La ligne maritime de transport des voyageurs reliant ALger à Béjaïa n’est déjà plus en service. En effet, Lancée il y a à peine trois semaines, le bateau est en panne depuis plus d’une semaine et est laissé en rade au port d’Alger où il risque de devenir «encombrant». Dans l’attente des réparations, les autorités portuaires font actuellement pression pour évacuer le bateau en question vers la côte de Béjaïa, et plus précisément vers la baie de Tala Yilef, à cinq kilomètres à l’ouest du port, afin d’accélérer les travaux de réparation qui risquent de prendre du temps.
La panne se situerait au niveau des lisses, selon un journal électronique, qui sont des raidisseurs longitudinaux qui supportent les tôles des ponts, des bordés ou des fonds d’un navire. Pour rappel, l'Entreprise nationale de transport maritime de voyageurs (ENTMV) a réceptionné deux nouveaux navires, dont un est destiné à la ligne Alger-Béjaïa. D'une capacité de 206 passagers, ce navire assure la desserte Alger-Béjaïa sur un trajet de quatre heures. La première traversée a été inaugurée par le ministre des Transports, Boudjemaâ Talai. Selon le ministre, le coût de chacun des deux navires, qui ont une moyenne d'âge de quatre ans, s'élève à 350 millions de dinars. Cela dit, malgré toutes les commodités que présente cette desserte, et toutes les réductions de tarifs annoncées au profit des voyageurs, en plus de l’application de nouveaux horaires de départ mieux adaptés, les voyageurs ne se bousculent pas devant le guichet.
La panne se situerait au niveau des lisses, selon un journal électronique, qui sont des raidisseurs longitudinaux qui supportent les tôles des ponts, des bordés ou des fonds d’un navire. Pour rappel, l'Entreprise nationale de transport maritime de voyageurs (ENTMV) a réceptionné deux nouveaux navires, dont un est destiné à la ligne Alger-Béjaïa. D'une capacité de 206 passagers, ce navire assure la desserte Alger-Béjaïa sur un trajet de quatre heures. La première traversée a été inaugurée par le ministre des Transports, Boudjemaâ Talai. Selon le ministre, le coût de chacun des deux navires, qui ont une moyenne d'âge de quatre ans, s'élève à 350 millions de dinars. Cela dit, malgré toutes les commodités que présente cette desserte, et toutes les réductions de tarifs annoncées au profit des voyageurs, en plus de l’application de nouveaux horaires de départ mieux adaptés, les voyageurs ne se bousculent pas devant le guichet.