Dans des déclarations qui ont laissé les observateurs perplexes, Ahmed Ouyahia est allé trop loin dans son exercice préféré de One-man show en comparant le pouvoir algérien et le système en place depuis 1962 à la France coloniale.
.Dans un logique fallacieuse [?], le chef de cabinet auprès du président de la république, secrétaire général du Rassemblement National Démocratique (RND), s'est étalé, lors de son intervention à la 17e Université d’été de l’Union générale des étudiants algériens (UGEA)à Oran, dans une comparaison surprenante « La France nous avait privés du savoir. À l’indépendance l’Algérie comptait à peine 500 étudiants, français pour la majorité. Aujourd’hui, l’Algérie a 8 millions d’étudiants et des dizaines d’universités » avant d'ajouter « le meilleur d’entre vous était Khemass et l’autre hemal (NDLR : porteur) et les jeunes se faisaient appeler y a ouled »rapporte TSA.
Ahmed Ouyahia aurait voulu expliquer aux jeunes présents que le peuple algérien n'a pas à espérer au meilleur et il n'a que deux choix, celui du colonialisme ou celui de la dictature et l'incompétence.
.Dans un logique fallacieuse [?], le chef de cabinet auprès du président de la république, secrétaire général du Rassemblement National Démocratique (RND), s'est étalé, lors de son intervention à la 17e Université d’été de l’Union générale des étudiants algériens (UGEA)à Oran, dans une comparaison surprenante « La France nous avait privés du savoir. À l’indépendance l’Algérie comptait à peine 500 étudiants, français pour la majorité. Aujourd’hui, l’Algérie a 8 millions d’étudiants et des dizaines d’universités » avant d'ajouter « le meilleur d’entre vous était Khemass et l’autre hemal (NDLR : porteur) et les jeunes se faisaient appeler y a ouled »rapporte TSA.
Ahmed Ouyahia aurait voulu expliquer aux jeunes présents que le peuple algérien n'a pas à espérer au meilleur et il n'a que deux choix, celui du colonialisme ou celui de la dictature et l'incompétence.