Comme ce fut annoncé précédemment, Ennahar TV appartenant à Anis Rahmani, a mal digéré le fait que le richissime homme d'affaires Issad Rebrab annule les publicités qu'il a procuré pour cette chaîne de télévision dont les sensibilités politiques se penchent vers le régime algérien.
Dans un journal télévisé, intitulé " Rebrab... l'autre visage", la chaîne de télévision Ennahar TV a émit des déclarations d'une gravité inégalable contre le patron de Cevital. En un premier temps, cette chaîne de télévision accuse Issad Rebrab, alors qu'il été "militant du Rassemblement pour la Culture et la Démocratie" de "financer les groupes terroristes". Plus grave encore, en invitant l'avocat que le juge avait expulsé lors du 3eme report du procès opposant le groupe El Khabar au ministère de la communication, cet avocat illégitime, jusque-là, accuse encore Issad Rebrab d'être "un élément du DRS" qui a bénéficié des passes-droits de leur part pour s'enrichir.
La présumée chaîne médiatique est encore irritée du fait que Rebrab n'est pas consentant avec le régime algérien controversée par l'opinion publique et discrédité par les nombreuses affaires de corruption qui se succèdent du jour au jour. En effet, le fait que Rebrab eut subventionné le mouvement des archs, lors du printemps noir de 2001, pendant le déplacement des manifestants à Alger pour marcher le 14 juin 2001, n'a vraisemblablement pas plu à cette chaîne controversée.
Ce n'est pas que cela, puisque la chaîne de propagande de l'entourage du président continue encore à verser sa haine sur tout ce qui symbolise l'opposition. La chaine qui a blanchit Chakib Khelil et Abdeslam Bouchouareb, étant inculpés tout deux dans des scandales de corruptions, a, toutefois, accusé Issad Rebrab d'avoir "comploté avec l'ex-président du RCD, Said Sadi, en 2011 pour faire sortir les algériens dans la rue pour manifester contre le régime". Rappelons, toutefois, que ce sont ces même manifestations qui ont permit aux chaines de télévisions, comme Ennahar TV, de voir le jour, puisque le régime avait cédé à la pression de la rue, en lançant, une autre fois de la poudre aux yeux en ouvrant le champ de l'audiovisuel au privé.
Ce qui est étrange dans cela, c'est qu'Ennahar TV se vante d'avoir publié en exclusivité ce qu'ils ont nommé d'être un "scandale", concernant l'enrichissement du même homme d'affaires, mais oublie toutefois qu'en remontant à une dizaine de jours de cela, le scandale de Panama Papers a poussé la population à l'indignation, en découvrant qu'une panoplie de personnalités appartenant toutes au régime algérien ont, somme toute, bénéficié des sociétés offshores d'une manière illégale dans des paradis fiscaux.
Une chose à conclure est sure : Hormis l'éthique et la déontologie de la profession du journalisme qui sont en train d'être enfreinte, Ennahar TV pourra s'assurer qu'elle ne fait que perpétuer l’entorse du métier en invitant un avocat qui n'est pas en droit d'exercer jusque-là ses fonctions pour des antécédents avec la justice elle-même, et en se fondant sur des arguments obsolètes.
Dans un journal télévisé, intitulé " Rebrab... l'autre visage", la chaîne de télévision Ennahar TV a émit des déclarations d'une gravité inégalable contre le patron de Cevital. En un premier temps, cette chaîne de télévision accuse Issad Rebrab, alors qu'il été "militant du Rassemblement pour la Culture et la Démocratie" de "financer les groupes terroristes". Plus grave encore, en invitant l'avocat que le juge avait expulsé lors du 3eme report du procès opposant le groupe El Khabar au ministère de la communication, cet avocat illégitime, jusque-là, accuse encore Issad Rebrab d'être "un élément du DRS" qui a bénéficié des passes-droits de leur part pour s'enrichir.
La présumée chaîne médiatique est encore irritée du fait que Rebrab n'est pas consentant avec le régime algérien controversée par l'opinion publique et discrédité par les nombreuses affaires de corruption qui se succèdent du jour au jour. En effet, le fait que Rebrab eut subventionné le mouvement des archs, lors du printemps noir de 2001, pendant le déplacement des manifestants à Alger pour marcher le 14 juin 2001, n'a vraisemblablement pas plu à cette chaîne controversée.
Ce n'est pas que cela, puisque la chaîne de propagande de l'entourage du président continue encore à verser sa haine sur tout ce qui symbolise l'opposition. La chaine qui a blanchit Chakib Khelil et Abdeslam Bouchouareb, étant inculpés tout deux dans des scandales de corruptions, a, toutefois, accusé Issad Rebrab d'avoir "comploté avec l'ex-président du RCD, Said Sadi, en 2011 pour faire sortir les algériens dans la rue pour manifester contre le régime". Rappelons, toutefois, que ce sont ces même manifestations qui ont permit aux chaines de télévisions, comme Ennahar TV, de voir le jour, puisque le régime avait cédé à la pression de la rue, en lançant, une autre fois de la poudre aux yeux en ouvrant le champ de l'audiovisuel au privé.
Ce qui est étrange dans cela, c'est qu'Ennahar TV se vante d'avoir publié en exclusivité ce qu'ils ont nommé d'être un "scandale", concernant l'enrichissement du même homme d'affaires, mais oublie toutefois qu'en remontant à une dizaine de jours de cela, le scandale de Panama Papers a poussé la population à l'indignation, en découvrant qu'une panoplie de personnalités appartenant toutes au régime algérien ont, somme toute, bénéficié des sociétés offshores d'une manière illégale dans des paradis fiscaux.
Une chose à conclure est sure : Hormis l'éthique et la déontologie de la profession du journalisme qui sont en train d'être enfreinte, Ennahar TV pourra s'assurer qu'elle ne fait que perpétuer l’entorse du métier en invitant un avocat qui n'est pas en droit d'exercer jusque-là ses fonctions pour des antécédents avec la justice elle-même, et en se fondant sur des arguments obsolètes.