La chambre d'accusation du tribunal d'Alger, a décidé de placer un général à la retraite et son épouse en mandat de dépôt avec émission d'un mandat d'arrêt à leur encontre. Ils sont poursuivis notamment pour faux, usage de faux dans un document officiel. En effet, ils sont coupable selon El Khabar d'avoir séquestré leur vrai enfant qui souffrait d'un handicap pendant 28 ans et le remplacé par un autre qui vivait avec l'identité de la victime à son insu. Une histoire incroyable mais vraie !
Le secret du couple, a été éventé à la suite d'une dénonciation par le biais d'une lettre anonyme adressée au groupement de la gendarmerie de Bir Mourad Raïs. Une enquête a été déclenchée selon la même source qui rajoute que le couple ainsi que l'enfant adoptif ont été entendus. Les parents à qui il a été demandé d'accepter une analyse ADN ont fini par reconnaître les faits.
La mère a indiqué au cours des différentes étapes de l'enquête qu'elle avait préféré garder le silence pour éviter que son enfant adoptif ne subisse les pressions de l'environnement. Elle a donc décidé, de concert avec son mari, de cacher l'enfant handicapé et de le remplacer par l'enfant adopté. Tous les documents d'état-civil de l'enfant adopté ont été établis frauduleusement.
Selon El Khabar, le général à la retraite a persisté dans le déni jusqu'à ce qu'il soit informé que des analyses ADN allaient être faites. L'enfant adopté a déclaré ignorer totalement ces faits et qu'il a été traumatisé d'apprendre que le nom qu'il portait était celui de son frère.
Le secret du couple, a été éventé à la suite d'une dénonciation par le biais d'une lettre anonyme adressée au groupement de la gendarmerie de Bir Mourad Raïs. Une enquête a été déclenchée selon la même source qui rajoute que le couple ainsi que l'enfant adoptif ont été entendus. Les parents à qui il a été demandé d'accepter une analyse ADN ont fini par reconnaître les faits.
La mère a indiqué au cours des différentes étapes de l'enquête qu'elle avait préféré garder le silence pour éviter que son enfant adoptif ne subisse les pressions de l'environnement. Elle a donc décidé, de concert avec son mari, de cacher l'enfant handicapé et de le remplacer par l'enfant adopté. Tous les documents d'état-civil de l'enfant adopté ont été établis frauduleusement.
Selon El Khabar, le général à la retraite a persisté dans le déni jusqu'à ce qu'il soit informé que des analyses ADN allaient être faites. L'enfant adopté a déclaré ignorer totalement ces faits et qu'il a été traumatisé d'apprendre que le nom qu'il portait était celui de son frère.