Kabylie. Iguersafène. Un vent de liberté souffle entre deux rivières. Le ciel est plutôt brumeux en ce début de soirée. La lune a changé de camp. De ses rayons, elle éclaire, ici-bas, cette jeunesse qui a soif de vivre. Hanane, Anne pour les intimes, hésite encore : dénicher la robe de soirée parfaite n’est pas une mince affaire.
À 890 mètres d’altitude, un village, un espoir. Perché entre deux rivières, Iguersafène, à 70 km au sud-est de Tizi Ouzou, incarne la vie. L’avenir. Il est 22h, et un léger vent caresse les visages. Il effleure les robes kabyles de charmantes demoiselles s’acheminant par dizaines à la grande place de l’école primaire. Un spectacle est attendu. C’est la veille de la clôture du festival Raconte-Arts.
À 890 mètres d’altitude, un village, un espoir. Perché entre deux rivières, Iguersafène, à 70 km au sud-est de Tizi Ouzou, incarne la vie. L’avenir. Il est 22h, et un léger vent caresse les visages. Il effleure les robes kabyles de charmantes demoiselles s’acheminant par dizaines à la grande place de l’école primaire. Un spectacle est attendu. C’est la veille de la clôture du festival Raconte-Arts.
Festival Raconte-Arts d’Iguersafène : Une démonstration d'une Kabylie des libertés http://t.co/bk2YFYFOYT— Kabylie News (@Kabylie_news) 2 Août 2015