Les adeptes du salafisme sont contre toutes fêtes sauf celles fêter par le prophète Mohamed et militent pour imposer leur façon rigoureuse d'interpreter le coran et la Sunna, une idéologie inspirée fortement du Wahabisme.
De leurs coté, les salafistes algériens, mobilisés durant toute l'année sur des questions comme l'habit des femmes, l'interdiction de la musique et la fermeture des bars et dépits de boissons alcoolisées, sans jamais parler des vrais problèmes de la société algérienne à l'image de la corruption, la pauvreté et le chômage, sont déterminés à bannir les fêtes de Noël et El Mawlid En'nabaoui, que ce soit par les prêches ou même l'intimidation.
La première est vue par les wahabistes comme une fête étrangère aux musulmans ce qui fera de la personne qui la fête, un assimilé aux mécréants et par conséquent «Un mécréant» selon eux, la deuxième quoi qu'elle soit 100% musulmane, elle est une «Bidâa» une création des chiites non pratiquée par le prophète durant sa vie.
Dans plusieurs villes algériennes dont celles de Kabylie, les salafistes distribuent des tractes et placardent des affiches et des gratifies sur les mures appelant les gens à se comporter comme des bons musulmans.
Un commerçant de la ville de Béjaia a même confié à Kabylie News qu'il a lui même effacé des gratifies l'accusant d'être un mécréant après sa commercialisation d'articles liées à ces deux fêtes.
Par ailleurs, les salafistes entreprennent leurs actions en toute impunité et ne sont jamais inquiétés par les autorités.
De leurs coté, les salafistes algériens, mobilisés durant toute l'année sur des questions comme l'habit des femmes, l'interdiction de la musique et la fermeture des bars et dépits de boissons alcoolisées, sans jamais parler des vrais problèmes de la société algérienne à l'image de la corruption, la pauvreté et le chômage, sont déterminés à bannir les fêtes de Noël et El Mawlid En'nabaoui, que ce soit par les prêches ou même l'intimidation.
La première est vue par les wahabistes comme une fête étrangère aux musulmans ce qui fera de la personne qui la fête, un assimilé aux mécréants et par conséquent «Un mécréant» selon eux, la deuxième quoi qu'elle soit 100% musulmane, elle est une «Bidâa» une création des chiites non pratiquée par le prophète durant sa vie.
Dans plusieurs villes algériennes dont celles de Kabylie, les salafistes distribuent des tractes et placardent des affiches et des gratifies sur les mures appelant les gens à se comporter comme des bons musulmans.
Un commerçant de la ville de Béjaia a même confié à Kabylie News qu'il a lui même effacé des gratifies l'accusant d'être un mécréant après sa commercialisation d'articles liées à ces deux fêtes.
Par ailleurs, les salafistes entreprennent leurs actions en toute impunité et ne sont jamais inquiétés par les autorités.