Après le "Bismillah" de Saadani et la réponse de Louisa Hanoune avec une façon autant bas que celle du Secrétaire général du FLN, c'est le tour du secrétaire général de l’UGTA, Abdelmadjid Sidi Saïd, en utilisant un langage déplacé lors d'une conférence de presse pour expliquer les choix de son "Syndicat".
Parlant de ceux qui refusent la politique menée par sa direction et ceux qui s'opposent à ses choix, Sidi Said profèrent des injures.
Par ailleurs, ’arrêté interministériel relatif aux conditions et aux modalités d’offres en matière de crédit à la consommation a été signé, jeudi, lors d’une cérémonie organisée à cet effet, par les ministres du Commerce, Bakhti Belaïb, des Finances, Abderrahmane Benkhalfa, de l’Industrie et des Mines, Abdessalem Bouchouareb, en présence du secrétaire général de l’UGTA, Abdelmadjid Sidi Saïd, et de représentants du patronat et des banques. Un acte qui marque le coup d’envoi pour la mise en route de ce type de crédit ciblant uniquement les biens issus de la production nationale, et non les services sachant qu’il exclut également les entreprises qui pratiquent la revente en l’état. Le ministre du Commerce qui a présidé cette cérémonie a d’emblée souligné le fait que c’est le Président de la République lui-même qui a donné instruction pour l’accélération du processus avant de rappeler que le crédit à la consommation intervient dans un contexte particulier ayant imposé cette nécessité de soutenir la production nationale et consolider le pouvoir d’achat, deux fonctions attribuées à cette démarche. Le ministre des Finances a, pour sa part, indiqué que, « le retour à ce crédit est une consécration d’un travail technique et le couronnement d’une concertation entre les institutions de l’Etat, le patronat et l’UGTA ».
Le crédit à la consommation qui n’est pas banal, mais particulier, a-t-il insisté, reste tributaire du budget des ménages qu’il va falloir gérer avec prudence et vigilance, a-t-il dit. « Il faut en user sans en abuser », a-t-il insisté. Destiné à consolider et à élargir le pouvoir d’achat des citoyens algériens, à soutenir, sauvegarder le produit national, a encore précisé le ministre, le crédit à la consommation dispose aujourd’hui d’un instrument de cadrage qui permet de maîtriser les risques. Aussi, le crédit qui devra contribuer a créer de la valeur ajoutée à l’économie nationale, d’ici une année, ne doit pas sortir de son canal qui est le produit national. « Nous veillerons à cela », a rassuré Abderrahmane Benkhalfa. Le crédit à la consommation est une « demande de l’UGTA qui date de 1996, consacrée dans le pacte de croissance économique et social, paraphé en févier 2014 », a souligné le ministre de l’Industrie et des Mines. Le crédit qui en liaison directe avec la production nationale, a affirmé Abdessalem Bouchouareb, et devra contribuer à élargir la consommation, structurer la complémentarité entre la production et la consommation, et agir sur les coûts. Pour le ministre, il va falloir mettre en place le second dispositif dans le cadre de cette démarche, à savoir orienter tous les organismes nationaux budgétivores à opter exclusivement pour le produit local qui a connu un « saut qualitatif, tant en quantité qu’en qualité ». Une opportunité qui amènera le ministre à préciser que « la LF 2016 est venue compléter la LF et la LFC 2015 en matière d’encouragement à l’investissement, cheval de bataille pour la réalisation de cette croissance cumulable pour la relance de notre économie ». Abdessalem Bouchouareb qui mettra l’accent sur l’intérêt à soutenir le produit a rappelé, pour la circonstance que, le Président de la République a personnellement insisté sur l’évaluation de ce dispositif. Le patron de la Centrale syndicale qui a exprimé sa reconnaissance au Chef de l’Etat pour avoir ordonné l’application rapide du crédit à la consommation, a souligné que, la démarche a fait l’objet d’une « action longue et ardue à l’endroit des pouvoirs publics ». Abdelmadjid Sidi Saïd précisera également que le crédit à la consommation est une revendication de l’UGTA qui « remonte à 1996. Bien qu’elle soit « une dimension de l’économie nationale, et un élément important pour les ménages, cette démarche a pourtant fait l’objet de résistance et d’opposition, très fortes, au niveau des pouvoirs publics, du patronat, mais aussi du syndicat ce qui veut dire la volonté de perturber le climat social ». Aujourd’hui, il s’agit d’une « consécration d’une revendication que nous avons inscrit dans le pacte national de croissance », a-t-il déclaré. Et de conclure que le crédit à la consommation « participe à l’amélioration du pouvoir d’achat des ménages et que pour toute chose il ya un risque qu’il faut gérer ». Outre le fait qu’elle consacre la « stabilité sociale », cette démarche « exprime la cohésion entre l’UGTA et le gouvernement ».
Parlant de ceux qui refusent la politique menée par sa direction et ceux qui s'opposent à ses choix, Sidi Said profèrent des injures.
Par ailleurs, ’arrêté interministériel relatif aux conditions et aux modalités d’offres en matière de crédit à la consommation a été signé, jeudi, lors d’une cérémonie organisée à cet effet, par les ministres du Commerce, Bakhti Belaïb, des Finances, Abderrahmane Benkhalfa, de l’Industrie et des Mines, Abdessalem Bouchouareb, en présence du secrétaire général de l’UGTA, Abdelmadjid Sidi Saïd, et de représentants du patronat et des banques. Un acte qui marque le coup d’envoi pour la mise en route de ce type de crédit ciblant uniquement les biens issus de la production nationale, et non les services sachant qu’il exclut également les entreprises qui pratiquent la revente en l’état. Le ministre du Commerce qui a présidé cette cérémonie a d’emblée souligné le fait que c’est le Président de la République lui-même qui a donné instruction pour l’accélération du processus avant de rappeler que le crédit à la consommation intervient dans un contexte particulier ayant imposé cette nécessité de soutenir la production nationale et consolider le pouvoir d’achat, deux fonctions attribuées à cette démarche. Le ministre des Finances a, pour sa part, indiqué que, « le retour à ce crédit est une consécration d’un travail technique et le couronnement d’une concertation entre les institutions de l’Etat, le patronat et l’UGTA ».
Le crédit à la consommation qui n’est pas banal, mais particulier, a-t-il insisté, reste tributaire du budget des ménages qu’il va falloir gérer avec prudence et vigilance, a-t-il dit. « Il faut en user sans en abuser », a-t-il insisté. Destiné à consolider et à élargir le pouvoir d’achat des citoyens algériens, à soutenir, sauvegarder le produit national, a encore précisé le ministre, le crédit à la consommation dispose aujourd’hui d’un instrument de cadrage qui permet de maîtriser les risques. Aussi, le crédit qui devra contribuer a créer de la valeur ajoutée à l’économie nationale, d’ici une année, ne doit pas sortir de son canal qui est le produit national. « Nous veillerons à cela », a rassuré Abderrahmane Benkhalfa. Le crédit à la consommation est une « demande de l’UGTA qui date de 1996, consacrée dans le pacte de croissance économique et social, paraphé en févier 2014 », a souligné le ministre de l’Industrie et des Mines. Le crédit qui en liaison directe avec la production nationale, a affirmé Abdessalem Bouchouareb, et devra contribuer à élargir la consommation, structurer la complémentarité entre la production et la consommation, et agir sur les coûts. Pour le ministre, il va falloir mettre en place le second dispositif dans le cadre de cette démarche, à savoir orienter tous les organismes nationaux budgétivores à opter exclusivement pour le produit local qui a connu un « saut qualitatif, tant en quantité qu’en qualité ». Une opportunité qui amènera le ministre à préciser que « la LF 2016 est venue compléter la LF et la LFC 2015 en matière d’encouragement à l’investissement, cheval de bataille pour la réalisation de cette croissance cumulable pour la relance de notre économie ». Abdessalem Bouchouareb qui mettra l’accent sur l’intérêt à soutenir le produit a rappelé, pour la circonstance que, le Président de la République a personnellement insisté sur l’évaluation de ce dispositif. Le patron de la Centrale syndicale qui a exprimé sa reconnaissance au Chef de l’Etat pour avoir ordonné l’application rapide du crédit à la consommation, a souligné que, la démarche a fait l’objet d’une « action longue et ardue à l’endroit des pouvoirs publics ». Abdelmadjid Sidi Saïd précisera également que le crédit à la consommation est une revendication de l’UGTA qui « remonte à 1996. Bien qu’elle soit « une dimension de l’économie nationale, et un élément important pour les ménages, cette démarche a pourtant fait l’objet de résistance et d’opposition, très fortes, au niveau des pouvoirs publics, du patronat, mais aussi du syndicat ce qui veut dire la volonté de perturber le climat social ». Aujourd’hui, il s’agit d’une « consécration d’une revendication que nous avons inscrit dans le pacte national de croissance », a-t-il déclaré. Et de conclure que le crédit à la consommation « participe à l’amélioration du pouvoir d’achat des ménages et que pour toute chose il ya un risque qu’il faut gérer ». Outre le fait qu’elle consacre la « stabilité sociale », cette démarche « exprime la cohésion entre l’UGTA et le gouvernement ».