Ahmed Ouyahia, s'est illustré avec un plaidoyer contradictoire pour soutenir le texte de l'avant-projet de la constitution algérienne proposé par le président Bouteflika aux législateurs dont plusieurs dispositions des plus étranges, des dispositions qui seraient qualifiées dans d'autres pays comme venues d'une idéologie de l’extrême droite.
La plus étrange est celle, obligeant chaque candidat aux présidentielles d'avoir résidé en Algérie une période minimale de 10 ans, «Le candidat à la présidentielle doit être de nationalité algérienne, résider depuis 10 ans en Algérie. Pour diriger l’Algérie, il faut être fier d’être algérien et de partager le quotidien des Algériens.».
La première victime de cette nouvelle condition est le malheureux candidat aux présidentielles de 2014, Rachid Nekkaz Fondateur du Mouvement Pour la Jeunesse et le Changement et ex-candidat aux présidentielles en France, qui, pour pouvoir se porter candidat à l’élection d'avril 2014 s'est vu obligé de laisser tomber sa nationalité française,
La plus étrange est celle, obligeant chaque candidat aux présidentielles d'avoir résidé en Algérie une période minimale de 10 ans, «Le candidat à la présidentielle doit être de nationalité algérienne, résider depuis 10 ans en Algérie. Pour diriger l’Algérie, il faut être fier d’être algérien et de partager le quotidien des Algériens.».
La première victime de cette nouvelle condition est le malheureux candidat aux présidentielles de 2014, Rachid Nekkaz Fondateur du Mouvement Pour la Jeunesse et le Changement et ex-candidat aux présidentielles en France, qui, pour pouvoir se porter candidat à l’élection d'avril 2014 s'est vu obligé de laisser tomber sa nationalité française,