La sortie médiatique du richissime homme d'affaire, PDG de CEVITAL Issad Rebrab et la polémique qui a suivi la réponse du ministre de l'industrie Abdesslam Bouchouareb qui, à son tour accusait l'homme le plus riche en Algérie de surfacturation et importation de matériel rénové ainsi que la position de l'opinion nationale qui s'est rangée du coté du créateur de la richesse, semble avoir des effets sur la position du ministre.
En effet, selon des sources médiatiques, Abdesslam Bouchouareb aurait apporté une modification à l'article qui exige une autorisation de dédouanement à l’importation de chaînes de production rénovées pour la mise à la consommation des chaînes de production rénovées dans le cadre du nouveau projet de loi élaboré par son ministère et qui devra être soumis à l'APN dans les mois à venir.
Cet article serait la source du conflit entre Rebrab et Bouchouareb, l'homme d'affaire a reproché au ministre de l'industrie un sabotage de sa nouvelle usine avec la lenteur de la procédure d'autorisation de dédouanement de sa nouvelle chaîne de production destinée à l'unité Fagor Brandt installée à Setif «Au mois de novembre 2014, mes services avaient déposé une demande d’autorisation d’importation d’une ligne de production de machines à laver neuves et ultramodernes. Pour des raisons de gain de temps, nous l’avons complétée par une ligne de production d’occasion rénovée pour la fabrication de tambours. Nous devions démarrer la production au mois de mars dernier pour permettre le plein emploi aux 650 salariés au chômage technique et exporter la quasi-totalité de la production pour une valeur de 80 millions d’euros par an. Mes services n’ont obtenu aucune réponse du ministère de l’Industrie.»
Le ministre de l’Industrie et des Mines, Abdesslam Bouchouareb, a répondu, aux accusations d’Issad Rebrab, à l’occasion d’une conférence qu’il a animée conjointement avec son homologue tunisien à Djenan El Mitak. « Quant aux problèmes dont parle Monsieur Rebrab, encore une fois, je pensais qu’il avait compris. Je ferai l’explication avec vous aujourd’hui et je le ferai dans les prochains jours de manière encore plus profonde. Il a un seul problème avec moi et ce n’est pas un problème avec le ministère de l’Industrie. M. Rebrab, lors de l’acquisition de l’usine Brandt en France, les conditions qui étaient posées par le partenaire français étaient de renouveler les équipements. Il a procédé au renouvellement des équipements, a pris les vieux équipements et a voulu les introduire dans mon pays contre une valeur de 5,7 millions d’euros alors qu’il en est le propriétaire ».
En effet, selon des sources médiatiques, Abdesslam Bouchouareb aurait apporté une modification à l'article qui exige une autorisation de dédouanement à l’importation de chaînes de production rénovées pour la mise à la consommation des chaînes de production rénovées dans le cadre du nouveau projet de loi élaboré par son ministère et qui devra être soumis à l'APN dans les mois à venir.
Cet article serait la source du conflit entre Rebrab et Bouchouareb, l'homme d'affaire a reproché au ministre de l'industrie un sabotage de sa nouvelle usine avec la lenteur de la procédure d'autorisation de dédouanement de sa nouvelle chaîne de production destinée à l'unité Fagor Brandt installée à Setif «Au mois de novembre 2014, mes services avaient déposé une demande d’autorisation d’importation d’une ligne de production de machines à laver neuves et ultramodernes. Pour des raisons de gain de temps, nous l’avons complétée par une ligne de production d’occasion rénovée pour la fabrication de tambours. Nous devions démarrer la production au mois de mars dernier pour permettre le plein emploi aux 650 salariés au chômage technique et exporter la quasi-totalité de la production pour une valeur de 80 millions d’euros par an. Mes services n’ont obtenu aucune réponse du ministère de l’Industrie.»
Le ministre de l’Industrie et des Mines, Abdesslam Bouchouareb, a répondu, aux accusations d’Issad Rebrab, à l’occasion d’une conférence qu’il a animée conjointement avec son homologue tunisien à Djenan El Mitak. « Quant aux problèmes dont parle Monsieur Rebrab, encore une fois, je pensais qu’il avait compris. Je ferai l’explication avec vous aujourd’hui et je le ferai dans les prochains jours de manière encore plus profonde. Il a un seul problème avec moi et ce n’est pas un problème avec le ministère de l’Industrie. M. Rebrab, lors de l’acquisition de l’usine Brandt en France, les conditions qui étaient posées par le partenaire français étaient de renouveler les équipements. Il a procédé au renouvellement des équipements, a pris les vieux équipements et a voulu les introduire dans mon pays contre une valeur de 5,7 millions d’euros alors qu’il en est le propriétaire ».