Ferhat Mehenni, le leader des indépendantistes Kabyles, président et fondateur du Gouvernement Provisoire Kabyle (GPK) proclamé en 2010 à Paris, fondateur et ancien président Mouvement Pour l'Autonomie (Devenu pour l'Autodétermination) de la Kabylie, dont la montée et sa mobilisation des foules en Kabylie inquiètent la scène politico-médiatique, était invité à s'exprimer sur la chaîne d'opposition islamiste appartenant au fils de l'ancien président du Front Islamique du Salut (FIS) dissous, Abassi Madani.
Ferhat Mehenni a développé son plaidoyer pour «l'indépendance de la Kabylie» en revenant sur l'histoire de la région avant la colonisation jusqu'au printemps noir en passant par le mouvement national, l'indépendance, la lutte armée du FFS, le printemps berbère et l'assassinat des intellectuels Kabyle, avant de rappeler que son mouvement ne militent plus pour la simple reconnaissance de la langue amazigh mais plutôt pour fonder un «un Etat Kabyle souverain».
Pour Ferhat Mehenni, son père et les martyrs de la révolution algérienne n'étaient pas «morts pour l'Algérie mais pour la liberté» en expliquant que les «Kabyles cherchaient des alliances sur le niveau maghrébin pour affronter la France» à cause de leur «infériorité numérique et militaire face à la puissance coloniale», a t-il dit.
Ferhat Mehenni a développé son plaidoyer pour «l'indépendance de la Kabylie» en revenant sur l'histoire de la région avant la colonisation jusqu'au printemps noir en passant par le mouvement national, l'indépendance, la lutte armée du FFS, le printemps berbère et l'assassinat des intellectuels Kabyle, avant de rappeler que son mouvement ne militent plus pour la simple reconnaissance de la langue amazigh mais plutôt pour fonder un «un Etat Kabyle souverain».
Pour Ferhat Mehenni, son père et les martyrs de la révolution algérienne n'étaient pas «morts pour l'Algérie mais pour la liberté» en expliquant que les «Kabyles cherchaient des alliances sur le niveau maghrébin pour affronter la France» à cause de leur «infériorité numérique et militaire face à la puissance coloniale», a t-il dit.