Ali Belhadj, l'ex deuxième homme du parti islamiste dessous, le Front Islamique pour le Salut (FIS), apparaît sur une vidéo publiée par une page facebook dénommée "Front de refus", tenant un meeting populaire devant une foule nombreuse, à Oued Rhiou (Relizane) selon la même source, où il dédouane le FIS et ses cadres dans les massacres qui ont eu lieu durant la décennie noire en Algérie.
Ali Belhadj, accuse les généraux algériens d'avoir été la principale raison de la fusion du sang après l'arrêt du processus électoral qu'il qualifie de coups d'Etat.
Cette sortie de l'ex vice président du FIS vient au moment où une polémique enfle sur la presse interposée, entre les généraux à la retraite, qui s'accusent mutuellement, une polémique qui oppose les principaux acteurs militaires du conseil de la sécurité et du haut conseil de l'Etat.
Par ailleurs, la Ligue algérienne pour la défense des droits de l’Homme (LADDH) a affirmé, lundi 14 décembre, que les « restrictions » dont fait l’objet Ali Benhadj portent « atteinte à la liberté de circulation et de culte ». Dans un communiqué signé par son président Noureddine Benissad, l’organisation dit avoir été saisie par la famille de l’ex-numéro deux du FIS dissous « sur les harcèlements récurrents à son encontre ».
« Ce dernier (Ali Benhadj) est, depuis des semaines, empêché par les forces de sécurité d’effectuer sa prière du vendredi dans les mosquées, sous motif de l’empêcher de tenir des ‘halakate’ répétitives », explique la LADDH qui ajoute : « Il serait aussi soumis à un régime de résidence surveillée qui ne dit pas son nom, d’où les entraves répétées à ses déplacements les plus ordinaires ».
La LADDH rappelle que ce genre de pratiques « relèverait de l’état d’urgence, pourtant abrogé il y a plus de trois années » et que « dans un État de droit, seule la justice devrait priver les citoyens de leurs droits civiques et politiques selon le principe cardinal de la justice : pas de peine sans texte de loi ».
Ali Belhadj, accuse les généraux algériens d'avoir été la principale raison de la fusion du sang après l'arrêt du processus électoral qu'il qualifie de coups d'Etat.
Cette sortie de l'ex vice président du FIS vient au moment où une polémique enfle sur la presse interposée, entre les généraux à la retraite, qui s'accusent mutuellement, une polémique qui oppose les principaux acteurs militaires du conseil de la sécurité et du haut conseil de l'Etat.
Par ailleurs, la Ligue algérienne pour la défense des droits de l’Homme (LADDH) a affirmé, lundi 14 décembre, que les « restrictions » dont fait l’objet Ali Benhadj portent « atteinte à la liberté de circulation et de culte ». Dans un communiqué signé par son président Noureddine Benissad, l’organisation dit avoir été saisie par la famille de l’ex-numéro deux du FIS dissous « sur les harcèlements récurrents à son encontre ».
« Ce dernier (Ali Benhadj) est, depuis des semaines, empêché par les forces de sécurité d’effectuer sa prière du vendredi dans les mosquées, sous motif de l’empêcher de tenir des ‘halakate’ répétitives », explique la LADDH qui ajoute : « Il serait aussi soumis à un régime de résidence surveillée qui ne dit pas son nom, d’où les entraves répétées à ses déplacements les plus ordinaires ».
La LADDH rappelle que ce genre de pratiques « relèverait de l’état d’urgence, pourtant abrogé il y a plus de trois années » et que « dans un État de droit, seule la justice devrait priver les citoyens de leurs droits civiques et politiques selon le principe cardinal de la justice : pas de peine sans texte de loi ».
عندما يكون الحرّ، حرا وبين الاحرار
جبهة رفض تقدم الشيخ علي بن حاج للجمهور بعد أكثر من 24 سنة من الغياب عن الساحات والميادين...عودة ميمونة ...وبخطاب مسؤول تفاعل معه الجموع بالتصدفيق احيانا ..الكلمة مطمئنة للشعب ورسالة للإنقلابين و أفكار ومبادرات من نائب رئيس الجبهة الإسلامية للإنقاذ لكل من يهمه الأمر...
Posted by جبهة رفض on Wednesday, 13 January 2016