950ans avant J C l’histoire parle d’un roi amazigh qui réussit à fonder la 22eme dynastie des pharaons, après une victoire sur Ramsès II le pharaon d’Egypte de cette époque, ce roi qui portait le nom de Chechneq continua son chemin vers Jérusalem pour s’emparer des trésors du roi Salomon. Une date ramenée clairement par la bible pour être le premier repère historique transcrit sur l'histoire des amazighs, tandis que la répression historique Gibbs de toute leur mémoire, avec la succession des colonialistes.
Une attitude qui prive l’Algérie et tout le Maghreb de son patrimoine plusieures fois millénaire, où les hommes libres étaient les maîtres de tout la région nord-africaine, des hommes et des femmes qui ont connus les religions juive, puis chrétienne longtemps avant l’arrivée de l’islam. Ils ont aussi vécus toutes les grandes civilisations dont celle des romains qui a marqué sa présence dans la région pendant 5 siècles.
Si telle est l’attitude de la mémoire officielle, la mémoire populaire est restée liée à cette histoire, les comptes, ainsi que les fêtes populaires en sont témoins. Parmi ces fêtes que le peuple garde soigneusement dans sa mémoire collective, bien qu’absente dans le calendrier des fetes officielles du grand Maghreb la fête de yennayer, s'impose le 13janvier de chaque année.
Pour la population maghrébine, c’est la journée que s’ouvrent les portes de l’univers pour assurer une année de prospérité a tout ceux qui l’accueillent convenablement .des rites sont imposés par la société. Chacun doit les respecter pour ne pas nuire l’abondance agricole. La fête commence bien avant cette date avec le relooking de la maison, préparation des ustensiles pour arriver a la journée de 12janvier qui est consacré aux beignets et pates sucrées, entre lamsemen, thighrifine, lasfendj on a que l’embarrât du choix. Les fruits secs de la famille seront mis sur la table, le lendemain c’est le meilleur plat traditionnel qui sera à l’honneur avec l’invité obligatoire, le coq. Entre le couscous en Kabylie, rechta a alger et el aiche ou irakmen dans d’autres régions, chaque région du nord-africain fait de sorte à faire de cette journée une journée pour manger à sa faim et partager sa joie avec ses proches notamment avec des échanges de plats ou d’invitations. Les festivités durent plusieurs jours après la journée du 13janvier pour proclamer que la mémoire populaire est plus forte que toutes les circonstances, puisqu’elle a gardé cette fête 2966.
De cette mémoire s’est inspiré les historiens, spécialement Amar Negadi qui a mis en œuvre des 1980 le premier calendrier amazigh .un calendrier diffèrent du calendrier julien et hégirien déjà connus et dont le premier jour de l’année est le 13janvier.
Une attitude qui prive l’Algérie et tout le Maghreb de son patrimoine plusieures fois millénaire, où les hommes libres étaient les maîtres de tout la région nord-africaine, des hommes et des femmes qui ont connus les religions juive, puis chrétienne longtemps avant l’arrivée de l’islam. Ils ont aussi vécus toutes les grandes civilisations dont celle des romains qui a marqué sa présence dans la région pendant 5 siècles.
Si telle est l’attitude de la mémoire officielle, la mémoire populaire est restée liée à cette histoire, les comptes, ainsi que les fêtes populaires en sont témoins. Parmi ces fêtes que le peuple garde soigneusement dans sa mémoire collective, bien qu’absente dans le calendrier des fetes officielles du grand Maghreb la fête de yennayer, s'impose le 13janvier de chaque année.
Pour la population maghrébine, c’est la journée que s’ouvrent les portes de l’univers pour assurer une année de prospérité a tout ceux qui l’accueillent convenablement .des rites sont imposés par la société. Chacun doit les respecter pour ne pas nuire l’abondance agricole. La fête commence bien avant cette date avec le relooking de la maison, préparation des ustensiles pour arriver a la journée de 12janvier qui est consacré aux beignets et pates sucrées, entre lamsemen, thighrifine, lasfendj on a que l’embarrât du choix. Les fruits secs de la famille seront mis sur la table, le lendemain c’est le meilleur plat traditionnel qui sera à l’honneur avec l’invité obligatoire, le coq. Entre le couscous en Kabylie, rechta a alger et el aiche ou irakmen dans d’autres régions, chaque région du nord-africain fait de sorte à faire de cette journée une journée pour manger à sa faim et partager sa joie avec ses proches notamment avec des échanges de plats ou d’invitations. Les festivités durent plusieurs jours après la journée du 13janvier pour proclamer que la mémoire populaire est plus forte que toutes les circonstances, puisqu’elle a gardé cette fête 2966.
De cette mémoire s’est inspiré les historiens, spécialement Amar Negadi qui a mis en œuvre des 1980 le premier calendrier amazigh .un calendrier diffèrent du calendrier julien et hégirien déjà connus et dont le premier jour de l’année est le 13janvier.
Malika Assass
Malika Assass