Traversant l'une des périodes les plus incertaines, sans l'éveil de tous les acteurs sociaux, le pays risque de voir de jours noirs encore. C'est vers la même optique que convergent les indications rouges qu'à pointé le Rassemblement pour la Culture et la Démocratie dans un communiqué rendu public ce matin.
De prime abord, le parti de Mohcine Belabbes a clairement remis en cause la politique et stratégies, si s'en est une, envisagées toutefois par le gouvernement pour éviter d'étendre la crise en Algérie. Il a commencé par dénoncer la forme qu'ont prises les mesures d'austérité lancées par le gouvernement, en les appliquant uniquement sur une couche sociales vulnérable en ces temps de crise. "Le gouvernement s’occupe à faire supporter l’austérité aux larges couches de la population et ne s’embarrasse d’aucun scrupule pour annuler des projets socio-économiques programmés.L’absence de cap et l’incohérence des quelques mesures annoncées (baisse des importations, dévaluation, emprunt obligataire, gel des recrutements, hésitations sur les retraites…) obscurcissent encore plus une visibilité déjà malmenée par les interventions autoritaires récurrentes dans la sphère économique. Dans ce même registre,l’impunité, voire la protection, dont bénéficient les auteurs de corruption et de détournements faramineux de l’argent public frappe de suspicion l’ensemble de l’exécutif" lit-on sur ledit communiqué.
S'agissant des moyens de force et intentions du pouvoir, le RCD a estimé que le régime en place "prépare un nouveau viol de la souveraineté du peuple et vise à entériner, encore une fois, une succession décidée dans et par un système clanique" et a accablé les partis assiégeant au sein au parlement. Il rappelle la fuite en avant et la vacance du pouvoir qui "s’enfonce dans la production de lois anticonstitutionnelles sur lesquelles aucune des formations siégeant au parlement n’a estimé devoir saisir le Conseil constitutionnel""Au lieu de prendre acte des limites des stratégies des passages en force".
Sur un autre sillage, le Rassemblement n'a pas manqué de réitérer son engagement avec les autres partis et personnalités s'étant constituées dans l'Instance de Concertation et de Suivi de l'Opposition (ICSO), et estime que "la disponibilité affichée des partis de l’opposition, regroupés dans l'ICSO, pour débattre et rechercher des voies consensuelles de sortie du statu quo actuel est un acquis du peuple algérien qu’il est important de consolider".
Enfin, ce parti ancré dans l'opposition algérienne tient à ce que la responsabilité collective soit respectée par chaque acteur social. "Ce consensus dénote qu’un projet pacifique à même de dépasser la violence et au chaos programmés est encore possible et appelle chacun à davantage d’engagements et de vigilance".
De prime abord, le parti de Mohcine Belabbes a clairement remis en cause la politique et stratégies, si s'en est une, envisagées toutefois par le gouvernement pour éviter d'étendre la crise en Algérie. Il a commencé par dénoncer la forme qu'ont prises les mesures d'austérité lancées par le gouvernement, en les appliquant uniquement sur une couche sociales vulnérable en ces temps de crise. "Le gouvernement s’occupe à faire supporter l’austérité aux larges couches de la population et ne s’embarrasse d’aucun scrupule pour annuler des projets socio-économiques programmés.L’absence de cap et l’incohérence des quelques mesures annoncées (baisse des importations, dévaluation, emprunt obligataire, gel des recrutements, hésitations sur les retraites…) obscurcissent encore plus une visibilité déjà malmenée par les interventions autoritaires récurrentes dans la sphère économique. Dans ce même registre,l’impunité, voire la protection, dont bénéficient les auteurs de corruption et de détournements faramineux de l’argent public frappe de suspicion l’ensemble de l’exécutif" lit-on sur ledit communiqué.
S'agissant des moyens de force et intentions du pouvoir, le RCD a estimé que le régime en place "prépare un nouveau viol de la souveraineté du peuple et vise à entériner, encore une fois, une succession décidée dans et par un système clanique" et a accablé les partis assiégeant au sein au parlement. Il rappelle la fuite en avant et la vacance du pouvoir qui "s’enfonce dans la production de lois anticonstitutionnelles sur lesquelles aucune des formations siégeant au parlement n’a estimé devoir saisir le Conseil constitutionnel""Au lieu de prendre acte des limites des stratégies des passages en force".
Sur un autre sillage, le Rassemblement n'a pas manqué de réitérer son engagement avec les autres partis et personnalités s'étant constituées dans l'Instance de Concertation et de Suivi de l'Opposition (ICSO), et estime que "la disponibilité affichée des partis de l’opposition, regroupés dans l'ICSO, pour débattre et rechercher des voies consensuelles de sortie du statu quo actuel est un acquis du peuple algérien qu’il est important de consolider".
Enfin, ce parti ancré dans l'opposition algérienne tient à ce que la responsabilité collective soit respectée par chaque acteur social. "Ce consensus dénote qu’un projet pacifique à même de dépasser la violence et au chaos programmés est encore possible et appelle chacun à davantage d’engagements et de vigilance".
Crédit Photo ©rcd-algerie.org |