Amara Benyounes, s'est exprimé via un média électronique, sur la mouture de la nouvelle constitution et la polémique qui enfle après les déclarations du général à la retraite Khaled Nezzar en niant sa proposition au défunt Hocine Ait Ahmed pour occuper le poste de Chef de l'Etat.
L'ex-ministre controversé de l'économie, affirme son soutien inconditionnel à Bouteflika et le nouveau texte fondamental proposé au législateur et déclare que ses députés voteront pour la nouvelle constitution tout en appelant le président Bouteflika à revoir l'article 51 qui prive l'Algérie des compétences de sa diaspora.
Par ailleurs, l'homme fort du Mouvement Populaire Algérien, commente la polémique qui enfle actuellement sur la proposition qui aurait été faite par Khaled Nezzar à Hocine Aït Ahmed après l’interruption des élections« Hocine Ait Ahmed a dit certain nombre de choses. Khaled Nezzar est en train de les contredire. Maintenant, c’est paroles d’homme contre parole d’homme. Il faut laisser les historiens qui vont un jour trancher. Je n’ai pas les moyens de trancher ces paroles d’un contre un autre ».
L'ancien du Rassemblement pour la Culture et la Démocratie (RCD), connu comme l'un des politiciens algériens, les plus laïques, salue la décision d’interrompre le processus électoral par le conseil de la sécurité dont le Général Khaled Nezzar était l'homme fort.
L'ex-ministre controversé de l'économie, affirme son soutien inconditionnel à Bouteflika et le nouveau texte fondamental proposé au législateur et déclare que ses députés voteront pour la nouvelle constitution tout en appelant le président Bouteflika à revoir l'article 51 qui prive l'Algérie des compétences de sa diaspora.
Par ailleurs, l'homme fort du Mouvement Populaire Algérien, commente la polémique qui enfle actuellement sur la proposition qui aurait été faite par Khaled Nezzar à Hocine Aït Ahmed après l’interruption des élections« Hocine Ait Ahmed a dit certain nombre de choses. Khaled Nezzar est en train de les contredire. Maintenant, c’est paroles d’homme contre parole d’homme. Il faut laisser les historiens qui vont un jour trancher. Je n’ai pas les moyens de trancher ces paroles d’un contre un autre ».
L'ancien du Rassemblement pour la Culture et la Démocratie (RCD), connu comme l'un des politiciens algériens, les plus laïques, salue la décision d’interrompre le processus électoral par le conseil de la sécurité dont le Général Khaled Nezzar était l'homme fort.