des Affaires étrangères s'était prononcé en 2003 contre la guerre en Irak.

"Quelle est le sens de la guerre totale? On va aller jusqu'au bout pour détruire une organisation terroriste. Cette organisation a toute les chances, à partir de là, parce que nous allons mobiliser une partie des opinions publiques et des peuples au Moyen-Orient contre nous d'accroitre une contamination encore plus grande", a-t-il mis en garde.

Sur la Syrie, il ne demande "pas le retrait", "même si j'ai la conviction que ce n'est pas la bonne solution, c'est le choix qui a été fait je le respecte". "La priorité, c'est éliminer Daesh" et pour ce faire "discuter avec le régime de Bachar (al-Assad) (...)".

Il a qualifié de "sage" la décision de François Hollande de décréter l'état d'urgence.






AFP

VIDÉO. Échauffourées dans une manifestation Anti-Islam en France

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L'arrivée d'une quinzaine de militants d'extrême droite à un rassemblement de 500 personnes samedi à Lille en hommage aux victimes des attentats de Paris a créé des tensions les obligeant à quitter les lieux, a constaté une journaliste de l'AFP.


Tandis que le rassemblement, organisé par la Ligue des droits de l'homme (LDH) et qui devait être silencieux, se déroulait dans le calme dans le centre de Lille vers 15H00, une quinzaine de personnes portant des drapeaux tricolores, identifiées par la LDH comme appartenant au Front national, ont scandé: «Expulsons les islamistes» et fait éclater des pétards.

Plusieurs manifestants les ont alors repoussés, en criant «Dehors les fachos», et les ont hués, avant qu'une quinzaine de CRS s'interposent en formant un cordon de sécurité, selon la journaliste de l'AFP. La tension a été vive durant quelques minutes.

Devant l'hostilité à leur présence, les militants d'extrême droite ont ensuite quitté le rassemblement en criant «islamistes expulsion» et se sont engagés dans une rue commerçante attenante.


La mairie de Lille, dirigée par Martine Aubry (PS), avait un peu plus tôt rappelé sur Twitter les instructions de l'Etat appelant à «reporter tous les rassemblements dans l'immédiat» suite aux attentats de Paris.




L'an berbère «Yennayer» classé comme patrimoine culturel immatériel par l'UNESCO ?

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Le Haut Commissariat de l'Amazighité (HCA) oeuvre pour la classification de Yennayer, l'an Amazigh (Berbère) comme patrimoine culturel immatériel par l'Organisation des Nations unies pour l'éducation, la science et la culture (UNESCO) selon Si El-Hachemi Assad secrétaire général du HCA.

Dans cette optique, le secrétaire général du HCA a révélé lors de son passage au forum du journal El Djamahiria à Oran, qu'une réunion a déjà eu lieu avec la commission locale de l'UNESCO à Alger et une autre prévue pour le 21 novembre pour préparer le dossier en collaboration avec le ministère de l'éducation afin de le déposer au prêt de l'UNESCO à Paris (France).


Selon Si El-Hachemi Assad, dont les propos ont été rapportés par le quotidien El Khabar, le HCA travaille en parallèle pour la reconnaissance de Yennayer comme une fête nationale comme les autres dates historiques et cultuelles, tout en rappelant que ça serait un acte officiel qui cimenterait la société algérienne.

Le secrétaire général du HCA a annoncé que la prochaine célébration de Yennayer aura lieu à Setif, où il aura lieu l'annonce d'un clavier informatique de Tamazight.






Une statue pour le roi Massinissa à Alger

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Le roi amazigh, unificateur de la Numidie, Masensen (Massinissa) sera immortalisé par une statue à la capitale algérienne. En effet, c'est secrétaire général du Haut Commissariat de l'Amazighité Si Lhachemi Assad qui a annoncé l'information lors de son passage au Forum du journal El Djamahiria.

Le secrétaire général du HCA a révélé aussi que la statue sera érigée à la place Fouara au centre d'Alger, un choix fait par le Wali, le maire d'El Mouhamadia et le HCA, et son inauguration aura lieu durant l'année prochaine (2016). Tandis qu'une commission a été installée pour évaluer les propositions des artistes, pour choisir une statue à la fin du concours dont les résultats seront divulgués à l'occasion de la célébration du nouvel an Berbère 2966 à sétif, a rapporté El Bilad.



Par ailleurs, Le Haut Commissariat de l'Amazighité (HCA) oeuvre pour la classification de Yennayer, l'an Amazigh (Berbère) comme patrimoine culturel immatériel par l'Organisation des Nations unies pour l'éducation, la science et la culture (UNESCO) selon Si El-Hachemi Assad secrétaire général du HCA.

Lire plus : L'an berbère «Yennayer» classé comme patrimoine culturel immatériel par l'UNESCO ?


Louisa Hanoune révèle des «confidences» du président Bouteflika !

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Louisa Hannoune est revenue à l'occasion de la conférence de presse qu'elle a organisé avec trois autres signataires de la demande d'audience à Bouteflika au siège de son parti à El Harrach à Alger. Accompagnée de Zohra Drif-Bitat, Lakhdar Bouregaâ, Abdelkader Guerroudj et Louisa Hanoune, le groupe des «16» affirme qu’il poursuivra sa démarche et qu’il attendra encore quelques jours avant de passer à la prochaine étape, dans le cas où le chef de l’Etat ne réponde pas- favorablement ou défavorablement- à leur demande d’audience.

La patronne du parti des travailleurs a jeté aujourd’hui un véritable pavé dans la mare à propos de l’attitude du président de la république. Dans ses commentaires au sujet de l’initiative des «19», elle s’est laissée aller à une «confidence» que lui aurait faite le président Bouteflika un jour qu’il l’a reçue en audience.«Le président m’avait déjà dit : «ils me mentent ! Ils me ramènent de faux rapports », a-t-elle lâché devant des journalistes étonnés, rapporte Algérie1. C’est ce qui a amené Louisa Hanoune à douter même des moutures des projets de lois qui atterrissent sur le bureau de l’APN. «On se demande si les projets qui arrivent au Parlement sont ceux qui ont été signés par le président de la République» selon la même source.


Par ailleurs, Louisa Hanoune dénonce les tentatives de « criminalisation de la pratique politique ». « Est-il interdit de donner son avis sauf pour les courtisans et la clientèle ? C’est une dérive grave. Même sous le parti unique, on pouvait organiser des activités », a-t-elle déploré. Pour elle, la réaction des patrons du FLN et du RND révèle une certaine panique. « Ils ont peur que le Président sache », a-t-elle lancé.

Louisa Hanoune révèle des «confidences» du président Bouteflika !


Selon le DailyMail, l'aéroport d'Alger est un aéroport à risque très élevé

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Selon le Daily Mail, l'aéroport d'Alger est l'un des aéroports où la menace terroriste est la plus présente, en se référant au "Foreign Office" qui a publié une carte des aéroport à risque.

Avec l'aéroport de Tunis-Carthage, Marrakech au Maroc, de Sharm-El-Sheikh en Égypte, de Jeddah et du Riyadh en Arabie saoudite, d'Istanbul en Turquie, et de Dhaka au Bangladesh, l'aéroport d'Alger est l'un des plus dangereux déconseillé pour les voyageurs et les touristes selon le média britanique.

Selon le "Daily mail", cette liste a été actualisée après le crash d'un avion russe dans le désert du Sinaï, acte revendiqué par l'État Islamique. Le secrétaire d'État aux Affaires Étrangères britanniques, Philip Hammond a expressément demandé aux pays où l'Etat Islamique est actif, de mieux contrôler leurs aéroports.

Selon le DailyMail, l'aéroport d'Alger est un aéroport à risque très élevé

Tizi Ouzou : les bénéficiaires d'ANSEJ-CNAC-ANJEM menacent de bloquer toutes les villes de la wilaya

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Le collectif d'appui à la microentreprise ANSEJ-CNAC-ANJEM Tizi-Ouzou menace de descendre à  la rue. En effet dans un communiqué rendu publique dont Kabylie-News détient une copie le collectif se dit avoir épuisé toutes les options avant de recourir à cette option pour faire entendre sa voix.

Le CAM TIZI OUZOU met en garde contre "les conséquences désastreuses de  la politique d'austérité menée par le gouvernement contre des centaines de milliers de promoteurs en difficulté, chose qui va répercuter négativement sur la stabilité sociale, économique et politique du pays "

Selon le communiqué envoyé à notre rédaction, le collectif en question revendique l'arrêt immédiat des poursuites judiciaires contre les promoteurs en difficulté et leur attribuer une période de différé, prolongation des délais de remboursement et suppression des taux d'intérêts ainsi que les pénalités, instauration d'un environnement favorable au travail, Exonération totale d'impôts et accès au foncier.

Dans cette optique  le CAM TIZI OUZOU à réuni les délégués de 67 communes de la wilaya ce 13 novembre à Azazga, où il a été décidé selon le communiqué d'organiser une marche escargot de Oued Aissi  jusqu'à Tadmaitvia l'autoroute le 23 novembre prochain,  dans l'espoir de faire réagir les autorités, mais dans le cas contraire le collectif menace de bloquer toutes les villes de la wilaya avec leurs  matériels, rajoute le communiqué.


VIDÉO. Nouria Benghebrit en larmes devant un enfant

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La ministre de l'éducation nationale émue devant un enfant autiste qui récite un poème.La vidéo de Mme. Nouria Benghebrit en larmes fait le tour du web algérien et largement diffusée sur les réseaux sociaux.



VIDÉO. Alger : Un travesti agressé physiquement et verbalement par la foule

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La vidéo de l'agression est devenue virale et la scène suscite une polémique qui enfle entre les pour (malheureusement)et les contre sur les réseaux sociaux. En effet, selon un média électronique algérien Il s’agit d’un travesti roué de coups et presque lynché par une foule déchaînée. La scène se déroule, vraisemblablement, à Alger. L’accent des acteurs de cette vidéo est algérois. Et l’on aperçoit clairement un véhicule immatriculé à Alger.





الاعتداء على شخص متشبه بالنساء
#الجزائرالاعتداء بالضرب على متشبه بالنساء #مخنث
Posté par Chnana TV sur dimanche 15 novembre 2015

VIDÉO. François Hollande : « La France est en guerre ! »

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François Hollande s'est exprimé face aux députés et aux sénateurs réunis en Congrès, lundi 16 novembre, depuis Versailles, près les attentats à Paris, qui ont fait 129 morts. En effet, le président français est revenu sur le courage des forces de l'ordre et des soignants lors des tragiques événements de vendredi 13 novembre. « Notre système de santé et de secours s'était préparé à une telle situation d'urgence, il a été remarquable », a loué François Hollande. « Je veux rendre hommage également aux forces de l'ordre, pleinement engagées pour assurer la sécurité des Français ».

« J'appelle tous les Français à faire une nouvelle fois la preuve de leurs vertus : la persévérance, l'unité et le sang-froid », a-t-il poursuivi, louant un « peuple français ardent, vaillant, qui ne se décourage jamais ». « La République est toujours là, bien vivante ».

François Hollande a annoncé la création de 5 000 emplois supplémentaires dans la police et la gendarmerie et de 2 500 dans la justice. Le Parlement sera saisi dès mercredi 18 novembre d'un projet de loi prolongeant l'état d'urgence pour trois mois, et la déchéance de la nationalité sera possible pour les citoyens binationaux.

Le président français a aussi évoque une évolution de la Constitution pour agir contre « le terrorisme de guerre », rappelant que la France est « en guerre contre le terrorisme djihadiste qui menace le monde entier ».





VIDÉO. François Hollande : « La France est en guerre ! »

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