La Kabylie regorge de talents et de potentiels en matière de ressources humaines et le Professeur Madjid Boutemeur n'est qu'une démonstration. Il est docteur en physique nucléaire et physique des particules, professeur d'universités. Considéré comme l'un des savants les plus renommés dans la recherche dudit domaine.
Madjid Boutemeur travaille sur le "Grand collisionneur de hadrons" (LHC), le plus puissant accélérateur de particules du monde, implanté à la frontière franco-suisse, et plus particulièrement sur le "Solénoïde compact pour muons" (CMS), détecteur polyvalent installé sur l’anneau du LHC.
Il se dit convaincu de décrocher le prix Nobel, «Mon excellent parcours universitaire à Grenoble m’a permis d’obtenir une thèse de collaboration avec le CERN. Avec cette thèse, j’ai été candidat au prix Nobel en 1987 et j’ai failli l’avoir. J’ai soutenu ensuite une autre thèse à l’université de Yale aux USA où j’ai établi le record du monde de la polarisation des spins dans les très basses températures.
L’accumulation de mes succès m’a ouvert les portes des grandes universités mondiales, comme le Canada où j’ai travaillé pendant cinq années avec l’université de Montréal et le gouvernement à partir de septembre 1991.».
Madjid Boutemeur travaille sur le "Grand collisionneur de hadrons" (LHC), le plus puissant accélérateur de particules du monde, implanté à la frontière franco-suisse, et plus particulièrement sur le "Solénoïde compact pour muons" (CMS), détecteur polyvalent installé sur l’anneau du LHC.
Il se dit convaincu de décrocher le prix Nobel, «Mon excellent parcours universitaire à Grenoble m’a permis d’obtenir une thèse de collaboration avec le CERN. Avec cette thèse, j’ai été candidat au prix Nobel en 1987 et j’ai failli l’avoir. J’ai soutenu ensuite une autre thèse à l’université de Yale aux USA où j’ai établi le record du monde de la polarisation des spins dans les très basses températures.
L’accumulation de mes succès m’a ouvert les portes des grandes universités mondiales, comme le Canada où j’ai travaillé pendant cinq années avec l’université de Montréal et le gouvernement à partir de septembre 1991.».