Le général Khaled Nezzar, l'ex-ministre de la défense commente les derniers changements opérés par le président de la république au sein du service algérien des renseignements secrets Le DRS en réagissant au communiqué communiqué de la présidence.
Selon Khaled Nezzar rapporté par le journal électronique Algériepatriotique proche de son fils, «le communiqué de la Présidence ajoute à la confusion ambiante et n’apporte aucun éclairage sur les tenants et aboutissants des décisions prises par le Président s’agissant de ce service de sécurité», Il eût fallu, selon lui, que les relations fonctionnelles soient clarifiées pour éviter toute équivoque. «Le communiqué de la Présidence ne précise pas de quelle entité relèvent les services touchés par ces changements», note l’ancien membre du Haut Comité d’Etat selon AlgériePatriotique, qui explique que «si cette relation fonctionnelle n’est pas clairement identifiée, cela voudrait dire que le Président n’a fait que retirer le DRS à un responsable pour le mettre entre les mains d’un autre», ce qui signifie, selon lui, qu’«en définitive, il n’y a pas eu de restructuration des services de renseignement». Le général Khaled Nezzar ajoute, par ailleurs, que la situation des locaux du DRS au sein du ministère de la Défense nationale laisse planer le doute sur l’institution dont dépend ce département. «Cette situation fait dire à beaucoup de gens que le DRS est sous le commandement de l’autorité militaire, alors qu’il n’en est rien», précise l’ancien chef d’état-major de l’ANP, qui corrige cette idée erronée : «Le DRS relève de la présidence de la République même si ses locaux se trouvent aux Tagarins.» Le général Khaled Nezzar revient sur l’historique de ce service qui a toujours été placé sous le commandement du chef de l’Etat depuis l’indépendance. «Mais, précise-t-il, comme les différents présidents qui se sont succédé à la tête du pays assument dans le même temps la fonction de ministre de la Défense, les bureaux du DRS – et, avant lui, de la Sécurité militaire, de la DGPS, etc. –, ont toujours été au MDN.» conclut le général Khaled Nezzar Selon AP.
Selon Khaled Nezzar rapporté par le journal électronique Algériepatriotique proche de son fils, «le communiqué de la Présidence ajoute à la confusion ambiante et n’apporte aucun éclairage sur les tenants et aboutissants des décisions prises par le Président s’agissant de ce service de sécurité», Il eût fallu, selon lui, que les relations fonctionnelles soient clarifiées pour éviter toute équivoque. «Le communiqué de la Présidence ne précise pas de quelle entité relèvent les services touchés par ces changements», note l’ancien membre du Haut Comité d’Etat selon AlgériePatriotique, qui explique que «si cette relation fonctionnelle n’est pas clairement identifiée, cela voudrait dire que le Président n’a fait que retirer le DRS à un responsable pour le mettre entre les mains d’un autre», ce qui signifie, selon lui, qu’«en définitive, il n’y a pas eu de restructuration des services de renseignement». Le général Khaled Nezzar ajoute, par ailleurs, que la situation des locaux du DRS au sein du ministère de la Défense nationale laisse planer le doute sur l’institution dont dépend ce département. «Cette situation fait dire à beaucoup de gens que le DRS est sous le commandement de l’autorité militaire, alors qu’il n’en est rien», précise l’ancien chef d’état-major de l’ANP, qui corrige cette idée erronée : «Le DRS relève de la présidence de la République même si ses locaux se trouvent aux Tagarins.» Le général Khaled Nezzar revient sur l’historique de ce service qui a toujours été placé sous le commandement du chef de l’Etat depuis l’indépendance. «Mais, précise-t-il, comme les différents présidents qui se sont succédé à la tête du pays assument dans le même temps la fonction de ministre de la Défense, les bureaux du DRS – et, avant lui, de la Sécurité militaire, de la DGPS, etc. –, ont toujours été au MDN.» conclut le général Khaled Nezzar Selon AP.