HSBC Algérie, Installée en 2008 en Algérie songe de quitter le pays selon le journal électronique Mondafrique qui révèle que la banque internationale aurait fait part aux autorités algériennes de sa volonté de partir.
Dans ce contexte de chute des prix de l'or noir dans le marché international et la crise qui prévaut en Algérie, la banque se dit confrontée des obstacles à son développement, de la bureaucratie et subir «l'amateurisme des autorités de la banque d'Alger» rajoute la même source.
Dans ce contexte de chute des prix de l'or noir dans le marché international et la crise qui prévaut en Algérie, la banque se dit confrontée des obstacles à son développement, de la bureaucratie et subir «l'amateurisme des autorités de la banque d'Alger» rajoute la même source.
L'administration algérienne n'a cessé en effet de mettre des bâtons dans les roues de la HSBC, empêchant ainsi le développement de cette banque prestigieuse de haut de gamme en Algérie. Preuve en est, la HSBC Algérie ne dispose pas d'un DG depuis 2013 pour la simple, et bête, raison que la Banque d'Algérie a refusé d'accréditer le français François de Maricourt prétextant le passé d'un des membres de sa famille qui aurait été un "officier sanguinaire de l'armée française coloniale", un prétexte anachronique dans le monde d'aujourd'hui.