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Autopsie du phénomène de l’immigration clandestine en Europe (Vidéo)

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Un livre de Abdelkader Benbrik, journaliste a entamé déjà cette expérience, pour connaitre le fond du marasme qui pousse une population africaine à tout abandonner. Abandonner sa patrie pour prendre un risque multiple au désert et en mer à la recherche d’une vie meilleure, à la recherche de la dignité perdue.

Un nombre record de 137 000 migrants ont traversé la Méditerranée dans des conditions périlleuses au cours du premier semestre 2015, selon le Haut-Commissariat des Nations unies pour les réfugié
Un nombre record de 137 000 migrants ont traversé la Méditerranée dans des conditions périlleuses au cours du premier semestre 2015, selon le Haut-Commissariat des Nations unies pour les réfugié
Combien sont-ils ces migrants clandestins Algériens et africains, qui ont pris le large pour ne plus revenir ? Combien sont-ils ces jeunes Algériens et subsahariens disparus dans la méditerranée ? Dépassées par l’ampleur du phénomène que rien n’arrive à juguler, pas même les peines d’emprisonnement de 2 à 6 mois pour toute personne qui quitte le territoire algérien d’une façon illicite, les autorités affichent profil bas.

Vidéo. Des Harragas algériens passeurs de réfugiées syriennes au large de la méditerranée 

L’émigration clandestine, “la harga’’, dans le jargon populaire, ne veut pas tarir. Un phénomène qui signe d’une part l’échec de la politique de répression « concoctée » par les Etats Africains et confirme d’autre part en Algérie– ce qui me parait plus important – le revers des différents programmes du président de la République. De toutes les manifestations du désespoir des jeunes algériens (émeutes, suicides, immolations, toxicomanies, etc.), le phénomène de l’émigration clandestine est celui qui caricature au mieux la faillite de la gouvernance d’un pays. Faut-il, en effet, souligner que ce phénomène a fait irruption au moment même où l’Algérie se trouve dans une aisance financière jamais encore observée depuis son indépendance ? Un enrichissement qui dure depuis le début des années 2000 et qui ne profite pas au citoyen lambda comme il le fallait ni aux diplômés fils du peuple.



La petite méditerranée, devenue en quelques années, un grand cimetière pour les “naufragés inconnus’’. En quelques mois, il y a eu des dizaines de naufrages, des candidats à l’immigration clandestine disparus en mer dans le silence. La scène macabre se répétait plusieurs fois par mois. Ceci n’a à ce jour fait réagir les politiques des pays du pourtour méditerranéen et surtout ceux des pays africains dont le nombre élevé des candidats, qui traversent le grand désert, avec ses risques et aventures, avant d’arriver aux côtes de l’Afrique du Nord, pour entamer dans seconde étape qui est de traverser clandestinement la méditerranée. Cette traversée méditerranéenne est devenue aussi un business, un fonds de commerce, pour des passeurs sans scrupule. Ils entassent les candidats-kamikazes dans des embarcations de fortune, équipée d’un moteur ordinaire et usé qui lâche à quelques miles de la côte, abandonnant ces êtres humains dans leurs multiples souffrances.

Leur espoir prendra fin au large devant une mort quasi certaine, mais acceptée quand même. Ils ont été jusqu’au bout de leur tentative de fuir la misère imposée, et le marasme d’une politique économique qui demeure un siècle en retard en Afrique et qui ne profite qu’à la nomenklatura et ses tentacules. Ce continent africain gouverné dans la médiocrité, très mal géré par des pseudos politiques, dont ils assument la responsabilité totale de ces dizaines de millier d’enfants africains disparus au désert du Sahel et en mer.

Cette nouvelle année de 2015, est tout à fait dramatique. La plus grande tragédie de la méditerranée a été enregistrée près de la ville Italienne Lampedusa, 366 noyés. Il y avait entre 500 et 550 personnes à bord du bateau qui s’est retourné, après être parti 24 heures plus tôt des côtes libyennes. Et parmi les victimes se trouveraient, notamment, de nombreux jeunes garçons probablement mineurs. En 24 heures les gardes côtes italiens, ont porté secours à 42 embarcations, chargées au total de plus de 8000 candidats migrants. La plupart venus des deux pays Tunisie et Libye. Les jeunes Libyens ne connaissaient point cette immigration clandestine avant la chute de Kadhafi. C’était un pays riche et prospère il employait à lui seul quelques deux millions de travailleurs étrangers, venus des pays d’Asie, en particulier du Bengladesh et de l’Inde.

Aujourd’hui, se sont les jeunes de la Libye qui quittent leur pays à la recherche d’une vie meilleure. Qui a détruit leur avenir ? Kadhafi ou les bombardements des avions envoyés par Sarkozy ! Selon les statistiques approximatives, il a été enregistré plus de 3200 personnes, mortes en mer, alors que plus de 130 000 sauvés d’une morte réelle. Or avec la multiplication des conflits au Moyen-Orient, mais aussi le terrorisme et la pauvreté imposée par certains gouvernants à leur population dans des pays d’Afrique et du Maghreb, l’inquiétude est grande à présent de voir les drames se multiplier en mer. Les gouvernements des pays Européen, persistent dans leur silence et indifférence , à l’encontre des dirigeants de pays d’Afrique et du Maghreb, qui s’obstinent à introduire des réformes et persistent à leur tour à concrétiser le marasme économique et social dans leurs pays, poussant une majorité de leur population à une « évasion collective ».



Béjaîa-Alger en voie maritime : Un voyage de 4 heures loin des embouteillages

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Le coût de la place à bord de ce bateau est de 1400 DA par personne. La durée de chaque voyage est de 04 heures . La ville de Béjaïa et la capitale seront désormais reliées par voie maritime.
Les deux navires, affrétés par l’Entreprise maritime de transport de voyageurs (ENTMV), prendront le large dans quelques jours, pour relier les deux villes en quatre heures. C’est ce qu’a annoncé Boudjema Talai, ministre des Transports. Faire le trajet Alger­Béjaïa par voie maritime est désormais possible.

Le ministre des Transports, qui s’exprimait la semaine dernière , au forum du quotidien El Moudjahid, a annoncé le lancement d’une voie maritime qui reliera les deux villes en quatre heures.

«Les deux navires, affrétés par l’ENTMV, arriveront à Alger entre le 8 et le 9 octobre prochain et la ligne maritime Alger­Béjaïa sera opérationnelle incessamment», a indiqué le ministre des Transports. D’une capacité de 206 passagers chacun et dotés des meilleures commodités, souligne­t­il, les deux navires navigueront à 60 km/heure. Une nouvelle ligne maritime est également prévue pour relier les villes de Skikda et Annaba


Avec Béjaîa Info

Révélations : Les Al Saoud n'ont déclaré que la moitié des Hadjis morts

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Tous les pays touchés par le drame de la bousculade de Mina (La Mecque) ont comptabilisé leurs citoyens morts et identifiés alors que des centaines de hajjis de différentes nationalités sont toujours portés disparus.

Par ce terme, il est entendu que ce sont des personnes non identifiées surtout à cause des entassements de cadavres opérés par les Saouds au mépris du respect du corps humain qui plus est lorsqu’il s’agit d’une personne décédée.

Selon les chiffres donnés par de nombreux pays, le bilan s’élève ce dimanche à au moins 1.448 morts, ce qui constituerait la catastrophe la plus meurtrière de l’histoire du hajj.

Alors que différentes sources avancent un chiffre de plus de 4000 morts.

Depuis un bilan officiel de 769 morts fourni le 26 septembre, deux jours après le drame, les autorités saoudiennes n’ont plus donné de nouveaux chiffres, alors que le nombre des morts de différents nationalités a quasiment doublé selon des gouvernements ou des commissions nationales du pèlerinage.

La précédente catastrophe la plus grave au pèlerinage remonte au 2 juillet 1990 quand une bousculade dans un tunnel de Mina avait fait 1.426 morts parmi des pèlerins, asiatiques pour la plupart.

Au cours des 40 dernières années ce sont plus de 4000 personnes qui ont perdu la vie dans des catastrophes à La Mecque et Mina durant la période du pèlerinage.




Avec Algérie1

Constantine capitale de la culture Arabe : les supporteurs du MOB boycotteront la Super-Coupe

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La déclaration qui fâchent les béjaouis. «Il a été décidé de domicilier la super-coupe ESS-MOB au stade Hamlaoui dans le cadre de la célébration de l'année de la culture arabe» a expliqué la LFP via un communiqué repris par l'agence officielle APS. En effet, la Super-coupe 2015 n'aura lieu ni au stade du 5-Juillet d'Alger ni à Mustapha-Tchaker de Blida, mais à Constantine étant capitale de la culture arabe pour l'année 2015

Les supporteurs du Mouloudia Olympique de Béjaîa (MOB) talonnés par leurs groupes ultras très bien structurés refusent de participer à cette «mascarade» qui veut «déraciner et effacer la dimension amazigh de l'Algérie», tandis que l'Ultras Granchio, l'un des plus grand groupe de supporteurs fidèles et dévoués au MOB a lancé une campagne de Boycott de la super-coupe, Dans cet appel, glissé dans la page facebook du club, il est mentionné :«L'ensemble des supporteurs du MOB est appelé à se joindre à l'initiative des groupes ultras du MOB qui appellent à un rassemblement au cercle des Crabes à Lekhmis», les ultras du MOB expliquent cet appel au boycott de ce match de Super-coupe par «l'identité du club qui est menacée». «Le boycott est l'affaire de tous, le MOB ne trahira jamais Azar des ancêtres, le MOB ne jouera pas un match de foot au nom de l'inculture arabe».


Ce conclave a eu lieu hier à 17h au cercle du club et des banderoles avec des slogans «BoycottSuperCoupe» et «Anneraz wala Ad neknu» ont était attachés sur les abords des grands avenues de la ville de Bgayet.

Devant cette mobilisation des supporteurs, la direction du club se trouve hésitante entre la participation qui peut lui coûter les foudres de sa galerie ou le boycott qui peut à son tour lui coûter des sanctions très sévèresde la LFP, mais selon un membre de l'ultra granchio contacté par Kabylie News, les supporteurs sont déterminés à boycotter cette «Manipulation qui vise les fondements du club et l’humiliation de la Kabylie»






Vidéo. Le ministre de la Défense tunisien dérape sur l'Algérie : « Le terrorisme nous provient d’Algérie et de Libye »

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Les déclarations du ministre de la Défense tunisien, Farhat Horchani ressemblent à celles faites par Nicolas Sarkozy. En effet, Horchani pense que son pays est victime de son emplacement géographique. « Le terrorisme nous provient d’Algérie et de Libye », rapporte, ce dimanche 11 octobre, le quotidien arabophone basé à Londres Asharq Al-Awsat relayé par TSA.

Le terrorisme selon le ministre de la défense tunisien, qui représente l’un des plus grands défis de son pays, n’est pas endogène, mais il provient des frontières avec la Libye et l’Algérie, selon la même source. Le ministre de la Défense tunisien a fait ces déclarations à des journalistes dont celui d’Asharq Al-awsat, a précisé la même source. La Tunisie a décidé de construire un mur avec la Libye pour lutter contre le terrorisme.

Pour rappel, Le 20 juillet, à Tunis l’ancien président français avait déclaré : « La Tunisie est frontalière avec l’Algérie, avec la Libye, ce n’est pas nouveau, vous n’avez pas choisi votre emplacement ».



Avant Sarkozy et Horchani, le président tunisien Beji Caid Essebsi avait déclaré, dans une interview à Itélé, diffusée le 22 mars dernier, qu’à chaque fois qu’un groupe terroriste est débusqué en Tunisie, « il y a un chef algérien » .


Université de Tizi Ouzou : On parle de promesses non-tenues !

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Leur promettant de s’acquérir de meilleurs moyens de transport qui subviendront aux besoins des universitaires, pour l’itinéraire reliant les pôles universitaires de Tizi Ouzou, la société qui a gagné le marché, le mois de janvier dernier, appartenant toutefois au groupe Tahkout, n’a, de toute manière, pas encore tenu sa promesse.



«Ils commencent leur contrat à partir de janvier 2015, avec des cous datant de l’an 2000, ils nous ont promit de les rechanger, au plus-tard six mois à compter du jour du début de leur contrat les reliant au rectorat de l’Université » nous a rappelé un étudiant qui avait participé à plusieurs rassemblements, l’année passée, revendiquant l’aménagement des moyens de transport à l'Université, et qui a, au même temps, préféré garder l’anonymat.

Après quoi, la même source nous a indiqué que pour le moment, aucun signe des promesses annoncées au début de l’année précédente n’est apparut. Des échos auraient renvoyer l’allure d’un éventuel mouvement revendicatif, réclamant le « renouvellement des bus du transport universitaire » à Tizi Ouzou. Nous y reviendront.


Prix du village le plus propre à Tizi Ouzou : Une cérémonie sur un fond d’un bras de fer politique !

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La 3èmeédition du prix Aissat Rabah du village le plus propre de Tizi Ouzou a été cette fois-ci a vu un nouveau village, contrairement aux éditions des années précédentes. Rendant hommage à l’ex P/APW assassiné en 2006 pendant qu’il prenait un café dans sa localité, l’occasion était donnée même pour le bras de fer engagé par l’opposition et les commit de l’Etat, pendant le prise de parole des P/APW, wali, P/APC des villages lauréats, et des Présidents des comités de ces même villages.

Ladite cérémonie a été ouverte par le Président de l’Assemblée Populaire de la Wilaya (APW) de Tizi Ouzou, Hocine Haroune en l’occurrence, en prononçant un discourant retraçant la vie de l’ex-P/APW, feu Aissat Rabah, rappelant, toutefois, que le prix dédié à sa mémoire revient à l’initiative de ce « militant qui a été un exemple, et que sa disparition tragique à enfouit une blessure au sein du FFS » a-t-il insinué. Émotionnelle était son intervention, Hocine Haroune  n’a pas tardé à déclarer, au coté du Wali de Tizi Ouzou, l’ouverture de la cérémonie prix Aissat Rabah discerné au village le plus propre de la région. Hormis les aveux « qui n’expriment pas » la totalité « de ce que nous ressentions », a déclaré le P/APW, ce dernier a avoué avoir « échoué à faire de cette ville (Tizi Ouzou ndlr) une beauté de la wilaya » et ceux malgré la mise en disponibilité « de tous les moyens nécessaires ». Une sorte de reconnaissance aux efforts fournis par l’Etat, à savoir la mise en disponibilité même d’une direction chargée à l’environnement dans cette ville.

Le wali a évité de clarifier, comme l’a fait le P/APW, les circonstances de sa mort, se contentant de déclarer que le martyr « a laissé des traces positives » avant de rajouter, brièvement, qu’il fut « tué par les hordes terroristes », tandis que Hocine Haroune a clairement dénoncé « un assassinat » et n'as pas ménagé ses sentiments l'enjeu qu'a engendré le meurtre de Aissat Rabah.
Rajouté à cela, et quant à la dégradation de l’environnement dans la région, le wali a culpabilisé, d’une manière discrète, le rendement des élus locaux, quant à la faillite constaté « des campagnes de sensibilisation » lancées par ces derniers, a-t-il insinué. Cette phrase n’ayant pas fait l’unanimité de la salle, le président du comité du village de Ouardja ne s’est pas laissé indifférent, et a interrogé le wali sur le rôle de l’Etat dans tout cela, et sur la pollution qui s’installe seulement dans la région kabyle, prétendant que « les autres wilayas sont dépourvues de tout malheur ! » s’est-il indigné. Alors que l’idée qui planait, concernant le rôle de l’Etat dans cette question pertinente, était celle prônée par le wali, le P/APC d’At Bu Youssef (Abi Youcef) a répondu, par une question, au wali l’interrogeant directement sur le budget réservé au communes, qui a était mis en leurs disposition de 2012 jusqu’à 2014, alors qu’en 2015 l’enveloppe budgétaire a complètement disparu, prétend ce maire.

Étrangement, l’autre déclaration, qui est passée inaperçue du public, était celle déclarée par le P/APW de Tizi Ouzou, quant à l’acquisition des projets PCD par le gouvernement, alors qu’il y a une semaine de cela, un autre parti politique connu, a dénoncé l’austérité et la politique du contre-développement tissé contre cette région.

La cérémonie, malgré son contexte social et culturel, n’a pas été dispensée d’un débat purement politique litige d'un bras du pouvoir et un autre  de l’opposition, tout en se focalisant sur la situation environnementale que subissent la région et le pays. A la fin, maintenant le suspens pendant toute une heure, Tabouda de la commune de Zekri (en 6ème ), Tigzirt de la commune d’At Yanni (5ème), Tazrout de la comune de Bouzueguene (en 4ème) Ouardja et Tazrout de la commune d’Abi Youcef (respectivement en 3ème et 2ème) sont les 5 villages dauphins du 1er lauréat de ce prix, qui ont été remerciés pour les efforts fournis par leurs citoyens et  APC qui les gèrent, pendant que le 1erprix a été discerné au village Timizar de Fréha qui a plongé dans un brin d’euphorie au moment de sa nomination en cendrillon de Tizi Ouzou.


Le wali veut interdire la politique à Béjaia

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Après la note du wali qui a imposé aux maires et aux chefs de daïra d’établir une autorisation au niveau du cabinet du wali, au préalable, avant chaque déplacement en dehors du territoire de la wilaya, en août dernier, Ould Salah Zitouni récidive pour signer, la mi septembre, une instruction sous la proposition du DRAG, interdit « catégoriquement » l’utilisation des maisons de Culture, des salles de cinéma et de théâtre « à des fins autres que celles pour lesquelles elles ont été créées ».

« Le directeur de la Culture doit veiller à ne donner aucune autorisation ou accord pour une quelconque organisation ou association pour la tenue d’un rassemblement ou d’un événement », précise-t-il, avant d’ajouter que le « secrétaire général de la wilaya, le directeur des affaires publiques, celui de la culture, les président de daïra et les présidents des APC doivent appliquer cette décision ».

Pour les responsables de la Ligue algérienne des droits de l’Homme qui a qualifié cette instruction de «grave dérapage», le « droit d'organisation des événements et le droit à l'expression sont garanties dans les textes», avant d’appeler les partis politiques et la société civile pour défendre les espaces d'expression et les libertés publiques.

A cet effet, le Centre de documentation en droits de l'Homme (CDDH) organise mercredi 14 octobre une réunion au CDDH-Bejaia à 16H30 pour débattre de la suite à donner à cette décision.

« Le wali est en train de restreindre les libertés ! », regrette Hocine Boumedjane, membre de la Ligue algérienne pour la défense des droits de l’homme (LADDH) qui dénonce « ces comportements et ces agissements ». « Au sein de la société civile, nous allons nous concerter pour voir ce que nous allons faire », assure notre interlocuteur.

Le wali veut interdire la politique à Béjaia

KN avec agences

Vidéo. Fermeture d'El Watan et arrestation brutale des journalistes en protestation

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Les forces de police ont mis sous scellés, hier, le siège de la chaîne de télévision El Watan Al Djazaïria (un média qui n’a aucun lien avec le quotidien El Watan, ndlr), situé à Draria, empêchant les 170 employés de la chaîne d’accéder aux locaux. Cette action intervient suite à la requête du ministère de la Communication, qui a demandé au wali d’Alger de procéder à la fermeture des locaux de la chaîne de télévision.

Vidéo. Fermeture d'El Watan et arrestation brutale des journalistes en protestation

Selon l’APS, qui cite un responsable du ministère de la Communication, la chaîne El Watan TV, «exerce de manière illégale et diffuse, de surcroît, des contenus subversifs et portant atteinte aux symboles de l’Etat». Pour justifier cette fermeture, les services du ministère de la Communication se sont appuyés sur la loi relative à l’activité audiovisuelle et rappellent qu’El Watan TV était «en infraction» avec les dispositions de l’article 20 de cette loi, qui prévoit la soumission de l’exercice de l’activité à une autorisation préalable délivrée par décret.

A titre de rappel, le décret exécutif n°14-152 du 30 avril 2014 fixe les modalités d’accréditation des journalistes professionnels exerçant pour le compte d’un organe de droit étranger, sur la base duquel le département de la Communication délivre un agrément provisoire de représentation d’un média de droit étranger et des accréditations à ses journalistes. Sauf que les arguments avancés par les services du ministère ne tiennent pas la route.


Quelques jours auparavant, le ministre de la Communication, Hamid Grine, avait reconnu lors d’un point de presse que la grande majorité des chaînes de télévision étaient dans l’illégalité. «Cinq chaînes seulement sur les quarante-trois sont en règle», avait déclaré le ministre. En réalité, la chaîne de télévision paye la diffusion de l’interview de Madani Mezrag, dans laquelle l’ancien chef de l’AIS (bras armé du FIS dissous) menaçait le président Bouteflika, si on lui refusait la constitution d’un parti politique. «Le Président est dans un état qui ne lui permet pas de prendre des décisions.

Il s’était déjà trompé sur notre compte en 2009 dans un discours à Oran. Notre réponse a été très forte et aujourd’hui le Président refait la même chose. Quels que soient le conseiller ou la partie qui sont derrière, il nous oblige à lui répondre avec virulence. On va lui rappeler notre réponse de 2009 et s’il ne revoie pas sa position, il va entendre de moi ce qu’il n’a jamais entendu auparavant», avait averti l’ancien chef terroriste. Madani Mezrag n’a pas été inquiété pour ses «propos attentatoires aux symboles de l’Etat» tenus sur un plateau d’El Watan Al Djazaïria.



Aucune plainte contre cet ex-chef terroriste, qui jouit d’une totale liberté de mouvement et d’action. Pourquoi poursuit-on en justice le support médiatique sans l’auteur de ces propos jugés «attentatoires au chef de l’Etat» ? Les autorités font preuve ainsi de deux poids, deux mesures, en ce sens qu’elles ont mis en prison le général à la retraite Hocine Benhadid,pour sa liberté de parole jugée excessive, et laissé cet ex-chef terroriste en liberté après avoir menacé le président de la République. Une question mérite d’être posée : qui protège Madani Mezrag ? Ce dernier, faut-il le rappeler, avait été invité en juillet 2014 par la présidence de la République en tant que «personnalité nationale» afin d’émettre son avis sur la révision de la Constitution.

Pour Djaffar Chali, le propriétaire d’El Watan TV DZ et proche du parti politique Mouvement de la société pour la paix (MSP), les autorités se trompent en croyant pouvoir lui mettre «genoux à terre». Joint par téléphone par le quotidien El Watan, le propriétaire s’est dit surpris par la décision de fermeture, alors qu’une plainte a été déposée par le ministère de la Communication : «Pourquoi fermer El Watan El Djazaïria alors que la justice n’a pas encore statué sur la plainte déposée par le ministère ?»

Pour lui, la précipitation des autorités est le signe d’une grande fébrilité de leur part, au moment où sa chaîne offrait «une liberté de ton et permettait à tous les Algériens de s’exprimer et que son audience auprès des téléspectateurs ne cessait de grimper». «Ils ont peur», a estimé Djaffar Chali, décidé à se battre pour la réouverture de ses locaux et pour que ses «employés puissent reprendre le travail». El Watan TV est la deuxième chaîne à être fermée depuis l’ouverture du champ audiovisuel au privé il y a quatre ans. Le 12 mars 2014, en pleine campagne présidentielle, les autorités avaient procédé la fermeture d’Atlas TV.



Vidéo de l'arrestation des journalistes d'El Watan TV qui observaient un sit-in de protestation  



#أغلقوا_قناة_الوطن_الوطن_الجزائرية لحظات توقيف صحفيي قناة الوطن من قبل عناصر الشرطة خلال الوقفة الاحتجاجية التى نظموها أمام وزارة الاتصال....فهكذا يعامل الصحفي عندما يقول كلمته!!!! ...#الحرية_للوطن ✌
Posted by Messàge Poùr Voùs on lundi 12 octobre 2015

Avec El WATAN 

Vidéo. Ĝerĝer (Djurdjura) et la Kabylie vus du ciel

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Le groupe Skycam Algeria a récemment publié une nouvelle vidéo montrant des images prises du ciel sur le massif du Djurdjura, plus précisément sur les hauteur de Bouzueguene dans la wilaya de Tizi Ouzou en Kabylie. Filmées à l’aide d’une caméra GoPro et d’un drone, ces images ne sont pas les premières fournies par ces passionnés de photographie.Dans ces clichés réalisés par le groupe, la Kabylie révèle toute sa splendeur et la beauté spectaculaires de ses paysages grâce à une technique high-tech révolutionnaire.

Ces passionnés de photographie ont ajouté des drones à leur équipement offrant une perspective inédite à leurs prises. Ce n'est pas tous les jours que l'on peut voir la Kabylie du ciel et le résultat est sensationnel.

Vidéo. Ĝerĝer (Djurdjura) et la Kabylie vus du ciel


Ali Heddad s'en prend à Issad Rebrab sans le nommer

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Dans des déclarations rapportées par le quotidien arabophone Echourouk, le patron des patrons Ali Haddad s'en est pris au PDG du plus grand groupe privé en Algérie, Issad Rebrab sans le citer sur le fond de la polémique entre ce dérnier et le ministre de l'industrie Abdesslam Bouchouareb et les accusations mutuelles qui ont suivis . En effet, à partir d’El-Oued, dans le sud-est du pays, Ali Haddad a accusé Issad Rebrab – sans le nommer – de faire partie de «ceux qui détiennent des journaux et activent dans des partis politiques pour brosser un tableau noir sur la situation du pays et répandre le découragement et le désespoir». Ali Haddad a notamment indiqué que «quatre personnes ont la mainmise sur les journaux et militent depuis 25 ans au sein de partis politiques sans avoir apporté quoi que ce soit au pays, se contentant de saper le moral du peuple».

Le président du FCE qui s’exprimait à l’issue de l’installation du délégué du FCE à Oued Souf, a affirmé qu’il y a un groupe de personnes qui s’attellent à donner une mauvaise image du pays en les traitant de « menteurs ». « Ces gens se comportent comme des personnalités, fréquentent les salons d’honneur des aéroports, mais n’apportent rien au pays », a déclaré Haddad, sans citer de noms.


Vidéo. Inondations, dégâts matériels et panique à Alger

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Les fortes chutes de pluie, accompagnées de rafales de vent, dans la nuit de mardi à mercredi à Alger, n'ont pas fait de victimes, mais beaucoup de dégâts matériels, indique un bilan de la protection civile, qui a effectué 38 interventions.


" La Protection civile d'Alger a effectué dans la nuit de mardi à mercredi 38 interventions pour faire face à des inondations et des infiltrations d'eau, ainsi qu'à d'autres événements en lien à des pluies qui ont affecté la wilaya", a souligné le capitaine Saïdj Belkacem, chargé de communication à la direction de la Protection civile de la wilaya d'Alger .

Les interventions des unités des sapeurs pompiers ont commencé dans la nuit du mardi à 22 heures et se sont terminées mercredi à 7 heures, selon la même source.



Sur les 38 interventions de la protection civile de la wilaya d'Alger, 32 ont concerné des inondations et des infiltrations d'eau enregistrées dans plusieurs communes dont Bir Mourad Raïs, Sidi M'hamed, Belouizdad, Alger-Centre, Bouzaréah, Hydra, Aïn El Benian et El Achour. Dans certaines de ces communes, la hauteur du niveau des eaux a était entre 30 à 50 centimètres.

Dans les trémies du 1er-Mai, du Ruisseau et du Jardin d'Essai, la hauteur des eaux a atteint un mètre et il a fallu l'appui des unités de SEAAL et d'ASROUT pour rétablir la situation dans son état initial, à indiqué le capitaine Saïdj.

Ces fortes chutes de pluie, suivies d'inondations de certaines artères urbaines, ont également provoqué l'arrêt des dessertes du tramway d'Alger.

Dans les habitations, des infiltrations d'eau ont eu lieu à partir des plafonds, des murs, des jardins et des cours alors que les inondations ont affecté les caves de certaines cités ainsi que les voies publiques et les axes routiers où les avaloirs étaient obstrués, détaille la même source.

Par ailleurs, les sapeurs pompiers ont effectué six autres sorties liées aux chutes de câbles électriques et des déracinements d'arbres.

M. Saïdj a aussi indiqué qu'un mur de 15 mètre s'est effondré dans la commune de Bir Mourad Raïs, endommageant des véhicules stationnés à proximité mais sans faire de victimes.

Pour rappel, le 10 octobre dernier, 74 interventions ont été effectuées par des unités de la protection civile de la wilaya d'Alger à cause d'importantes chutes de pluie, accompagnées de rafales de vent, qui ont provoqué des inondations et des infiltrations d'eaux sur les grandes artères d'Alger.



Vidéo. Inondations, dégâts matériels et panique à Alger

Avec APS

Vidéo. Que connaissent les britanniques de l'Algérie

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Divertissement - Que cannaient les habitants de Londres sur l'Algérie, son histoire, sa culture, son emplacement géographique ? Apparemment pas grande chose ! c'est ce que nous apprend la vidéo ci-dessous.

Vidéo. Que pensent les britanniques de l'Algérie


Vidéos. Sellal promet la réalisation du «plus grand projet depuis l'indépendance» en 2016

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Les travaux de réalisation du nouveau port commercial de la région centre, prévu entre les villes de Cherchell (Tipaza) et de Ténès (Chlef), devraient débuter en 2016, a annoncé mercredi à Biskra le Premier ministre, Abdelmalek Sellal.

«On va réaliser ce port, considéré comme l’un des plus grands projets de l’Algérie, en 2016», a indiqué M. Sellal lors de 18ème tripartite (gouvernement-patronat-UGTA) en réponse aux interventions des présidents des organisations patronales.

Ce projet sera réalisé par des entreprises nationales publiques et privées en partenariat avec des étrangers, selon le Premier ministre qui a souligné que ce port de transbordement aura des capacités "énormes".




Cette vocation du futur port lui permettra, entre autres, d’acheminer les marchandises vers l’Afrique après son raccordement aux axes autoroutiers, selon les explications de M. Sellal.

Les travaux de réalisation nécessiteront un investissement de près de 200 milliards de DA, rappelle-t-on.

Les financements pour la réalisation de cette infrastructure d'envergure, qui devra être réalisée en 3 étapes dans un délai de 10 ans, ne seront pas supportés par l'Etat. A cet effet, le ministère des Transports étudie actuellement les modes de financement possibles sans pour autant recourir au Trésor public.

Ce port devrait augmenter les capacités portuaires actuelles de la région centre qui ne seront pas en mesure de faire face à la croissance du trafic prévu à l'horizon 2050.



Selon les prévisions du secteur des transports, le volume du trafic dans cette région du pays devrait atteindre, à cette échéance, 35 millions de tonnes de marchandises/an et deux (2) millions de conteneurs de 20 pieds annuellement contre 30% de ce volume traité actuellement par les ports d'Alger et de Ténès, soit près de 10,5 millions de tonnes actuellement.

Le nouveau port du centre, qui devrait s'étendre sur une superficie de plus de 1.000 hectares, sera accompagné d'une zone logistique s'étalant sur 300 hectares.

Une fois ce port réalisé, il est prévu de transférer progressivement certaines activités du port d’Alger vers cette nouvelle place portuaire.

Vidéos. Abdelmalek Sellal promet la réalisation du «plus grand projet depuis l'indépendance» en 2016


Avec APS

DRS : Le général Tartag écarte 11 généraux

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Le nouveau patron du Département du Renseignement et de la Sécurité (DRS), le général-major Othmane Tartag, alias Bachir a procédé à un vaste mouvement dans les différentes directions de l’appareil qu’il dirige depuis le 13 septembre 2015.

En effet, selon Algérie1 pas moins de 11 officiers supérieurs du DRS ont été démis de leurs fonctions. Il s’agit du général Amine chargé de la surveillance audio-visuelle, du général Touati, directeur des ressources humaines, du général-major Ali Bendaoud responsable de l’inspection générale, du général Seghir responsable du service technique, le général Lotfi chargé des sports, des affaires sociales et du Hadj (pèlerinage), le général Achour responsable du service économique, le général Abdelkader Khamel responsable du service d’intervention, le colonel Salim Belazoug chargé de la police judiciaire et le général major Hemami responsable du service du parc et des équipements.

Bachir Tartag a également mis fin aux fonctions du directeur du cabinet de l’ex chef du DRS Toufik, le général-major Redhouane ainsi que du général major El Hadj Rafik et du général Tayeb chargé de la formation.

Selon El-Khabar, le nouveau patron du DRS a maintenu dans leurs postes le général Youssef chargé du contre espionnage et le général Abdelkader responsable de la sécurité intérieure (DSI).

Après le départ du général de corps d’armée Mohamed Lamine Médiène, cette restructuration interne était prévisible et attendue nous ont confié des responsables au niveau de ce service. A sa nomination Othmane Tartag avait pour feuille de route de rajeunir le service, de rétablir les officiers intègres et compétents jusque là confinés dans des placards, d’alléger le mastodonte qu’est devenu le DRS en devenant un Etat dans l’Etat, de le faire tourner vers ses prérogatives originelles, le renseignement militaire et stratégique en rapport avec la sécurité nationale et non plus les affaires civiles qui relèvent des juridictions civiles soulignent les mêmes sources.

Le général Tartag écarte 11 généraux
Le général Tartag écarte 11 généraux 


Vidéo. La ligne maritime Alger-Béjaïa à partir d'Aujourd'hui

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Le voyage inaugural de la ligne maritime Alger-Béjaïa aura lieu ce mercredi 14 octobre, à partir d’Alger. L’entreprise nationale de transport maritime des voyageurs (ENTMV) qui vient d’acquérir deux bateaux pour les voyageurs chez un constructeur naval Italien exploitera cette ligne maritime durant le mois d’octobre, mais sera suspendue au cours de la période hivernale avant de reprendre le mois de mai prochain.


La direction de l’ENTMV a fixé le tarif à 1 400 Da par personne avec des réductions pour les personnes aux besoins spécifiques et les étudiants. Ces derniers bénéficieront d’une réduction de 50% du prix initial et une remise de 70% pour les enfants.

D’autres offres sont proposées, notamment, aux familles dont les membres ne dépassent pas 4 personnes. Ceux-là pourront voyager grâce à un tarif forfaitaire qui peut aller jusqu’à 3000 DA.

D’une capacité maximale de 220 passagers, les bateaux accosteront au port de Béjaïa où l’Entreprise portuaire de Béjaia (EPB) a mis à la disposition de la société de transport un quai d’accostage et tous les moyens pour accueillir les passagers. Les voyageurs pourront parcourir les deux points d’accostage en moins de 4h.

D’après une responsable locale de l’ENTMV, les bateaux effectueront deux navettes par jours. A partir de la semaine prochaine, le dimanche, une traversé sera assurée à 5h de Bejaia pour arriver vers 9h à Alger. Le retour est programmé depuis Alger à 15h avant d’arriver à Béjaia vers 19h.

Vidéo. La ligne maritime Alger-Béjaïa à partir d'Aujourd'hui




Avec APS

Après Bouira : la brucellose humaine se propage vers Tizi Ouzou et d'autres wilayas

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Selon le Docteur Ferah, président de l’association des vétérinaires praticiens de la wilaya de Bouira (AVPWB), qui a déclaré en marge d’une assemblée générale des vétérinaires de la wilaya, tenue hier au niveau du siège de la chambre de l’agriculture de la wilaya, après la wilaya de Bouira, l’épidémie de la brucellose humaine se propage à travers plusieurs wilayas du pays.

En effet et d’après le même responsable cité par le journal DDKabylie, des cas de brucellose humaine viennent d’être signalés au niveau des wilayas de Tizi-Ouzou, Biskra et Tebessa. «Des collègues à nous, nous ont confirmé la propagation de l’épidémie, au niveau des wilayas de Biskra, Tebessa et de Tizi-Ouzou», affirme la même source, avant d’ajouter : «Rien que ce matin, une collègue vétérinaire nous a confirmé 05 nouveaux cas de brucellose humaine dans la localité d’Azazga».

En ce qui concerne les cas signalés au niveau de la wilaya de Bouira, notre interlocuteur a affirmé que de nouveaux cas sont régulièrement enregistrés à travers l’ensemble du territoire de la wilaya. «L’épidémie se propage aux quatre coins de la wilaya, et nous n’arrivons toujours pas à y mettre un terme. Au moins 30 vétérinaires sont actuellement touchés par cette maladie et le risque de multiplication des cas dans les prochains jours est certain. Nous n’avons toujours pas pu identifier le nombre exact des citoyens et des éleveurs atteints par cette pathologie.

Des sources non-confirmées parlent de 100 cas, mais nous ne pouvons toujours pas confirmer cette information, puisque les services de la DSP refusent de communiquer le chiffre exact», affirme le Dr Ferah. qui n’a pas manqué, par ailleurs, de tirer la sonnette d’alarme tout en affirmant le manque de moyens et d’information concernant cette pathologie : «Nos hôpitaux manquent cruellement de moyens, notamment les antidotes et les kits. La communication et la sensibilisation font également cruellement défaut dans notre wilaya. Les citoyens doivent être impérativement sensibilisés et informés à propos de cette maladie», a-t-il tenu à préciser. Pour leur part, les vétérinaires praticiens présents lors de cette assemblée n’ont pas manqué de dénoncer le manque de moyens mis à leur dispositions dans la lutte contre cette épidémie. «Les kits distribués par la DSA ne disposent mêmes de gants de protection. Les vétérinaires ainsi que les éleveurs ne savent même pas comment utiliser ces kits !», dénonce l’un des intervenants. Le manque de formation pratique, l’absence de communication ainsi que la non-couverture par les caisses d’assurances de cette pathologie ont été les autres points soulevés par les participants. «Les caisses d’assurances ainsi que les services des impôts ne prennent pas en considération ce genre d’épidémie, et ce, malgré l’existence des textes de lois et des arrêtés ministériels qui les classent dans le case des maladies professionnelles», dira un autre intervenant, avant d’ajouter : «L’année dernière lors du passage de l’épidémie de la fièvre aphteuse, un arrêté interministériel nous signalait un arrêt total des activités, ce que nous avions fait et pendant plus de trois mois. Mais malheureusement les services des impôts avaient comptabilisés ses trois mois, et ce, malgré que nous n’avions pas exercés pendant plus de 90 jours !». A noter enfin, que l’association des vétérinaires de la wilaya prévoit l’organisation à la fin du mois en cours d’une journée nationale sur le thème de la brucellose. Des spécialistes en infection humaine et animale prendront part à cet événement.

La brucellose humaine se propage vers Tizi Ouzou et d'autres wilayas
Avec DDKabylie

Vidéo. Un syndicaliste français refuse de serrer la main de François Hollande

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Vidéo. Un syndicaliste français refuse de serrer la main de François Hollande

France - Alors que le Président Français visitait le chantier naval de Saint Nazaire, il s'est retrouvé face à un ouvrier syndiqué récalcitrant à lui renvoyer la politesse, qui lui a reproché de ne pas condamner la «violence patronale».

C'est ce qu'on appelle un couac, que l'équipe de communication de François Hollande n'avait pas prévu. Sous l'oeil des caméras, Sébastien Benoît a ostensiblement toisé le Président de la République en geste de solidarité avec les salariés d'Air France, mais aussi de STX Nazaire, où une quarantaine d'emplois sont menacés.



▷ Un représentant CGT refuse de serrer la main du Président► Par solidarité avec les salariés d'Air France, ce représentant syndical de la CGT a refusé de serrer la main de F. Hollande, en déplacement sur les chantiers navals de Saint-Nazaire
Posted by iTELE on mardi 13 octobre 2015

Vidéo. Un journaliste finlandais : «M. Erdogan, êtes-vous un dictateur ?»

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Tayyip Erdogan. a beau être un tribun, il n'en a pas pour autant la rondeur nécessaire pour s'extirper des questions dérangeantes. C'est la raison pour laquelle les journalistes capables de l'approcher sont directement accrédités par le Palais et aucun ne s'aventurerait à poser une colle au chef de l'Etat.

Le problème se pose lorsqu'un chef d'Etat étranger vient à Ankara. Le raïs turc peut alors se retrouver confronté à de singulières questions. La dernière en date a été posée par un journaliste finlandais qui lui a carrément demandé s'il était un dictateur. Tom Kankkonen, journaliste indépendant en Turquie de 1994 à 2000, avait déjà interrogé Erdogan lors d'une visite en Finlande en 2013 sur la mixité dans les résidences universitaires. "Vous êtes en mission spéciale", lui avait rétorqué le Premier ministre de l'époque.

"Si j'étais dictateur, vous n'auriez pas pu me poser cette question"




Erdogan, piqué au vif, a commencé par demander le nom du quotidien dans lequel le journaliste finlandais travaille avant de lâcher : "Vous n'auriez pas pu poser cette question dans un pays gouverné par un dictateur".

Le président a indiqué que la presse turque n'hésitait pas à injurier sa personne et les membres de sa famille et que cette configuration faisait de la Turquie un pays où "les libertés sont illimitées". Il a même prétendu que son pays était sur ce point en avance sur d'autres pays européens.

En réalité, Erdogan a tendance à qualifier d'insulte toute critiques acerbe. Des centaines de personnes sont actuellement sous le coup d'enquêtes pour offense envers le chef de l'Etat, un délit puni d'un an à quatre ans d'emprisonnement. Récemment, c'est le rédacteur en chef de Today's Zaman, Bülent Kenes, qui a été placé en détention provisoire pour avoir envoyés des tweets qualifiés d'insultes par la justice turque.

L'offense au chef de l'Etat, la nouvelle épée de Damoclès


Selon de nombreux observateurs, l'article 299 du code pénal qui prévoit cette infraction serait devenu le "nouveau 301", en référénce à l'article 301 du même code qui punissait les atteintes à la turcité et qui, à ce titre, permettaient d'étouffer toute critique contraire au canon officiel de la République. Le prix Nobel de littérature Orhan Pamuk avait été ainsi traîné en justice pour avoir exprimé une lecture différente sur la déportation des Arméniens ottomans en 1915.

Mercredi 14 octobre, c'est l'ancien rédacteur en chef de Zaman, Ekrem Dumanli, qui faisait l'objet d'une plainte pour offense envers le chef de l'Etat. Celui-ci a en effet estimé qu'un des articles publiés dans le quotidien avait insinué qu'il avait fait transférer des armes au Nigéria par le biais de la Turkish Airlines. Le journal avait seulement évoqué les allégations et publié la réponse de la compagnie aérienne turque.

L'Euro atteint un pic historique sur le marché parallèle

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L'euro poursuit son ascension, le dinar chute inexorablement ! Hier, à la vente, un euro s'échangeait contre 171 DA, un dollar américain valait 150 DA et une livre sterling coûtait pas moins de 225 dinars. Débarqués en début d'après-midi au niveau du marché parallèle des devises d'Alger, les cambistes qui ont repris du service, après les mauvais jours passés suite à la descente policière du printemps dernier, nous confirment que le dinar n'a jamais été aussi bas. «Cela fait 8 ans que j'exerce ce métier, j'avoue que je n'avais jamais assisté à de tels niveaux», a affirmé un cambiste de la place. Interrogé si cette dégringolade serait passagère ou qu’elle serait plutôt le début d'une tendance baissière, notre interlocuteur se montre encore une fois convaincu du fait que «nous assistons à une baisse de la valeur du dinar qui pourrait se terminer par un échange de 1 euro contre 200 DA». Au moment où nous avons engagé la discussion avec ce cambiste, son collègue est intervenu pour expliquer les raisons de cette hausse fulgurante. D'après lui, c'est l'approche du réveillon et des fêtes de fin d'année qui ont pesé lourdement sur la valeur de la monnaie nationale. «Vous savez très bien que les Algériens qui ont de l'argent quittent le pays pour une semaine à 10 jours afin de profiter du réveillon en France, en Espagne, en Turquie et même à Dubaï… et oui, même à Dubaï», a-t-il insisté, comme pour attirer notre attention sur le paradoxe qui fait qu'un émirat arabe et musulman propose des séjours où l'on peut passer des vacances «peu hallal». Refusant de mélanger convictions religieuses et business, notre interlocuteur principal réplique «ils ont de l'argent, ils en font ce qu'ils veulent. Nous, ce qui nous intéresse c'est qu'on nous laisse travailler tranquillement». Allusion faite au remue-ménage opéré par la police pour déloger les cambistes du Square. Une opération dont l'effet n'a pas dépassé quelques petites semaines.


La baisse du cours officiel et la promotion des billets d'avion évoqués


Du Square Port Saïd, nous nous sommes déplacés vers le marché Clauzel pour prendre la température. Alignés sur les mêmes tarifs que ceux du Square, les cambistes de Clauzel trouvent d'autres explications à la flambée des devises. Pour eux, la chute continue de la valeur officielle du dinar, ainsi que les promotions et offres spéciales de certaines compagnies aériennes pour des destinations très fréquentées y sont pour beaucoup dans l'équation dinar-devises. «En cette période de basse saison, les compagnies ont cassé les prix en lançant des promotions qui descendent jusqu'à
25 000 DA pour un Alger-Paris-Alger. Or, ce même billet pouvait coûter jusqu'à 55 000 DA en pleine période estivale», a argué l'un d'eux.
Son copain qui paraît plus au fait des cours de la Bourse officielle évoque, pour sa part, la dévaluation du dinar opérée ces derniers mois par la Banque d'Algérie, pour expliquer la dégringolade de la monnaie nationale sur le marché informel. Encore un autre cambiste qui tente d'apporter «son éclairage» sur cette question. A le suivre, les inscriptions universitaires en France et dans d'autres universités européennes prisées par des étudiants algériens, sont ouvertes. Ce qui fait, selon lui, que les étudiants sont à la recherche des devises pour s'inscrire et y vivre dans ces pays, étant donné que l'accès au travail ne leur ai pas permis pendant qu'ils étudient.
Tous ces éléments ont mené à un phénomène d'augmentation de la demande au moment où l'offre de la devise est restée inchangée, dopée principalement par les pensions des retraités de la France qui reviennent s'installer dans leur pays d'origine avec les devises qu'ils échangent sur le marché parallèle. Aux changes officiels, un euro vaut actuellement 119 dinars. Un dollar américain s'échange à 105 dinars. La livre de Sa Majesté la reine Elisabeth coûte 161 DA au change officiel.


L'Euro atteint un pic historique sur le marché parallèle

Avec  letempsdz


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