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Révélations : Trois ministres algériens ont subi des «fouilles à corps» à l’aéroport d’Orly (Paris)

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Un agissement de la police française qui pourrait être interpréter comme un incident diplomatique. En effet, trois ministre Algériens ont subi des «fouilles au corps» par la Police française de l’air et de frontières de l’aéroport d’Orly (Paris) selon le journal électronique TSA.


Le dernier a subir cette fouille est Hamid Grine, ministre de la Communication, ce dimanche 17 octobre, en quelques jours. Avant lui, Abdeslam Bouchouareb et Abdelamdjid Tebboune avaient subi le même sort à l’aéroport de Paris rajoute la même source qui révèle également que le ministre des affaires étrangères Ramtane Lamamra avait protesté verbalement auprès de son homologue Laurent Fabius. Demain lundi, Alger va protester officiellement auprès de Paris, selon une source diplomatique algérienne.







Le général Medjdoub interdit de voyager et refoulé à l'aéroport de Houari Boumediène

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Le général Kehal Medjdoub dit Djamel, ex-chef de la Direction générale de sécurité et de la protection présidentielle (DGSPP) limogé par le président Bouteflika serait interdit de voyager et refoulé à l'aéroport de Houari Boumediène où il s'apprêtait à prendre le vol vers Paris à 9h du matin, une information révélée par le quotidien arabophone El Khabar sur son site internet.

Une fois mis au courant de cette décision, le général aurait été victime d'une malaise et transporté vers l’hôpital juste après un coup de fil violent. L'ancien ange protecteur du président Bouteflika serait à l’hôpital de Ain Naadja, rajoute ledit journal.

El Khabar révèle aussi que l'ex-chef de la Direction générale de sécurité et de la protection présidentielle (DGSPP) a reçu une convocation de la justice qui serait liée à l'incident de la résidence d'état à Zéralda.




Hausse historique de l'Euro dans le marché parallèle : la cote de 200 DA ressentie

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Les algériens ont peur, c'est la seule justification trouvée par les cambistes pour expliquer la hausse vertigineuse de l'Euro dans le marché parallèle algérien. En effet, la monnaie européenne est cotée hier 178 dinars au square Port Saïd et des spéculation parle de 200 dinars dans les jours à venir.

Cette hausse est l'effet domino de l'impact psychologique de la crise qui prévaut ainsi que les mesures prises par le gouvernement pour attirer les fonds de l'informel vers les banques. Ainsi, la démarche des pouvoirs publics – consistant à imposer le chèque pour toute transaction immobilière dépassant les 5 millions de dinars et le processus de mise en conformité volontaire pour capter les fonds circulant dans l’informel – a au final engendré l’effet inverse.

Il aura suffi de la rumeur de l’édition d’un nouveau dinar pour que les détenteurs de la chkara se ruent en masse sur les cambistes du marché noir. Il faut cependant admettre que l’élément qui déclenche la panique auprès des acheteurs potentiels est l’inquiétude que suscite le contexte de crise qui prévaut dans le pays. Au-delà des difficultés économiques auxquelles l’Algérie devra face durant les prochains mois, c’est le contexte politique qui «tétanise» plus d’un.

Hausse historique de l'Euro dans le marché parallèle : la cote de 200 DA ressentie


Avec El Watan



Hausse des tarifs de la vignette automobile : Tout ce qu'il faut savoir !

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Le projet de loi de finances 2016 propose la modification des dispositions du Code du timbre sur la valeur des tarifs de la vignette automobile, fixés en fonction de type du véhicule, sa puissance et l'année de sa mise en circulation. Voici le nouveau barème:



1- Véhicules utilitaires et d'exploitation:




1-a) Véhicules de moins de 5 ans d'âge :

- 6.000 DA pour les véhicules jusqu'à 2,5 tonnes à l'exception des véhicules utilitaires (contre 5.000 DA actuellement).

- 12.000 DA pour les véhicules entre 2,5 tonnes et 5,5 tonnes (contre 10.000 actuellement).

- 18.000 DA pour les plus de 5,5 tonnes (contre 15.000 DA actuellement)



1-b) Véhicules de plus de 5 ans d'âge:

- 3.000 DA pour les véhicules jusqu'à 2,5 tonnes à l'exception des véhicules utilitaires (contre 2.000 DA actuellement).

- 5.000 DA pour les véhicules entre 2,5 tonnes et 5,5 tonnes (contre 4.000 actuellement)

- 8.000 DA pour les plus de 5,5 tonnes (contre 7.000 DA actuellement).



2)- Véhicules de transport de voyageurs:




2-a) Véhicules de moins de 5 ans d'âge:

- 5.000 DA pour les véhicules aménagés pour le transport des personnes moins de 9 sièges (contre 4.000 DA actuellement).

- 8.000 DA pour les minibus de 9 à 27 sièges (contre 6.000 DA actuellement).

- 12.000 DA pour les minibus de 28 à 61 sièges (contre 10.000 DA actuellement)

- 18.000 DA pour les autobus de plus de 62 sièges (contre 15.000 DA actuellement).



2-b) Véhicules de plus de 5 ans d'âge:

- 3.000 DA pour les véhicules aménagés pour le transport des personnes moins de 9 sièges (contre 2.000 DA actuellement).

- 4.000 DA pour les minibus de 9 à 27 sièges (contre 3.000 DA actuellement).

- 6.000 DA pour les minibus de 28 à 61 sièges (contre 5.000 DA actuellement)

- 9.000 DA pour les autobus de plus de 62 sièges (contre 7.000 DA actuellement).



3)- Véhicules de tourisme et véhicules utilitaires d'une puissance de:




3-a) Jusqu'à 6 chevaux (CV): 2.000 DA pour les moins de 3 ans d'âge (contre 1.500 DA actuellement), 1.500 DA pour les 3 à 6 ans (contre 1.000 DA actuellement), 1.000 DA pour les 6 à 10 ans (contre 700 DA actuellement) et 500 DA pour les plus de 10 ans (contre 300 DA actuellement).



3-b) De 7 à 9 CV : 4.000 DA pour les moins de 3 ans d'âge (contre 3.000 DA actuellement), 3.000 DA pour les 3 à 6 ans (contre 2.000 DA actuellement), 2.000 DA pour les 6 à 10 ans (contre 1.500 DA actuellement) et 1.500 DA pour les plus de 10 ans (contre 1.000 DA actuellement).



3-c) De 10 CV et plus: : 10.000 DA pour les moins de 3 ans d'âge (contre 8.000 DA actuellement), 6.000 DA pour les 3 à 6 ans (contre 4.000 DA actuellement), 4.000 DA pour les 6 à 10 ans (contre 3.000 DA actuellement) et 3.000 DA pour les plus de 10 ans (contre 2.000 DA actuellement).


Vidéo. Enrico Macias : «Je voulais me recueillir sur la tombe de Matoub Lounes en Algérie», le journaliste en larmes !

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Hier soir, Thierry Ardisson a eu du mal à contenir ses larmes après le témoignage d'Enrico Macias. Invité de "Salut les terriens !", le chanteur est revenu sur son parcours, son enfance en Algérie qu'il a quitté avec sa famille en 1961 pendant la guerre puis son arrivée difficile en France. C'est quand il a évoqué l'Algérie que le chanteur a ému. Enrico Macias n'a jamais pu remettre les pieds dans le pays où il est né, à cause des menaces des islamistes. "Ce qui m'a fait peur c'est que je suis le symbole de l'exil et en me rendant en Algérie, je devenais le symbole de la réconciliation de tous les enfants d'Algérie. Et... comme j'étais très proche d'Israël et que j'ai voulu me recueillir sur la tombe de Matoub Lounès, ça a déclenché un refus catégorique. Ca fait 54 ans que je n'y suis pas allé mais j'ai encore dans mon subconscient l'Algérie qui coule dans mes veines", a expliqué le chanteur.



Alors que Thierry Ardisson a passé le refrain de la chanson "J'ai quitté mon pays", il n'a pas pu retenir ses larmes. "Pour que les téléspectateurs comprennent bien, on ne le sait peut-être pas mais les premières années de ta vie, Thierry, tu les as passées en Algérie", a expliqué Michel Drucker, autre invité de l'émission. Hier, SLT a réalisé son record d'audience de la saison avec 1,37 million de téléspectateurs soit 7% du public. puremedias.com vous propose de revoir cette séquence.

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L’intégralité de l'émission : "Salut les terriens"



Vidéo. Enrico Macias: «Je voulais me recueillir sur la tombe de Matoub Lounes en Algérie», le journaliste en larmes !

Avec Puremedia et programme-Television

Prochainement des véhicules chinois montés en Algérie

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Le ministre de l'Industrie et des Mines, Abdessalem Bouchouareb a affirmé samedi à Alger que des négociations étaient en cours au sujet d'un projet algéro-chinois de montage de véhicules et camions appelant les marques chinoises à développer les activités de sous-traitance et l'industrie de la pièce de rechange en Algérie.

"Il y a des firmes chinoises qui désirent se lancer dans le montage de véhicules et camions en Algérie", a indiqué le ministre lors d'une conférence de presse animée conjointement avec le Président du Conseil pour la promotion de la coopération Sud-Sud de la République populaire de Chine, Lyu Xinhua en marge du forum économique algéro-chinois.

"Un partenaire chinois connu négocie actuellement avec des entreprises algériennes un projet algéro-chinois de montage de véhicules qui sera lancé prochainement", a ajouté M. Bouchouareb qui a invité les Chinois à investir dans le développement des activités de sous-traitance et l'industrie de la pièce de rechange automobile.

Les autorités algériennes sont prêtes à soutenir les investisseurs chinois pour la concrétisation de leurs projets, a fait savoir le ministre insistant sur le fait que les "relations économiques et les perspectives d'investissement qui se dessinent progressivement entre les deux pays ne devraient pas se limiter à la réalisation d'une usine de montage de véhicules", a-t-il dit.

Il a rappelé, dans ce sens, les projets et opportunités d'investissement "très importants" dans plusieurs domaines où l'expérience chinoise est indispensable pour l'Algérie.

M. Bouchouareb a appelé le partenaire chinois à participer à l'exploitation du gisement de fer de Gara Djebilet (Tindouf) qui "exige une expérience, une technologie de pointe et des ressources financières considérables, des éléments assurés par les entreprises chinoises".

Revenant sur l'établissement d'un partenariat stratégique entre les deux pays, le ministre a souligné que la "nouvelle vision du +partenariat bilatérale+ et la volonté sincère contribueront à la réalisation de ces projets sur le terrain".

D'une réserve de 2 milliards de tonnes de fer, le gisement de Gara Djebilet constitue le "pilier de notre économie future", dira Bouchouareb qui citera également les gisement de phosphate qui pourraient faire de l'Algérie et la Chine des pionniers dans la production d'engrais dans le bassin méditerranéen.

Il a, en outre, appelé les opérateurs chinois à participer à la réalisation du projet du nouveau port commercial du centre (entre les villes de Cherchell et Ténès) qui assurera aux deux pays une ouverture sur les marchés africains d'abord puis ceux de la Méditerranée, le sud de l'Europe et les pays arabes.

Le projet dont les travaux seront lancés en 2016 est d'un montant de 200 milliards DA et sera réalisé, par tranches, par des entreprises nationales publiques et privées en partenariat avec des entreprises étrangères.

A la tête d'une importante délégation d'hommes d'affaires chinois, M. Lyu Xinhua a indiqué, pour sa part, que la Chine était prête à financer les projets de production que l'Algérie compte lancer rappelant que son pays disposait de réserves de changes estimées à environ 4 trillions dollars qui lui permette de financer de nombreux projets dans les pays en voie de développement et prioritairement l'Algérie.

Selon le responsable chinois, son pays encourage les entreprises chinoises à aller vers les marchés extérieurs notamment en Afrique.

L'ambassadeur chinois à Alger, Yang Yuanggu a indiqué qu'en plus de l'engagement des deux pays à développer un partenariat macro-économique, la Chine est prête à élargir ce partenariat à d'autres secteurs non conventionnels tels les zones industrielles et la coopération dans le domaine financier et monétaire.

"La Chine croira toujours en l'avenir de l'Algérie et son partenariat avec son pays", a souligné le diplomate chinois.

De son côté, le président du Forum des Chefs d'Entreprises (FCE), Ali Haddad a invité la délégation chinoise à investir dans les technologies de valeur ajoutée au lieu de confiner le partenariat dans des projets d'infrastructures seulement.

Il a ainsi appelé à la nécessité de passer de relations commerciales à des relations basées sur l'investissement productif en Algérie.

La Chine est le premier fournisseur de l'Algérie depuis 2013 avec des échanges commerciaux entre les deux pays estimés à 10 milliards dollars en 2014 contre 6,9 milliards dollars en 2011.

Les importations de l'Algérie provenant de Chine s'élèvent à 8,2 milliards dollars en 2014 tandis que les exportations ont été estimées à 1,8 milliards dollars (10e client de l'Algérie), selon les chiffres des Douanes.

Selon le président du FCE, le nombre d'entreprises chinoises activant en Algérie a augmenté de plus de 25% ces trois dernières années totalisant 793 firmes en 2014.

Au terme du forum économique algéro-chinois, des rencontres bilatérales ont eu lieu entre des entreprises chinoises activant dans plusieurs secteurs et leurs homologues algériennes.

Le Président du Conseil pour la promotion de la coopération Sud-Sud de la République populaire de Chine a eu des entretiens avec le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, le ministre de l'Habitat, de l'Urbanisme et de la Ville, Abdelmadjid Tebboune et le ministre du Commerce, Bekhti Belaib.

Urgent. 4 morts dans une explosion d'une usine filiale du ministère de la Défense (Actualisé)

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Une violente explosion a été entendue à l’unité de l’Office national des explosifs à Aïn-Defla, à 120 kilomètres à l’ouest d’Alger. Selon les premières informations recueillies auprès des habitants, il y aurait de nombreuses victimes. Un atelier a été détruit par l’explosion, très violente, ont indiqué des habitants. Des véhicules de la Protection civile se sont dirigés vers les lieux.

Selon des médias algériens, le bilan des pertes de vie s'élève à 4 morts et il est susceptible à s'alourdir


L'explosion a eu lieu juste avant 15 heures. Une explosion similiare avait eu lieu sur le même site en 1979. Elle avait fait une dizaine de morts.



Vidéo de l'explosion meurtrière dans une usine d’explosifs de l’armée

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Au moins quatre personnes ont perdu leurs vies ne violente explosion a été entendue à l’unité de l’Office national des explosifs à Aïn-Defla, à 120 kilomètres à l’ouest d’Alger.








Une vidéo postée par un internaute sur le réseaux social Facebook prétendant être de l'explosion survenue ce dimanche 18 décembre dans une usine de l’armée de fabrication d’explosifs à Ain Defla



وحدة المواد المتفجرة التابعة للجيش الوطني بعين الدفلى ..
Posté par ‎سعيد روش الحاج‎ sur dimanche 18 octobre 2015


La vidéo d'un enseignant qui violente et frappe des élèves de bas âge indigne le web algérien

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En Algérie de 2015, les instituteurs pensent encore que la punition physique est la meilleure méthode pédagogique dans l'éducation des enfants, preuve en est, il ne passe pas un mois sans un scandale de violence physique ou verbale dans nos écoles. En effet dans une vidéo diffusée sur la chaîne de télévision privée « Ennahar TV », un instituteur frappe ses élèves un par un lors d’une récitation, en total contradiction avec les consignes données par le ministère de l’éducation nationale. Celle-ci intervient quelques temps après qu’une autre vidéo ,où un professeur frappe ses élèves, ait fait le tour du net.



Amar Sâadani corrige Ouyahia : « Finis les alliances ... les choses sont différentes»

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Les derniers changements dans le sommet de l'Etat laisse les observateurs sceptiques par rapport à l'avenir d'Ouyahia dans les étapes à suivre de la reformulation du sérail. En effet, lui qui compte sur son allié stratégique le FLN doit être déçu après les dernières déclarations de son patrons rapportées par les médias.

Amar Saadani laisse entendre que le divorce de sa formation avec le RND est déjà consommée et refuse de parler d'une alliance présidentielle qui selon lui fait de l'ancien part unique un outil pour les autres partis pour arriver au pouvoir « Pour certains, arriver au pouvoir est une fin en soi. Pour nous, les choses sont différentes. Nous sommes au pouvoir et nous soutenons depuis 1999 le président Bouteflika »

Les deux hommes ont formulé déjà des «non» aux initiatives réciproques lancées, la première du RND vise la formation d'une alliance pour soutenir le président et la deuxième du FLN appelle à un front national de soutien du président, mais apparemment les emplacements, les visions et les rapports de forces sont farouchement différents entre les deux partis d'allégeance à Abdelaziz Bouteflika.



B.Khaled





Vidéo. Issad Rebrab acquiert de grands investissements au Brésil

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Apparemment, le plus réussi des hommes d'affaires algériens et PDG du plus grand groupe privé en Algérie s'oriente de plus en plus vers l'investissement à l'étranger. En effet, après l'Espagne, la France et l'Italie entre-autres Issad Rebrab s'aventure dans l’Amérique latine.


Au cours de son périple, qui l’a mené dans l’Etat du Para, M. Rebrab a signé, le 15 octobre dernier, un protocole d’intention avec les autorités du district portant sur un plan d’investissements dans l’industrie agroalimentaire, la sidérurgie et la logistique. Le président de Cevital en a profité pour annoncer le démantèlement d’une unité de l’aciérie de Piombino pour être transférée à Para, selon l’agence officielle d’information Agencia Para relayé par des médias locaux. Les travaux de construction et d’aménagement de l’usine ainsi que les ports de Cevital au Brésil devraient commencer dans deux ans. Les relations d’affaires d’Issad Rebrab au Brésil datent de trois ans, et importe de ce pays pour 1,5 milliard de dollars par an de soja, de maïs et de sucre, une valeur qui correspond à 75% du commerce entre l’Algérie et le Brésil, qui est de 2 milliards de dollars par an.



Le phénomène du rap Kabyle, Karim OSM se confie à Kabylie News : «J'essaye de raconter ce que ressent la population»

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Le phénomène du rap Kabyle, Karim OSM  se confie à Kabylie News : «J'essaye de raconter ce que ressent la population»

Il dispose en son compte de trois (03) albums qui ont fait de lui la star du rap kabyle, Karim OSM,  est ce jeune rappeur, issu d'Akbou de la wilaya de Béjaia. Il a su conquérir le cœur d'un bon nombre d'amoureux de la musique, surtout depuis la présidentielle algérienne de 2014 qui lui a offert l’occasion de parler de tous les maux et de ce que ressent la population tout bas. Karim OSM raconte sur les lignes de votre journal Kabylie-News, comment a-t-il  séduit  son public à qui il tient fortement, et aussi de ce qui l'encourage à chanter encore.

Pour commencer, qui est Karim OSM ?

Bonjour, de prime abord je suis un jeune parmi comme d’autres jeunes du pays, et je chante le rap fusion en kabyle.

 Le Rap Kabyle, un nouveau style de musique. Qu’est-ce qui vous a inspiré à vous lancer dans cette musique ?
En vérité, je nourrissais cette passion de devenir rappeur dès mon jeune âge. Mon rêve était, depuis mon enfance, de devenir un grand artiste.

Et comment avez-vous commencé ?  

J’étais ce genre de jeunes qui aimait écrire. J’ai même abandonné mes études pour me mettre dans la chanson, et dans le but d’entamer une carrière artistique. Par la suite, j’ai commencé à me mettre sur le terrain, en réalisant des concerts de rue, où ma première scène s’était déroulée dans mon quartier, et c’est à partir de là que j’ai décidé de sortir mon 1er album.

Mise à part vos clips qui ont fait un tollé d’admiration, comptez-vous d’autres albums dans votre compteur ?

Oui, j’ai en mon compteur trois (03) albums. Le premier, qui m’a permit d’emboiter le 1er pas dans ce monde d’art, a été publié un 21 juin 2008, et que j’ai intitulé « Mon Rap ». Ensuite, le 2ème a été publié le 26 mai 2012, pour finir, jusque-là avec un 3ème qui est récemment sorti le 15 avril de l’année en cours.

Beaucoup de nouveaux styles ont intégrés la chanson Kabyle. Pensez-vous que c’est un avantage de ramper avec la chanson traditionnelle, ou est-ce subversif pour notre culture ?

A vrai dire, chaque artiste qui apporte une touche spéciale et propre à la chanson kabyle contribue à l’améliorer. Et ce cela qui fait que notre culture soit aussi riche aujourd’hui.

Dans l’une de vos chansons vous avez farouchement accablé le système politique algérien. Le rap engagé serait bien votre style préféré, ou vous nous cachez d’autres titres sur d’autres thèmes ?

Chômage, désespoir, immigration clandestine (harraga) sont les éléments dont j’ai parlé. Effectivement, j’ai touché à tout cela, parce qu’ils sont les ingrédients qui ont ruiné notre pays. Je ne peux pas cacher le soleil avec le tamis, comme l’on dit. Et donc, j’essaye à chaque fois de résumer tout cela dans une chanson, j’essaye surtout de raconter ce que ressent la population…

Pensez-vous, comme le prétendent beaucoup de vos fans, que vous êtes le porte-flambeau de cette nouvelle génération dans votre domaine ?

Vous savez, j’essaye toujours de donner le meilleur de moi-même dans mes chansons, sans pour autant éviter de m’éloigner du quotidien des gens, je raconte de qu’ils vivent. Et donc, pour cette question, je crois qu’il vaudrait mieux que je laisse mes admirateurs d’en juger.

Comptez-vous, un jour, faire une tournée en Kabylie ?

J’ai fais une panoplie de sorties dans de nombreux village en Kabylie, et donc je reste à la disposition de ceux qui veulent toujours organiser des festivités de ce sens, s’ils m’appellent. Et pour faire une tournée, je pense que ce n’est pas le travail qu’une seule personne peut faire.

Qu’en est-il des projets de Karim OSM ?


Mon dernier album est sorti dans les bacs il y a mois en arrière (avril 2015 ndlr), et là je prépare, au même temps, un nouvel album pour l’an 2016, qui j’espère plaira encore aux amoureux de la musique.




Université de Béjaîa : Cri de détresse de «plus de 500 étudiants trahis par leur pays»

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Ils ont eu leur BAC avec de bonnes moyennes et étaient orientés vers la formation LMD en sciences infirmières de l'université de Bejaia mais après avoir leurs diplômes de License ils étaient confronté à la réalité amère que cette formation et son diplôme ne sont même pas reconnus en tant que tels par la fonction publique ni privée, un dysfonctionnement et absence de coordination graves entre les secteurs qui malheureusement, vus comme normaux dans un pays qui navigue à vue. En effet, un diplômé de l'université de Béjaîa qui se sent trahi par son pays nous a adressé ce message de détresse que nous reproduisons intégralement ci-dessous.



Licenciés en sciences infirmières de l'université de Bejaia. Les sciences infirmières, une filière qui a demandé une moyenne de 12,80 minimum au baccalauréat, une formation encadrée par les professeurs en médecines dans des CHU et avec en prime des stages dans le privé et le public.

Au bout de ces trois années de formation, nous ces même étudiants"plus de 500", se sentent «trahis» par l’administration, qui nous a promis monts et merveilles au lancement de la filière, et qu’à la fin du compte nous a jeté à la rue sans statut ni aucun débouché professionnel.

N’étant pas, en effet, reconnu par le ministère de la Santé et rattaché à la faculté des sciences de la nature et de la vie mais un encadrement pédagogique effectué par la faculté de médecine, le document délivré en guise de diplôme par cette même faculté est une attestation de réussite, insignifiante aux yeux tant des employeurs privés que publics.

La revendication des étudiants n’est ni plus ni moins que de poursuivre la graduation et que leur diplôme soit reconnu par le ministère de la Santé avec un statut bien défini.




L'Algérie demande des prêts à la Chine : Revoilà l'endettement extérieur

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Après les mesures d’austérité introduites par la Loi de finance pour 2016 et la Loi de finance complémentaire pour la même exercice, l’Algérie inaugure ainsi le recours à l’endettement extérieur qui n’est pas sans rappeler le réajustement structurel de triste mémoire imposé au début des années 1980 par le FMI.





C’est ce qu’a laissé entendre, hier, le ministre du Commerce, Bakhti Belaïb. Le responsable gouvernemental – qui s’est exprimé lorsqu’il a reçu, en compagnie de son homologue de l’Habitat, le responsable chinois chargé de la Coopération Sud-Sud – a indiqué que cette demande est une «exception que compte faire l’Algérie compte tenu des faibles taux d’intérêt appliqués par la Chine et de la qualité des relations entre les deux pays». Pour se donner une marge de manœuvre, le ministre du Commerce a précisé qu’aucun détail n’est encore précis sur le sujet. «Les discussions sont actuellement en cours avec la partie chinoise», précise Bakhti Belaïb. Ce dernier est probablement conscient qu’il vient de casser là un tabou.


Du coté de Pékin, la réponse a été, plutôt, positive. "La Chine croira toujours en l'avenir de l'Algérie et son partenariat avec son pays", a souligné le diplomate chinois. Dans ce sillage, plusieurs projets sont, d’ors et déjà, prévus dans l’industrie automobile, l’exploitation minière et la gestion portuaire. Pour la réalisation de ces projets, les chinois ont manifesté leur volonté de participer au financement de ses projets avec un fond d’investissement de 40 milliards de dollars, a appris la journaliste de la Chaine 3.

D'une réserve de 2 milliards de tonnes de fer, le gisement de Gara Djebilet constitue le "pilier de notre économie future", dira le minsitre de l’industrie et des mines, Abdeslam Bouchouareb qui citera également les gisements de phosphate qui pourraient faire de l'Algérie et la Chine des pionniers dans la production d'engrais dans le bassin méditerranéen.



Il a, en outre, appelé les opérateurs chinois à participer à la réalisation du projet du nouveau port commercial du centre (entre les villes de Cherchell et Ténès) qui assurera aux deux pays une ouverture sur les marchés africains d'abord puis ceux de la Méditerranée, le sud de l'Europe et les pays arabes.

Le projet dont les travaux seront lancés en 2016 est d'un montant de 200 milliards DA et sera réalisé, par tranches, par des entreprises nationales publiques et privées en partenariat avec des entreprises étrangères.

Des négociations autour d'un projet algéro-chinois de montage de véhicules

Le ministre de l'Industrie et des Mines, Abdessalem Bouchouareb a affirmé samedi à Alger que des négociations étaient en cours au sujet d'un projet algéro-chinois de montage de véhicules et camions appelant les marques chinoises à développer les activités de sous-traitance et l'industrie de la pièce de rechange en Algérie.

"Il y a des firmes chinoises qui désirent se lancer dans le montage de véhicules et camions en Algérie", a indiqué le ministre lors d'une conférence de presse animée conjointement avec le Président du Conseil pour la promotion de la coopération Sud-Sud de la République populaire de Chine, Lyu Xinhua en marge du forum économique algéro-chinois.

"Un partenaire chinois connu négocie actuellement avec des entreprises algériennes un projet algéro-chinois de montage de véhicules qui sera lancé prochainement", a ajouté M. Bouchouareb qui a invité les Chinois à investir dans le développement des activités de sous-traitance et l'industrie de la pièce de rechange automobile.

Vidéo. Disparition progressive de la langue Kabyle dans les 15 ans à venir

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Dr Hocine Toulaït, spécialiste des politiques publiques en matière des langues officielles au Canada était l'invité de Berbère TV avec Kamel Tarwiht das Art et société.

Dr Toulaït explique tous les enjeux culturels, politiques et linguistiques de la langue kabyle en corrélation avec tamazight, dans un pays où les tenants du pouvoir tergiversent encore dans l’officialisation de la langue amazighe. Il y a toujours en Algérie ce réflexe jacobin, l’idée d’un État “un” et indivisible.




Vidéo. Issad Rebrab au Brésil : «On va construire plusieurs ports dans le nord»

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Issad Rebrab a été reçu, la semaine dernière, par la ministre de l’Agriculture, de l’Elevage et de l’Approvisionnement, Katia Abreu, pour discuter de la mise en place d’investissements dans plusieurs domaines. Selon l’agence officielle brésilienne Agencia Brazil, lors de la réunion avec le ministre, l’homme d’affaires a déclaré que « Cevital soumettrait au gouvernement de Para (Nord du Brésil) un projet de création d’industries alimentaires dans les villes à travers l’État et de créer des emplois et de la valeur ajoutée à travers la culture des matières premières ». « Nous avons pris la décision d’investir dans le Corridor du Nord, parce que les ports de la région sont plus proches de l’Algérie, de l’Europe et de l’Afrique », a fait valoir la ministre brésilienne.


«Nous voulons développer la sidérurgie et des infrastructures portuaires pour profiter de la forte croissance de l’activité de la transformation agroalimentaire brésilienne. Le transport du maïs brésilien coûte très cher car il est produit au centre du Brésil. La tonne de maïs coûte 80 dollars. Mais la logistique de son transport jusqu’aux ports revient à 150 dollars la tonne. Notre objectif est de proposer de la logistique aux agriculteurs brésiliens. Nous allons aussi leur proposer d’échanger des fertilisants en contrepartie de leur maïs brésilienne nos investissements internationaux seront profitables à notre pays l’Algérie qui doit garantir en urgence sa sécurité alimentaire », explique l’industriel rapporté par des médias algériens.


Elle l'a traité d'«ignorant» : Haddad attaque en justice Louisa Hannoune

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Ali Haddad, patron des patrons président du Forum des Chefs d’entreprises (FCE), a décidé de mener une action en justice contre la secrétaire général du Parti des Travailleurs, Louisa Hanoune, pour diffamation et atteinte à la dignité, a rapporté un journal électronique.

Louisa Hanoune charge violemment ALi Haddad à chaque occasion, le traitant de tous les noms d’oiseaux, et la dernière sortie en date fut celle d’Oran, lorsqu'elle l’avait traité d’« ignorant ».

C’est, donc, la deuxième personne que Ali Haddad este en justice, pour le même motif, après le général Hocine Benhadid, actuellement en détention.

Elle l'a traité d'«ignorant» : Haddad attaque en justice Louisa Hannoune

Vidéo. «Une victoire pour faire taire ses détracteurs» : Nouria Benghabrit réussie là où ses prédécesseurs ont échoué

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Le ministère de l'Education nationale et les représentants de neuf syndicats relevant de ce secteur ont signé lundi la déclaration d'intention de la charte d'éthique et de stabilité du système éducatif qui sera paraphée mi-novembre prochain.

A l'issue de la signature de ce document, la ministre de l'Education nationale, Nouria Benghebrit a indiqué dans une déclaration à la presse que l'objectif de cette charte était "de garantir la stabilité du secteur, en assurant un climat favorable au bon fonctionnement de l'école algérienne".

Après avoir qualifié cette signature d'"historique", Mme Benghebrit a appelé les partenaires sociaux à "prendre davantage de temps pour finaliser leur contribution, à travers l'examen et l'enrichissement du projet en vue de parvenir à une mouture finale pour le texte de charte, dont le paraphe est prévu mi-novembre prochain".

La charte d'éthique et de stabilité du système éducatif vise à "établir la confiance entre les composantes de la corporation de l'éducation et d'oeuvrer dans le cadre d'une entente entre la tutelle et les partenaires sociaux à régler les problèmes éventuels pour mieux assumer la fonction d'enseignant et de relever le niveau de performance pédagogique de l'établissement éducatif",a-t-elle estimé.

Par ailleurs, les représentants des neuf syndicats signataires de la déclaration d'intention de la charte ont salué les démarches de la tutelle pour élaborer cette charte, préserver la stabilité du secteur et définir les devoirs et les droits des acteurs de ce secteur.

Vu l'importance de cette charte, la majorité des représentants des syndicats a souligné l"importance d'examiner le projet au niveau des conseils de leurs instances syndicales, précisant que la signature de cette déclaration d'intention "ne signifie pas l'abandon syndicale".




Vidéo. «Fouille des ministres algériens à Paris» : la réponse d'un député algérien fait le buzz

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La fouille samedi à l’aéroport parisien d’Orly du ministre de la Communication, Hamid Grine est un « incident particulièrement regrettable » et les autorités françaises travaillent pour qu’un tel événement « ne se reproduise plus », a déclaré lundi le ministère français des Affaires étrangères.



En effet, cette fouille est vue comme une humiliation en Algérie, elle a fait réagir sur la toile jusqu'à l'hémicycle du parlement Algérien, où n député algérien réagit vivement lors d’une séance parlementaire, à propos de l’incident de la fouille du ministre de la communication, Hamid Grine, à l’aéroport d’Orly, provoquant les rires de l’assemblée.







Vidéo. Ministre du Commerce Belaïb : « pourquoi diaboliser l'endettement ? »

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Un éventuel recours de l'Algérie à un emprunt extérieur pour financer des projets d'investissement ne devrait pas être "diabolisé" car il ne signifie, en aucun cas, une vulnérabilité financière du pays, a déclaré, lundi à Alger, le ministre du Commerce, Bakhti Belaïb.



Le ministre a tenu ces propos en réponse à une question de la presse en marge d'une réunion de travail avec l'Union nationale des paysans algériens (Unpa). Pressé par le journalistes de fournir plus de précisions sur une déclaration qu'il avait faite récemment sur un emprunt que pourrait contracter l'Algérie auprès de la Chine, le ministre a répondu: "Pourquoi diaboliser l'endettement (extérieur) de cette manière? C'est (le fait de diaboliser) une démarche qui n'est pas sensé".

Selon lui, il arrive fréquemment que même des pays riches recourent à des emprunts extérieurs, et lorsqu'un pays utilise judicieusement l'argent emprunté, il lui serait alors préférable d'épargner les ressources financières qu'il possède. "Beaucoup de pays sont endettées dans le monde, et très souvent, il s'agit de pays des plus riches. Mieux encore, la raison de leur richesse s'explique par un bon endettement", a-t-il soutenu.



Interrogé sur le montant et le taux du prêt que l'Algérie envisage de contracter auprès de la Chine, M. Belaïb a considéré qu'''un gouvernement sérieux, lorsqu'il évoque la possibilité d'emprunter, il ne peut pas donner les résultats à l'avance avant même de s'entendre avec son partenaire (créancier"). Il a, toutefois, rassuré qu'une fois contracté, ce crédit financera des investissements "utiles": " Si l'on a parlé de crédits (extérieurs), c'est qu'ils seront destinés à financer des projets utiles dans le pays".

Lors d'une réunion de travail tenue, samedi dernier, avec le président du Conseil chinois pour la promotion de la coopération sud-sud, M. Lu Xin Hua, M. Belaïb avait évoqué la possibilité de l'Algérie de contracter un prêt auprès de la Chine pour financer certains grands projets. Il avait alors précisé qu'il s'agissait d'une "exception" que compte faire l'Algérie étant donné "les faibles taux d'intérêt appliqués par la Chine et la qualité des relations entre les deux pays".



APS
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