El Hadi Ould Ali, ancien militant du Rassemblement pour la Culture et la Démocratie (RCD) devenu directeur de compagne électorale de Abdelaziz Bouteflika à Tizi Ouzou et ensuite directeur de la maison de la culture Mouloud Maameri puis promu ministre de la Jeunesse et des Sports à l'occasion du remaniement ministériel Sellal 4, tente de rectifier ses tirs et justifier défaillance de sa mobilisation en Kabylie pour une marche de célébration du printemps Berbère dans le sens souhaité par le pouvoir algérien.
Dans la même logique de désinformation adoptée depuis le printemps berbère en accusant sur l'ENTV et les journaux appartenant à l'Etat, la population Kabyle d'avoir profané les tombes des martyrs, brûlé le coran et le drapeau pendant la révolte pacifique de 1980, l'actuel ministre de la jeunesse et des sports, prétend sur la télévision publique que les gens ayant marché en Kabylie, étaient là pour rendre hommage aux militants de la cause mais surtout pour se réjouir de la consécration de la langue Tamazight comme langue officielle dans la nouvelle constitution.
Dans une première, ledit ministre a cité Ferhat Mehenni sur l'ENTV, qu'il accuse de relations dangereuses avec des forces internationales pour détruire l'Algérie en refusant d'admettre que ce dernier ait un soutien populaire en Kabylie.
Dans la même logique de désinformation adoptée depuis le printemps berbère en accusant sur l'ENTV et les journaux appartenant à l'Etat, la population Kabyle d'avoir profané les tombes des martyrs, brûlé le coran et le drapeau pendant la révolte pacifique de 1980, l'actuel ministre de la jeunesse et des sports, prétend sur la télévision publique que les gens ayant marché en Kabylie, étaient là pour rendre hommage aux militants de la cause mais surtout pour se réjouir de la consécration de la langue Tamazight comme langue officielle dans la nouvelle constitution.
Dans une première, ledit ministre a cité Ferhat Mehenni sur l'ENTV, qu'il accuse de relations dangereuses avec des forces internationales pour détruire l'Algérie en refusant d'admettre que ce dernier ait un soutien populaire en Kabylie.