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Rebrab dément le ministre de l'industrie : « je dois l'attaquer en justice pour diffamation»

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La guéguerre entre le PDG du plus grand groupe privé en Algérie Rebrab et le ministre de l'industrie Bouchouareb atteint ses pics en portant des accusations très graves l'un envers l'autre. En effet, après avoir reproché au ministre des faits graves de sabotage de l'investissement en Algérie et après la réponse du ministre qui à son tour va très loin en parlant de fraude, surfacturation et mépris envers le peuple algérien en faveur du peuple français, Issad Rebrab répond à Abdesselam Bouchouareb en l'accusant de diffamation et le menaçant de poursuites judiciaires pour diffamation «preuves à l'appuis».

Rebrab dément Bouchouareb



C'est sur une interview accordée à TSA que Rebrab dément le ministre de l'industrie : « D’abord, il n’y a jamais eu de surfacturation. Ensuite, comme je l’ai déclaré lors de notre précédente interview, nous avons acquis des équipements ultramodernes de dernière génération. Cevital n’investit jamais dans des équipements obsolètes ! À mon retour mi-octobre, Cevital va inviter toute la presse et même M. Bouchouareb à venir constater de visu nos équipements neufs et ultramodernes qui sont en cours d’installation dans notre usine à Sétif. Je pense qu’on ne peut ​pas ​apporter une meilleure preuve. M. Bouchouareb ​a dit que quand on a acheté Brandt, le gouvernement français nous avait demandé de renouveler ​l​es équipements. Cela n’a jamais été le cas. Les deux usines sur les cinq que nous avons repri​ses​ ont des équipements ultramodernes. Je ne sais pas d’où il sort ses arguments.», avant d'affirmer que le ministre invente des choses pour se défendre «Il n’a pas d’autre défense et il fallait trouver quelque chose. Mais nous sommes prêts à recevoir M. Bouchouareb avec les journalistes issus de la presse écrite, électronique et audiovisuelle. Nous allons prendre des bus ou un avion pour visiter l’usine de Sétif. Ils vont constater d’eux-mêmes qu’il y avait uniquement la ligne des tambours qui était concernée. D’ailleurs, on sera obligés d’importer des tambours d’Europe en attendant l’arrivée des équipements qui vont intervenir dans un an et demi. Nous n’allons pas pouvoir démarrer nos exportations qu’en mars 2016 au lieu de mars 2015. Je rappelle qu’il s’agit d’un retard causé par le ministère de l’Industrie.»

Le PDG de Cevital menace de recourir à la justice pour diffamation 


Issad Rebrab compte poursuivre Abdesslam Bouchouareb en justice suite aux accusations très grave portées par ce dernier contre lui. Pour Issad Rebrab, Abdesslam Bouchouareb fantasme «C’est une accusation très grave. Je suis en train de réfléchir si je dois attaquer en justice M. Bouchouareb pour diffamation ou si je vais me contenter de lui démontrer le contraire de ses allégations. On peut inviter M. Bouchouareb pour visiter nos deux usines en France et constater qu’il n’y a eu aucun renouvellement d’équipements et donc aucun investissement. On n’avait pas besoin de le faire car les équipements sont modernes. Je n’ai aucun engagement avec le gouvernement français pour le renouvellement. M. Bouchouareb est en train de fantasmer. C’est le drame de ce pays. D’ailleurs, les deux usines en France concernent des équipements de cuisson et n’ont pas besoin d’être renouvelés tandis que ce que nous sommes en train d’installer à Sétif est une usine de machines à laver.»

Rebrab dément le ministre de l'industrie : «  je dois l'attaquer en justice pour diffamation»


Vidéo. Isaad Rebrab : « Si c'était vrai je serais en prison»

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Issad Rebrab se dit surpris des accusations très graves portées par le ministre de l'industrie Abdeslam Bouchouareb contre lui, en lui reprochant la fraude et la surfacturation. Des accusations gravissimes peuvent valoir de la prison au patron de Cevital comme le stipule la loi 96-22 qui punit de 2 ans à 7 ans de prison ferme ces infractions à la réglementation des changes.

Lire aussi : Le ministre de l'industrie porte de graves accusations contre Rebrab, PDG de Cevital

Selon Issad Rebrab, si c'étaient des accusations fondées il serait déjà en prison et l'affaire aurait été révélée le mois de novembre 2014.

Lire aussi : Rebrab dément le ministre de l'industrie : « je dois l'attaquer en justice pour diffamation»

Pour rappel Abdeslam Bouchouareb, le ministre de l’Industrie et des Mines, porte des accusations gravissimes à l’encontre de l’homme d’affaires Isaad Rebrab. Le ministre a indiqué, ce lundi, que le patron de Cevital est impliqué dans des affaires de transferts illicites de devises.


Vidéo. Elle présente la météo en robe Kabyle

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La charmante présentatrice de la météo sur la chaîne de télévision privée Dzair News a préparé une agréable surprise à ses téléspectateurs en présentant la météo en robe Kabyle. En effet, Thiziri Mehiout fait le buzz déjà sur la toile Kabyle, algérienne et amazigh avec son élégante sortie avec la robe Berbère et sa maîtrise de la météo.


Lire aussi : La robe Kabyle dans le Top 10 des robes de mariée les plus sublimes au monde

Les robes Kabyles traditionnelles ont évolué avec la mode, elles ont été modernisées pour nous émerveiller avec des nouveaux modèles avec une variété de couleurs et de tissus.



«Situation critique et explosive au sein de l’Université de Béjaia» : Les enseignants interpellent le ministre de l'Enseignement supérieur

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Nous, enseignants de la Faculté des Sciences Exactes de l’Université Abderrahmane Mira - Béjaia, nous nous adressons à vous pour vous interpeler afin de désamorcer la situation critique et explosive qui prévaut au sein de l’Université de Béjaia.



Monsieur le Ministre, Il ne vous échappe pas que le campus d’Amizour a été pensé et conçu pour abriter la faculté de droit et des sciences juridiques. Le 27 juillet 2015, en plein congé d’été, monsieur le recteur a pris la décision unilatérale de délocaliser la faculté des sciences exactes vers ce campus, et ce, en dépit de l’opinion défavorable, concertée et argumentée de la quasi-totalité de la communauté universitaire affiliée à ladite faculté. L’action de délocaliser la faculté des sciences exactes par le recteur est une forfaiture vis-à-vis de la communauté universitaire de cette faculté. Dès le premier jour de la rentrée, les enseignants ont manifesté pacifiquement leur désapprobation en tenant des assemblées générales sanctionnées par des PV affichés au niveau du campus de Targa Ouzemmour et ont mis le recteur devant ses responsabilités quant aux conséquences fâcheuses que cette délocalisation pourrait engendrer. En réponse à notre mouvement, le recteur n’a pas cessé d’envenimer la situation par des décisions immatures et autoritaires, à savoir le limogeage et le remplacement du doyen de la faculté des sciences exactes.

Monsieur le Ministre, Alors que dans tous les pays du monde, crise oblige, des pôles universitaires sont crées afin de regrouper tous les moyens techniques et ressources humaines, notre recteur prend la décision de dissocier les sciences exactes de la technologie. Nous attirons votre attention sur le fait qu’au lieu d’optimiser la gestion des biens communs (équipements, laboratoires, fonds documentaire, locaux pédagogiques et de recherches, etc), il promet des milliards pour créer les infrastructures et donner les moyens indispensables au bon fonctionnement de notre faculté une fois délocalisée alors que le campus de Targa Ouzemmour en est pourvu, ce qui a permis à notre faculté de prouver sa performance de par ses productions scientifiques et pédagogiques :400 doctorants et autres soutenances de doctorat, des centaines de publications scientifiques, etc. Alors que nous attendons la réception d’un plateau technique et de nouveaux blocs de recherche communs aux trois facultés localisées à Targa Ouzemmour, le recteur a pris la décision de priver les enseignants et les étudiants de la faculté des sciences exactes de ce à quoi ils pensaient avoir droit en tant qu’enseignants- chercheurs et autres thésards ou étudiants de fin de cycle préparant des mémoires.

Monsieur le Ministre, Pour clore cette liste de nos déboires provoqués par le recteur, nous vous informons que nous contestons les chiffres et les statistiques concernant les effectifs avancés par le recteur.

Permettez-nous, Monsieur le Ministre, d’espérer que votre intervention dénouera cette situation critique qui n’aurait jamais dû avoir lieu.

Dans l’attente de votre réponse, veuillez agréer Monsieur le Ministre, l’expression de nos salutations distinguées.



Les enseignants de la faculté des Sciences Exactes Université Abderrahmane Mira, Bejaia

Accusations de fraude et surfacturation : Rabrab appelle Bouchareb à l'affronter dans un débat télévisé

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Nouveau rebondissement dans l'affaire des accusations mutuelles entre le patron du plus grand groupe privé en Algérie et le ministre de l'industrie. En effet, le ministre de l’Industrie et des Mines, Abdesselam Bouchouareb, a fait des déclarations qui, d’emblée, ont fait les choux gras de la presse électronique. Et pour cause, il s’en est pris, sans ménagement, au patron de Cevital, Issad Rebrab, se laissant aller à des accusations si graves que ce dernier, qui était entre deux aéroports, a tenu à réagir sans plus tarder.

La réponse de Rebrab rapportée par le quotidien Liberté dément les déclarations du ministre et le défie : «C’est fauxJe le défie de venir à un face-à-face télévisé devant les Algériens.»


Lire aussi : Rebrab dément le ministre de l'industrie : « je dois l'attaquer en justice pour diffamation»


Accusations de fraude et surfacturation : Rabrab appelle Bouchareb à l'affronter dans..... un débat télévisé

Air Algérie : Deux passagers arrêtés par la police pour avoir filmé une scène d'injustice

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Les passagers du vol AH4020 d’Air Algérie en partance pour Casablanca depuis Oran auront vécu un véritable calvaire ! Au nombre de 260, ils devaient s’envoler pour le Maroc à partir de l’aéroport international Ahmed-Ben-Bella d’Es-Sénia lundi, à 14h mais, finalement, ils ne s’envoleront que le lendemain – hier, NDLR – à l’aube, les uns rebroussant chemin, pendant que d’autres ont dû se résigner à passer la nuit dans le hall de l’aéroport, a révélé le quotidien reporters.

Aucune explication officielle n’a été fournie aux passagers, restés dans l’ignorance la plus totale, mais, selon certaines sources proches d’Air Algérie qui se sont exprimées sous le sceau de l’anonymat, « l'avion qui devait assurer la liaison Oran- Casablanca a été mobilisé et envoyé en Arabie saoudite pour rapatrier les hadjis algériens ».

Cette situation a inévitablement créé un climat de tension que les forces de l’ordre ont dû dissiper en essayant, tant bien que mal, de calmer les voyageurs, à bout de nerfs et las d’attendre sans la moindre information. Plus tard dans la soirée de lundi, alors qu’une soixantaine de passagers ont décidé de dormir sur les lieux, deux passagers qui filmaient avec leur smartphone le « campement » improvisé à même le sol de l’aéroport d’Es-Sénia se sont fait arrêter par la police et mis aux arrêts durant deux heures avant d’être libérés. Les photos et vidéos devaient servir à « montrer » la souffrance des passagers qui ont exigé du ministre des Transports, Boujemâa Talaï, d’ouvrir une « enquête » et de « punir » ceux qui sont « derrière la situation qu’ils ont endurée », et d’afficher « leur rejet complet et leur indignation de ce qu’ils ont vécu ».

Ce qui n’est pas sans rappeler l’épisode « houleux » dont avait été le théâtre ce même aéroport lorsqu’une chef d’escale s’était rendu coupable d’un déni de service auprès d’un passager qui l’avait filmée et a provoqué la mise en demeure par Air Algérie de son employée indélicate. Un « appel » sans doute pas encore parvenu au ministre en charge du portefeuille des Transports, du moins pas hier car, à ce moment, il animait une conférence de presse au Forum El-Moudjahid lors duquel il a fait l’aveu que « le secteur dans sa totalité souffre de lacunes et de défaillances ».
M. Talai a passé en revue un secteur visiblement « malade » : dans le maritime, « sur 78 bateaux, 5 uniquement sont en activité et exploités par la CNAN » ; dans le ferroviaire, la « SNTF se porte mal », à cause des « fraudeurs » qui ne paient jamais leur ticket et, bien évidemment, dans l’aérien, M. Talai se montre direct : « Je ne suis pas content des prestations d’Air Algérie. » Et d’ajouter : « 50% des vols accusent des retards. »

Mais les « retards » répétitifs du pavillon national sont en train de devenir une « marque de fabrique » (sic !). En août dernier, les passagers d’Air Algérie en France ont dû attendre 28 heures avant de s’envoler en direction d’Alger, bloqués à l’aéroport de Metz à cause de « problèmes techniques détectés ». Le ministre des Transports, Boudjemâa Talaï, avait dit en juin dernier que la compagnie « était malade et (qu)'elle doit tout réapprendre ».

Air Algérie : Deux passagers arrêtés par la police pour avoir filmé une scène d'injustice

Vidéo. Issad Rebrab : «Bouchouareb est un menteur»

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La controverse s’amplifie entre le ministre de l’Industrie et des Mines, Abdesselam Bouchouareb, et le président du groupe Cevital, Issad Rebrab. Lors d’une conférence de presse animée hier conjointement avec son homologue tunisien, Abdesselam Bouchouareb a carrément accusé le patron de Cevital d’enfreindre la loi, voire de surfacturation.

«Je cherche toujours dans mes tiroirs pour trouver la demande d’audience faite par M. Rebrab à mon égard. Pour l’instant, je n’en ai pas trouvé», déclarait Abdesselam Bouchouareb à la Résidence El-Mithak. Celui-ci répondait aux propos formulés mercredi dernier via un média électronique (Tout Sur l’Algérie) par le P-dg de Cevital accusant le ministre de l’Industrie de bloquer le développement d’un projet industriel et de ne pas répondre à ses demandes d’audience.

Certes, M. Bouchouareb concédera qu’«il est vrai que des connaissances communes me passent de temps en temps des messages». Mais, «je ne suis pas structuré pour fonctionner de la sorte», dira-t-il, assurant qu’il est «un ministre de la République qui obéit aux règles de la République».

Cela étant, Abdesselam Bouchouareb affirme qu’il ne s’est «jamais opposé à qui que ce soit, à aucun opérateur économique, surtout quand il est national. Ma porte est toujours ouverte». Quant aux «problèmes qu’annonce M. Rebrab», le ministre de l’Industrie rétorquera qu’il y a déjà répondu. «Je l’ai fait. Encore une fois, je pensais qu’il avait compris. Mais maintenant, je le ferai avec vous aujourd’hui et dans quelques jours de manière encore plus profonde», dira le ministre.

Se voulant explicite, Abdesselam Bouchouareb assure que le P-dg de Cevital «a un seul problème avec moi, qu’il cite et ce n’est pas un problème avec le ministère de l’Industrie». Il précisera ainsi que «M. Rebrab dans l’acquisition de l’usine Brandt en France qu’il a achetée et qu’il a payée, les conditions posées par le partenaire français, c’était de renouveler les équipements. Il a procédé au renouvellement de ces équipements».

Cela étant, le ministre de l’Industrie affirmera que le P-dg de Cevital «a pris de vieux équipements. Il a voulu les introduire dans mon pays (en Algérie) contre une valeur de 5,7 millions d’euros alors qu’il en est propriétaire !» Or, «la réglementation interdit cela», estime le ministre de l’Industrie et des Mines. «Alors si lui, il préfère octroyer des équipements neufs au peuple français, et je n’ai pas à m’immiscer dans cela, par contre, pour le peuple algérien, il se contente de lui envoyer des équipements, de vieux équipements, et en plus à un montant qui est le double de l’acquisition de tout l’actif», dira M. Bouchouareb.

Explicite, il précisera que «l’actif était de 2,5 millions d’euros. M. Rebrab a demandé 5,7 millions d’euros pour des équipements rénovés dont il est propriétaire. (Mais) la loi interdit dans le cadre d’une introduction d’équipements qui rentrent en autofinancement, (il) n’a pas droit au transfert». Et le ministre de l’Industrie de préciser qu’il «veux dire cela au peuple algérien pour qu’il sache comment M. Rebrab regarde le peuple, comment se comporte cette entreprise, cet homme d’affaires qui, encore une fois, n’a jamais sollicité une audience officielle à mon département».

A ce propos, Abdesselam Bouchouareb tiendra à rappeler que «le 10 juin dernier, son représentant est passé au ministère de l’Industrie et il a été reçu et toutes les explications lui ont été données». Ainsi, «je ne vois pas, je ne comprends pas qu’à la fin septembre, on parle d’un problème qu’on a élagué en juin, ponctuera le ministre de l’Industrie.

Issad Rebrab : «Bouchouareb est un menteur»

Le ministre de l’Industrie et des Mines «est un menteur», déclarait le P-dg du groupe Cevital, Issad Rebrab, contacté hier.

Réagissant aux déclarations du ministre de l’Industrie selon lequel aucune demande officielle d’audience n’a été présentée par le patron de Cevital, ce dernier assurera du contraire. «Il y a des témoins. J’ai demandé à plusieurs reprises au ministre de l’Industrie de me recevoir», affirmera Issad Rebrab, mais en vain selon lui.

Récusant les accusations de surfacturation, le P-dg de Cevital appellera à se référer à la teneur de l’entretien diffusé sur TSA et affirmera que «75% des équipements neufs sont actuellement en cours d’installation à l’unité Samha». Cela étant, «pourquoi M. Bouchouareb n’a pas laissé l’opération se dérouler et (ainsi) pouvoir démontrer que j’ai surfacturé», s’interrogera le P-dg de Cevital, perplexe sur le retard du ministre de l’Industrie à lui répondre. «Il m’a traîné de novembre 2014 à juillet 2015.

Nous avons perdu 80 millions d’euros d’exportation», déplore M. Rebrab qui voudra ainsi récuser la véracité des propos du ministre. «Si vous analysez très bien mes déclarations et le discours mensonger de M. Bouchouareb, vous trouverez où est la vérité», dira le P-dg de Cevital. «Monsieur Bouchouareb est un menteur. Et je le défie aujourd’hui d’un face-à-face», déclarera-t-il. Voire, «si c’était vrai (les accusations de surfacturation), ils m’auraient piégé et mis en prison», observera Issad Rebrab.

«Pourquoi le ministre de l’Industrie n’a pas répondu en novembre, en décembre, en février et en mai ?» s’interrogera-t-il.

En outre, il réfutera les propos du ministre de l’Industrie selon lequel «toutes les explications ont été données à son représentant».

«C’est archi-faux. Mon assistant a été reçu, c’est vrai, mais aucune promesse de règlement ne lui a été formulée», assurera le P-dg de Cevital. Et d’ajouter : «J’ai plusieurs projets présentés à son département. Qu’attend-il pour les étudier, les débloquer ?» Ce faisant, Issad Rebrab considère que le ministre de l’Industrie est «acculé» et ne peut expliquer le pourquoi de la lenteur à répondre.

Le ministre tunisien de l’industrie, de l’Energie et des Mines : «Nous œuvrons à la réduction de la contrebande de carburants»


La Tunisie œuvre à réduire la contrebande de carburants. C’est ce que le ministre tunisien de l’Industrie, de l’Energie et des Mines, Zakaria Hamad, a assuré hier lors d’une conférence de presse, animée conjointement avec le ministre de l’Industrie et des Mines, Abdesselam Bouchouareb.

Arguant que l’exécutif tunisien a entamé une dynamique de restructuration des Douanes tunisiennes et de lutte contre la contrebande et l’informel, Zakaria Hamad a estimé que la contrebande de carburants «commence à diminuer», se référant en cela aux données recueillies au niveau des stations-service locales. Outre le fait que la Tunisie a décidé le déploiement d’«un dispositif isolant» au niveau de ses frontières ouest et sud.

Notons que cette conférence de presse a ponctué les travaux de la 9e réunion du Comité bilatéral algéro-tunisien de coopération industrielle, consacrée à l’évaluation de cette coopération et à la préparation de la prochaine réunion de la grande commission mixte prévue les 25 et 26 octobre 2015 à Alger.

A l’occasion de cette 9e réunion du comité bilatéral, des accords et des mémorandums d’entente ont ainsi été signés dans le domaine de la propriété industrielle, la métrologie et l’aménagement du foncier et de l’immobilier industriels, outre un P-V entérinant la mise en place d’un mécanisme commun de suivi.

Notons également que le ministre tunisien n’a pas exclu la révision éventuelle de l’accord commercial préférentiel signé entre l’Algérie et la Tunisie. Et ce dans le contexte où les deux parties entendent promouvoir à terme «l’interdépendance» de leurs intérêts communs, le développement du partenariat gagnant-gagnant industriel et la réalisation d’une parfaite intégration économique.

C. B.

Le code de l’investissement adopté demain

Le code de l’investissement sera «adopté définitivement après-demain (demain mercredi, ndlr), par le gouvernement». C’est ce que le ministre de l’Industrie et des Mines, Abdesselam Bouchouareb, a assuré hier en marge de la conférence de presse qu’il a animée conjointement avec le ministre tunisien de l’Industrie, de l’Energie et des Mines.

Un code dont M. Bouchouareb aura vanté les mérites lors de son allocution d’ouverture des travaux d’une réunion du comité bilatéral algéro-tunisien de coopération industrielle mais il se refusera à dévoiler la teneur de manière anticipée. Néanmoins, Abdesselam Bouchouareb indiquera que le texte en question comporte «trois axes stratégiques : l’administration n’aura aucun effet sur la gestion des avantages accordés, les investissements directs étrangers ont été fluidifiés, toilettés et bénéficieront d’un environnement nécessaire, et les missions de l’Agence nationale de développement de l’investissement ont été refondées en termes d’accompagnement, suivi et promotion de l’acte d’investir».






Texte de : Le Soir d'Algérie 
Vidéo de : El Bilad 

Rapport mondial sur la compétitivité 2015-2016: L'Algérie recule !

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Le rapport du WEF donne un classement mondial des pays les plus compétitifs à partir d'une centaine d'indicateurs économiques comme la qualité des infrastructures, l’environnement macroéconomique, la taille des marchés, le développement technologique et l’innovation.

Les pays africains ont connu des évolutions différenciées par rapport au classement 2014-2015. Certains ont fortement progressé comme la Côte d’Ivoire, qui a gagné 24 places, pour se hisser au rang de 8è économie africaine la plus compétitive, l’Éthiopie (+9 places), l’Ouganda (+7) et l’Afrique du Sud (+7) ou encore le Rwanda (+4).

D’autres ont reculé comme l’Ile Maurice (-7), l’Algérie (-8) et la Tunisie (-5).


Le Nigeria, première puissance économique du continent, a progressé de 3 rangs pour occuper la 124e position au niveau mondial.

A l’échelle africaine, l’Ile Maurice est suivie par l’Afrique du Sud (49è), le Rwanda (58è), le Botswana (71è), le Maroc (72è), la Namibie (85è) et l’Algérie (87è).


A l’échelle planétaire, l'économie suisse reste plus compétitive du monde pour la septième année consécutive, selon le rapport annuel du WEF.

Le classement des dix premiers est à peine différent de celui de l'an dernier: Singapour est au 2e rang devant les Etats-Unis. L'Allemagne progresse d'une place au 4e rang et les Pays-Bas, 5e, de trois places. Le Japon est 6e, devant Hong Kong, sans changement. La Finlande a passé du 4e au 8e rang, la Suède de la 10è place à la 9è. La Grande-Bretagne arrive 10e, en recul d'une place.

Les performances stagnantes ou en recul des pays émergents sont la plus grosse préoccupation des économistes du WEF. Si l'Inde progresse de 16 rangs à la 55e place, des pays comme la Turquie (51e) et le Brésil (75e) perdent plusieurs rangs. Avec une chute de 18 rangs, le Brésil accuse l'un des reculs les plus importants. La Chine est stable à la 28e place, la Russie est 45e. Le Vietnam (56e) est en nette progression, avec un gain de 12 places.

De manière générale, le rapport met en cause le manque de réformes structurelles qui pourraient stimuler la productivité et l'innovation. Ce manque de réformes handicape la capacité de l'économie mondiale à améliorer le niveau de vie, à lutter contre le chômage persistant et à surmonter les chocs financiers.

Le rapport relève que la croissance mondiale reste inférieure à celle des décennies précédentes. Les perspectives sont en outre assombries par les incertitudes liées au ralentissement des économies émergentes, les tensions géopolitiques, les conflits et crises humanitaires dans le monde.

Voici le classement de tous les pays africains:

1-Maurice (46)

2-Afrique du Sud (49)

3-Rwanda (58)

4-Botswana (71)

5-Maroc (72)

6-Namibie (85)

7-Algeria (87)

8-Côte d’Ivoire (91)

9-Tunisie (92)

10-Zambie (96)

11-Seychelles (97)

12-Kenya (99)

13-Gabon (103)

14- Ethiopie (109)

15-Sénégal (110)

16-Cap vert (112)

17-Lesotho (113)

18-Cameroun (114)

19-Ouganda (115)

20-Egypte (116)

21-Ghana (119)

22-Tanzanie (120)

23-Bénin (122)

24-Gambie (123)

25-Nigeria (124)

26-Zimbabwe (125)

27-Mali (127)

28-Swaziland (128)

29-Liberia (129)

30-Madagascar (130)

31-Mozambique (133)

32-Malawi (135)

33-Burundi (136)

34-Sierra Leone (137)

35-Mauritanie (138)

36-Tchad (139)

37-Guinée (140)

Rapport mondial sur la compétitivité 2015-2016: L'Algérie recule !


Avec Agences Ecofin

Photos. Le femme Kabyle, sa robe et ses bijoux à l'honneur

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La robe kabyle de par ses couleurs vives et chatoyantes égaillent et fait briller la femme de mille feux. Cette robe ancestrale a su traverser les âges, elle a d'ailleurs inspiré un grand nombre d'artistes, de poètes ou de peintres.


La robe kabyle a constamment fait l'objet de créativité dans la façon de mettre les dentelles ou Lahwaci, mais elle n'a jamais été modernisée au sens propre du mot jusqu'à une période récente. La confection du costume kabyle est typique à chaque région. C'est ainsi que l'on retrouve "Taqendurt" ou "taksiwt" Iwadiyen", iâzzugen, nath-aïssi, ne bgayet, nat wassif, etc..

El fouta est une pièce importante de la robe traditionnelle de kabylie. C'est un tissu assorti qui se porte par dessus la robe kabyle (tajelebth n'kbayel) (voir la photo de gauche). En général, la fouta se compose d'un tissu brodé de bandes ou de rayures de couleurs différentes qui se succèdent. Ce vêtement s'est de tout temps, généralisé à tous les types de tissages.

Le costume traditionnel se compose de cinq éléments : La djebba kabyle, dite "Thaqandourth" est l'élément de base du costume et comporte un col arrondi à volants et de longues manches de couleur jaune ou orange. Le vêtement est garni au niveau de la poitrine de motifs brodés en zigzag et de bouclettes (dentelles kabyles) de plusieurs couleurs, le tout inspiré de l'écriture kabyle. Elle est rehaussée d'un tablier, dit "foudha" ou "fauta", décoré de rayures verticales multicolores. La ceinture, dite "h'zam", se compose d'un ensemble de fils de laine multicolores tressés et munie de pompons aux extrémités. La coiffe est composée d'un foulard carré, dit "m'harma", décoré de motifs floraux et plié en triangle sur la nuque avant d'être noué par les extrémités au-dessus du front.

La robe kabyle des Ouadhias, quant à elle est marquée par une utilisation de beaucoup de dentelles, de couleurs et la forme du corset est ronde. Cela est spécifique à la robe Ouadhias.

Aujourd'hui, la robe kabyle retrouve un nouveau souffle, elle s'ouvre au monde et ses artisans n'hésitent plus à s'inspirer d'autres créations. Elle devient plus légère, ses broderies sont de plus en plus fines. Mais cette nouvelle version n'est pas prête de détrôner la robe traditionnelle qui reste le must dans les mariages. D'ailleurs, les femmes d'autres régions du pays n'hésitent plus à se procurer une robe de Kabylie pour la constitution de leur trousseau.
























Avec Dziryat

Officiel. Durée, Obligations : Découvrez ce qui change pour le permis de conduire

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Un décret exécutif paru au Journal officiel n° 49 fixe les nouvelles règles de la circulation routière. En effet, Selon le texte, la durée de validité du permis pour la catégorie F (personnes handicapées moteurs) est réduite à deux ans contre 10 ans auparavant. Pour les deux nouvelles catégories C1 et C2 (transport de marchandises), la durée de validité du permis est fixée à cinq ans. Pour la catégorie D (poids lourds, le véhicule tracteur et la remorque ou semi-remorque) la validité passe de 10 ans à 5 ans. Il en va de même pour la catégorie E (transport en commun de 9 places) la validité est désormais de 5 ans.

Concernant la conduite des motos (catégorie A1), qui n’exigeait auparavant qu’une autorisation de circulation, aura désormais un permis valable 10 ans. Les cylindrées concernées par cette catégorie, sont de 50 cc à 124,9 cc. Pour le permis moto catégorie A2 (cylindrées supérieures à 125 cc), la validité du permis reste de 10 ans.


La durée de validité de 10 ans du permis de conduire de catégorie B (voitures et les véhicules dont le poids ne dépasse pas les 3,5 tonnes), reste inchangée. Selon le même décret, « la validité du permis de conduire de l’une ou l’autre catégorie, doit, au vu d’un certificat médical, être prorogée par le wali, selon le cas, comme suit : deux, cinq ou dix ans pour les conducteurs‚ âgés de moins de 65 ans. Cinq ans pour les conducteurs âgés de plus de 65 ans. Cette durée, précise le décret, peut être réduite, en tant que de besoin, pour les catégories Cl, C2 et D par arrêté conjoint du ministre chargé de l’Intérieur, du ministre chargé de la Santé et du ministre chargé des Transports. »

Officiel. Durée, Obligations : Découvrez ce qui change pour le permis de conduire
Avec TSA

La Troisième Guerre mondiale a peut-être commencé aujourd'hui

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L'Histoire retiendra peut-être, à Dieu ne plaise, que le troisième conflit mondial a débuté, à bas bruit, mercredi 30 septembre 2015.

En 1914, tout a commencé un 28 juin par l'assassinat à Sarajevo de l'archiduc d'Autriche. A l'époque, évidemment, personne n'avait imaginé que cet attentat, perpétré loin des grandes capitales, allait conduire à la boucherie de la Grande Guerre. C'est le jeu des alliances et l'irresponsabilité des "somnambules" qui gouvernaient alors les grandes puissances qui ont entraîné le monde vers l'abîme.

Pourquoi une comparaison avec aujourd'hui ? On a appris, ce 29 septembre, deux nouvelles apparemment peu graves mais qui, combinées, pourraient être la double étincelle d'une déflagration que beaucoup redoutent depuis quelques temps. De quoi s'agit-il ?

1.Iran-Arabie, le ton monte très vite


D'abord, l'Arabie saoudite aurait arraisonné aujourd'hui deux navires battant pavillon de son ennemi intime, l'Iran. Les bateaux étaient, semble-t-il, remplis d'armes à destination des rebelles outhistes du Yémen que Riyad combat militairement. Cet arraisonnement est à l'évidence un acte hostile, si ce n'est de guerre.

Il se produit dans une atmosphère particulièrement tendue entre les deux pôles de l'Islam. Téhéran a violemment reproché aux Saoud, gardiens autoproclamés des Lieux Saints, de ne pas assurer la sécurité de base des pèlerins à la Mecque. Une accusation gravissime en ces périodes d'affrontement entre Chiites et Sunnites.

2.Poutine est entré en guerre en Syrie


Ce n'est pas tout. Ce mercredi 30 septembre, Vladimir Poutine a fait voter par son parlement fantoche une loi l'autorisant à mener une opération armée en Syrie. Son aviation a déjà commencé à bombarder à Homs. Or, on sait que, sur le terrain, les Russes seront alliés au régime de Bachar et, surtout, aux Iraniens. Tandis qu'en face, Occidentaux et pays sunnites du Golfe mènent leurs propres opérations.

Les deux coalitions, qui ont, sur plusieurs points, des objectifs totalement opposés, risquent de se retrouver face à face. Il semble, d'ailleurs, que les bombardements russes de ce jour aient déjà touché une position de rebelles soutenus par les Etats-Unis - une information qui n'est pas encore confirmée.

Hubris et bras de fer


Quoi qu'il en soit, la crainte est donc de voir le Kremlin, tout à son affirmation extérieure pour faire oublier la déroute économique interne, et Téhéran, pris par l'hubris qui a suivi l'accord nucléaire de juillet, de tester au maximum la volonté de l'autre camp. Et de voir les Saoudiens, effrayés par la montée de l'ennemi mortel chiite, entraîner ses alliés, dont la France, dans un bras de fer sans fin, qui pourrait gravement dégénérer.

Évidemment, ce scénario catastrophe n'est pas sûr. Il n'est pas écrit que les gouvernants actuels soient des "somnambules", qu'ils n'empêcheront pas le conflit militaire de s'étendre au delà de la Syrie et de l'Irak. Mais certains acteurs de cette partie sont tellement à cran qu'on ne peut l'exclure tout à fait.



Vidéo. Quand un wali s'en prend violemment à un maire comme un vulgaire fonctionnaire !

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Cette vidéo revoit les esprits sur la question, administration désignée ou élus du peuple ? Le Wali d'Oum Lebouaghi perd le contrôle et se laisse emporter devant les caméras de télévision en ordonnant au maire « élu du peuple par suffrage universel» avec un ton très élevé. En effet, La place du maire dans la gouvernance algérienne est une question qui se pose avec acuité.


Que devient la mise en application des réformes initiées par la commission Missoum Sbih sur recommandation du Président Bouteflika? Réformer les institutions de la République était l'un des objectifs avoués de M.Bouteflika lors de son premier mandat, dans la perspective, outre de dépoussiérer une administration qui s'est noyée dans la bureaucratie, redonner aux institutions de base de l'Etat -la commune et la wilaya en particulier- le dynamisme et la pugnacité qui, souvent, leur font défaut, mais aussi les rapprocher de leurs administrés, les citoyens algériens. De fait, la question récurrente qui se pose est de savoir si la commune algérienne joue le rôle attendue d'elle. La réponse peut apparaître facile, tant la gouvernance communale est loin de remplir correctement sa mission, d'autant plus que le premier personnage de la cité, le président de l'Assemblée populaire communale (APC) -ou plus prosaïquement, monsieur le Maire- n'est pas toujours à la hauteur des responsabilités confiées par ses électeurs. De fait, souvent, pour ne point dire toujours, la commune s'identifie, ou on l'identifie, aux qualités de son (ses) édile (s).




Création de compte «Hallal» et changement de billets de banque

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Le gouvernement algérien a lancé une campagne pour inciter à la « bancarisation » des fonds de l’économie informelle. En d’autres termes, une amnistie fiscale qui fixe une taxe forfaitaire libératoire de 7% pour tout dépôt de sommes non déclarées et qui garantit l’absence de poursuites judiciaires pour les déposants. Seulement, jusqu’à présent, les acteurs de l’économie informelle et les détenteurs d’épargne en dehors du circuit officiel ne se bousculent pas aux portes des banques pour bénéficier de ces dispositions du gouvernement.

Création de comptes «halal»


Les autorités veulent tout faire pour récupérer l’argent qui circule dans le circuit informel. Les responsables des institutions bancaires et financières réfléchissent à la création de produits bancaires destinés à ceux qui «ne conçoivent pas les intérêts». Les responsables des banques ont la conviction que beaucoup de détenteurs de ces fonds ne veulent pas les déposer dans les institutions bancaires parce qu’ils estiment que les intérêts sont «illicites». Il faut signaler que certaines banques, comme la Cnep par exemple, ont institué, depuis quelques années déjà, des comptes bancaires sans intérêts.

Changement de billets de Banques


L'option est à l’étude au niveau du gouvernement. Ça serait le seul moyen efficace pour forcer les barons de l’informel à mettre leur argent dans les banques. Il faut rappeler que le ministère des Finances a accordé à ces derniers jusqu’à la fin de l’année prochaine pour déposer leurs fonds dans les banques afin de bénéficier d’une taxation unique de 7%, sans risque de poursuites judiciaires ni de redressement fiscale. Passer ce délai, la réglementation en vigueur leur sera appliqué.

Avec Agences

Ali Haddad : « Trois projets de Rebrab ne rentrent pas dans la légalité ... toute personne nous causant un quelconque tort ira en justice »

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Le Forum des Chefs d’entreprises ne campe plus dans la position de silence vis-à-vis de ses « détracteurs » qualifiés d’« avoir versé dans le tort en portant atteinte aux…personnes ».

Une première dans ses annales, le Forum des chefs d’entreprises passe à l’offensive en actionnant la machine judiciaire en vue de redorer son image. Ali Haddad a, à partir d’Oran, confirmé que «le forum des chefs d’entreprises poursuivra en justice le général Benhadid». Il explique une telle démarche en imputant l’entière responsabilité au général qui a, selon Ali Haddad, «fauté à notre égard».

D’un ton sec, Ali Haddad averti en affirmant que «désormais, toute personne nous causant un quelconque tort ira en justice ». Le premier responsable du FCE a été laconique en abordant cette question avant de passer celle qui continue à défrayer la chronique, l’affaire Issad Rebrab. «Je me suis intervenu plusieurs fois à son (Rebrab) profit auprés du ministre de l’Industrie», a affirmé Ali Haddad expliquant que « trois projets ambitionnés de Rebrab ne rentrent pas dans la légalité puisqu’ils portent sur l’octroi de 1300 hectares de terres agricoles à Mohammadia et Sig». « Comment est ce possible de transformer ce foncier en l’industrialisant ? », s’est demandé Ali Haddad.

Auparavant, Ali Haddad ayant présidé l’ouverture officielle du bureau régional ouest du FCE, a, dans son discours plaidé pour l’assouplissement de toutes les mesures d’accompagnement des investisseurs. Il s’agit entre autres de l’administration qui est, selon Ali Haddad, appelée à s’attendrir vis-à-vis des porteurs des projets. Idem pour les banques devant supporter financièrement les projets créateurs d’emplois et de richesse.

Ali Haddad : « Trois projets de Rebrab ne rentrent pas dans la légalité ...  toute personne nous causant un quelconque tort ira en justice »

Vidéo. Son film participe à un festival en Israël : Merzak Allouache sommé de rembourser 2 milliards de centimes

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Le film algérien « Madame Courage », réalisé par Merzak Allouache, participe actuellement au Festival du Film de Haïfa (Israël), qui se déroule jusqu’au 5 octobre prochain.

Il s’agit du seul film de la région dite «arabe» à prendre part à ce festival.

Une participation qui a suscité une grande polémique en Algérie, d’autant que le pays ne partage pas de relations diplomatiques avec Israël et interdit ce genre de participation.

La boite de production cinématographique appartenant au cinéaste algérien Merzak Allouache vient d’être sommée par le ministère de la culture de rembourser 2 milliards de centimes pour avoir pris part à un festival en Israël.

C’est le ministre de la culture Azzedine Mihoubi qui vient d’annoncer la décision à la chaine de télévision Ennahar en confiant que Merzak Allouache a été invité à s’expliquer sur sa participation à ce festival ainsi que sur son voyage en Israël qui seraient contraires aux principes et fondements de la nation algérienne.

Mihoubi a précisé que son département est en attente des conclusions de l’enquête ouverte sur cette affaire pour prendre les mesures qui s’imposent à l’égard de Merzak Allouache.





Avec Agences

Vidéo. Pour la première fois de l'histoire : Le drapeau palestinien hissé à l'ONU

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Le drapeau palestinien a été hissé mercredi pour la première fois au siège de l'ONU à New York, un événement hautement symbolique.

Le drapeau rouge, noir, blanc et vert des Palestiniens a été hissé vers 13 h 15 au fronton de l'institution internationale, au côté des 193 bannières des États membres des Nations unies et de celle du Vatican, qui, comme la Palestine, a le statut d'État non membre.

«Ce sera un jour d'émotion et de fierté. Nous allons hisser notre drapeau dans un geste pacifique qui rappellera à tous que la justice et l'indépendance sont possibles au bout du chemin», a écrit le dirigeant palestinien Mahmoud Abbas dans une tribune publiée par le Huffington Post la veille de la cérémonie.

Mais «les Nations unies doivent nous donner plus que de l'espoir», a-t-il souligné, rappelant que la question palestinienne était la «plus vieille et la plus insoluble» depuis la naissance de l'ONU il y a 70 ans.

«Il est temps de donner l'indépendance à l'État de Palestine, de résoudre pacifiquement le conflit israélo-palestinien, comme cela fut promis il y a longtemps», a écrit le dirigeant de 80 ans.

M. Abbas assistera au lever du drapeau, dans le jardin de l'ONU, juste après avoir prononcé son discours devant l'Assemblée générale.


La Palestine mérite d'être un État à part entière



La Palestine mérite d'être reconnue comme un État à part entière, a lancé mercredi le président de l'Autorité palestinienne Mahmoud Abbas devant l'Assemblée générale de l'ONU.

«La Palestine, qui est un État observateur non membre des Nations Unies, mérite d'être reconnue comme un État à part entière», a déclaré M. Abbas, évoquant «les énormes sacrifices» consentis par les Palestiniens et leur «patience au cours de toutes ces années de souffrance et d'exil».


Le président palestinien a également appelé «tous les pays qui ne l'ont pas encore fait à reconnaître l'État de Palestine», alors que des débats et des votes parlementaires en faveur de cette reconnaissance sont intervenus en 2015 dans plusieurs pays européens.

Dans son discours, le président palestinien a aussi menacé de ne plus respecter les accords avec Israël si l'État hébreu continuait de ne pas les respecter, notamment en poursuivant sa politique de colonisation en Cisjordanie.

«Nous déclarons que nous ne pouvons pas continuer à être liés par ces accords et qu'Israël doit assumer pleinement toutes ses responsabilités de puissance occupante, parce que le statu quo ne peut pas continuer», a-t-il lancé devant l'Assemblée générale.

«Nous ne serons pas les seuls à être liés par ces accords alors qu'Israël continue de les violer», a-t-il martelé.

Cette menace, souvent agitée par les responsables palestiniens, aboutirait si elle était mise en pratique à dissoudre de facto l'Autorité palestinienne.

Selon les Conventions de Genève, Israël devrait alors prendre totalement en charge les affaires civiles de la population des territoires occupés.



Événement symbolique


La situation est pourtant on ne peut plus sombre: le processus de paix entre Israël et les Palestiniens n'existe plus depuis l'échec d'une médiation américaine au printemps 2014, la bande de Gaza est un chaudron, et les tensions s'accumulent en Cisjordanie occupée. À Jérusalem, l'esplanade des Mosquées, lieu sacré pour les musulmans et les juifs, est sous haute tension depuis plusieurs semaines, secouée par des heurts entre Palestiniens et policiers israéliens.

Dans ce contexte, la solution prônée par la communauté internationale - deux États, un israélien et un palestinien, vivant côte à côte dans la paix et la sécurité - apparaît comme une chimère.

En outre, le conflit israélo-palestinien est relégué derrière d'autres priorités, la lutte contre les djihadistes du groupe armé État islamique particulièrement, considérés comme la menace mondiale numéro un.

Néanmoins, le symbole du lever du drapeau palestinien constituera un événement à forte charge symbolique, tout comme l'ont été en 2015 le débat et les votes parlementaires en faveur de la reconnaissance de l'État palestinien dans plusieurs pays européens.

Le secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon et des dizaines de responsables étrangers devraient assister à la cérémonie.

Tous ne seront cependant pas représentés, puisque la résolution autorisant le drapeau palestinien, votée le 10 septembre, a recueilli huit refus et 45 abstentions. Les États-Unis et Israël ont voté contre, de même que le Canada et l'Australie. La France a voté pour, ainsi que la Russie et la Chine. Le Royaume-Uni et l'Allemagne se sont abstenus.

Cette résolution a constitué une nouvelle étape après le vote historique de novembre 2012 à l'Assemblée générale, qui a vu la Palestine devenir un «État observateur non membre» de l'ONU.

Fort de ce nouveau statut, l'État de Palestine a intégré des agences internationales et a rejoint la Cour pénale internationale. Mais il n'est pas encore devenu membre à part entière des Nations unies bien qu'il soit reconnu par plus de 130 pays.



Avec Presse.Ca

La gendarmerie interpelle le général Benhdadid

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Le général à retraire Hocine Benhadid a été interpellé aujourd'hui mercredi, à bord de sa voiture à Alger, par des policiers et des gendarmes qui l'ont emmené à la brigade de gendarmerie de Chéraga sans lui expliquer le motifs de l'interpellation, a rapporté le quotidien EL WATAN sur son site internet.

Pour rappel, le chef du FCE donne rendez-vous à la justice au général à la retraite Benhadid. Se sentant diffamé, Ali Haddad a décidé en effet d’ester en justice l’ancien officier supérieur qui a indiqué dans une interview accordée à un site d’information électronique que le chef du FCE a été « imposé » comme président du Forum des chefs d’entreprise.

Lire aussi : Vidéo. Ali Heddad poursuit le général Benhadid en justice

Estimant être « gravement » mis en cause par le général Benhadid à titre personnel et en sa qualité de président du FCE, Haddad tient à préciser dans un communiqué de presse que « ni lui-même ni l’association qu’il a l’honneur de présider n’ont jamais contesté à quiconque le droit d’exprimer ses opinions » et considère qu’il est tout à fait « légitime » de recourir à la justice lorsque ces opinions « sont diffamatoires et de nature à nourrir la confusion et à jeter le discrédit » aussi bien sur les personnes que sur les institutions nationales et sur les entreprises en général « comme sur notre association en particulier »

La gendarmerie interpelle la général Benhdadid



Electricité, gaz, carburant : Le ministre de l’Energie annonce des augmentations en 2016

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Le ministre de l’Energie, Salah Khebri, a annoncé, hier, une augmentation des prix de l’électricité et du gaz en 2016. Ces augmentations toucheront uniquement les industriels et les gros consommateurs, a-t-il indiqué.

Le ministre s’est abstenu de donner des détails sur les taux d’augmentation indiquant qu’ils ne seront officialisés qu’après validation du Conseil des ministres et des deux chambres du Parlement. Outre l’électricité et le gaz, l’essence et le gasoil seront aussi concernés par l’augmentation des prix attendue en 2016.

Le ministre a cependant tenu à rassurer les simples citoyens. «Le citoyen simple ne sera pas du tout touché par l’augmentation des prix. Seuls les industriels et les gros consommateurs sont concernés », a-t-il précisé.

Cette augmentation s’explique, d’après le ministre, par les besoins croissants d’investissement en matière d’infrastructures et d’équipements électriques et gaziers pour faire face à la forte hausse de la demande. La consommation d’électricité a évolué entre juillet 2014 et le même mois de 2015 de 15,2%, a noté M. Khebri. « La rationalisation passe par la révision des prix. Lorsqu’ils évolueront, le consommateur fera plus attention à son mode de consommation », a-t-il estimé.
En effet, le président-directeur général, Nourreddine Bouterfa, a évoqué des difficultés pour trouver les financements pour réaliser son programme d’investissement dans la conjoncture économique actuelle. «La conjoncture actuelle, marquée par une réduction drastique des revenus de l’Etat, exige de trouver des réponses pérennes à la question financière afin de pouvoir réaliser notre programme d’investissement de plus de 2 800 milliards de dinars à mobiliser d’ici 2017», a souligné M. Bouterfa dans son allocution lors des états généraux du groupe Sonelgaz. «La satisfaction de la demande à l’horizon 2024 exigera également un montant additionnel de plus de 2 700 milliards de dinars», a-t-il ajouté. Pour M. Bouterfa, «en plus de la nécessité d’une augmentation des tarifs de l’électricité et du gaz, notre management est interpellé à être plus performant et plus efficient». «Nous nous devons d’être auprès de l’Etat en lui proposant des solutions novatrices à même de lui permettre de mettre en œuvre une politique d’augmentation graduelle des tarifs de l’électricité et du gaz sans que cela remette en cause la cohésion sociale», a dit M. Bouterfa.

Interrogé par l’APS sur les résultats financiers du groupe, M. Bouterfa a indiqué que «Sonelgaz a aujourd’hui plus de 220 milliards de dinars de chiffre d’affaires, mais ses revenus auraient dû être de plus de 360 milliards de dinars. C’est-à-dire qu’il nous manque 140 milliards, qui bénéficient au citoyen, versés indirectement par l’Etat», a-t-il précisé. «Pour nous, en tant que groupe, c’est un manque à gagner de 140 milliards par an», a insisté M. Bouterfa.

Réviser la loi pour un meilleur management


Pour tenter de faire des économies d’échelle, le P-DG de Sonelgaz estime qu’une réforme et une restructuration du groupe – qui compte une quarantaine de filiales – est nécessaire pour une meilleure efficience de son fonctionnement. Mais cette restructuration «nécessitera certainement la révision de la loi et des statuts de Sonelgaz. La révision de la loi est d’autant plus nécessaire qu’elle fixe les limites de la forme d’organisation du secteur de l’électricité et du gaz».

Toutefois, les pratiques du groupe Sonelgaz en management, en réglementation et en organisation ont permis de mener de lourdes opérations de restructuration suite à l’avènement de la loi 02/01 sur l’électricité et la distribution du gaz par canalisation, sans conflits sociaux et sans répercussions négatives sur la productivité, a-t-il noté. En moins de 10 ans, les sociétés du groupe ont réussi à réaliser des moyens de production totalisant 8 729 MW, en hausse de 123%, soit plus que ce qui a été réalisé en 40 ans.

En parallèle, le groupe a réalisé 9 907 km de réseaux haute tension (59% d’évolution),
10 250 km de réseaux transport gaz (+ 168%), 45 055 km de réseaux de distribution gaz (+152%), 129 805 postes de distribution (+45%). Selon M. Bouterfa, le groupe compte aujourd’hui 2,5 millions de clients en électricité et 2,2 millions de clients en gaz.

Un emprunt obligataire, en attendant mieux


Le 16 septembre, le ministre des Finances, Abderrahmane Benkhalfa, avait annoncé le lancement par Sonelgaz d’un emprunt obligataire en 2016 pour pouvoir financer ses investissements. «On agit sur ce groupe pour qu’il soit de nouveau sur le marché obligataire en 2016», avait souligné le ministre lors d’une rencontre sur la dynamisation du marché boursier, sans donner plus de détails. Le groupe Sonelgaz se prépare au lancement de cet emprunt après avoir présenté une demande auprès de la Commission d’organisation et de surveillance des opérations de Bourse (Cosob), a indiqué à la presse son président, Abdelhakim Berrah, en marge de cette rencontre. «Sonelgaz a un programme d’investissement qui dépasse les 15 milliards de dollars, qui devrait être réalisé en recourant au financement du marché», avait déclaré M. Berrah, sans donner le montant de cet emprunt.



Risque d'affrontement entre protagonistes à Tizi Ouzou : grande pagaille dans le salon de l'agriculture

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Les éleveurs bovins de la wilaya essayent depuis quelques heures d'empêcher l'exposition au salon de l'Agriculture, qui se tient à la place de l'ancienne mairie de Tizi-Ouzou depuis ce jeudi matin à laquelle prennent part des agriculteurs divers comme les apiculteurs et autres producteurs. Les risques d'affrontements entre agriculteurs ne sont pas à écarter selon des témoins sur place.

Jusqu'à présent, les producteurs de lait, qui souffrent de grands problèmes risquant de venir à bout de leur filière, tentent d'empêcher le déroulement de cette exposition pour alerter le ministère de l'Agriculture sur leur impatience.

Les deux parties campent sur leurs positions, ce qui risque de mener, donc, vers l’affrontement. D'ailleurs, prenant le micro sur l'esplanade, des représentants de la filière lait menacent les exposants de recourir à la force s'ils ne se dispersaient pas.

Tout cela se passe sous les regards des forces de sécurités, et surtout, malheureusement, dans l'absence totale des représentants du secteur dans la wilaya. Les éleveurs bovins ont le cœur lourd contre le Directeur de la Chambre et de la DSA. A mentionner, toutefois, la présence, habituelle faut-il le signaler, sur le terrain, du député RND, Moukadem, qui a longuement écouté les éleveurs.

Risque d'affrontement entre protagonistes à Tizi Ouzou : grande pagaille dans le salon de l'agriculture
Photo archive : Risque d'affrontement entre protagonistes à Tizi Ouzou : grande pagaille dans le salon de l'agriculture 



Avec El Goual

Kabylie. Dédié à Hervé Gourdel : Cycle de formation de guide de montagne

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Damien Perry, formateur de professionnels de montagne, est attendu pour prendre part à ce cycle de formation


La célébration de la Journée mondiale du tourisme, correspondant au 27 septembre de chaque année, a été l’occasion pour l’association Tourisme et loisirs Tikjda, de la commune de Haïzer, de lancer, depuis dimanche dernier, la deuxième session de formation de guide de montagne organisée à la maison de jeunes Nedjaâ H’mimi.

Le succès qu’a connu la première session, organisée il y a 2 ans, a motivé les membres de l’association et leurs collaborateurs de la direction de tourisme de la wilaya, à renouer avec ce genre d’activité encourageante. Cette deuxième session de formation de guide de montagne est dédiée à la mémoire du touriste et guide de haute montagne, le Français Hervé Gourdel, lâchement assassiné le 23 septembre de l’année dernière par les sanguinaires de Jund El Khalifa. Pour les membres de cette association, «Hervé Gourdel était un ami de la montagne. Le souvenir de son assassinat restera indélébile dans la mémoire et les esprits», s’accordent à dire les membres de l’association.

Cette deuxième session verra la participation de 40 jeunes universitaires, sélectionnés via les réseaux sociaux, en fonction de leurs capacités. Ils sont issus des wilayas d’Alger, Blida, Béjaïa et Bouira. La formation débutera officiellement le week-end prochain et s’étalera sur 9 mois. Les séances théoriques et pratiques de cette session traiteront de différents thèmes, à l’image du développement touristique en zone de montagne, protection de l’environnement, circuits de randonnées pédestres, la marche nordique, etc. «La formation aura lieu tous les week-ends.

L’encadrement est assuré par des formateurs et cadres spécialisés des directions du Parc national du Djurdjura (PND), de la direction du tourisme, ainsi que de la direction de la Protection civile. Le Français Damien Perry, formateur de professionnels de montagne, est également attendu pour prendre part à ce cycle de formation», a indiqué Aibèche Hacène, le président de l’association Tourisme et loisirs Tikjda. La fin de la formation sera sanctionnée par la remise des diplômes aux participants par la direction du PND. Quant aux objectifs arrêtés pour cette session, ils ont été arrêtés par notre interlocuteur : valoriser les richesses touristiques du Djurdjura, élaboration d’une carte touristique et culturelle de la région et surtout sensibilisation des populations au respect de l’environnement.


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