Face à une forte demande dans les universités libyennes, le gouvernement aurait fait appel à des professeurs marocains pour enseigner la langue amazighe.
Selon le site Tamurt qui se réfère à la presse locale, la langue amazighe est enseignée depuis cette année dans le pays et l’engouement est tel que le pays a besoin d’enseignants pour dispenser des cours de l’amazigh dans les facultés, d’où l’appel à des professeurs marocains.
Dans le cas de l’université de Zouara par exemple, plusieurs centaines de bacheliers venus de tout le pays se sont inscrits cette année pour les cours de la langue amazighe.
Le but des autorités est de pouvoir dans les prochaines années utiliser cette langue dans toutes les institutions et les administrations et en faire la première langue du pays. On est bien loin du temps de Khaddafi commente le journal électronique marocain FIBLADI.
Selon le site Tamurt qui se réfère à la presse locale, la langue amazighe est enseignée depuis cette année dans le pays et l’engouement est tel que le pays a besoin d’enseignants pour dispenser des cours de l’amazigh dans les facultés, d’où l’appel à des professeurs marocains.
Dans le cas de l’université de Zouara par exemple, plusieurs centaines de bacheliers venus de tout le pays se sont inscrits cette année pour les cours de la langue amazighe.
Le but des autorités est de pouvoir dans les prochaines années utiliser cette langue dans toutes les institutions et les administrations et en faire la première langue du pays. On est bien loin du temps de Khaddafi commente le journal électronique marocain FIBLADI.