L'intrusion médiatique du général Toufik dans un message adressé à trois quotidiens algériens, semble ne pas satisfaire sa volonté de ne pas susciter «de commentaires qui risquent de la dévoyer et de la détourner du but recherché.». En effet, dans une contribution publiée par le soir d'Algérie -un des trois journaux que le général Major Mediène ex-directeur du Département des Renseignements et de la Sécurité a préféré pour envoyer sa lettre- un ancien cadre du DRS révèle «la Face cachée de Rab Dzair».
Le contributeur sur ledit journal sous un pseudonyme de Amir Khaled, dénonce le comportement de son ex-supérieur, qui selon lui; est allé «jusqu’au bout de ses délires, en vociférant ses reproches directement au visage pétrifié et coincé de la justice.» en accusant l'homme au cigare d'avoir lui même instrumentalisé cette institution qui devait être libre et indépendante «à l’encontre de ses adversaires et au profit de ses proches cercles et relais d’intérêt.»
Amir Khaled accuse le MAJOR de casser les cadres sincères connus par leur loyauté et patriotisme pour promouvoir des cadres parachutés «l’énigmatique Toufik, en quittant le seuil de sa clandestinité feutrée avait oublié de prendre sa capuche et son cigare, pour s’armer en légendaire défenseur, d’officier «voyou», à l’instar de ses habitudes, pour s’attaquer et délégitimer le jugement rendu par une justice militaire sereine, libre et impartiale à l’encontre de son enfant, le grand bébé protégé, le général Hassan.»
L'ancien cadre du DRS se dit victime du général Toufik avec plusieurs autres officiers tous paliers confondus «Etant moi-même, à l’instar d’autres cadres (tous paliers confondus) l’une des victimes de la gestion désastreuse de la ressource stratégique, très rare au marché de l’emploi national, disloquée sciemment par le DRS, à la tête duquel le légendaire gourou «Toufik» a régné durant près d’un quart de siècle, je n’étais pas la seule victime de ce système générique du pouvoir.»
Lire l’intégralité de la contribution ICI
Le contributeur sur ledit journal sous un pseudonyme de Amir Khaled, dénonce le comportement de son ex-supérieur, qui selon lui; est allé «jusqu’au bout de ses délires, en vociférant ses reproches directement au visage pétrifié et coincé de la justice.» en accusant l'homme au cigare d'avoir lui même instrumentalisé cette institution qui devait être libre et indépendante «à l’encontre de ses adversaires et au profit de ses proches cercles et relais d’intérêt.»
Amir Khaled accuse le MAJOR de casser les cadres sincères connus par leur loyauté et patriotisme pour promouvoir des cadres parachutés «l’énigmatique Toufik, en quittant le seuil de sa clandestinité feutrée avait oublié de prendre sa capuche et son cigare, pour s’armer en légendaire défenseur, d’officier «voyou», à l’instar de ses habitudes, pour s’attaquer et délégitimer le jugement rendu par une justice militaire sereine, libre et impartiale à l’encontre de son enfant, le grand bébé protégé, le général Hassan.»
L'ancien cadre du DRS se dit victime du général Toufik avec plusieurs autres officiers tous paliers confondus «Etant moi-même, à l’instar d’autres cadres (tous paliers confondus) l’une des victimes de la gestion désastreuse de la ressource stratégique, très rare au marché de l’emploi national, disloquée sciemment par le DRS, à la tête duquel le légendaire gourou «Toufik» a régné durant près d’un quart de siècle, je n’étais pas la seule victime de ce système générique du pouvoir.»
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