Au moment où des terroristes comme Madani Mezrag ou Abdelhak Layada qui ont participé au naufrage de toute une génération d'algériens ne sont non seulement pas inquiétés par les autorités, mais se sont transformés par la force des choses en personnalités nationales, l'on continue d'arrêter et d'emprisonner des personnes pour le simple fait qu'elles aient osé s'exprimer.
En effet, on apprends de plusieurs sources qu'un dénommé Slimane Bouhafs a été interpellé à Sétif et se trouve actuellement sous les verrous; son délit : il est de confession chrétienne .
" Slimane Bouhafs a été interpellé, près de chez lui vers 16h, par les services de la cybercriminalité relevant de la Gendarmerie nationale, le 31 juillet dernier. Nous n’étions pas présents, mais des témoins ont affirmé l’avoir vu rentrer chez lui avec deux personnes, dont une femme (services de sécurité). Nous pensons qu’ils ont pris des photos à l’intérieur et ont même fouillé ses affaires. " confie un de ses proches au quotidien El-Watan qui affirme que seul son fils a pu le revoir depuis son interpellation.
Par ailleurs, on apprend que le concerné est accusé d'avoir " porté préjudice à la religion musulmane et au code du pays à travers des écrits et des photos partagés sur les réseaux sociaux ".
Pour rappels, plusieurs personnes ont été arrêtées depuis le début de l'été dans plusieurs régions du pays , notamment pour avoir mangé en plein jour durant le mois de ramadan ou pour avoir "porté atteinte à la religion musulmane" .
En effet, on apprends de plusieurs sources qu'un dénommé Slimane Bouhafs a été interpellé à Sétif et se trouve actuellement sous les verrous; son délit : il est de confession chrétienne .
" Slimane Bouhafs a été interpellé, près de chez lui vers 16h, par les services de la cybercriminalité relevant de la Gendarmerie nationale, le 31 juillet dernier. Nous n’étions pas présents, mais des témoins ont affirmé l’avoir vu rentrer chez lui avec deux personnes, dont une femme (services de sécurité). Nous pensons qu’ils ont pris des photos à l’intérieur et ont même fouillé ses affaires. " confie un de ses proches au quotidien El-Watan qui affirme que seul son fils a pu le revoir depuis son interpellation.
Par ailleurs, on apprend que le concerné est accusé d'avoir " porté préjudice à la religion musulmane et au code du pays à travers des écrits et des photos partagés sur les réseaux sociaux ".
Pour rappels, plusieurs personnes ont été arrêtées depuis le début de l'été dans plusieurs régions du pays , notamment pour avoir mangé en plein jour durant le mois de ramadan ou pour avoir "porté atteinte à la religion musulmane" .