Le Rassemblement pour la Culture et la Démocratie (RCD) vient de drainer une marrée humaine dans les rues du centre ville de Tizi Ouzou, dans une marche populaire dénonçant "la politique du contre-développement à l'encontre de la région kabyle" en plus des violences sociales et de la revendication de l'officialisation de la langue Tamazight, comme à l'accoutumée, et dans les plus brefs délais.
En effet, les marcheurs ont bravé l'habituel itinéraire allant du portail universitaire de Hesnaoua jusqu'à l'historique place de l'ancienne mairie, dans les environs de 11h15. Deux faits qui ont rajouté la cerise sur le gateau vallent le coup d'être relatés. Le premier est que les Tizi Ouzouéens n'étaient pas les seuls à défier les décisions sourdes du pouvoir politique, puisque des militants sont venus de Bouira, Batna, Alger, Boumerdes, et bien d'autres régions, pour, somme toute, accoter les habitants de cette région afin de revendiquer ensemble ces problèmes d'une dimension nationale, devenus un paradoxe pour tout le pays. A dire que Tizi Ouzou est devenue le levant de la revendication ou alors la tribune d'expression préférée. Le deuxième faits, est l'identification des anciens des anciens cadres de ce parti.
Pendant la longue ponte qu'ont entreprit les milliers de marcheurs, la très large foule a chantonné des chansons revendiquant la justice et le droit sociale. "Lxedma, Tadamsa" (Le travail, l'économie), "On n'a pas besoin des prisons, mais bel et bien des hôpitaux" en langue kabyle, tout comme les chansons traditionnelles connues chantées dans les manifestations militante. A la fin du parcours, et à l'ouverture des prises de paroles, Yacine Aissiouene a, de prime abord, tenu à remercier les "milliers de marcheurs qui ont fait de cette marche, un rendez-vous historique" qui donnera certainement une leçon de plus pour "les décideurs" a-t-il déclaré, et a affiché son soutien indéfectible au patron de Cevital Issad Rebrab "victime des manœuvres du pouvoir" tant que les "décideurs veulent lui faire barrage, parce qu'il travaille sereinement". Sur le même élan, le sénateur Mohand Ikharbane, tout comme maître Lila Hadj Arab, ont assimilé tous deux la splendeur qu'a rajouté cette marche à cette journée, à l'arrière goût du "printemps pendant cette saison d'automne", après avoir salué la réponse forte de la société civile à l'appel du RCD, après avoir répondu "sur le terrain" aux décideurs du pays, lesquels "veulent ou pas, l'Algérie retrouvera sa vitalité grâce au peuple" a lancé Mohand Ikharbane à la foule. En somme, cette rentrée sociale sera marquée par cette marche totalement réussie, notamment une marche qui a pour objectif de dénoncer "l'anti-kabylisme" du pouvoir, comme nous l'a confié le Président du Bureau Régional du RCD de Tizi Ouzou, Arezki Hamdous en l'occurrence.
En effet, les marcheurs ont bravé l'habituel itinéraire allant du portail universitaire de Hesnaoua jusqu'à l'historique place de l'ancienne mairie, dans les environs de 11h15. Deux faits qui ont rajouté la cerise sur le gateau vallent le coup d'être relatés. Le premier est que les Tizi Ouzouéens n'étaient pas les seuls à défier les décisions sourdes du pouvoir politique, puisque des militants sont venus de Bouira, Batna, Alger, Boumerdes, et bien d'autres régions, pour, somme toute, accoter les habitants de cette région afin de revendiquer ensemble ces problèmes d'une dimension nationale, devenus un paradoxe pour tout le pays. A dire que Tizi Ouzou est devenue le levant de la revendication ou alors la tribune d'expression préférée. Le deuxième faits, est l'identification des anciens des anciens cadres de ce parti.
Pendant la longue ponte qu'ont entreprit les milliers de marcheurs, la très large foule a chantonné des chansons revendiquant la justice et le droit sociale. "Lxedma, Tadamsa" (Le travail, l'économie), "On n'a pas besoin des prisons, mais bel et bien des hôpitaux" en langue kabyle, tout comme les chansons traditionnelles connues chantées dans les manifestations militante. A la fin du parcours, et à l'ouverture des prises de paroles, Yacine Aissiouene a, de prime abord, tenu à remercier les "milliers de marcheurs qui ont fait de cette marche, un rendez-vous historique" qui donnera certainement une leçon de plus pour "les décideurs" a-t-il déclaré, et a affiché son soutien indéfectible au patron de Cevital Issad Rebrab "victime des manœuvres du pouvoir" tant que les "décideurs veulent lui faire barrage, parce qu'il travaille sereinement". Sur le même élan, le sénateur Mohand Ikharbane, tout comme maître Lila Hadj Arab, ont assimilé tous deux la splendeur qu'a rajouté cette marche à cette journée, à l'arrière goût du "printemps pendant cette saison d'automne", après avoir salué la réponse forte de la société civile à l'appel du RCD, après avoir répondu "sur le terrain" aux décideurs du pays, lesquels "veulent ou pas, l'Algérie retrouvera sa vitalité grâce au peuple" a lancé Mohand Ikharbane à la foule. En somme, cette rentrée sociale sera marquée par cette marche totalement réussie, notamment une marche qui a pour objectif de dénoncer "l'anti-kabylisme" du pouvoir, comme nous l'a confié le Président du Bureau Régional du RCD de Tizi Ouzou, Arezki Hamdous en l'occurrence.
Posted by Hamid Messir on samedi 3 octobre 2015