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Vidéo. Bousculade à la Mecque : Le bilan des Hadjis algériens morts s'alourdit

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Au moins 717 pèlerins ont été tués et des centaines blessés dans une bousculade jeudi à Mina, près de La Mecque, le second drame à frapper les fidèles musulmans en moins de deux semaines. Selon un dernier bilan de la Défense civile, « le décompte (des victimes) se poursuit et le nombre de morts a atteint 805 de différentes nationalités » et plusieurs centaines de blessés. Ce bilan n’a cessé de grimper depuis l’annonce de cette nouvelle tragédie qui a frappé le grand pèlerinage annuel musulman. Il s’agit de la pire catastrophe à frapper le pèlerinage (hajj) depuis 25 ans.

Le journal arabophone El Khabar avait déjà annoncé six blessés parmi les Hadjis algériens avant que la chaîne de télévision Ennahar rapporte deux morts dans le drame survenu aux terres saintes de l'islam.



Vidéo. Un adolescent endoctriné pleure avant d’aller se faire exploser

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Selon le journal britannique Daily mail, ce jeune homme qui part en mission suicide est ouzbek et s’appelait Jafar al Taiiar. Il fond en larmes devant ses « camarades » du Front al-Nosra, affilié à Al Qaïda, après avoir reçu pour mission de faire exploser le véhicule blindé bourré d’explosifs, dans le village voisin, aux mains des hommes fidèles à Bashar al Assad.

Il semble que l’objectif de cette vidéo soit d’encourager et de glorifier les martyrs, mais le but n’est pas vraiment atteint. On entend l’adolescent se plaindre, « j’ai peur, je ne veux pas ». L’un des hommes lui répond, « frère, il ne faut pas avoir peur, rappelle-toi Allah » !


Vidéo des premiers instants de la Bousculade de la Mecque : Des centaines de morts

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C'est le drame le plus meurtrier durant un pèlerinage à La Mecque en 25 ans. Au moins 717 personnes de différentes nationalités ont trouvé la mort dans une bousculade de pèlerins musulmans jeudi près de la ville sainte, selon un nouveau bilan de la Défense civile saoudienne. Plus de 800 personnes ont aussi été blessées. Un choc entre une marée humaine quittant l’une des stèles et une foule venant en sens inverse a provoqué le drame près du site de la lapidation symbolique de Satan, à Mina, près de la Mecque.




«Le nombre des morts est monté à 717 et celui des blessés à 805», a indiqué la Défense civile sur Twitter dans une nouvelle actualisation du bilan. Six de ses équipes s’emploient sur le terrain à porter les premiers soins aux blessés et à diriger le flot de pèlerins vers des «routes alternatives».

Selon un responsable du ministère de la Santé, la bousculade s’est produite lors du rituel de la lapidation de Satan qui consiste, pour les pèlerins, à jeter des cailloux vers trois stèles le représentant.

Le prince héritier d’Arabie saoudite, Mohammed ben Nayef, a ordonné l'ouverture d'une enquête mercredi. Cette décision a été prise lors d’une réunion des principaux responsables du Hajj présidée par le prince héritier, en sa qualité de chef de la haute commission du pèlerinage, selon l’agence officielle SPA. Les conclusions de cette enquête seront soumises au roi Salmane.



Manque de vigilance des pèlerins ou failles dans la sécurité ?

Le ministre saoudien de la Santé a attribué la bousculade meurtrière au manque de discipline des pèlerins qui ont tendance, selon lui, à ignorer les instructions des responsables du hajj. «Si les pèlerins avaient suivi les instructions, on aurait pu éviter ce genre d’accident, a déclaré Khaled al-Faleh à la télévision publique El-Ekhbariya après s’être rendu sur place. De nombreux pèlerins se mettent en mouvement sans respecter les horaires» fixés par les responsables de la gestion des rites.

L’Iran, qui compte 43 morts dans la bousculade, a attribué la tragédie à des failles dans le dispositif de sécurité saoudien, un vice-ministre accusant Ryad «d’irresponsabilité».


Des images vidéos publiées en ligne montrent de nombreux corps inertes jonchant le sol, recouverts ou non de draps blancs, ainsi que des affaires personnelles éparpillées. Dans la pagaille, des hommes des services d’urgence et de sécurité tentent d’organiser l’évacuation des corps sur des civières, sous les yeux de pèlerins hagards. Selon ces images, le drame a eu lieu sur une voie bitumée passant entre les milliers de tentes blanches dressées chaque année à Mina pour accueillir les pèlerins.

Les autorités ont fermé les accès du lieu de l’accident qui s’est produit à l’intersection de deux voies aménagées pour faciliter le mouvement des fidèles dans la vallée. Quatre hôpitaux ont été réquisitionnés, ainsi que 220 ambulances et des hélicoptères, dans le cadre des opérations de secours.

Avec Libération 

Vidéo. Un migrant admet qu'il n'est pas vraiment Syrien mais Algérien

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Une confession insolite d'un migrants dans un camps de réfugies syriens. Il admet qu'il est algérien et vit depuis six ans en France, apparemment en clandestinité. Ce «Harrag» algérien aurait profité du drame des réfugiés syriens pour s'ouvrir une porte pour l'asile.

Les drames des migrants, ou plutôt des réfugiés, se succèdent créant un véritable malaise au sein des pays européens, mais aussi des pays d’origines, depuis lesquels les odyssées pour l’enfer partent.

Carrefour Du Monde s’intéresse aux déferlantes humaines se brisent contre des barbelés ou des cordons de police. Des familles entières, pour la plupart des syriens, se retrouvent en détresse, l’Europe, dénudée de toute action urgente bien fondée et face à ses politiques se retrouve obligée de prendre des mesures pour accueillir les milliers de familles syriennes.

Vidéo. Un migrant admet qu'il n'est pas vraiment Syrien mais Algérien



Trois Hadjis algériens morts dans la bousculade d'aujourd'hui à Mina (Mecque)

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Trois hadjis algériens (un homme et deux femmes, originaires de Batna) sont décédés dans la bousculade de pèlerins survenue jeudi à Mina (près de La Mecque), a indiqué à l'APS le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Abdelaziz Ben Ali Chérif.

Six (6) autres Algériens, dont une femme, ont été "légèrement" blessés dans la bousculade à Mina, a précisé la même source.

Cet incident a fait, selon un dernier bilan, 717 morts et plus de 800 blessés parmi les pèlerins.

Une cellule de crise a été installée au niveau du MAE pour "travailler en étroite collaboration avec celle instituée par le ministère des Affaires religieuses et des Wakfs pour le suivi de l'évolution de la situation", avait précisé un communiqué du ministère.

La mission algérienne est "pleinement mobilisée" et travaille sous le contrôle du ministre des Affaires religieuses et des Wakfs, Mohamed Aissa, qui se trouve sur place et en coordination avec le consul général d'Algérie à Djeddah, Abdelkader Kacimi El Hassani, et l'équipe médicale afin d'identifier les ressortissants algériens qui seraient touchés par ce drame, avait ajouté le ministère.

Trois Hadjis algériens morts dans la bousculade d'aujourd'hui à Mina (Mecque)

Amazighation des panneaux : Un maire de Kabylie demande aux internautes de choisir entre Tifinagh et le latin

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Louable initiative qu’a prise l’édile communal de Tinebdar, B. Bennadji, de lancer une opération d’amazighisation de l’environnement. En effet, ledit maire ne cesse de défrayer la chronique en défiant haut et fort les pouvoirs publics. Déjà, dans un passé récent, le torchon brûlait entre le maire et l’ex wali de Vgayet, A.H.Touahami, avec qui le courant ne passe nullement entre les deux antagonistes, a rapporté Tamurt.info .

Ce faisant, un appel est lancé à la population locale afin de trancher sur les caractères de Tamazight à utiliser sur les différents panneaux et écriteaux de la localité en question. Les internautes sont interpellés à ce sujet pour opiner sur la question de l’amazighisation des plaques. Latin ou Tifinagh, tels sont les caractères à choisir dans les semaines à venir.

Grosso modo, il est grand temps pour la population kabyle de s’affirmer davantage, et ce, par la transcription sur tous les panonceaux des édifices publics et privés en caractère amazigh, seule langue digne de représenter le peuple kabyle.

Amazighation des panneaux : Un maire de Kabylie demande aux internaute de choisir entre Tifinagh et le latin

Vidéo et Photos. Les Al Saoud entassent les cadavres des Hadjis

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L’image est insoutenable, choquante, scandalisante où la dignité humaine est bafouée, offensée, ébranlée… Des cadavres entassés les uns sur les autres sans respect pour la vie humaine et qui plus est dans un lieu sacré lors d’un pèlerinage sacré avec des hajjis en état de pureté.

Voilà comment les richissimes saoudiens agissent avec les morts, sans le moindre respect, sans la moindre compassion, sans la moindre humanité, sans le moindre respect de la religion …

Pourtant le pays est assez riche pour offrir au moins un drap individuel à chaque corps et possède assez d’espace pour aligner les corps les uns à coté des autres avant leur inhumation.






Avec Algérie1

Victimes de racisme en Algérie : Des employés chinois demandent leur rapatriement

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La main d’œuvre chinoise, en Algérie, estimée à plus de 40 000 travailleurs, l’ambassadeur chinois, Yang Yuanggu a indiqué pendants sa visite à Tizi Ouzou que ce chiffre sera "très prochainement revu à la baisse" puisque les entreprises chinoises prévoient de recourir à la main d’œuvre locale en recrutant des Algériens qui répondent aux exigences en terme de qualification et les employés chinois libérés feront l’objet d’un rapatriement, a rapporté l'agence officielle APS.

«Le moment est certainement venu pour accroître nos efforts dans ce sens et il y a aujourd’hui un consensus entre les deux gouvernements (algérien et chinois) pour aller vers de tels investissements», a-t-il soutenu.

Jusque là rien n'est étrange vu la nécessité d'une solution pour réduire le taux de chômage en Algérie notamment avec la crise économique qui s'annonce avec la chute du prix de l'or noir. Mais selon le journal électronique Algérie Focus, ce rapatriement des employés chinois n'est pas dû seulement aux raisons déclarées, bien au contraire, De nombreux travailleurs chinois ont déploré le comportement raciste et agressif des Algériens à leur égard. Agressés ou bien délestés de leurs biens, beaucoup de ces travailleurs chinois ont fini par réclamer leur rapatriement assure AF en citant des sources «Bien informées».

Victimes de racisme en Algérie : Des employés chinois demandent leur rapatriement





La vidéo des femmes accomplissant la prière à coté des hommes affole le web

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Un acte féministe ? Licite ou illicite en islame ? La femme peut elle prier dans le même rang avec des hommes ? La polémique enfle la toile, notamment dans les pays de majorité musulmane avec l'apparition d'une vidéo sur les réseaux sociaux qui serait filmée pendant la prière de l'Eid en Egypte où on peut voir clairement des femmes à coté des hommes dans les mêmes rangs accomplissant ce devoir religieux.

Habitués à voir les rangs des femmes séparés derrières ceux des hommes et avec l'absence d'une fatwa officielle de la part des Cheikhs, les musulmans se donne à la polémique qui l'emporte dans des sociétés masculines où la femme doit être soumise et ne jamais prendre le dessus des hommes.



Flambée de l’euro sur le marché parallèle

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L’achat d’un euro revient à 16,35 dinars depuis quelques jours, sur les places et les magasins les plus connus du change parallèle dans la plupart des villes algériennes. La vente, quant à elle, donne une équivalence de d’un euro pour 16,20 à 16,25 euros.

Le paradoxe est que, en plein été, et contrairement à la tradition, la devise commune européenne était moins cotée, soit un euro pour 15,90 dinars, qu’au début d’automne. Les émigrés étant déjà retournés depuis un mois, et les pèlerins des Lieux saints de l’Islam reviendront dans quelques jours, les analystes de la scène économique nationale expliquent alors cette flambée de la devise européenne par la sollicitation du marché parallèle de l’euro par des importateurs à qui les nouvelles licences d’importations ne permettent plus de ramener de l’étranger des produits jugés de «fantaisie». Tenant à poursuivre leurs activités dans leur créneau traditionnel, ces importateurs n’ont plus accès au change officiel de la Banque d’Algérie. Et c’est pourquoi, depuis la fin août, la demande sur l’euro s’est accrue de manière fulgurante.

À cette nouvelle réalité de l’économie algérienne, se greffe aussi le processus de dévaluation de la monnaie nationale par rapport au dollar et à l’euro. Cette perte de la valeur du dinar se répercute également sur sa valeur sur le marché parallèle des changes.

Un autre phénomène a aussi dû jouer son rôle dans ce rehaussement de la valeur de l’euro : c’est la tentative de l’Etat de réprimer l’activité des «cambistes» informels. La descente de police effectuée en avril dernier sur la place de Port-Saïd, à Alger, a contribué à donner des ailes aux devises étrangères, et particulièrement à l’euro.

Si le recul des recettes extérieures du pays se poursuit ou s’aggrave, les experts n’excluent pas de nouvelles dévaluations de la monnaie nationale de façon à ce que le taux de change se rapproche davantage de celui du marché. Pour ces analystes, le marché parallèle de la devise est le baromètre irréfutable de la santé de l’économie algérienne.


KN avec Impact24

Vidéo. Documentaire sur le val de grâce et l'hospitalisation Bouteflika

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L'hôpital militaire du Val-de-Grâce, situé dans le Ve arrondissement de Paris, est un des établissements de soin les plus connus de France. Cela est dû au fait qu'il accueille régulièrement des personnalités politiques de premier plan, françaises ou étrangères. C'est ici qu'a été diagnostiqué le cancer de François Mitterrand ou que Jacques Chirac a été soigné après son accident vasculaire cérébral. Les murs de cet hôpital recèlent de nombreux mystères et quelques secrets d'Etat. C'est aussi un symbole de l'ancien empire colonial français ainsi qu'un outil précieux de la diplomatie, parfois parallèle, du pays.





Des tests ADN sont attendus pour confirmer l’identité d’Anès : Un enfant retrouvé mort dans une forêt

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Le cadavre d’un petit garçon a été retrouvé, dans l’après-midi de vendredi dans une forêt située à 7 km l’est de la ville d’El Eulma (Sétif), au lieu-dit Djermane, a-t-on appris auprès de la protection civile. Le sous-lieutenant Hadj Admini, de l’unité de protection civile d’El Eulma, a précisé que c’est un berger qui a donné l’alerte après avoir découvert le corps sans vie d'un enfant, rapporte Reporters.


La petite dépouille devait être acheminée dans la matinée de samedi au centre hospitalo-universitaire (CHU) aux fins d’autopsie, a indiqué une source médicale à l’APS. Cette découverte n’a pas manqué de diriger toutes les pensées vers le petit Anès Berdjem, le petit garçon de 5 ans habitant la wilaya voisine de Mila et qui n’a donné aucun signe de vie depuis plus de 10 jours. La population de Mila et de Chelghoum-Laïd (lieu de résidence des parents d’Anès) et, surtout, les parents de l’enfant, vivent dans l’angoisse en attendant l’identification du corps retrouvé en état de décomposition et les résultats de l’analyse ADN. Rappelons que les services de sécurité, aidés par la population de la wilaya de Mila, mènent d’intenses recherches pour retrouver le garçonnet de 5 ans disparu mardi 15 septembre dernier. Pour l’heure, a-t-on tenu à souligner au CHU de Sétif, rien ne permet d’avancer que le corps retrouvé à Djermane est celui d’Anès Berdjem.

Des tests ADN sont attendus pour confirmer l’identité d’Anès : Un enfant retrouvé mort dans une forêt



Vidéo. Le fils du roi d’Arabie Saoudite à l’origine du drame de la Mecque ?

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Les premières données reçues après la bousculade à la Mecque à l’origine de centaines de morts et de blessés, parlaient de la fermeture de l’un des passages menant aux stèles, où s’est produit le drame. Du coup, il y avait beaucoup plus de monde que prévu dans les autres passages.

Selon le quotidien libanais Al-Diyar rapporté par Webdo TN, ce passage aurait été fermé pour que le convoi du prince Mohammad Bin Salman Al Saoud, fils du roi de l’Arabie Saoudite, puisse passer.

Le prince voulait assister au grand rassemblement des pèlerins. Il est arrivé à Mina escorté par 200 soldats et 150 policiers .

D’après les dires de Al-Diyar, Salman et sa garde ont rapidement été évacués afin de passer ces événements sous silence. Les autorités saoudiennes, pour des raisons évidentes, chercheraient à étouffer l’affaire.



Quand Daho Ould Kablia s'attaque frontalement à Bouteflika

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Alors qu’il était jusque-là réservé, Daho Ould Kablia, ancien ministre de l’Intérieur et président de la toute puissante Association des anciens du ministère de l’Armement et des Liaisons générales (MALG), ancêtre du DRS, sort de son mutisme.


Il reproche au chef de l’Etat un «manque de transparence» et trouve que la démocratie «ne fait pas partie de la culture» du chef de l’Etat. Dans une interview accordée au site TSA et rapporté par El WATAN, l’ancien ministre de l’Intérieur indique, en effet, que «le président Bouteflika n’a jamais été très transparent dans ce qu’il envisage de faire ou défaire (…). On le voit d’ailleurs avec cette question de la révision constitutionnelle pour laquelle il se réserve le calendrier de sa mise en œuvre».

Puis l’homme en rajoute une couche en rappelant que la révision de la Constitution devait faire l’objet de «discussions». Interrogé sur les visées de Abdelaziz Bouteflika à travers les «réformes» des services de sécurité, Daho Ould Kablia rappelle que la démocratie «n’est pas dans sa culture». «Mais peut-être y songe-t-il pour ses successeurs», a-t-il ajouté.

A la question de savoir si quelqu’un s’immisce dans les prérogatives du chef de l’Etat, le président de l’Association des anciens du MALG rappelle que le chef de l’Etat voulait «être en tout lieu et à tout moment maître de la décision». Plus que cela, «il ne pouvait supporter de partager le pouvoir et, en manœuvrier habile, il va prendre tout son temps pour asseoir son autorité». Pis, même si Bouteflika «a un handicap, les grandes décisions prises dernièrement ne peuvent que porter sa signature».

Ould Kablia est longuement revenu sur le processus qui a conduit à la mise à la retraite du général Toufik. Selon lui, Abdelaziz Bouteflika commence par écarter «le général Lamari, chef d’état-major de l’ANP, à la fin de son premier mandat en 2004. Au cours du deuxième mandat, c’est au tour de son puissant directeur de cabinet, le général Larbi Belkheir, nommé ambassadeur à Rabat, ainsi que quelques généraux qui ne jouissaient pas de sa confiance tels que le général Fodhil (chef de la 1re Région militaire) et le général Kamel Abderrahmane (chef de la 2e Région militaire)».

En revanche, l’ancien membre des Services durant la guerre de Libération nationale encense le général Toufik qui «a obtenu dans tous les domaines d’excellents résultats». «Le général Toufik et son service de recherche extérieur ont été la sentinelle vigilante en matière d’intelligence sur les affaires extérieures, régionales ou internationales, sous-jacentes à une diplomatie officielle complaisante et de façade», ajoute encore l’ancien ministre.

Par contre, Daho Ould Kablia ne pense pas que la restructuration des Services soit une mauvaise chose. Cette réforme «va dans le sens de la construction d’un Etat civil, où l’administration joue son plein rôle, les missions de sécurité sont soigneusement équilibrées entre les trois services : DRS, Gendarmerie nationale et Sûreté nationale, d’une justice réellement indépendante et de droits pleinement assurés», a-t-il indiqué.


Avec El Watan et TSA 

Dernières minutes. Bousculade de la Mecque : Nouvelles victimes algériennes

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Trois nouvelles victimes algériennes, à l’issue de la bousculade, survenue jeudi dernier, à Mina à la Mecque, ont été identifiées. Le bilan est désormais de sept décès d’origine algérienne, selon un communiqué du ministère des Affaires Etrangères.

Ouled Abdelkader Lakhdar, Chena Afrou Kadar, tous deux originaires de la wilaya de Tamanrasset et Mourad Rebiha épouse Boudjlis, originaire de la wilaya de Sétif, rallongent, donc, la liste des victimes de la bousculade de Mina, selon les dernières informations fournies par les services de communication du ministère des Affaires Etrangères.

Notons que quatre décès de hadji algériens avaient déjà été annoncés, hier dans la nuit.

Du côté des blessés, les premiers chiffres indiquent déjà une liste de douze blessés, parmi eux trois n’ont pas encore été identifiés. Sur la liste des blessés , peut-on lire les noms de : Amara Benahmed, Si Ammar Abdelmadjid et Rezki Ahmed, originaires tous les trois de la wilaya de Naama, Cherchali Hamiti, âgé de 48 ans, Haidoun Mohamed Cherif, âgé de 62 ans et originaire de Tizi Ouzou, Dib Saida, membre de l’équipe médicale, Ziad Hocine, Rezig Brahim et Lakhdar Smail, selon les premières informations recueillies sur place et relayées par les services de communication du MAE qui rassure les proches des hadjis que les équipes sur place continuent leurs efforts pour localiser et identifier l'ensemble des victimes algériennes, précisant qu’une cellule de crise a été installée au ministère des Affaires Etrangères en coordination avec celle du ministère des Affaires Religieuses et des Waqfs pour suivre l'évolution de la situation des pèlerins algériens. La cellule de crise est en liaison permanente avec le Consul Général à Djeddah, l'équipe médicale et l'ensemble des structures de la Baatha, selon la même source.



La vidéo de la police américaine qui abat un handicapé noir indigne la toile

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Une enquête a été lancée aux Etats-Unis concernant la fusillade de Wilmington au cours de laquelle des agents de police ont tué un handicapé afro-américain armé d’un pistolet qui tentait de mettre fin à ses jours.

Des circonstances troubles entourent le mort de Jeremy McDole, 28 ans, un paralysé se déplaçant en fauteuil roulant. Celui-ci n’aurait pas obéi aux ordres des policiers de lever les bras et jeter son arme, selon la version de la police.


Tout a commencé après un appel au 911 faisant savoir qu’un homme dans un fauteuil roulant allait retourner son arme contre lui, ont fait savoir les autorités locales. Arrivé sur la place, un des agents a couru en direction de l’homme en lui criant de déposer son arme.

Sur une vidéo enregistrée par un des témoins, après lui avoir crié «Haut les mains !», le policier a tiré alors que le handicapé ne bougeait pas. On entend la personne derrière la caméra dire que McDole est touché et qu’il saigne. Quelques instants plus tard, le policier a été rejoint pas par plusieurs de ses collègues, qui ont de nouveau sommé l’homme de lever les bras et déposer son arme.




Vidéo. En larmes, un hadjis algérien raconte la bousculade de la Mecque

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Apparemment encore sous le choc, un Hadji algérien témoin de la bousculade meurtrière de la Mecque raconte ce qui s'est passé sur les lieux. En effet, selon le pèlerin en larmes, trois foules s'est retrouvées face à face suite  à la fermetures  des issus du tunnels ce qui a poussés les pèlerins à faire demi-tour, les premiers de chaque groupes s'est retrouvés dans un étau qui s'est resserré sur eux par la pression des derniers arrivés.

Trois nouvelles victimes algériennes, à l’issue de la bousculade, survenue jeudi dernier, à Mina à la Mecque, ont été identifiées. Le bilan est désormais de sept décès d’origine algérienne, selon un communiqué du ministère des Affaires Etrangères.

Lire aussi : Dernières minutes. Bousculade de la Mecque : Nouvelles victimes algériennes



Que s’est-il passé ?


La rencontre entre deux flux de pèlerins, l’un quittant le site de Jamarat où a lieu ce rituel, l’autre arrivant en sens inverse le long d’une rue de 12 mètres de large, a provoqué une catastrophe au bilan extrêmement lourd : 717 morts et 863 blessés.


« L’entrée des pèlerins sur le site de Jamarat est le moment le plus délicat à gérer », a admis un porte-parole du ministère de l’intérieur, interrogé par le Wall Street Journal. Mais les autorités ont vite rejeté la faute sur la supposée indiscipline des pèlerins : « S’[ils] avaient suivi les instructions, on aurait pu éviter ce genre d’accident. De nombreux pèlerins se mettent en mouvement sans respecter les horaires fixés par les responsables de la gestion des rites », a tenté de se dédouaner le ministre saoudien de la santé, Khaled Al-Falah.

Les pèlerins, une masse pas ingérable en soi


La masse de pèlerins est-elle, en soi, ingérable ? Dans l’absolu, non, répondent, catégoriques, Hani Alnabusli et John Dury, auteurs en 2012 d’une étude complète sur les phénomènes de foule à La Mecque – ils ont pour cela a analysé le comportement de 1 194 pèlerins pendant le hadj.

Les deux auteurs distinguent même au contraire, des facteurs « calmants » propres au contexte de La Mecque : l’identification culturelle et religieuse avec les autres limiterait l’angoisse qu’il y a à évoluer au sein d’une foule compacte.

Mais, mettaient-ils en garde, il ne peut y avoir « d’effet linéaire entre la densité croissante de la foule et la sécurité réelle de ceux qui s’y identifient […] car il arrive un moment où les individus, serrés, comprimés, ne peuvent plus rien faire ». C’est à ce moment que la peur gagne les esprits.

Mais la densité de la foule rend tout incident dramatique


« Il faut bien voir que nous sommes, à La Mecque, face à des concentrations monstrueuses de personnes. Et des phénomènes de violentes turbulences apparaissent au-delà des 7 piétons au mètre carré », abonde Guy Theraulaz, directeur de recherches au CNRS, qui a travaillé sur un modèle numérique permettant de simuler les mouvements.

« LES GENS SONT PROJETÉS SUR PLUSIEURS DIZAINES DE MÈTRES »
« Ces turbulences ont une telle force que les gens sont projetés sur plusieurs dizaines de mètres sans contrôler leur capacité à se déplacer. Dès lors, il suffit que quelqu’un soit déséquilibré, qu’il tombe, pour qu’un enchaînement dramatique se déclenche », ajoute-t-il. La tragédie d’hier, reproduisait le pire des scénarios : « celui d’une collision entre deux flux de personnes qui se sont heurtés. »

Lors de la bousculade en 2006, qui a tué 364 pèlerins, la densité de la foule avait été évaluée à 10 personnes par mètre carré. A titre de comparaison, la limite de confort pendant un concert, ou celle que se fixe la RATP pour ses métros en période de pointe est de 4 personnes au mètre carré. Le site Crowd Safety and Risk Analysis, qui a modélisé des hypothèses de foule statique ou en mouvement, situe autour de 5 personnes par mètre carré, environ, le début de la zone à risque.


En 2012, Hani Alnabusli et John Dury avaient calculé que dans la Grande Mosquée, par exemple, la foule se densifiait au fur et à mesure que l’on s’approchait de la Kaaba, la construction en autour de laquelle les pèlerins doivent tourner sept fois : jusqu’à 6 à 8 personnes au mètre carré, soit l’équivalent d’une rame de métro totalement bondée.


Les autorités accusées


Dès lors, la capacité des autorités à sécuriser et réguler les déplacements est fortement mise en cause : « Ces événements ne pourraient pas avoir lieu si les autorités contrôlaient et régulaient les flux de pèlerins », regrette Guy Theraulaz.

Jeudi 24 septembre, Irfan Al-Alawi, cofondateur de l’Islamic Heritage Research Foundation, faisait lui aussi porter l’entière responsabilité de la tragédie sur la municipalité et au gouvernement saoudien : « Les mesures de sécurité sont insuffisantes. Le site est surpeuplé, et aucune mesure de contrôle de foule n’est mise en œuvre (…). Beaucoup de pèlerins ne parlent pas l’arabe, donc ne comprennent pas les indications des agents de sécurité. »

Une fuite en avant ?


Riyadh a beau s’abriter derrière les investissements colossaux (et réels) engagés pour assurer la sécurité du pèlerinage en matière d’infrastructures, sa volonté de porter la capacité de la mosquée à 2,2 millions de personnes dans les prochaines années, contre 1,5 million aujourd’hui, inquiète dans un tel contexte : « Si personne ne bloque l’accès au site quand il atteint le niveau maximal d’affluence, la foule se masse, l’atmosphère devient claustrophobique et les gens paniquent », rappelle Irfan Al-Alawi.

Kabylie News avec le Monde 

Vidéo. TF1 : La langue Française en Algérie

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Le Haut Conseil de la francophonie considère que 60% de la population algérienne sont francophones «réels»; chiffre qui classe l'Algérie en seconde position dans le monde, suivie de très loin par le Québec. Par un cheminement sémantique, l'auteur suppose l'existence d'«une sorte de marché informel de la parole qui régule et distribue le sens dans la sphère de circulation sociale de la parole».

Aujourd'hui, la langue française est devenue la langue de l'élite. La dernière rencontre avec les walis en est la meilleure démonstration du postulat. Tous les intervenants se sont exprimés en français, à quelques exceptions près; comme en Russie avant la révolution bolchévique, où les nobles s'exprimaient en français.




Vidéo. Abderrahmane Belayat : L’Algérie doit obtenir des armes nucléaires pour chasser les Juifs de Palestine

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Le 20 septembre 2015, Abderrahmane Belayat, ancien ministre de l’Urbanisme et ancien secrétaire général du FLN (Front de libération nationale), principal soutien du Président Abdelaziz Bouteflika, a déclaré que l’Algérie devait obtenir l’arme nucléaire. Dans le cadre d’un événement organisé par le journal Al-Hiwar sous le titre « Violation sioniste d’Al-Aqsa », Belayat a précisé que l’Algérie devrait installer l’armement nucléaire sur une montagne et enjoindre aux Juifs de quitter la Palestine.

« Nous devons obtenir [des armes] nucléaires. Si nous n’avons pas d’armes nucléaires, personne ne nous parlera – ni les Anglais, ni les Russes, ni personne. Lorsque nous aurons [des armes] nucléaires, nous les placerons à Tikjda (station de ski) ou dans les monts Aurès, et nous dirons aux juifs de partir [de Palestine] »





Avec Memmeri TV

Vidéo. Arabie Saoudite : le paradoxe des droits de l’Homme exécutés

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“Dans un monde normal, observe The Daily Beast, rapporté par le Courrier international, l’Arabie Saoudite serait poursuivie en justice pour son bilan désastreux en matières de droits de l’homme, et non pas nommée à la tête d’un important jury de l’autorité chargée de surveiller le respect des droits de l’homme dans le monde”.

Et pourtant, le 21 septembre, l’ambassadeur de l’Arabie Saoudite à l’Office des Nations unies à Genève, Faisal bin Hassan Trad, a pris la présidence d’un panel de cinq diplomates au Conseil des droits de l’homme, chargés de nommer les experts qui doivent participer aux missions d’évaluation et de conseil en matière de droits de l’homme, explique The Independent.


Les droits de l’homme sur la femme


Cette nomination a valu à l’ONU une volée de bois vert, observe le quotidien britannique, “étant donné que le royaume est probablement le pays au monde où les libertés des femmes, des minorités et des dissidents sont le plus mal respectées”, comme l’a notamment dénoncé l’ONG UN Watch. En 2014, indique le site américain Vocativ, l’Arabie Saoudite a procédé à 87 décapitations.
Une condamnation décriée

Parmi les voix qui se sont élevées figure donc celle de l’épouse du blogueur Raef Badawi, condamné à 1 000 coups de fouet pour ses textes sur la liberté d’expression. A son avis, relate The Independent, cette nomination est “scandaleuse” et indique que “le pétrole prend le pas sur les droits de l’homme”.


Mille coups de fouet et 10 ans de prison : la peine de Raif Badawi confirmée


L’Arabie Saoudite s’est justement distinguée en confirmant en appel la condamnation à mort d’Ali Mohammed Al-Nimr, arrêté en 2012 pour sa participation au mouvement du ‘printemps arabe’, alors qu’il n’avait que 16 ou 17 ans, indique encore le journal, dans un autre article.

L’ONU, ainsi que plusieurs voix internationales, dont celle de la France, ont appelé à l’annulation de cette condamnation à la décapitation et à la crucifixion, qui pourrait être appliquée à tout moment.



Avec France 2 et le courrier international 
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