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VIDÉO. Nous révèlerons des choses graves et dangereuses à Bouteflika : Khalida Toumi répond à Abdelmalek Sellal, Saâdani et Ouyahia

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Khalida Toumi, Ancien ministre de la Communication et de la Culture, signataire de la lettre de demande d'audience à Bouteflika hausse le ton et accuse l'entourage du président Bouteflika de confisquer la parole de ce dérnier et détourner son courrier. Cependant elle affiche son respect au premier ministre «Pour son poste» tout en rappelant que le Groupe des 19 n'a pas demandé audience à lui et ils ne s'attendait pas à une réponse de sa part.

Khalida Toumi se dit respectueuse, elle et les signataires des institutions de l'Etat et ne remettent pas en cause la légitimité du président ni les élections «Nous sommes très respectueux du pays, des institutions de la République, du Président et du peuple algérien. Dans le même temps, nous sommes mus par un souci citoyen et patriotique ; ce qui nous met en devoir et en droit d’alerter le Président lorsque justement les institutions de l’État, l’Algérie et son indépendance sont menacées.»


Répondant à Ouyahia et Saidani «Eux aussi, à travers leur réaction, ont accaparé le courrier et la parole du président Abdelaziz Bouteflika. Mais c’est surtout l’attitude de monsieur le directeur de cabinet de la présidence de la République qui m’a choqué. Outre le fait que le courrier ne lui était pas adressé, il a porté des jugements sur les signataires de la demande d’audience. Je cite et je reprends le propos de Mme Zohra Drif-Bitat, pour dire que c’est un comportement pour le moins “indigne”. Peut-on seulement penser manipuler les moujahids Abdelkader Guerroudj, Mustapha Fettal, Mohamed Lamkami et Zohra Drif-Bitat.» avant de commenter le silence du président « Nous avons, dès le départ, expliqué que nous allons prendre le temps d’attendre quelques jours. Nous savions que le Président a un calendrier très chargé pour nous répondre tout de suite. Ce pourquoi nous préférons patienter encore un peu.».

Selon Khalida Toumi «C’est justement parce que les faits sont graves que nous ne pouvons les porter qu’à la personne du Président. Cependant, je peux vous dire que les institutions de la République sont menacées de disparition.».



VIDÉO. Nous révèlerons des choses graves et dangereuses à Bouteflika : Khalida Toumi répond à Abdelmalek Sellal, Saâdani et Ouyahia


Atteinte à la sûreté de l'Etat : Un commissaire principal en prison, six officiers sous contrôle judiciaire

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Un commissaire principal, chef de l'Unité républicaine d'intervention rapide de la sûreté nationale, a été placé sous mandat de dépôt par le juge d'instruction. Six autres officiers dont deux commissaires ont été placés sous contrôle judiciaire pour des chefs d'accusation "d'atteinte à la sûreté de l'Etat, divulgation de secret d'Etat et d'incitation à émeutes" selon le quotidien arabophone El Khabar.

Les poursuites engagées contre ces officiers, souligne El Khabar, sont liées aux manifestations de rues organisées à Alger le 13 octobre 2014, par des éléments relevant de leur autorité. En effet, Des manifestations sans précédent où des policiers après un passage par le Palais du Gouvernement ont fini par camper aux abords de la présidence de la République. La contestation s'était étendue à d'autres wilayas dont Oran et Constantine.

Les officiers de police dont certains sont déjà en retraite, indique El Khabar, ont été présentés le 8 novembre devant le procureur près la cour de Mostaganem avant d'être entendus par le juge d'instruction.

El Khabar cite des "sources sûres" qui affirment que les "premiers agents des unités républicaines à avoir déposé les armes et être sortis dans les rues relèvent de l'unité de Mostaganem. Ces éléments qui avaient passé trois mois à Ghardaïa ont été transférés au Hamiz (Alger) sans bénéficier de congés pour rendre visite aux leurs. Leur grogne s’est étendue aux unités qui étaient basées à cette époque à Alger".

Pour rappel, les policiers avaient marché du Hamiz vers Alger et se sont rassemblés devant le Palais du gouvernement puis devant le siège de la présidence de la République. Outre des revendications socio-professionnelles, les policiers en colère avaient réclamé le départ du patron de la police, le général Abdelghani El Hamel.

Atteinte à la sûreté de l'Etat : Un commissaire principal en prison, six officiers sous contrôle judiciaire

Avec des «tarifs bas» : Air Méditerranée à l’assaut des aéroports algériens

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La compagnie aérienne Air Méditerranée poursuit son déploiement en Algérie et ouvrira des vols réguliers durant l’été 2016 vers plusieurs destinations. En effet, la compagnie a annoncé avant-hier, dans un communiqué, que ce programme d’été comprendra un total de douze destinations dans sept pays, desservies au départ de six grandes villes françaises. Ainsi, Air Méditerranée desservira les aéroports d’Alger, Chlef et Oran.


La compagnie française, spécialisée dans le transport aérien dans le pourtour méditerranéen, indique que la vente des billets est ouverte dans tous les points de vente et sur son site internet. Les tarifs affichés s’entendent toutes taxes comprises, frais de dossier inclus et bagages inclus (dans la limite de la franchise autorisée).


Air Méditerranée rappelle qu’elle « propose des tarifs de base étudiés au plus juste, et des services complémentaires, afin que le passager puisse dessiner le voyage qui lui correspond et le personnaliser en fonction de ses besoins et de ses envies », rapporte le JI.


Sur ses vols les plus courts, la compagnie offre la possibilité d’acheter une collation à bord, ce qui permet de ne payer que ce qui est effectivement consommé, et de réduire d’autant le prix du billet de base.


Les services Premiums offrent aux passagers le choix du voyage à la carte : Premium Seating donne accès à la réservation de sièges dans l’avion, Service Kilos Supplémentaires permet la réservation d’excédents bagages, d’équipements sportifs et de bagages spéciaux, Premium Check-in donne un accès prioritaire à l’enregistrement, Premium Boarding donne un accès prioritaire à l’embarquement, et enfin la réservation pour les animaux de compagnie.


Pour rappel, la compagnie aérienne française, basée à Toulouse, a dévoilé en février 2015 son programme de vols réguliers entre les deux pays et a annoncé plus de quinze vols hebdomadaires pour renforcer son offre pour l’été 2015.


La compagnie a révélé à cette occasion que « les tarifs au départ de l’Algérie vers Paris-CDG sont proposés à partir de 18 500 dinars en aller-retour, toutes taxes comprises, frais de dossier inclus et bagages inclus jusqu’à 25 kg en soute ».


Concernant la desserte de l’aéroport de Marseille, Air Méditerranée a indiqué que les tarifs sont proposés à partir de 12 000 dinars en aller-retour, toutes taxes comprises, frais de dossier inclus et bagages inclus jusqu’à 25 kg en soute. La compagnie estime qu’en proposant des liaisons aériennes régulières à des tarifs très compétitifs, elle contribue activement aux échanges touristiques et économiques entre l’Algérie et la France.


Elle permet également de « faciliter le rapprochement entre les personnes en rendant accessibles les voyages pour motifs personnels, familiaux ou amicaux ». A propos des tarifs, elle tient à noter qu’elle propose des tarifs low cost.


Ce sont des « tarifs de base étudiés au plus juste, et des services complémentaires, afin que le passager puisse dessiner le voyage qui lui correspond et le personnaliser en fonction de ses besoins et de ses envies ».


Air Méditerranée, dans le cadre du développement de son programme de vols réguliers, a entamé des discussions avec des partenaires financiers. Une démarche visant à renforcer sa position et lui permettant de continuer d’étoffer son réseau de vols réguliers. La compagnie s’est engagée depuis trois ans dans une stratégie dynamique d’adaptation au marché, en repositionnant son activité de compagnie charter vers une activité de compagnie régulière.


Il convient de noter qu’Air Méditerranée, créée en 1997, est spécialisée dans la desserte du bassin méditerranéen. Elle effectue des vols pour les particuliers et des vols pour les principaux tour-opérateurs et agences de voyages français et européens. Dans le cadre de sa stratégie visant à s’adapter au marché, la compagnie se dirige vers l’ouverture de son capital.


Par ailleurs, des sources médiatiques françaises proches des milieux des affaires ont annoncé que le patron du groupe privé ETRHB « planche sur une prise de participation » dans la compagnie française. La publication ajoute que l’entrepreneur algérien aurait demandé à un cabinet d’audit d’expertiser les comptes d’Air Méditerranée, « en vue d’une entrée dans son capital à hauteur de 49% ».




VIDÉO. Condamné par contumace à 10 ans de prison ferme : Salah Moulay, propriétaire d’El Waad Essadek arrêté à Alger

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L’ex gérant de la Sarl El Waad El Sadek, Salah Moulay a été condamné, le 28 juillet, par contumace par le tribunal de Sour El Ghozlane à 10 ans de prison ferme assortie d’une amende de 20 millions de centimes et arrêté hier à Alger, mardi 10 novembre, dans la commune d’El Marsa à Alger.

Ce même tribunal qui a jugé l’affaire de la Sarl El Waad Sadek, a aussi prononcé des peines de prison ferme dont certaines par contumace allant de 3 à 7 ans contre 25 acolytes de Salah Moulay. Ces 25 accusés, dont 6 étaient présents à la barre hier, ont écopés d’amendes allant de 12 à 20 millions de centimes. Dans son verdict, le tribunal a situé les taux de dédommagements des créanciers à hauteur de 30 à 40 %. Dans cette affaire, les accusés étaient poursuivis pour les chefs d’inculpation de «constitution d’association de malfaiteurs et «d’escroquerie».



Au total, ce ne sont pas moins de 300 clients, victimes d’escroquerie qui se sont constitués partie civile dans son procès. Pour rappel, le 14 juillet dernier à l’ouverture du procès de cette affaire de vaste escroquerie, le représentant du ministère public près du tribunal de Sour El Ghozlane a requis une peine de 10 ans de prison ferme et 400.000 dinars d’amende contre Salah Moulay, un des principaux accusés, et 7 ans de prison ferme et 400.000 da d’amendes contre 6 autres accusés.

Il est utile de signaler, également, que Salah Moulay a fait l’objet de nombreuses condamnations par contumace et de mandats d’arrêts. Entre 2013 et 2014, la Sarl El Waad Sadek a, pour rappel, mis en place un business juteux de vente et d’achats de véhicules neufs et d’occasions. Des milliers de clients venus de toutes les régions du pays pour acheter des véhicules à prix bas mais aussi pour vendre à un prix fort.


Le président Bouteflika serait en France (Journal)

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Le président de la République aurait été évacué, hier, vers la France. Selon Impact24 en se référant à «ses sources», Abdelaziz Bouteflika a embarqué à bord d’un avion médicalisé à partir de l’aéroport militaire de Boufarik.

Les «sources» citées par ledit journal électronique réputé comme proche du candidat malheureux à l'élection présidentiel d'Avril 2014, Ali Benflis, ne précisent pas si c’est une évacuation d’urgence ou un contrôle médical.

Le 13 novembre 2014, Abdelaziz Bouteflika avait fait un séjour de 48h à la clinique de Grenoble pour, « officiellement », un contrôle médical.


Une première en Algérie : Des drones pour traquer les criminels

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La Police algérienne se modernise et s'offre la maîtrise des technologies nouvelles. En effet, pour la première fois en Algérie, des drones construits par des chercheurs scientifiques algériens seront mobilisés dans la traque des criminels, ils sont en train de mettre au point tout un dispositif qui permettra l’identification des criminels par leur voix sonores et leur ADN.

Le directeur général de la recherche scientifique et du développement technologique auprès du ministère de l’Enseignement supérieur, Aouragh Hafid cité par le jeune indépendant, a été l’invité d’honneur, hier, au forum de la Sûreté nationale (DGSN), en présence du directeur des relations publiques de la DGSN, le commissaire Laâroum.

Le forum portant sur le thème « La recherche scientifique dans la Sûreté nationale » a permis aux deux parties de mettre en évidence tout le programme lancé entre elles dans le cadre de la sécurité nationale et du citoyen.

D’emblée, le directeur général de la recherche scientifique auprès du ministère de l’Enseignement supérieur a dévoilé les dernières technologies des chercheurs scientifiques algériens dans le cadre de la lutte contre la grande criminalité.

M. Aouragh a cité, à titre d’exemple, la création de drones 100% « made in algeria » qui peuvent localiser et traquer les criminels dans les banlieues. Ces chercheurs ne se sont pas arrêtés là puisqu’ils ont développé aussi des recherches qui ont abouti à la capacité de localisation et d’identification des criminels par la détection des voix sonores. « La détection des voix sonores des criminels a été développée par nos chercheurs qui travaillent dans les centres de recherches et dans les universités algériennes.

Cette technologie va nous permettre de localiser le lieu exact du criminel après la détection des bruits qui vont déterminer le lieu où se trouve le criminel ainsi que la détermination de sa voix qui va nous permettre de l’identifier », a expliqué le DG de la recherche scientifique lors de son intervention.

Pour Aouragh Hafid, la recherche scientifique en Algérie est appelée à se développer vu l’augmentation inquiétante de la criminalité et les nouveaux modes opératoires utilisés par les réseaux de malfrats. Ces réseaux ont pu développer leurs techniques de crime en recourant à des appareils ultramodernes qui servent à fabriquer de faux billets, de faux documents officiels ou encore en innovant dans leurs plans criminels visant à s’enrichir.

C’est l’une des raisons pour laquelle des équipes composées de chercheurs algériens, sous la coupe des Centres de développement des technologies avancées (CDTA), œuvrent actuellement à cerner les techniques des criminels et à établir une liste des profils de ces malfrats.

« Aujourd’hui, nous avons près de 30 000 chercheurs qui sont mobilisés dans des équipes et font des merveilles sur le plan de la recherche scientifique. Toutefois, ce nombre est peu considérable du moment que dans les pays émergents on trouve généralement entre 350 000 à 480 000 chercheurs », a commenté le DG de la recherche scientifique auprès du ministère de l’Enseignement supérieur.

Sur le plan sécuritaire, des chercheurs algériens, issus de différentes universités et centres de recherches, sont arrivés à construire des drones qui peuvent être utilisés dans la sécurité du pays. Nous avons également des chercheurs qui sont des spécialistes dans les génomes algériens, où notre objectif principal est de réaliser un échantillon de 5000 génomes algériens qui peuvent nous divulguer les potentielles maladies dangereuses que peut contracter chaque Algérien à l’avenir. Il est important de signaler que l’Algérie est le quatrième pays au monde qui a lancé cette technologie après les Etats-Unis, l’Angleterre et l’Arabie Saoudite ».

En effet, les chercheurs algériens travaillent en étroite collaboration avec des experts de la DGSN dans le domaine de la lutte contre la criminalité. D’ailleurs, une banque de données contenant les profils des criminels en tous genres est en préparation. « En plus de cela, les chercheurs algériens sont en train de développer des modes opératoires qui peuvent divulguer, en un temps record, les profils des criminels et les lieux de leur cachette.

A titre d’exemple de ces techniques qui sont développées dans les laboratoires des centres de recherches scientifiques, on citera les voix sonores des criminels qui peuvent nous permettre la localisation des lieux des malfrats.

On appelle cela la localisation des sonores. Puis, il y a aussi la détection des évènements anormaux qui consiste à connaître la température anormale d’un lieu précis pouvant donner lieu à une situation anormale sur le lieu.

Nous avons aussi des chercheurs qui sont spécialisés dans la télécommunication, les sites web, la 4G, dans le cadre de la lutte contre la cybercriminalité et le crime électronique. Ces chercheurs peuvent entrer dans la scène de crime dans les réseaux sociaux et divulguer ce qui est en train de se préparer par les criminels », a expliqué M. Aouragh Hafid.

Avec le jeune indépendant

Une première en Algérie : Des drones pour traquer les criminels

VIDÉO. Discours de Nouria Benghabrit à l'UNESCO

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La ministre de l'Education nationale, Nouria Benghebrit, a affirmé à Paris, lors de sa participation à la 38e Conférence générale de l'Unesco, que la paix et la sécurité sont la condition essentielle pour l'épanouissement des enfants et leur éducation. «Aujourd'hui, la nécessité d'une réflexion approfondie reflétant nos préoccupations ainsi que celles de nos sociétés sur elles-mêmes, s'impose à nous comme une nécessité absolue pour que, de manière concertée, nous puissions envisager des solutions aux drames qui affectent les enfants du monde, comme les enfants syriens, et sahraouis qui nous interpellent tous», a indiqué la ministre lors de son allocution dans le cadre du débat général. Ceci dit, a-t-elle enchaîné, «la paix et la sécurité dans tous les pays représentent la condition essentielle pouvant favoriser l'épanouissement des enfants et leur éducation», faisant remarquer à l'assistance qu'elle parlait en connaissance de cause. Pour Mme Benghebrit, «des défis majeurs, en matière d'éducation, s'imposent aujourd'hui à nous, c'est pourquoi nous sommes tenus de promouvoir l'esprit civique et de tolérance chez les apprenants». Pour elle, il est plus que nécessaire d'apprendre aux enfants comment différencier une information crédible d'une fausse information. «Il est important d'inculquer à l'enfant l'esprit critique». Elle a mis l'accent, par ailleurs, sur le système éducatif. «Aujourd'hui, plus que jamais, si notre système éducatif ne donne pas les compétences nécessaires à un jeune de choisir, de traiter, de critiquer, il constituera le terreau où viendront naturellement s'arrimer toutes les haines, l'exclusion de l'autre et le radicalisme», a-t-elle expliqué. Il s'agit, a t-elle préconisé, «de garantir un enseignement de qualité à tous les élèves, car il ne suffit pas d'ouvrir une école à l'enfant, mais nous avons l'obligation d'assurer des contenus, un savoir-être, un savoir-faire essentiels qui puissent le préparer aux défis auxquels il sera confronté», a-t-elle ajouté. La ministre a souligné, en outre, que la préoccupation, aujourd'hui, en tant qu'instance internationale, c'est, bien évidemment, de nous assurer que tous les enfants du monde puissent aller à l'école et de nous assurer qu'ils bénéficient, ce faisant, des conditions nécessaires afin de pouvoir réaliser leur instruction dans des conditions décentes, mettant l'accent sur les efforts de l'Algérie dans ce domaine et la mise en oeuvre «remarquable» du droit à l'éducation en Algérie. Pour Benghebrit, l'Unesco, qui célèbre cette année ses 70 ans d'existence, reste une assurance en matière de promotion de la paix par le dialogue et l'ouverture et doit demeurer, par notre volonté et notre action communes, un espoir pour les générations futures ainsi qu'un rempart contre toutes les formes de violence et d'extrémisme.




VIDÉO. Idir : «Je ne suis pas un citoyen algérien à part entière ! »

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Idir, Invité d'honneur au festival de la deuxième édition du festival intitulé « Lumière sur le patrimoine historique et culturel de la Kabylie » qui s'est tenu du 5 au 9 du mois courant, à Ait Yenni, Akfadou et Ighil Ali, le chantre de la Kabylie multuplie les sorties médiatiques en faveur de l'officialisation de Tamazight sans pour autant manquer à faire allusion aux revendications portées par le MAK et son leader Ferhat Mehenni.

Répondant aux journalistes qui l'ont interpellé, Idir réaffirme sans langue de bois sa position en revendiquant Tamazight langue officielle «Je ne suis pas un citoyen à part entière tant que ma langue et ma culture ne sont reconnu dans mon pays ... Certes j'aime l'Algérie mais j'aime aussi la Kabylie [...]»

Par ailleurs, Très attendu, dans la matinée du dimanche, par une foule compacte et très enthousiaste de voir de près son idole de toujours, Idir est finalement arrivé vers 11h à Ighil Ali, où il a eu droit à un accueil triomphal devant la maison de jeunes, avec les honneurs des tambourinaires.





VIDÉO. Idir : «Je ne suis pas un citoyen algérien à part entière ! »


VIDÉO. La maison des Amrouches entre dénie et négligence : «Ils avaient la double tare d'être Kabyle, francophone et chrétiens dans un pays arabo-islamiste»

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La maison des Amrouche est aussi un monument culturel qui demeure habité par les âmes des siens qui attendent, patiemment, une évocation pleine de reconnaissance et un regard empreint d'affection.

L'Algérie réelle est le ciment de l'Algérie éternelle ; ses racines sont fortement ancrées dans son histoire ancienne, tumultueuse et, par-dessus tout, riche. Depuis des décennies, notre pays traverse une crise presque existentielle dont les symptômes se manifestent, à divers degrés, dans les domaines économique, politique, identitaire, culturel, spirituel et moral. Ce postulat établi, une question lancinante domine les débats : comment s'en sortir et dans quelle Algérie voulons-nous vivre ?






VIDÉO. Le maire de Tinebdar (Béjaia), ce maire de Kabylie qui fait l'exception !

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Connu pour son bras de fer avec l'ex-Wali de Bgayet, HAMOU Ahmed Touhami et les son insoumission à sa «Dictature», le maire de Tinebdar fait l’exception sur plusieurs niveau et dans le bons sens. En effet, élu d'une liste libre, Braham Bennadji a réussi à asseoir une transparence basée sur la communication et ce depuis son premier mandat à la tête de la région de Abderrahmane Awaghlis.

Il explique sur la page facebook de sa commune «Une communication formelle est organisée par le maire de Tinebdar, dans le but d’être au service de ses concitoyens. Elle revêt donc une importance particulière pour toute politique de développement de la commune.

Depuis 2007, la municipalité de Tinebdar s’est engagée dans une politique locale d’information structurée qui s’adresse d’une part au personnel travaillant et d’autre part à l’ensemble des habitants de la commune.

Une communication directe est établie avec les Tinebdaris par le biais de réunions mensuelles avec les comités de villages, et qui ont permis bien des débats et des concertations et de venir à bout de plusieurs problèmes et sujets, sans omettre les sorties dans les villages et les conférences régulières ainsi que la réception quotidienne des citoyens par le maire.

D’autres supports se joignent à la fluidité de cette communication, un bulletin d’information est diffusé mensuellement, création d’un site Internet de la commune doté d’informations et autres documents clairs et précis mis à la disposition des habitants et étrangers à la commune http:/www.tinebdar.com et d’une page sur facebook (mairie tinebdar). Une revue annuelle est établie, elle présente les grandes réalisations et les projets de la commune; elle en est à son troisième numéros. Tout cela s’ajoute aux rapports d’activités et aux bilans annuels. Une façon simple et efficace d’impliquer et de motiver ses concitoyens.»





VIDÉO. Une femme russe accuse un algérien d'avoir kidnappé son fils :« Il serait en Kabylie !»

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Son appel a été largement diffusé sur les réseaux sociaux et devenu viral sur la toile algérienne. Une femme se présentant en étant d'origine russe accuse son ex-époux algérien d'avoir kidnappé son fils.

Sur une page facebook intitulé «Enfant disparu», elle demande l'aide des internautes algériens pour retrouver son fils kidnappé en racontant son expérience avec le mis en cause. Elle déclare avoir déposé plainte sur son ex-époux qui est recherché par Interpol et serait enfui en Kabylie ou à Alger dans son dernier post facebook.





Limitation de la vitesse pour les camions et les bus fixée par un arrêté

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Les vitesses maximales des véhicules de transport de personnes et de marchandises, dont le poids total autorisé en charge (remorques comprises) est supérieur à 3,5 tonnes, ont été fixées par un nouvel arrêté ministériel paru au Journal officiel no 56.

Ce nouveau texte fixe les vitesses maximales des véhicules affectés au transport de personnes et comportant plus de neuf (9) places à 100 km/h sur les autoroutes, à 80 km/h en dehors des agglomérations et sur les routes autres que les autoroutes et à 40 km/h en agglomérations.

Pour les véhicules de transport de marchandises dont le poids total autorisé en charge est supérieur à 3,5 tonnes et inférieur ou égal à 19 tonnes, les vitesses maximales sont fixées à 90 km/h sur les autoroutes, à 80 km/h en dehors des agglomérations et sur les routes autres que les autoroutes et à 40 km/h en agglomération.

Les vitesses maximales des véhicules dont le poids total autorisé en charge est supérieur à 19 tonnes, affectés au transport de marchandises, sont désormais fixées à 80 km/h sur les autoroutes, à 70 km/h en dehors des agglomérations et sur les routes autres que les autoroutes et à 40 km/h en agglomération.

Quant aux vitesses maximales des véhicules transportant des matières dangereuses, elles ont été fixées à 70 km/h sur les autoroutes, à 60 km/h en dehors des agglomérations et sur les routes autres que les autoroutes et à 30 km/h en agglomération.

Les vitesses maximales des véhicules effectuant le transport exceptionnel sont fixées à 40 km/h en dehors des agglomérations et sur les routes autres que les autoroutes, et à 30 km/h en agglomération.

Pour le véhicule dépanneur et le véhicule remorqué, la vitesse maximale autorisée est fixée à 60 km/heure. Cette vitesse est ramenée à 45 km/h lorsque le remorquage est assuré par un attelage rigide en forme de "V" dépourvu de canalisation de freinage entre le véhicule dépanneur et le véhicule remorqué.

En cas de mauvaises conditions météorologiques, notamment par temps de pluie, les vitesses maximales fixées pour les véhicules dépanneurs et les véhicules remorqués sont réduites de 20 km/h sur les autoroutes, les autres routes et en dehors des agglomérations et de 10 km/h en agglomération.

La vitesse maximale autorisée est, par ailleurs, de 25 km/h pour un ensemble formé par le véhicule dépanneur et le véhicule remorqué dont le train avant est maintenu soulevé par la grue du véhicule dépanneur et dont l'attelage est rigide.


APS

Les islamo-conservateurs bloquent la loi relative aux violences faites aux femmes : Razika Chérif est la victime de trop !

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Le harcèlement sexuel est devenu un phénomène qui prend des proportions alarmantes en Algérie. Aujourd’hui, les femmes risquent même de se faire tuer en plein jour. Comme cela a été le cas, cette semaine, de Razika Chérif, une femme de 40 ans, qui a été écrasée par un automobiliste qui la harcelait en plein centre de la commune de Magra (M’sila). Après l’avoir poursuivie pendant un long moment et devant son refus de céder, le «fou-frustré» fonce avec son véhicule utilitaire délibérément et heurte mortellement la victime.

Le texte de loi relatif aux violences faites aux femmes qui a suscité une vive polémique amplifiée par des médias islamistes qui déplorent un danger sur la structure de la famille, malgré adopté par l'APN reste bloqué au sénat, risquant d'être abandonné sous la pressions de la coalition islamo-conservatrice. Selon des sources médiatiques, certains députés du courant islamo-conservateur use de leurs réseaux dans les rouages de l’Etat, notamment au sein de la Présidence, pour geler le texte, alors que son examen était programmé au Conseil de la nation juste après son adoption par l’APN.


La scène de l'assassinat de Razika est bouleversante. L’automobiliste de 33 ans est passé «à deux reprises au moins» sur le corps de la victime, la tuant sur le coup. Les témoins oculaires n’ont rien pu faire pour sauver l’infortunée Razika Chérif, dont le seul tort est d’avoir refusé de céder aux avances de son agresseur.

Ayant pris la fuite, le monstre humain a été arrêté lundi par les services de sécurité. Mais ces derniers refusent d’admettre les raisons et les circonstances de ce crime abject. Face à ce silence, les associations civiles s’indignent : «La mort de Razika ne doit pas passer sous silence. Il est urgent d’enclencher un véritable débat national au sujet du harcèlement sexuel qui menace la dignité et l’intégrité des Algériennes dans les rues», appelle la coordinatrice du réseau Wassila d’aide aux femmes victime, Mme Dalila Iamarène.

Les islamo-conservateurs bloquent la loi relative aux violences faites aux femmes : Razika Chérif est la victime de trop !


Tizi Ouzou : Deux bombes artisanales désamorcées

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Deux bombes artisanales ont été retrouvées, puis désamorcées par les éléments de l'ANP, en ratissage près du Village Chaara, à Yakouren, dans la wilaya de Tizi-Ouzou. Ces engins de fabrication artisanale, dissimulés au lieu dit Tahgant, seraient le reste abandonné des munitions des groupes armées, qui ont sévi dans la région durant deux décennies, a ton apprit de sources médiatiques.

Par ailleurs, des détachements de l'Armée nationale populaire ont découvert et détruit, mardi 10 novembre 2015, des casemates aménagées contenant vingt-deux (22) mines de confection artisanale et d'autres objets, à Constantine, Batna et Jijel.

A Tiaret, des éléments de la Gendarmerie nationale ont arrêté un criminel en sa possession (45) kilogrammes de poudre noire, (38) cartouches et d'autres objets. A Tlemcen, des éléments des Gardes-frontières de Tlemcen ont saisi deux véhicules touristiques et une quantité de (3950) litres de carburant destinée à la contrebande. Toujours dans l’Ouest du pays, plus précisément à Aïn Témouchent, les éléments des Gardes-côtes ont mis en échec une tentative d'émigration clandestine de (15) personnes.

A Bordj Badji Mokhtar, un détachement de l’ANP a appréhendé six (06) contrebandiers et a saisi deux (02) véhicules tout-terrain, (920) litres de carburant et des téléphones portables.

Tizi Ouzou : Deux bombes artisanales désamorcées


«Bouteflika est victime d'un coup d'Etat silencieux»

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Le politologue Hasni Abidi analyse la demande d'audience signé par 19 personnalités algériennes dont des proches de Bouteflika et des anciens grand Moudjahid, comme une preuve irréfutable de la détérioration alarmante de la scène politique algérienne et la dangerosité de l'absence de communication entre le présidents et ses électeurs. La grande problématique du pouvoir actuellement selon cet expert est l'émergence d'une nouvelle conscience autre que celle promue par le régime en place.

Hasni Abidi, dans une interview accordée au journal arabophone El Khabar, n'écarte pas la thèse d'un coup d'état silencieux dont le président serait victime et ce ne sera qu'une confirmation dans le cas où la demande d'audience n'aura pas de réponse positive. Selon le politologue, le fonctionnement relativement normal n'est pas une preuve que Bouteflika gouverne car cette fonction est constitutionnellement celle du gouvernement.

L'expert qualifie la demande du Groupe des 19 et la réponse de l'entourage du président comme un signe d'une rupture avancée entre l'opposition et le pouvoir, dont le dialogue est devenu un luxe et non un détail quotidien avec l'absence de l’opposition dans le fonctionnement politique ce qui a poussé cette dernière à douter même de l’existence d'un système politique homogène qui gouverne le pays.

«Bouteflika est victime d'un coup d'Etat silencieux»


VIDÉO. Le verdict est tombé contre le chef terroriste Sohaïb

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Le terroriste Ali Ismail alias Sohaïb arrêté par les éléments de l’Armée Nationale Populaire(ANP) au niveau de Mechta Nemcha dans la localité d’El-Guerrouche, relevant de la commune d’El-Aouana( Wilaya de Jijel), âgé de 41 ans a été condamné condamné à perpétuité par le tribunal de Djidjel.

Une arme automatique de type Kalachnikov a été récupérée sur le terroriste qui avait rejoint les groupes armés fin novembre 1993. Il vivait en compagnie de sa famille, composée de sa femme et de ses cinq enfants dont l’ainée âgée de 18 ans et la plus jeune d’un an, et qui se sont rendus après son arrestation.





Vidéos CHOC d'un raid de mustaârabines dans un hôpital : Un Palestinien tué et un autre enlevé

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Un jeune Palestinien a été tué par balles ce jeudi 12 novembre dans un hôpital de la ville Al-Khalil en Cisjordanie occupée, par des forces de l'occupation israéliennes, des "mustaârabines" qui ont pris d'assaut cet établissement sanitaire, a rapporté aujourd'hui l'agence palestinienne Maan News.

Abdullah Azzam Shalaldah, 28 ans, s'est fait tiré dessus à plusieurs reprises par les forces de l'occupation israélienne, à l'hôpital Al-Ahli, situé à Al-Khalil. Les "mustaârabines" désiraient kidnapper son cousin, Azzam Ezzat Shalaldah, 20 ans, qui a également été touché par des tirs de soldats de l'occupation le mois dernier.



Selon la même source, Abdullah et ses proches rendaient visite à leur cousin Azzam vers 03H00. 20 soldats israéliens, dont les visages étaient couverts, ont fait irruption dans l'hôpital, dans le département de chirurgie comme le montre la vidéo ci-dessus. La victime, qui se trouvait à la salle de bain, s'est faîte tirée dessus à son retour à la chambre. Les assaillants se sont ensuite retirés de l'établissement en emportant Azzam.
Selon l'occupation, le raid a été mené pour arrêter Azzam Shalaldeh, fils d'une famille de militants du Hamas, auteur d'une attaque au couteau le 25 octobre lors de laquelle un colon avait été grièvement blessé près de Al-Khalil. L'assaillant avaient alors réussi à prendre la fuite.



Abdullah est le 80e Palestinien tué depuis le 1e octobre, date du déclenchement d'affrontements de résistance successifs à travers la Cisjordanie occupée et Gaza contre les forces et les colons de l'occupation israélienne.



Avec El Khabar et le Huff post

VIDÉO. Reportage complet de Canal+ « Looking for Alger » : Eric Cantona à la rencontre du derby algérois MCA-USMA

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Canal+ sport, la chaîne sport a diffusé le nouvel épisode de la série documentaire « Looking for » consacré aux grand derbys mondiaux du football. Cette fois, Eric Cantona a débarqué en Algérie pour faire découvrir le grand derby algérois entre le MC Alger et l’USM Alger aux amateurs du ballon rond français.

La légende du Manchester United, Eric Cantona n’avait pas la chance d’assister à la grande ambiance que ce derby avait l’habitude de  livrer puisque le derby d’Alger se disputait, ce jour-là, à huis clos en raison d’une suspension infligée à l’USMA en Avril 2015. Mais Cantona a quand même trouvé de la matière. Le documentaire retrace le parcours de ces deux grands clubs.





Avec C+ et TSA

Des lycéens en gréve pour interdire aux filles le port des leggings

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C'est insolite, étrange ou atypique d'une société à la dérive, les sociologues doivent se pencher sur ce phénomène. En effet, des lycéens de la Cité des 1000 logements à Batna ont arrêté les cours pour protester contre le port des tenues « indécentes » par des lycéennes, notamment les pantalons fuseaux. Selon les grévistes, les tenues vestimentaires les empêcheraient de se concentrer… Rapportent des médias algérien. 

Porter des leggings est même provocant. C’est ce que pensent des lycéens d’une école secondaire à Batna qui estime que les filles portant ce genre de pantalons qui moulent le corps sont provocantes et les empêchent de se concentrer. N’est-ce pas désolant de voir que le niveau des débats en Algérie continue à se situer à ce type de question ?

Pas loin de la localité de Barika, à M'sila, plus précisément à Magra, une femme a été renversé délibérément par un automobiliste parce qu'elle a refusé des répondre à ses avances.




Tizi Ouzou : Les imams menacent de descendre dans la rue

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La coordination des imams et des employés du secteur des affaires religieuses et des Wakfs de la wilaya de Tizi-Ouzou, affiliés à l’union nationale des travailleurs algériens (UGTA), a rendu publique, avant-hier, une déclaration dont une copie est parvenue à notre rédaction. Les signataires y lancent à leur tutelle un ultimatum qui expirera en février 2016 exigeant d’elle la satisfaction de leur plateforme de revendications. Parmi celles-ci, au nombre de 13, les rédacteurs demandent en premier lieu à l’administration de fixer une date pour le virement mensuel des salaires des imams, «un droit devenu extraordinaire, voire un luxe, pour les travailleurs de ce secteur, en particulier les imams des différentes mosquées de la wilaya qui espèrent percevoir enfin leurs salaires à une date bien définie !», fustigent-ils. Ils demandent également la régularisation de la prime de rendement, car à l’heure actuelle, précise le document, les imams n’ont toujours pas perçu celle du troisième trimestre de 2015. Les protestataires exigent aussi la régularisation des dossiers en instance et la situation professionnelle des nouveaux imams par leur confirmation dans les postes qu’ils occupent. Ils demandent également qu’une journée bien définie soit réservée à la réception des imams au niveau des administrations.

«Nous voulons savoir ce qu’il est advenu de la commission de régularisation qui n’a pas programmé la moindre réunion depuis belle lurette, ce qui a pénalisé grandement les imams et les employés de ce secteur. Nous demandons par la même occasion l’organisation d’élections transparentes dans le choix de ses membres». Les imams et employés des affaires religieuses exigent également la révision des nominations des coordinateurs et des doyens, car, souligne les rédacteurs du document, certains d’entre eux, nommés à ces postes, sont complètement étrangers au secteur. Les rédacteurs du dit document demandent aux responsables du secteur de mettre un terme aux interventions des associations à caractère religieux dans les prérogatives des imams, de protéger et de défendre les imams et de diligenter une commission d’enquête pour faire toute la lumière sur les promotions et les avantages attribués à certains. Par ailleurs, les signataires de la missive tiendront à préciser qu’un délai, qui expirera en février prochain, est accordé aux instances pour répondre à leurs doléances et que, le cas échéant, ils menacent de passer à la protestation : «Si les choses restent telles qu’elles sont actuellement, nous allons recourir à la protestation par la tenue d’un rassemblement devant le siège de la cité administrative de la wilaya», écrivent-ils encore.

Tizi Ouzou : Les imams menacent de descendre dans la rue


Taous C Pour DDKabylie
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