La police mexicaine a diffusé une vidéo de l'arrestation du narco-trafiquant El Chapo. Les images montrent une opération violente durant laquelle les militaires ont dû faire face aux hommes de main du trafiquant mexicain.
El Chapo était réputé dangereux. Lors de son arrestation, vendredi au Mexique, le célèbre trafiquant de drogue n’a pas failli à sa réputation. Des vidéos révélées lundi par les autorités mexicaines montrent l’opération menées par les militaires pour arrêter El Chapo. Ces dernières sont impressionnantes, et font penser à un film hollywoodien.
Coups de feu, grenades… tous les ingrédients sont réunis, et prouvent que le patron du cartel de Sinaloa n’entendait pas retourner en prison, d’où il s’était évadé au mois de juillet. La vidéo, qui dure 15 minutes, montre en effet les soldats mexicains faire face à la résistance d’une douzaine d’hommes armés, visiblement prêt à tuer et à mourir pour leur patron. Au début du film, on voit d’ailleurs un militaire au sol, visiblement blessé.
Si le baron de la drogue n’est pas visible sur la vidéo, il a bien été arrêté, après avoir tenté de fuir par des souterrains creusés sous la maison. El Chapo serait, selon la DEA américaine, le plus grand baron de la drogue de tous les temps. Arrêté deux fois, en 1993 et en 2014, El Chapo a toujours réussi à s’échapper de prison.
En juillet 2015, il avait creusé, avec des complicités évidentes, un tunnel de 1,5 kilomètre de long et de 10 mètres de profondeur depuis sa cellule dans la prison la plus sécurisé du pays. Remis en prison samedi, El Chapo est cette fois-ci sous haute surveillance. Les autorités ont pris des mesures exceptionnelles pour éviter que le baron de la drogue Joaquín ElChapo Guzmán s'évade une seconde fois de la prison, avant une possible extradition vers les Etats-Unis.
Un tank militaire stationne devant la prison de haute sécurité d'Altiplano (Mexique). A l'intérieur, le sol d'une cellule a été recouvert de barres métalliques pour empêcher qu'on y creuse un tunnel. Une nouvelle fugue du narcotrafiquant serait politiquement désastreuse pour le gouvernement du président mexicain Enrique Pena Nieto, déjà grandement éprouvé par l'évasion hollywoodienne du chef de
cartel.
El Chapo était réputé dangereux. Lors de son arrestation, vendredi au Mexique, le célèbre trafiquant de drogue n’a pas failli à sa réputation. Des vidéos révélées lundi par les autorités mexicaines montrent l’opération menées par les militaires pour arrêter El Chapo. Ces dernières sont impressionnantes, et font penser à un film hollywoodien.
Coups de feu, grenades… tous les ingrédients sont réunis, et prouvent que le patron du cartel de Sinaloa n’entendait pas retourner en prison, d’où il s’était évadé au mois de juillet. La vidéo, qui dure 15 minutes, montre en effet les soldats mexicains faire face à la résistance d’une douzaine d’hommes armés, visiblement prêt à tuer et à mourir pour leur patron. Au début du film, on voit d’ailleurs un militaire au sol, visiblement blessé.
Si le baron de la drogue n’est pas visible sur la vidéo, il a bien été arrêté, après avoir tenté de fuir par des souterrains creusés sous la maison. El Chapo serait, selon la DEA américaine, le plus grand baron de la drogue de tous les temps. Arrêté deux fois, en 1993 et en 2014, El Chapo a toujours réussi à s’échapper de prison.
En juillet 2015, il avait creusé, avec des complicités évidentes, un tunnel de 1,5 kilomètre de long et de 10 mètres de profondeur depuis sa cellule dans la prison la plus sécurisé du pays. Remis en prison samedi, El Chapo est cette fois-ci sous haute surveillance. Les autorités ont pris des mesures exceptionnelles pour éviter que le baron de la drogue Joaquín ElChapo Guzmán s'évade une seconde fois de la prison, avant une possible extradition vers les Etats-Unis.
Un tank militaire stationne devant la prison de haute sécurité d'Altiplano (Mexique). A l'intérieur, le sol d'une cellule a été recouvert de barres métalliques pour empêcher qu'on y creuse un tunnel. Une nouvelle fugue du narcotrafiquant serait politiquement désastreuse pour le gouvernement du président mexicain Enrique Pena Nieto, déjà grandement éprouvé par l'évasion hollywoodienne du chef de
cartel.