Naïma Salhi, présidente du parti pour l'équité et la proclamation (PEP), personnalité très controversée du paysage politique algérien et figure montante du courant islamo-conservateur, s'est exprimée par rapport à l'affaire de la mort de la petite Nihal Si Mohand, et du débat sur la peine de mort que cette affaire a relancé.
Comme on pouvait s'y attendre, Naïma Salhi, cette femme qui suscite sans cesse la controverse par ses prises de position, a demandé le rétablissement de la peine de mort dont l'exécution est suspendue depuis 1993; et ce afin de punir les responsables de rapts et de meurtres d'enfants.
La présidente du PEP, qui était invitée sur le plateau de la chaîne de télévision arabophone "Ennahar TV" a également demandé à ce que les exécutions pour ce genre de crimes se passent dans des lieux publics, afin de "donner l'exemple" aux éventuels kidnappeurs et tueurs d'enfants.
Comme on pouvait s'y attendre, Naïma Salhi, cette femme qui suscite sans cesse la controverse par ses prises de position, a demandé le rétablissement de la peine de mort dont l'exécution est suspendue depuis 1993; et ce afin de punir les responsables de rapts et de meurtres d'enfants.
La présidente du PEP, qui était invitée sur le plateau de la chaîne de télévision arabophone "Ennahar TV" a également demandé à ce que les exécutions pour ce genre de crimes se passent dans des lieux publics, afin de "donner l'exemple" aux éventuels kidnappeurs et tueurs d'enfants.