Les accusations et «les révélations» d'Ennahar TV sur «la face cachée» du PDG du plus grand groupe et acteur économique privé, Cevital, agitent la rue algérienne et laisse les algériens perplexes devant «le soutien au terrorisme» et «la corruption» d'Issad Rebrab.
La chaîne d'Anis Rahmani a promis de réagir avec du lourd à la décision d'Issad Rebrab, résiliant tous les contrats publicitaires de Cevital avec Ennahar et c'est ce qu'il a fait, en accusant l'homme de financer le terrorisme, de provoquer la révolte populaire de 2011, de monopole, de séparatisme et de corruption.
Mais si on suppose que les accusations d'Ennahar TV contre Issad Rebrab sont fondées, comment peut-on expliquer que cette même chaîne faisait de la publicité à un homme d'affaire qui soutenait le terrorisme ? Comment peut, Anis Rahmani, expliquer aux algériens, qu'il acceptait «l'argent sale» du patron de Cevital ? Comment peut t-il expliquer omettre de telles informations pour garder les contrats publicitaires ?.
Issad Rebrab a les moyens pour se défendre, mais le peuple algérien a le droit aussi, d'exiger de respecter son intelligence.
La chaîne d'Anis Rahmani a promis de réagir avec du lourd à la décision d'Issad Rebrab, résiliant tous les contrats publicitaires de Cevital avec Ennahar et c'est ce qu'il a fait, en accusant l'homme de financer le terrorisme, de provoquer la révolte populaire de 2011, de monopole, de séparatisme et de corruption.
Mais si on suppose que les accusations d'Ennahar TV contre Issad Rebrab sont fondées, comment peut-on expliquer que cette même chaîne faisait de la publicité à un homme d'affaire qui soutenait le terrorisme ? Comment peut, Anis Rahmani, expliquer aux algériens, qu'il acceptait «l'argent sale» du patron de Cevital ? Comment peut t-il expliquer omettre de telles informations pour garder les contrats publicitaires ?.
Issad Rebrab a les moyens pour se défendre, mais le peuple algérien a le droit aussi, d'exiger de respecter son intelligence.