Les révélations se multiplient sur l'étape qui suivra l'adoption de la nouvelle constitution proposée par Bouteflika, plusieurs sources parlent d'un veritable lifting qui aura lieu au sommet de l'Etat, un lifting qui attise les ambitions et incite les rapports de forces à se manifester.
Prédictible, comme nous l'avons déjà rapporté, le chef de l'Etat a écarté plusieurs personnalités connues comme proches du cercle présidentiel mais jugées comme déloyales et ingrates à l'image de plusieurs sénateurs et sénatrices qui ont perdu les privilèges, après le renouvellement du tiers présidentiel, on cite le départ de Zohra Drif. L’ancienne vice-présidente du Sénat était considérée comme une intouchable, au regard de sa proximité avec le chef de l’État. Jusqu’a ce qu’elle décide de rejoindre le groupe des 19-4 qui a demandé audience au Président.
Par ailleurs, le mouvement le plus attendu est le remaniement ministériel, avec comme grand changement, le départ de Abdelmalek Sellal et la promotion de l'actuel ministre de l'industrie Bouchouareb au poste de premier ministre ainsi que plusieurs ministres appelés à céder leurs places, jugés également incompétents.
De nouvelles révélations parle du statut quo et un non événement à l’exception de quelques petits changements à la tête de quelques ministères, «Quant au forcing exercé par les proches et alliés d‘Abdesslam Bouchouareb, le ministre de l’Industrie, il semble bel et bien que cette piste ait été abandonné au Palais d’El-Mouradia. Bouchouareb devrait conserver son portefeuille ministériel d’autant plus, assurent nos sources, que ses relations très tendues avec Abdelmalek Sellal se sont nettement améliorées ces derniers jours, grâce à une réconciliation menée par l’intermédiaire de plusieurs hauts responsables proches des deux dirigeants.»
On parle en revanche d'un bras de fer entre les deux clans, d'un coté, celui du frère-conseiller du président, Said Bouteflika qui voudrait selon ledit journal électronique, placer Abdelmadjid Tebboune, l’actuel ministre de l’Habitat, comme ministre de l’intérieur et le camp adverse de Gaid Salah qui veut imposer Mohamed El Ghazi, actuellement ministre de la Réforme du service public au même poste.
Prédictible, comme nous l'avons déjà rapporté, le chef de l'Etat a écarté plusieurs personnalités connues comme proches du cercle présidentiel mais jugées comme déloyales et ingrates à l'image de plusieurs sénateurs et sénatrices qui ont perdu les privilèges, après le renouvellement du tiers présidentiel, on cite le départ de Zohra Drif. L’ancienne vice-présidente du Sénat était considérée comme une intouchable, au regard de sa proximité avec le chef de l’État. Jusqu’a ce qu’elle décide de rejoindre le groupe des 19-4 qui a demandé audience au Président.
Par ailleurs, le mouvement le plus attendu est le remaniement ministériel, avec comme grand changement, le départ de Abdelmalek Sellal et la promotion de l'actuel ministre de l'industrie Bouchouareb au poste de premier ministre ainsi que plusieurs ministres appelés à céder leurs places, jugés également incompétents.
De nouvelles révélations parle du statut quo et un non événement à l’exception de quelques petits changements à la tête de quelques ministères, «Quant au forcing exercé par les proches et alliés d‘Abdesslam Bouchouareb, le ministre de l’Industrie, il semble bel et bien que cette piste ait été abandonné au Palais d’El-Mouradia. Bouchouareb devrait conserver son portefeuille ministériel d’autant plus, assurent nos sources, que ses relations très tendues avec Abdelmalek Sellal se sont nettement améliorées ces derniers jours, grâce à une réconciliation menée par l’intermédiaire de plusieurs hauts responsables proches des deux dirigeants.»
Des sources bien introduites dans le sérail algérien ont confirmé cette information à Algérie-Focus. Aucun changement ne doit intervenir avant cette incontournable échéance politique. Ceci dit, après l’adoption du nouveau texte de la constitution, le gouvernement de Sellal présentera sa démission et Bouteflika nommera une nouvelle équipe.
On parle en revanche d'un bras de fer entre les deux clans, d'un coté, celui du frère-conseiller du président, Said Bouteflika qui voudrait selon ledit journal électronique, placer Abdelmadjid Tebboune, l’actuel ministre de l’Habitat, comme ministre de l’intérieur et le camp adverse de Gaid Salah qui veut imposer Mohamed El Ghazi, actuellement ministre de la Réforme du service public au même poste.