Dans un article publié sur le site électronique TSA, le très controversé Rachid Boudjedra étale un rapport qui ne manque pas d'effronterie, à l'encontre d'Issad Rebrab.
L'écrivain, se voulant gladiateur des temps modernes, s'est dit "soulagé" que la transaction, qu'il a qualifié de "malhonnête", n'ait pu aboutir après la décision tenue par la justice d'empêcher l'achat de la majorité des actions du groupe de presse d'El Khabar par le patron de Cevital.
Tout en félicitant El Khabar, pour la décision tenue lors de l'assemblée générale de ses journalistes (une décision tout de même relative à celle qu'a imposée le tribunal de Sidi M'hamed, d'Alger), l'auteur de Les figuiers de Barbarie, qui semble ne pas bien avaler celles-ci, prétend que l'une de ses prêches a fièrement aboutit, en estimant qu'au "mois de mai j'ai affirmé ma certitude que mes amis d’El Khabar ne se feront pas avoir par un richard qui possède déjà un quotidien en langue française dont le niveau est très médiocre" et de fustiger, par la suite, encore plus Liberté et l'homme d'affaire algérien, Issad Rebrab : "Et puisque cet homme veut acheter toute la presse algérienne, qu’il commence par améliorer le journal qu’il possède déjà !".
L'esprit téméraire de cet écrivain ne lui trace pas ses limites juste ici. En effet, Rachid Boudjedra continue avec un langage désuet de verser encore plus sa haine sur le capitaine de l'industrie agroalimentaire. "El Khabar à la Rabrab serait devenu un torchon pour les histoires de crimes, les scandales conjugaux, les enlèvements d’enfants et les… chiens écrasés. D’autant plus qu’on a vu dans plusieurs pays dont les journaux prestigieux ont été cédés au gros capital ont fini par disparaître." Très loin est parti cette fois-ci le gladiateur des temps modernes.
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L'écrivain, se voulant gladiateur des temps modernes, s'est dit "soulagé" que la transaction, qu'il a qualifié de "malhonnête", n'ait pu aboutir après la décision tenue par la justice d'empêcher l'achat de la majorité des actions du groupe de presse d'El Khabar par le patron de Cevital.
Tout en félicitant El Khabar, pour la décision tenue lors de l'assemblée générale de ses journalistes (une décision tout de même relative à celle qu'a imposée le tribunal de Sidi M'hamed, d'Alger), l'auteur de Les figuiers de Barbarie, qui semble ne pas bien avaler celles-ci, prétend que l'une de ses prêches a fièrement aboutit, en estimant qu'au "mois de mai j'ai affirmé ma certitude que mes amis d’El Khabar ne se feront pas avoir par un richard qui possède déjà un quotidien en langue française dont le niveau est très médiocre" et de fustiger, par la suite, encore plus Liberté et l'homme d'affaire algérien, Issad Rebrab : "Et puisque cet homme veut acheter toute la presse algérienne, qu’il commence par améliorer le journal qu’il possède déjà !".
L'esprit téméraire de cet écrivain ne lui trace pas ses limites juste ici. En effet, Rachid Boudjedra continue avec un langage désuet de verser encore plus sa haine sur le capitaine de l'industrie agroalimentaire. "El Khabar à la Rabrab serait devenu un torchon pour les histoires de crimes, les scandales conjugaux, les enlèvements d’enfants et les… chiens écrasés. D’autant plus qu’on a vu dans plusieurs pays dont les journaux prestigieux ont été cédés au gros capital ont fini par disparaître." Très loin est parti cette fois-ci le gladiateur des temps modernes.
