L'affaire du général Hassan n'arrête pas de susciter une véritable indignation parmi les acteurs politique, qui dénoncent un procès politique. En effet, après Ali Benflis, le général Khaled Nezzar, l'avocat Ait Laarbi, Louisa Hannoune accuse sans langue de bois « Le pouvoir parallèle a osé dicter une décision politique contre le général Hassan, un héros et une icône de la lutte antiterroriste ! », a déclaré la Secrétaire générale du PT qui a qualifié le procès de « parodie honteuse et scandaleuse ! ».
Louisa Hanoune révèle entres autres une confidence de Bouteflika, qu'il aurait lui a révélé lors de leur entretien au début de l’année 2014 quelques mois avant l’élection présidentielle. « Il m’avait dit qu’il est propre, que c’est un patriote, qu’il n’avait pas commis de faute et que l’affaire est classée ». « Qui a donné les ordres (pour poursuivre le général) ? », s’est-elle interrogée, rapporte TSA.
Par ailleurs, Me Aït Larbi assimile procès du général Hassan à celui qui a conduit à la condamnation du colonel Chaâbani, il y a 51 ans à Oran. Cependant le général Nezzar va plus loin et qualifie la décision du tribunal militaire de «criminelle».
L’arrestation de cet ancien responsable de la lutte antiterroriste comme un grand criminel, sa condamnation à la peine maximale sans bénéfice des circonstances atténuantes, balayant d’un trait sa carrière de 51 ans d’actes de bravoure et d’abnégation pour la sauvegarde de la patrie, qui a fait de lui le gradé le plus décoré de l’armée algérienne, sentent le règlement de comptes et donnent au verdict un caractère de châtiment exemplaire aux éventuels contestataires.
Louisa Hanoune révèle entres autres une confidence de Bouteflika, qu'il aurait lui a révélé lors de leur entretien au début de l’année 2014 quelques mois avant l’élection présidentielle. « Il m’avait dit qu’il est propre, que c’est un patriote, qu’il n’avait pas commis de faute et que l’affaire est classée ». « Qui a donné les ordres (pour poursuivre le général) ? », s’est-elle interrogée, rapporte TSA.
Par ailleurs, Me Aït Larbi assimile procès du général Hassan à celui qui a conduit à la condamnation du colonel Chaâbani, il y a 51 ans à Oran. Cependant le général Nezzar va plus loin et qualifie la décision du tribunal militaire de «criminelle».
L’arrestation de cet ancien responsable de la lutte antiterroriste comme un grand criminel, sa condamnation à la peine maximale sans bénéfice des circonstances atténuantes, balayant d’un trait sa carrière de 51 ans d’actes de bravoure et d’abnégation pour la sauvegarde de la patrie, qui a fait de lui le gradé le plus décoré de l’armée algérienne, sentent le règlement de comptes et donnent au verdict un caractère de châtiment exemplaire aux éventuels contestataires.