La menace d’Ouyahia vendredi contre les partis de l’opposition, sommés de se taire, à fait réagir samedi Louisa Hanoune, qui réunissait samedi ses militants à Oran. « Non ! On ne va pas se taire ! Nous continuerons à nous battre politiquement et pacifiquement », réplique-t-elle, sèchement, accusant le zélé chef du RND de « se tromper d’époque ».
Très critique envers les gouvernants actuels, la secrétaire générale du Parti des travailleurs (PT), Louisa Hanoune, redouble de férocité
Louisa Hanoune n’a pas tardé à répondre aux «propos menaçants» d’Ahmed Ouyahia à l’égard de tous ceux qui critiquent le pouvoir en place. La secrétaire générale du Parti des Travailleurs a qualifié la sortie du secrétaire général du RND et, néanmoins, chef du cabinet du président Bouteflika de «tentative d’intimidations». S’exprimant aujourd’hui, à Oran devant un parterre de militants, la patronne du PT refuse de se taire et de taire la vérité. Pour elle, «le pouvoir cherche à étouffer toute voix discordante». a rapporté impact24«Nous assistons à une volonté de museler la société et de l’empêcher de s’exprimer librement. C’est une grave régression», a-t-elle souligné. Louisa Hanoune met ainsi dans le même panier Ahmed Ouyahia et Abdeslem Bouchouareb qui appartiennent au même parti. Elle considère que ces deux responsables servent les intérêts d’une oligarchie qui s’accapare progressivement des richesses du pays en se substituant à l’Etat. Louisa Hanoune parle de la gravité de la crise, à la fois, économique et politique.
Revenant sur la renationalisation du complexe sidérurgique d’El Hadjar, Louisa Hanoune persiste et signe que la transaction n’a pas coûté zéro dinar comme le prétendait le ministre de l’Industrie Abdeslem Bouchouareb. Elle réplique ainsi à Ahmed Ouyahia qui s’était étonné de son attitude vis-à-vis de cette renationalisation. La SG du PT affirme que Mittal n’avait investi dans ce complexe que 120 millions de dollars durant 14 ans. Elle considère que l’Etat algérien avait trop investi (plus d’un milliard de dollars) dans une entreprise longtemps contrôlée par les Indiens. Elle indique que Mittal se retire d’El Hadjar en laissant une dette de 500 millions de dollars que l’Etat va payer. «Comment peut-on dire que ce complexe a été renationalisé à zéro dinar ?», a-t-elle dénoncé. Louisa Hanoune n’a pas été tendre également avec le président du FCE, Ali Haddad qu’elle a traité d’«ignorant» selon impact24.
Très critique envers les gouvernants actuels, la secrétaire générale du Parti des travailleurs (PT), Louisa Hanoune, redouble de férocité
Louisa Hanoune n’a pas tardé à répondre aux «propos menaçants» d’Ahmed Ouyahia à l’égard de tous ceux qui critiquent le pouvoir en place. La secrétaire générale du Parti des Travailleurs a qualifié la sortie du secrétaire général du RND et, néanmoins, chef du cabinet du président Bouteflika de «tentative d’intimidations». S’exprimant aujourd’hui, à Oran devant un parterre de militants, la patronne du PT refuse de se taire et de taire la vérité. Pour elle, «le pouvoir cherche à étouffer toute voix discordante». a rapporté impact24«Nous assistons à une volonté de museler la société et de l’empêcher de s’exprimer librement. C’est une grave régression», a-t-elle souligné. Louisa Hanoune met ainsi dans le même panier Ahmed Ouyahia et Abdeslem Bouchouareb qui appartiennent au même parti. Elle considère que ces deux responsables servent les intérêts d’une oligarchie qui s’accapare progressivement des richesses du pays en se substituant à l’Etat. Louisa Hanoune parle de la gravité de la crise, à la fois, économique et politique.
Revenant sur la renationalisation du complexe sidérurgique d’El Hadjar, Louisa Hanoune persiste et signe que la transaction n’a pas coûté zéro dinar comme le prétendait le ministre de l’Industrie Abdeslem Bouchouareb. Elle réplique ainsi à Ahmed Ouyahia qui s’était étonné de son attitude vis-à-vis de cette renationalisation. La SG du PT affirme que Mittal n’avait investi dans ce complexe que 120 millions de dollars durant 14 ans. Elle considère que l’Etat algérien avait trop investi (plus d’un milliard de dollars) dans une entreprise longtemps contrôlée par les Indiens. Elle indique que Mittal se retire d’El Hadjar en laissant une dette de 500 millions de dollars que l’Etat va payer. «Comment peut-on dire que ce complexe a été renationalisé à zéro dinar ?», a-t-elle dénoncé. Louisa Hanoune n’a pas été tendre également avec le président du FCE, Ali Haddad qu’elle a traité d’«ignorant» selon impact24.