Un crime catalogué de monstrueux a été perpétré dans la nuit de l’Aïd El Adha, quand un fils arrive à égorger son père et sa mère, les laissant pour morts et à poignarder son propre frère venu à leur secours, l'information a été révélée par le journal francophone lestrepublicain.
Les habitants de l’Unité de voisinage 19 à la ville nouvelle Ali Mendjeli (Canstontine) ont appris qu’un fils âgé de 25 ans avait tenté d’assassiner son propre père et sa propre mère en les égorgeant et en les laissant pour morts sur le terrain de cet horrible carnage. Cela se passait à une heure du matin de l’Aïd El Adha, le père 58 ans et la mère 50 ans, s’attendaient sans doute à passer une fête heureuse. Mais leur fils «que l’on dit énervé» en a décidé autrement : c’est de sang-froid et sans aucun regret, aucune «rahma» qu’un couteau à la main il décida d’occire les auteurs de ses jours. Aux dernières nouvelles, le couple gravement mutilé se trouve dans le coma entre la vie et la mort au CHUC sous haute surveillance. Quant à l’autre fils qui avait tenté de porter secours à ses deux parents, il reçut à son tour un autre coup de couteau et se trouve également en observation dans un état alarmant. Une fois son forfait accompli, le meurtrier, ce « parricide» a fini par être appréhendé par les forces de l’ordre qui l’on placé en détention. Notons en premier que cette UV 19 est devenue un lieu de scandales et même de violence au point qu’il ne se passe pas de semaine qu’il ne soit signalé un crime un coup fourré ou un acte répréhensible. Rappelons enfin qu’il y a cinq années un autre crime, aussi odieux avait défrayé la chronique quand un jeune avait égorgé dans des circonstances presque similaires sa propre mère et son jeune frère avant de prendre la fuite qui a duré 4 ans avant de tomber dans les mains de la justice. Plus que jamais la moralisation des 20 UV d’Ali Mendjeli se pose avec acuité car ces cas d’extrême violence dénotent une insécurité qui a besoin d’être maîtrisée en termes socio-économique.
Les habitants de l’Unité de voisinage 19 à la ville nouvelle Ali Mendjeli (Canstontine) ont appris qu’un fils âgé de 25 ans avait tenté d’assassiner son propre père et sa propre mère en les égorgeant et en les laissant pour morts sur le terrain de cet horrible carnage. Cela se passait à une heure du matin de l’Aïd El Adha, le père 58 ans et la mère 50 ans, s’attendaient sans doute à passer une fête heureuse. Mais leur fils «que l’on dit énervé» en a décidé autrement : c’est de sang-froid et sans aucun regret, aucune «rahma» qu’un couteau à la main il décida d’occire les auteurs de ses jours. Aux dernières nouvelles, le couple gravement mutilé se trouve dans le coma entre la vie et la mort au CHUC sous haute surveillance. Quant à l’autre fils qui avait tenté de porter secours à ses deux parents, il reçut à son tour un autre coup de couteau et se trouve également en observation dans un état alarmant. Une fois son forfait accompli, le meurtrier, ce « parricide» a fini par être appréhendé par les forces de l’ordre qui l’on placé en détention. Notons en premier que cette UV 19 est devenue un lieu de scandales et même de violence au point qu’il ne se passe pas de semaine qu’il ne soit signalé un crime un coup fourré ou un acte répréhensible. Rappelons enfin qu’il y a cinq années un autre crime, aussi odieux avait défrayé la chronique quand un jeune avait égorgé dans des circonstances presque similaires sa propre mère et son jeune frère avant de prendre la fuite qui a duré 4 ans avant de tomber dans les mains de la justice. Plus que jamais la moralisation des 20 UV d’Ali Mendjeli se pose avec acuité car ces cas d’extrême violence dénotent une insécurité qui a besoin d’être maîtrisée en termes socio-économique.