La décision de la ministre de la Poste et des technologies de l’information et de communication, Houda-Imane Feraoun qui a mis fin aux fonctions de l'ex-directeur de MOBILIS, Saad Dama continue à faire couler de l'encre sur les colonnes de la presse algérienne. Après la révélation sur les motifs de ce limogeage d'un directeur qui a marqué des chiffres qui plaident pour ses compétences, d'autres révélations se portent sur les dessous des rouages de l'ex parti unique.
Des observateurs parlent d'un conflit entre la maison mère Algérie Télécom qui dénonce une concurrence par sa filiale MOBILIS et d'autre parle du contrat signé par le directeur avec Orange dans le cadre d'un offre qui permis aux abonnés de la compagne française d'appeler gratuitement en illimité vers les numéros de MOBILIS depuis la France métropolitaine.
Par ailleurs, Selon le quotidien francophone Le Jeune Indépendant, tout juste après avoir été relevé de ses fonctions, l’ex-PDG de Mobilis, membre du comité central depuis le dernier congrès du FLN, prend contact avec le SG du parti, Amar Saadani, pour tenter de sauver sa tête. Ce dernier s’en réfère immédiatement à Mme Faraoune, également membre du CC du FLN, pour la dissuader de sa décision de limoger Saâd Damma.
La jeune ministre a su résister à la pression de Saadani note le même journal, qui rapporte aussi le soutien du premier ministre Abdelmalek Sellal, qui a son tour aurait mis dans sa ligne de mire tous les chefs d’entreprises publiques qui ont adhéré au FLN lors du dernier congrès. Fini le temps où un simple coup de fil décide du sort de tel ou tel responsable.
Des observateurs parlent d'un conflit entre la maison mère Algérie Télécom qui dénonce une concurrence par sa filiale MOBILIS et d'autre parle du contrat signé par le directeur avec Orange dans le cadre d'un offre qui permis aux abonnés de la compagne française d'appeler gratuitement en illimité vers les numéros de MOBILIS depuis la France métropolitaine.
Par ailleurs, Selon le quotidien francophone Le Jeune Indépendant, tout juste après avoir été relevé de ses fonctions, l’ex-PDG de Mobilis, membre du comité central depuis le dernier congrès du FLN, prend contact avec le SG du parti, Amar Saadani, pour tenter de sauver sa tête. Ce dernier s’en réfère immédiatement à Mme Faraoune, également membre du CC du FLN, pour la dissuader de sa décision de limoger Saâd Damma.
La jeune ministre a su résister à la pression de Saadani note le même journal, qui rapporte aussi le soutien du premier ministre Abdelmalek Sellal, qui a son tour aurait mis dans sa ligne de mire tous les chefs d’entreprises publiques qui ont adhéré au FLN lors du dernier congrès. Fini le temps où un simple coup de fil décide du sort de tel ou tel responsable.