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Vidéo. Torturé par le Makhzen : le champion du monde Moumni déchire son passeport marocain en direct

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Vidéo. Torturé, le champion du monde Moumni déchire son passeport marocain en direct
Le boxeur Zakaria Moumni a déchiré lundi son passeport marocain sur le plateau de l’émission « 64 » de TV5 Monde, en affirmant qu’il a renoncé à sa nationalité marocaine après avoir obtenu son passeport français.

Le sportif est à l’origine d’une crise diplomatique d’un an entre le Maroc et la France, suite aux accusations de torture portées contre le patron du contre-espionnage marocain Abdellatif Hammouchi, qu’il dit avoir identifié lors d’une séance de torture dans un centre de détention à Témara.

Zakaria Moumni affirme que les autorités marocaines ont essayé d’acheter son silence moyennant un club à Paris pour 5 ou 6 millions d’euros, mais le Maroc a toujours réfuté ces accusations.

Le boxeur est l’auteur de "L’homme qui voulait parler au roi", écrit selon certaines sources par la journaliste française Catherine Graciet et paru le 1er octobre dernier chez Calmann-Lévy.







Fermeture d'El Watan TV : Madani Mezrag écrit à Bouteflika

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Madani Mezrag, ancien émir de «l’armée islamique du salut (AIS)» a décidé de « retirer » ses propos dans lesquels il avait menacé le président Bouteflika, au cours d’ une émission diffusée samedi dernier par la chaîne de télévision privée El watan-TV. « Je retire mes propos concernant la riposte forte que j’ai préparée pour le président et j’ai décidé d’écrire une lettre pour conseiller au président de respecter ses engagement… » a rapporté aujourd’hui le quotidien El Khabar sur son site web relayé par El WATAN, en citant une lettre de Madani Mezrag.

Pendant ce temps, entre les menaces et les excuses, la chaîne de télévision concernée a été fermée et ses journalistes passés à tabac.


Vidéo. Reportage sur le charlatanisme en Algérie

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La maladie, la pauvreté et l’ignorance sont autant de facteurs dont profitent les charlatans pour se vanter de l’étendue de leurs pouvoirs.

Tout le monde entend parler d’eux et beaucoup n’hésitent pas à les consulter à la moindre petite souffrance tournant volontairement le dos à la science. Le charlatanisme, bien qu’il n’acquière pas l’adhésion de toute la société, n’en n’est pas moins présent, imposant et visible.
Une pérennité qui tient son pouvoir de la crédulité d’une partie de la population. A ceux qui ont fait du charlatanisme leur métier, on reconnaît une facilité déconcertante de discours et des facéties attirant la sympathie des plus avertis. Des qualités vendues au prix d’une dépendance dont ils profitent sans état d’âme ni remords. Qu’on les appelle, «chouafatte», «guezenate» ou «taleb», ces voyants ou ces pseudo- guérisseurs font de la souffrance et de l’ignorance des citoyens un fonds de commerce très lucratif.

Ils vivent aux dépens de tous ces désespérés qui croient au miracle pour trouver un travail, se marier, faire un enfant, avoir de la chance et se protéger contre le mauvais œil. Pis encore, ils ne jurent que par les bienfaits de leurs compositions mystérieuses.
Elles sont censées guérir un nombre incommensurable de maladies, selon eux. Il s’agit entre autres, de la stérilité, de la migraine, de la jaunisse, de l’ulcère et la liste est encore très longue.

Echappant à tout contrôle, ces soi-disant guérisseurs n’ont d’autre savoir que la sorcellerie. Elle est à la base de toutes leurs thérapies. Ce marché a pris aujourd’hui une telle ampleur que n’importe qui peut se déclarer guérisseur ou «raqi».
Une réalité qui trouve son origine dans l’ignorance conjuguée au désespoir qui sévit dans la société algérienne. Le manque de sensibilisation et d’information sur la vraie «roqia» et les pratiques douteuses de ceux qui se revendiquent guérisseurs a largement joué en faveur de ce phénomène social.




ca se passe qu'en #ORAN.......................A VOUS DE JUGER
Posted by Vive la liberte algerie sn on mercredi 14 octobre 2015

Béjaîa : Des livres destinés à une bibliothèque bloqués aux frontières

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Un autre blocage, issu de la politique du verrou des libertés associatives, vient d'être discerné par la douane algérienne à l'insu, non seulement, de l'association des Algériens des deux rives et leurs Amis (ADRA), mais aussi de celle du ministère de la culture qui a autorisé cette association à importer 2000 livres pour prémunir avec une bibliothèque communale de Béjaia. A dire que même l'autorisation du ministère ne passe pas. Cependant, un communiqué de l'association sanctionne sévèrement ce blocage.

Un quota intéressant de livres est otage de la douane, sous le silence totale des autorités concernées. Et malgré le fournissement de "tous les documents administratifs et douaniers exigés par l’administration" note ledit communiqué, toutefois, la non-délivrance de ces biens est toujours retenue par la douane. Du coup, l'association redoute le "mépris et l'ignorance de l’administration Algérienne" qui revient à maintes reprises, du tant qu'ADRA ignore "les raisons" qui justifient l'acte de la douane.

Le blocage de ces livres, même avec la permission du ministère de la culture, intrigue l'association et pousse bien à s'interroger sur la nature de cet acte. Pourtant, un livre sert à instruire la société, et ne représente aucun danger pour l'intégrité nationale, et ne menace en aucun cas la sécurité de l'Etat ! L'autre problème que pourrait subir l'association, serait "la taxation du magasinage" nous confie Yougourten Ayad, président de l'ADRA, puisque cela fait un mois environs que les 2000 livres sont bloqués par la douane algérienne, pourtant, et selon la même source, l'Association Soummam Eco-Culture, qui se chargera de mettre en place la salle de bibliothèque, se sont vu rejetés "6 fois" par la douane, les invitant à revenir ultérieurement. "6 fois en faisons à chaque fois 300 km avec  location de fourgon et la disponibilités de membres, ils prennes des jours de congés pour ça" rajoute Yougourten Ayad, avant de continuer que "cette situation est de tant plus insupportable mais aussi très onéreuse à savoir que l’association locale avec ses membres se sont déplacés 6 fois".

Il convient, de ce fait, de rajouter que ce blocage vient combler la bureaucratie et les facteurs allant à contre-développement que subissent les associations -qui n'entrent pas dans la ligne des administrateurs-. Et que ce genre de chantage administratif ne vise, dans la majorité des cas, qu'à mettre un bâton dans les roues des activistes du mouvement associatif, et encourage la société à se garder dans l'inerte incapacité de s'instruire.

Et puis, dans cette optique, il est impératif de signaler les exemples des associations qui se désistent du terrain, à force d'être découragées de se voir ôter toute liberté d'activité.



Pornographie : L'Algérie deuxième en Afrique du Nord, Sahara Occidental premier au monde

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Pornographie : L'Algérie deuxième en Afrique du Nord, Sahara Occidental premier au monde


Un des sites pornographiques les plus visités au monde vient de publier une carte interactive où il recense le temps moyen que chaque pays passe à visionner ses contenus. Pornhub est le 70ème plus populaire dans le monde, avec une moyenne de 9 millions de visiteurs par jour. Les chiffres de cette étude ont été compilés à l'automne 2014.

Sahara occidental vient en premier en Afrique du Nord où le temps moyen passé sur le site atteint des records. En effet, les Sahraouis passent le plus de temps à regarder des vidéos de PornHub dans le monde, avec 16 minutes et 16 secondes de visionnage. Suivis par l'Algérie sur le niveau régional avec 8 min 40, puis le Maroc avec 8 min, la Libye avec 7 minutes 55 et 6 minutes et 17 secondes pour l'Egypte.

Dans les autres pays d'Afrique, la tendance est à la hausse.

En tête: le Togo (15,03), le Burkina Faso (14,26) et le Botswana (13,45). Les pays occidentaux et du Moyen-Orient oscillent tous entre 5 et 10 minutes en moyenne. Dans le reste du monde, c'est la Chine qui remporte la palme, avec une moyenne de 14 minutes et 34 secondes d'écoute.

Pornographie : L'Algérie deuxième en Afrique du Nord, Sahara Occidental premier au monde


Avec agnces

Mohamed Aissa : «La grande mosquée d'Alger protégera la société algérienne»

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Selon Mohamed Aissa la grande mosquée d'Alger «ne servira à pas à l'embellissement de la capitale ou du front de mer mais à sécuriser la vie intellectuelle et confessionnelle des Algériens», a indiqué mercredi à Alger le ministre des Affaires religieuses et des Wakfs. «L'usage de cette mosquée n'est pas l'embellissement de la capitale ou le front de mer mais nous voulons sécuriser la vie intellectuelle et confessionnelle des Algériens», a répondu M. Aissa à une question sur le maintien de la construction de cette mosquée en dépit de la chute des cours de pétrole. «Nous ne voulons plus avoir deux niveaux d'islamité, ni un niveau d'Islam officiel et un niveau d'Islam d'opposition et de résistance, c'est pourquoi nous avons besoin de cette grande mosquée parce qu'elle est emblématique et symbolique", a ajouté le ministre.



Mohamed Aissa au Forum de "Liberté" du 14 oct 2015 (extraits)




Par ailleurs, Le ministre avoue l’existence de plusieurs failles dans l’organisation algérienne du hadj et pointe du doigt plusieurs responsables, dont il s’est abstenu de donner les noms et les fonctions.


Invité du forum du quotidien Liberté, le ministre des Affaires religieuses et des Wakfs, Mohamed Aïssa, a appelé à la révision des rites du hadj, notamment celui de la lapidation de la plus grande stèle appelée Jamarate Al Aqaba, à Mina, dont le site serait trop exigu par rapport au nombre important de pèlerins chaque année.

D’après le ministre, cette suppression sera momentanée, le temps d’engager des travaux d’une éventuelle extension du site en question, qui a été le théâtre de plusieurs accidents, dont celui de cette année où près de 1600 pèlerins ont péri. «Parmi les victimes algériennes, nous avons, malheureusement, comptabilisé 28 morts et 31 pèlerins portés disparus qui seraient probablement morts ou ont regagné le pays sans passeport, avec une simple autorisation, déclare le ministre qui explique que cette dernière hypothèse est très peu probable. Pour les corps non encore identifiés, des tests ADN ont été faits et nous attendons encore les résultats.»

Le ministre explique que l’Algérie est l’unique pays qui avait une position claire vis-à-vis de cet incident de Mina et refuse de le politiser. «Nous ne doutons pas de la fiabilité du système sécuritaire mis en place par le gouvernement saoudien. Nous ne contestons pas, non plus, le fait que le royaume saoudien soit l’unique organisateur du hadj, depuis plusieurs années. Toutefois, nous exigerons que toute cette affaire soit tirée au clair et que les responsables de cette catastrophe soient connus et sanctionnés. Nous exigerons aussi des dédommagements pour les familles des décédés ainsi que pour les personnes blessées», a-t-il précisé.

Dans le même contexte, M. Aïssa avoue l’existence de plusieurs failles dans l’organisation algérienne du hadj et pointe du doigt plusieurs responsables, dont il s’est abstenu de donner les noms et les fonctions. Selon ses propos, ces derniers censés porter assistance aux pèlerins n’ont pas bougé d’un iota et se sont contentés de les prendre en photo et les poster sur les médias sociaux. «Ils seront sévèrement sanctionnés, de même que certaines agences de voyages qui, pour des soucis de gains, ont allégé des chambres et surchargé d’autres.

Chose qui n’est pas tolérée», a-t-il ajouté. «Nous envisageons aussi la révision des modalités de départ au pèlerinage et changer les carnets de hadj qui font l’objet de trafic et de revente par des droits attribués aux personnes concernées par le pèlerinage sous tutelle du ministère de l’Intérieur. Le cahier des charges attribué aux agences de voyages désirant organiser le hadj et la omra sera aussi révisé.»

Redonner confiance en l’autorité religieuse


Un Conseil interministériel se tiendra sous la présidence du Premier ministre pour adopter toutes ces propositions et en envisager d’autres.
En réponse aux questions de présents au forum, Mohamed Aïssa a déclaré que le projet de la Grande Mosquée n’a pas d’incidence sur la crise économique que vit le pays. «Le projet se porte bien financièrement et son taux d’avancement est très appréciable.

La Grande Mosquée ne se limite pas à la salle de prière, mais représente un pôle religieux d’excellence. Elle contient des institutions religieuses référentielles, à savoir un centre culturel, une bibliothèque et un musée. Y siégeront aussi les conseils nationaux de la fatwa, de l’orientation, de l’apprentissage du Saint Coran et la faculté du Saint Coran qui se chargera de former des imams», a expliqué le ministre qui défend encore plus ce projet en relevant l’impossibilité de gérer la religion en Algérie par des institutions administratives.

Selon ses propos, elle doit être léguée à un collège de savants engagés, patriotiques et très bien informés pour redonner confiance aux Algériens en leur autorité religieuse. Elle sera un pôle qui chapeautera tous les autres mosquées de référence construites dans les 48 wilayas, à l’image de la mosquée d’El Azhar en Egypte. Pour les imams, dont le discours est de tendances salafiste, wahhabite, voire même extrémiste, le ministre explique que la plupart d’entre eux n’occupent plus leur fonction.

Leurs contrats à durée déterminée n’ont pas été renouvelés. Il en reste seulement trois qui exercent toujours mais leurs contrats vont bientôt expirer, renchérit le ministre. Concernant le contrôle du discours religieux dans les différents lieux de regroupement des citoyens, notamment la frange la plus fragile, les jeunes et surtout les écoliers, le ministre insiste sur sa démarche visant à créer un observatoire de veille contre le prosélytisme religieux, les dérives sectaires et le terrorisme.

Mohamed Aissa : «La grande mosquée d'Alger protégera la société algérienne»
Avec agences

Vidéo. Un juif dans les rues d'Alger : les algériens sont t-ils antisémites ?

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Les jeunes youtubers algériens se mettent aux expériences sociales diffusée sur les plateformes vidéos de la toile. En effet, le podcasteur Diga Man a choisis un sujet très sensible mais banalisé en Algérie; la haine du juif ou l’antisémitisme et l'amalgame entre le sionisme et le judaïsme, tandis que le jeune Youtuber laisse entendre qu'il salue cet acte raciste à la fin de la vidéo en faisant allusion à la question palestinienne.

L’expérience mésure la réaction des algérois abordés par un jeune en kippa qui demande où situe le cimetière juif. La réaction des plus jeunes n'est que le résultat de l'éducation reçue à la maison et l'école, le jeune déguisé en juif se fait agressé et insulté, alors que les plus agés préfèrent de l'ignorer et ne pas répondre à sa demande d'aide.

Cette expérience nous enseigne sur le niveau intellectuel de la société algérienne, qui après plus d'un demi siècle d'indépendance n'arrive pas à distinguer entre sionisme et le judaïsme ... La vidéo fait le buzz sur les réseaux sociaux algériens



Vidéo. Expérience sociale : Un juif dans les rues d'Alger

Une nouvelle vidéo montre la spectaculaire évasion du narcotrafiquant "El Chapo"

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Plusieurs coups métalliques, puis plus personne : voici ce que montre une nouvelle vidéo de la spectaculaire évasion d'une prison mexicaine, le 11 juillet dernier, du narcotrafiquant Joaquin "El Chapo" Guzman. Quasiment 30 minutes après, on entend un gardien appeler depuis l'extérieur de la cellule désormais vide : "Guzman ?"

Cette nouvelle vidéo inédite a été obtenue par la chaîne mexicaine Televisa. Elle montre la cellule de "El Chapo" au moment de son évasion et durant les 40 minutes qui suivent. Contrairement à la vidéo diffusée par les autorités en juillet, cette séquence est sonore.

Guzman, 58 ans, est allongé sur son lit, regardant une petite télévision quand plusieurs coups métalliques se font entendre. Le chef du cartel de Sinaloa se lève alors, se dirige vers sa douche, s'accroupit derrière puis disparaît à 20h52.

A 21h18, un gardien apparaît à l'extérieur de la cellule et interpelle : "Guzman ? Guzman ? Guzman Loera ?", utilisant le nom de famille complet du narcotrafiquant.

On peut ensuite entendre un gardien parler à son supérieur, tandis qu'il regarde à travers les barreaux de la cellule : "Il y a un trou dans la douche." Quand son supérieur lui demande la taille du trou, le gardien répond : "Grand, chef, grand.""Mais le détenu n'est pas là ?" demande son supérieur. "Non, chef. Il n'est pas là."

C'est seulement à 21h29, soit 37 minutes après que Guzman s'est enfui, que les fonctionnaires entrent dans la cellule. Plusieurs d'entre eux se glissent dans le trou. L'un des gardiens signale que le trou "est apparemment bouché plus bas". On entend de nouveaux coups métalliques.

Guzman s'est échappé par le biais d'un tunnel de 1,5 kilomètre, circulant sur une moto fixée sur des rails et débouchant sur une maison en construction au milieu des champs.


Cette évasion a constitué un sérieux camouflet pour le président Enrique Peña Nieto, qui avait obtenu des succès notables dans la lutte contre les cartels de la drogue au début de son mandat. Guzman avait été arrêté en février 2014 après 13 ans de cavale. Il s'était déjà échappé en 2001 d'une prison de haute sécurité, caché dans un panier de linge sale.




Pourquoi ce régime est si rusé et tellement peu intelligent ?

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TV off-shore. C’est le cas des TV dites «algériennes» de fond, jordaniennes ou anglaises de forme. Car l’audiovisuel algérien n’a pas été ouvert comme promis après les soulèvements dans les pays «arabes», mais bien verrouillé par les recettes de l’informel audiovisuel. L’astuce est simple : créer des chaînes cooptées, proches des centres de décisions, dédiées au lynchage des opposants, à la débilisations religieuses et à l’immobilisation citoyenne, mais sans se salir les mains : les chaînes restent étrangères. Cela permet toutes les dérives sans se mouiller ou subir les ONG et les étiquettes de république bananière. Et dans la brèche, se sont engouffrées les chaînes de l’autre bord : opposants en exil, fils d’opposants ou proches de partis politiques mais avec les mêmes dérives, les mêmes excès et la même quête de propagande politicienne basse. L’ouverture de l’audiovisuel a été conclue par un carnaval, après des décennies de promesse de démocratie. On est passé du zoo à la jungle. Cela nous a piégés définitivement aujourd’hui et rend presque nostalgique de la RTA.

Saluons donc l’intelligence étonnante du régime quand il s’agit de ses instruments de pouvoir et sa bêtise misérable quant il s’agit de décisions économiques : se faire rouler par les Indiens à ArcelorMital depuis l’indépendance mais rouler les siens, chez eux en Algérie. Etre rusé avec son peuple et naïf avec les autres. Piétiner les «mononationaux» et se faire piétiner par les multinationales.

D’ailleurs, c’est tout le paradoxe national : une immense intelligence dans la manœuvre, une piètre compétence dans la performance économique ou civilisationnelle. Une capacité étonnante à louvoyer avec la démocratie et une incapacité affirmée à construire un pays. Cela s’est vu avec le DRS : un contrôle de tous en Algérie et une impuissance à relever les défis de la sécurité du territoire. Main de fer avec un militant des droits de l’homme de 85 ans et un zéro en bonnet d’âne pour l’affaire Tiguentourine. Donc, et pour le sujet, on y est : la gestion sournoise des TV offshore illustre la ruse dans un pays qui illustre l’échec. Et, à la fin, on n’a ni TV unique, ni télévisions matures, professionnelles, solides et viables.

D’où la conclusion : si seulement le régime était aussi intelligent «Pour» ce pays qu’il l’est «Contre» ce pays. Une impossibilité génétique cependant. Regardez ce paradoxe national des hommes qui ont fonctionné dans le système et qui, à la retraite, deviennent les critiques les plus fins et les plus intelligents de ce même système. D’ailleurs, le pire critique du régime algérien, sont les hommes du régime algérien, en off ou après 17 heures.


Pourquoi ce régime est si rusé et tellement peu intelligent ?

Par Kamel Daoud

 impact24

Ligne maritime Béjaïa-Alger : Horaires et tarifs de la traversée

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Des lignes seront élargies prochainement aux wilayas d’Oran, Mostaganem et Skikda, selon le secrétaire général du ministère des Transports.


Comme prévu, à 17h tapantes, hier, le Seraïdi a pénétré dans le port de Béjaïa au terme d’une traversée de quatre heures, inaugurant la ligne maritime Alger-Béjaïa. Le Seraidi, une des deux récentes acquisitions de l’Entreprise nationale maritime de transport de voyageurs (ENMTV) auprès d’un constructeur italien, a accosté, avec à son bord des journalistes, des membres de l’ENMTV, du ministère des Transports et l’équipage.





Les horaires de la traversée par voie martitime Béjaïa / Alger seront fixés comme suit :

Du dimanche à jeudi :

Départ de Béjaïa à 10h00, arrivée à Alger à 14h00.

Retour d’Alger à 15h00, arrivée à Béjaïa à 19h00.

Pour la journée du samedi :


Départ de Béjaïa à 10h00, arrivée à Alger à 14h00.
Retour d’Alger à 15h00, arrivée à Béjaïa à 19h00.

Pour le voyage inaugural qui aura lieu aujourd’hui , Mercredi 14octobre 2015:

Départ d’Alger à 10h00 du matin, arrivée à Béjaïa à 14h00

Les tarifs de la traversée applicables du 15 /10 /2015 au 31 /05 / 2016.

Adultes : 1200DA. HT

Enfants moins de 3 ans : 00 DA

Enfants de 3 à 12 ans : 500 DA. HT

12 à 16 ans : 800DA HT

Étudiants : 800 DA HT

Famille couple avec 2 enfants :3000 DA HT

Personnes à mobilité réduite :50%de réduction.

- Il est prévu une retenue de 30% en cas de remboursement du billet.

- Il est prévu une majoration de 10% en cas de report du voyage par le passager.

-Un seul bagage à main est autorisé.

*Ce programme est tributaire des conditions météorologiques . Bonne traversée à toutes et à tous .


Ligne maritime Béjaîa Alger : Horaires et tarifs de la traversée

Une bande de 4 malfaiteurs démantelé à Tizi Ouzou

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Une bande spécialisée dans le vol de véhicules vient d'être démantelée par la police à Tizi-Ouzou. L'opération, qui a permis l'arrestation de quatre individus, a été déclenchée par les éléments de la Brigade criminelle de la Police judiciaire suite à une plainte pour vol de véhicules en stationnement, enregistrées ces derniers temps à Tizi-Ouzou et sa périphérie a rapporté El Goual.

Présentés au Parquet de Tizi-Ouzou, deux suspects sont mis en détention préventive alors que les deux autres ont été placés sous contrôle judiciaire avant de comparaître pour association de malfaiteurs en vue de la commission d'un délit, vol en réunion, de nuit avec usage de véhicule, et effraction.

Tizi Ouzou : Une bande de 4 malfaiteurs démantelé à Tizi Ouzou
Tizi Ouzou : Une bande de 4 malfaiteurs démantelé à Tizi Ouzou 


Vidéo. Le wali de Béjaia s'explique sur son étrange arrêté interdisant toute manifestation dans les salles

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Un étrange arrêté de Ould-Salah Zitouni, wali de Béjaïa, a fait frémir toute la wilaya. L'arrêté en question daté du 23/09/2015 portant interdiction de toute activité partisane ou associative dans l'enceinte des institutions culturelles, Maisons de la culture, maison de jeunes, salles de cinéma et théâtres... la réaction ne s'est pas fait attendre.

Les partis politiques, le mouvement associatif et les syndicats ont réagi pour contraindre le wali à se rétracter et à clarifier cette étrange situation dans un autre arrêté.


Pour autant, la société civile n'a pas été rassurée, puisqu'elle estime que le dernière décision du wali complique davantage la situation.

Désormais, toute activité outre que culturelle et scientifique est subordonnée à l'avis favorable de la direction de la culture, lequel sera soumis à l'avis de la Drag qui aura à donner son avis en dernier lieu, une ancienne procédure qui se réfère à une ordonnance du 08/06/1966 portant Code pénal, modifiée et complétée par la loi n°28/89 du 26 septembre 1975, portant sur les manifestations publiques, ainsi qu'aux Codes communal et de wilaya promulgués en 2012, qui demeurent, malgré leur ère révolue, toujours en vigueur.



Hier, en marge de la session de l'APW de Béjaïa, le directeur de la culture, lequel a été convoqué très tôt le matin au bureau du wali, a été chargé par le premier responsable de donner ses clarifications aussi bien à la presse qu'à l'opinion publique, à savoir que «l'arrêté de M. le wali vise à sauvegarder les infrastructures culturelles qu'autre chose. Nous n'avons jamais refusé une demande pour activité culturelle ou scientifique, par contre toute autre activité a toujours été soumise à l'autorisation de la Drag.» Le wali, à travers cet arrêté, s'est adressé aussi bien à la direction de la culture de la wilaya qu'à la Drag, les présidents d'APC et les chefs de daïra les instruisant d'appliquer formellement cette note. Un arrêté, une fois réapparu à la surface a provoqué, comme il fallait s'y attendre, un tollé au sein des organisations de la société civile, des partis politiques et sur les réseaux sociaux notamment. Ce sont les espaces de liberté démocratique que l'on resserre ainsi, regrettent les militants des droits de l'homme, à l'instar de la Ligue algérienne des droits de l'homme (Laddh), et des animateurs du Café littéraire, de Ballade littéraire et de Bruits des mots, des syndicats autonomes et du mouvement associatif en général. En outre, en dépit de l'arrêté de clarification dudit arrêté, c'est toujours la consternation qui règne au sein de la société civile locale. Afin de riposter tous ensemble, à ses atteintes aux libertés collectives et individuelles, hautement arrachées par de grandes luttes, ses militants ont initié une rencontre qui a eu lieu hier en fin de journée dans l'enceinte du Centre de documentation en droits de l'homme appartenant à la Laddh.

En effet, on ne compte pas en rester là. Un appel est d'ores et déjà lancé en direction des organisations de la société civile pour rester vigilants afin de préparer une riposte collective à cette sortie inattendue.

C'est un véritable bras de fer qui vient d'être engagé par la société civile avec le nouveau locataire du siège de la wilaya... en dépit du recul contraignant de M.le wali, le bras de fer reste engagé...



Restructuration de l'armée : Gaïd Salah a-t-il une ambition présidentielle ?

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La succession de Bouteflika refait surface sur la presse algérienne et les analyses se multiplient, entre ceux qui parlent d'un pouvoir héréditaire, d'autres qui supposent une préparation d'un homme politique de l’intérieur, déjà proche du «clan» le plus fort, mais le quotidien francophone El Watan va plus loin en parlant de possibles ambitions du chef d'état major Gaid Saleh à la présidence.

Selon ledit journal «Certains acteurs politiques prêtent à Gaïd Salah l’intention de briguer la magistrature suprême.» après la récente série de changements institutionnels qu’a connue le pays tendent à accroître le pouvoir de l’état-major de l’armée et de l’homme qui l’incarne.

Désormais la règle du le retour du point départ ne quitte pas l'esprit en Algérie, où l'armée qui nomme les président mais cette fois-ci selon la même analyse paru sur El Watan, l'Etat major de l'armée aura tout le pouvoir qui ne sera contesté par aucun rapport de force «C’est la première fois au moins depuis un quart de siècle que l’état-major de l’armée retrouve toute sa puissance sans que ne soit disputé et/ou contestée l’autorité. Le général Toufik, qui avait réussi à faire du DRS un pôle hégémonique avec une capacité de contrôle et de soumission sur l’essentiel des segments de la société, a longtemps fait de l’ombre à l’état-major pourtant sous sa coupe. Les deux blocs ont toujours fonctionné selon la stratégie de l’équilibre de la terreur, qui a été poussé à son paroxysme au lendemain de l’élection présidentielle d’avril 2014.»


Lire l'intégralité de l'Analyse sur El Watan Ici 


Un imam arrêté pour agressions sexuelles sur 6 fillettes de moins de 6 ans

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Un autre scandale vient d'éclater mettant en cause un imam pédophile qui aurait abusé sexuellement de six petite fillettes dans l'enceinte de la mosquée où il leur enseigne  le coran. En effet, l'imam âgé de 40 ans et père de plusieurs enfants est arrêté après une plainte déposée par les parents des victimes se basant sur les avoues de ces dernières.  

Les fillettes victimes ont avoué en toute innocence les agissements de cet imam pédophiles devant le procureur.

Les habitants de Beni Yekhlef à Béchar sont sous le choc après la propagation de l'information faisant état de l'arrestation de l'imam, qu'ils ont aidé à avoir une parcelle de terrain agricole et un logement de fonction.


Pour rappel, le 27 juillet dernier, le tribunal de première instance d’Oran, a condamné à trois ans de prison ferme l’imam El Mahdi, exerçant dans la mosquée El Feth de Dar El Beïda dans la wilaya d’Oran. La même peine a été prononcée contre son disciple, un jeune homme âgé de 22 ans originaire de la wilaya de Bordj Bou Arréridj, arrivé à Oran pour suivre des cours d’apprentissage du Coran. Les deux mis en cause ont été reconnus coupables d’homosexualité et exercice d’homosexualité dans un sanctuaire sacré.

Des vidéos pornographiques des ébats des deux mis en cause, filmées avec un téléphone portable, ont été produites au tribunal. Notons enfin que c’est le jeune homme qui avait déposé plainte contre l’imam, déclarant aux enquêteurs ne plus supporter ses avances incessantes. Un autre imam impliqué dans cette scabreuse affaire est quant à lui en fuite.

Il est à noter que l’imam en question était pressenti pour le titre de mufti de la capitale de l’ouest du pays.

Un imam arrêté pour agressions sexuelles sur 6 fillettes de moins de 6 ans

Vidéo. Extrais du «Bled Runner», le nouveau spectacle de Fellag (en tournée 2015/2016)

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Vidéo.  Extrais «Bled Runner» le nouveau spectacle de Fellag (en tournée 2015/2016)

Fellag n'est pas un comédien à présenter. Il est là de retour, après plusieurs spectacles à succès, le comédien Kabyle nous revient avec une nouvelle production intitulée "Bled Runner", mise en scène par sa campagne Marianne Épin.

Il s'agit de "boucler une longue boucle entamée avec Djurdjurassique Bled (1995), écrit Fellag sur son blog. Il présente son nouvel one man show comme une sorte de best of à sa manière "Il sera constitué de textes puisés dans la matière de tous les spectacles que j'ai écrits pour la scène depuis maintenant vingt ans : Djurdjurassique bled, Un bateau pour l'Australie, Le dernier chameau,Tous les Algériens sont des mécaniciens, Petits chocs des civilisations..." dit-il.

Lire plus sur Kabylie Diaspora ICI



Vidéo. Le maire de Londres, met KO une fille de 10 ans en jouant au rugby

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Le maire de Londres est moqué sur les réseaux sociaux après avoir violemment percuté un enfant de 10 ans lors d'une petite animation rugby lors de son déplacement à Tokyo.

Quand Boris Johnson, le maire de Londres, joue au rugby, il ne le fait pas à moitié. En déplacement dans une école de Tokyo, de jeunes japonais ont voulu montrer au maire de Londres que le pays du soleil levant progresse dans le sport inventé par les Britanniques.

Boris Johnson a donc échangé quelques passes avec de jeunes enfants. Mais visiblement en colère après l’élimination du XV de la Rose lors de la Coupe du monde organisé en Grande-Bretagne, le maire de Londres a pris le jeu un peu trop au sérieux.


Balle en main, il n'a pas hésité à foncer sur une petite qu'il a violemment percutée avec son épaule, au point d'envoyer la jeune écolière au sol. Avant d’aller marquer un essai. Il s’est toutefois excusé auprès du jeune écolier et lui a offert un ballon de la Coupe du monde. Ce qui n'a pas empêché les internautes de rire de cet «incident diplomatique».





Vidéo. Coup de gueule de Sellal face à un directeur d'une banque

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En marge de la tripartite à Biskra, le premier ministre a effectué une visite dans cette wilaya. Lors d’une rencontre avec un investisseur dans le domaine de l’agriculture, le premier ministre s’est étonné que la Badr Bank exige un permis de construire d’un investisseur pour financer son projet agricole. Il a appelé le PDG de Badr Bank, Boualem Djebbar, pour fournir des explications et n’a pas manqué de le recadrer devant les caméras de la télévision.






Vidéo. Timizart est le village le plus propre de Kabylie

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Le village Timizart, dans la commune éponyme, daïra de Ouaguenoun, à 25 km du chef-lieu de la wilaya de Tizi Ouzou, a été sacré, hier, village le plus propre de la capitale du Djurdjura, lors de la cérémonie de la 3e édition du concours Aïssat-Rabah organisée hier par l'APW à la maison de la culture Mouloud-Mammeri. Malgré le manque de commodités pour une vie confortable, à Timizart, notamment son raccordement à la fibre optique, le gaz naturel ou bien l'inexistence d'aires de jeux, ce village s'est placé à la première marche du podium sur un total de 62 postulants, au concours Rabah-Aïssat, récompensant les six meilleurs villages les plus propres de la région.

Une place qui reflète clairement la volonté des citoyens de ce village de veiller sur la protection environnementale. A préciser qu'une subvention budgétaire de 8 millions DA a été décernée au village lauréat, lors de ce concours, devenu au fil des ans, une tradition pour l'APW. La deuxième place a été raflée par le village Tazrout dans la commune d'Abi Youcef, daïra de Aïn El Hammam et qui a bénéficié d'une subvention de 7 millions DA.



Le troisième prix a été décerné au village Ourdja, dans la commune de Abi Youcef, le montant obtenu a été de 6 millions DA. Rencontré en marge de la cérémonie, le P/APC de cette localité, Hami Rachid, a salué les efforts consentis par les comités de village de Tazrout et Ourdja pour préserver l'environnement de leur village. «Nous souhaitons que les villages primés soient un exemple pour les autres villages de Kabylie. Pour cela, j'appelle les comités de village à s'organiser et s'entraider pour faire de leurs cités des chefs-d'œuvre», a-t-il dit. Quant au quatrième prix de 5 millions DA, il a été décerné au village Tazrout, dans la daïra de Bouzeguène. La cinquième place a été décrochée par le village de Tigzirt, dans la daïra de Beni Yenni et qui a obtenu une subvention de 4 millions DA. Enfin, la sixième et dernière place a été décrochée par le village Tabouda dans la commune de Zekri, daïra d'Azazga. Le montant reçu est de 3 millions DA. Prenant la parole, le wali, Brahim Merad, a tenu à dénoncer l'insalubrité qui règne sur tous les axes routiers de la wilaya, que ce soit au niveau des chemins de wilaya ou les routes nationales, qualifiant cette situation de crime contre l'environnement. A cet effet, le premier magistrat de la wilaya s'est engagé à trouver les solutions idoines pour protéger l'environnement. «Nous devrons redonner à la Kabylie sa beauté d'antan. Pour cela, nous allons procéder incessamment à la réalisation des centres d'enfouissement technique (CET) et mettre en place des entreprises pérennes pour la gestion des ordures ménagères. Ainsi, nous sommes disposés à renouer les négociations avec ceux qui sont à l'origine des retards de réalisation de ces projets d'intérêt public.»

Vidéo. Timizart est le village le plus propre de Kabylie

Avec Dzair TV et Letemps

Un extrascolaire tabasse une lycéenne dans l'enceinte du Lycée

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Un individu extrascolaire a pénétré dans un Lycée de Mekla, et a commit une avanie sur une élève au beau milieu de la cour, et la passe à tabac sous les yeux des internés de ce Lycée. 

Indifférence, manque de vigilance, et surtout un déficit flagrant de la sécurité ont été des ingrédients ayant entraîné un intrus a pénétré, hier,  dans le Lycée des Frères Abbache de Mekla, et qui s’est sauvagement attaqué à une élève de ce lycée, pour des raisons qu’on ignore.

Selon notre source, le jeune agresseur avait prit la fuite dès que des lycéens et des intendants de l’administration sont intervenus. Quant à la pauvre fille, traumatisée, s’est tue dans la confusion totale, en attendant l’enquête de la police.

Dans cette optique, la même source nous indique qu'une grève sera observée par les enseignants et lycéens de ce lycée pour dénoncer l'insécurité qui règne au beau milieu de cet espace conçu pour être un lieu d'étude.


Vidéo. Ahmed Ouyahia fixe les limites rouges et menace ceux qui s'attaquent au pouvoir

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Le secrétaire général du RND, Chef du Cabinet présidentiel, Ahmmed Ouyahia est revenu à la charge contre ceux critiquent le pouvoir et l'armée et fixe des lignes rouges, il s'attaque l'aptitude des anciens enfants du système « Ceux qui critiquent l’armée aujourd’hui se bronzaient durant les années 90 sous la protection des chars. Non, l’Algérie ne se dirige pas vers un État militaire. C’est l’armée qui a protégé le pays et c’est grâce notamment à ses sacrifices que nous sommes aujourd’hui ici libres de s’exprimer » et parle de Ferhat Mehenni sans le nommer « Il y a malheureusement un fils de martyr qui va chez les sionistes non pas juste pour l'indépendance de la Kabylie mais pour la destruction de l’Algérie».

Ahmed Ouyahia fixe des lignes rouges non franchissables dont les commentaires entourant les changements au sein du DRS. « Hamdoulilah, les gens qui critiquaient le DRS et le général Toufik ont compris aujourd’hui que le DRS fait partie des appareil de l’État », il se montre menaçant en abordant l'arrestation du général Benhadid « Comme citoyen et chef d’un parti politique, j’appelle tout le monde à maitriser sa langue. L’État ne peut plus rester spectateur. Les polémiques n’arrangent pas le pays », a-t-il dit. Pour lui, « il y a des limites qui sont infranchissables, sous aucun prétexte».




Indirectement, Ouyahia salue la lettre d'excuse de Madani Mezrag qui « Cette personne a fait une première déclaration. Il a eu une réponse de l’État. Il a fait sa deuxième déclaration. Il s’est corrigé et c’est tant mieux » a expliqué le secrétaire général Ahmed Ouyahia tout en indiquant aussi les limites de la liberté d'expression « La presse doit savoir que la liberté d’expression n’est pas au détriment de l’Algérie».


Ahmed Ouyahia fixe les limites rouges et met en garde ceux qui s'attaque au pouvoir

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